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Le blog de Persone

Un anneau pour les gouverner tous ? Was ist das ?

1 Mars 2018, 18:33pm

Publié par Persone

Un anneau pour les gouverner tous ? Was ist das ?
Un anneau pour les gouverner tous ? Was ist das ?
Un anneau pour les gouverner tous ? Was ist das ?
Un anneau pour les gouverner tous ? Was ist das ?
Un anneau pour les gouverner tous ? Was ist das ?
Un anneau pour les gouverner tous ? Was ist das ?

En lisant mes derniers articles ou en méditant sur mes promesses de divulguer un lien sémantique pertinent et révélateur entre la science et la théosophie plurimillénaires, un esprit réductionniste déterminé dira que les propos tenus relèvent beaucoup du champ sémantique et que les sensibleries d’un révolté ne motivent pas à pousser la lecture !  Un esprit esthétique, plus rêveur, mais non moins déterminé, dira à l’inverse que cela est trop réductionniste et qu’il a du mal avec les chiffres et les démonstrations. Un esprit classique, habitué aux normes littéraires, affirmera quant à lui que l’essai est trop vulgarisé et enfin, pour un esprit blasé, qui se contente de végéter dans les romans de gare, la cyber attitude, les tabloïds et le porno du samedi, tout cela sera encore un de ces délires intellectuels ou poétiques créant de la complexité là où il n’y en a pas alors que tout est beaucoup plus simple : il suffirait que les connards disparaissent ! … Reste à savoir qui sont les connards.

Voilà qui regroupe beaucoup de monde ! Je pense aussi aux esprits « gagneurs » et à ceux qui « positivent », ces derniers penseront qu’il faut en finir avec les rousseauistes, les révoltés, les indignés et tutti quanti, qui sont autant de sources de neurasthénie, dans un monde qui a besoin de motivation ! Mais quel avenir a donc ce livre ?

Laissez-moi vous conter ou vous rappeler une histoire :

Un grand-père et son petit-fils montent un âne pour aller en ville, un homme passe et s’exclame : « Quel genre de bourreaux êtes-vous pour laisser cette malheureuse bête vos porter tous les deux ! »

Le grand-père descend et ils reprennent leur route. Un autre homme passe et s’indigne : « Dans quel genre de famille laisse-t-on les anciens marcher et les jeunes se reposer ? ».

Ils échangent et l’enfant marche. Un autre type passe et les invective : « Pauvre petit garçon, le village est encore loin ! Vous devriez avoir honte vieil homme ! ».

Alors ils marchent tous deux à côté de l’âne. Un jeune homme passe et se moque joyeusement : « Nous faisons beaucoup de mal aux animaux, certes, mais là vous frôlez la déraison ! Les gens sont très déterminés ici, si vous voulez allez en paix, ne les choquez pas ! ».

Nous comprendrons la moralité de cette histoire…  Et surtout son lien avec la façon de se faire entendre par le multiple.  Et pourtant, au fond, tous nos esprits critiques et déterminés ne cherchent-ils pas la paix et l’unité ? Pour schématiser, divisons-les en deux ensembles que nous nommerons les « déterministres » et les « indéterministres », composés chacun de deux pôles opposés reliés par un segment. Chacun de ses « extrêmes » étant en interaction constante avec les autres,  visualisez les deux dipôles perpendiculaires et partageant le même axe, le tout formant un cercle muni d’un repère orthonormé dont les 4 extrémités  définiront les mouvements en fonction des charges :

  • Ensemble des « déterministres » : à un extrême les uns parlent de E=mc2 l’énergie totale est égale à la masse totale multipliée par la vitesse de la lumière élevée au carré (la réunion) et à l’autre extrême, les autres lisent et relisent le livre inlassablement, on caresse l’espoir du Graal, on tente de dissiper le complexe « Jésus », on cherche encore le Dieu pour tous, quitte à l’imposer… Encore la réunion ! Où est donc le problème de ces « déterministres » ?
  • Problème que l’on retrouve aussi dans le second ensemble les « indéterministres », dont la détermination ne jalouse pas celle des premiers : les philosophes matérialistes, appréciés des travailleurs, des « souches » les plus terre à terre, souvent blasées, qui vous diront que la religion, comme la science, « sont respectivement de l’opium et du foin pour les bœufs, qui se font arnaquer au passage ! »… En règle générale, ils vous affirmeront qu’il n’y a rien d’autre à comprendre de la vie et qu’il faut bien nourrir la famille et remporter la lutte des classes. A l’opposé, les plus rêveurs, vous assureront quant à eux qu’il y a du bon à prendre partout, mais qu’il est inutile de trop réfléchir puisqu’on voit bien que cela ne mène à rien d’autre qu’à la guerre des idéologies ! Ces derniers pratiquent en général un opportunisme bourgeois ou un positivisme populaire très protecteur qui dérive parfois vers une certaine forme de sophisme. Mais une fois encore, tout comme les religieux et les scientifiques s’accordent au moins sur le déterminisme et la notion du contrôle, les pierres brutes et les rêveurs s’accordent sur l’indéterminable et la nécessité de vivre sans s’encombrer des axiomes et des dogmes définis par les premiers !

Et tous cherchent vainement l’unité, tandis que le monde ne cesse de s’effriter ! Je me répète donc (je réitère donc ma question) : mais où est le problème ?

Je me permets d’affirmer que chacun de ces 4 caractères est polarisé, s’entraînant (glissant, se laissant embarquer) dans une ronde belliqueuse (charges opposées) ou indifférentes (neutres) et se faisant face deux à deux sur des balances nuancées partageant le même axe (l’ensemble des « déterministres » et celui des « indéterministres »).  Autrement dit, ils sont tous déterminés, ne serait-ce que face aux autres, bien que la moitié d’entre eux avancent le contraire. Il se trouve aussi que depuis l’imprimerie, l’industrialisation et les infinies promesses du système d’argent dette, chacun a sa presse, son univers, son style de décoration et ses programmes préférés.  Un autre point est important : les quatre personnalités que nous étudions s’affrontent depuis plusieurs millénaires de la plus cruelle façon qui soit. Ceux qui sont pour Dieu le Père, ceux qui vont prouver la même chose et le contraire par eux-mêmes, ceux qui ne jurent que par le pain et la soupe et ceux qui aimeraient qu’on les laisse rêver dans ce monde illusoire.  Tous aveuglés par leur altérité réciproque, au point où même les esprits conciliants, capables de puiser dans les quatre voies, se retrouvent de suite soupçonnés de déviance par les pôles déterminés. Prendre le risque de se retrouver seul pour entrer dans ce trou noir qu’est l’axe des balances ne tente pas beaucoup de monde. Un voyage sans certitude de retour, au-delà des garde-fous, vers le royaume stellaire des créatures qui gardent les symboles perdus et l’âme de ce qui a été volé.   

La science tente d’apporter une réponse conciliante envers les croyants : tout est déterminé par Dieu (pour les uns) et par les lois universelles (pour les autres) et ce qui reste d’indéterminable, l’est parce que nous sommes de pauvres pécheurs (pour les uns) et des repères incomplets (pour les autres). Une réponse apparemment suffisante pour combler, de temps à autre, le vide des 35 heures. Mais le monde s’effrite toujours… Et les « indéterministres » n’ont pas dit  leur dernier mot ! « Ce n’est pas ça qui va ramener le pain dans les assiettes » clament les plus déterminés d’entre eux ! Quant aux rêveurs, aux caresseurs d’étoiles, aux ramasseurs de chagrins, aux androgynes les plus sensibles, aux mémères à chats, aux amateurs de gnose, d’alchimie, de sentiers de traverse (…) ou de New-Age : pour eux il suffit de lâcher prise, de penser très fort à son but et de se projeter pour qu’apparaisse, non pas la vérité, mais au moins la réalisation du but ! Et cela sans avoir à se casser la tête avec la complexité ni suivre les axiomes des uns ou les dogmes des autres ! Or, depuis le retour en force du fameux New-Age et de récentes découvertes scientifiques sur le principe d’incertitude, ainsi que (de même) sur le pouvoir réel de la méditation et de la projection mentale, le clan des rêveurs et des amateurs d’ésotérisme a le vent en poupe ! Mais force est de constater que chacun défend sa vérité ou son vote blanc face aux autres, que le graal ne revient pas, que la ronde reste antagoniste et folle, que le monde s’effrite toujours, de plus en plus vite… Le temps nous échappe, notre unité se dissout, la masse gronde, grandit et irradie dangereusement.

Les quatre pôles ou écoles mentionnées ici forment un repère pertinent, mais un simple schéma ne justifie pas une telle débâcle ! Il s’agit ici de prendre conscience des appels d’Osiris et de Seth qui font balancer nos personnalités respectives ! Et de ne pas négliger les nombreux caractères humains  gravitant autour de nos 4 pôles conditionnés par les écoles « déterministériels » : l’optimisme, le pessimisme, la sociabilité, l’introversion, la timidité, la susceptibilité, l’ordre, l’éparpillement etc, etc… Voilà qui complique encore la situation. Et je n’ai pas encore évoqué le drame shakespearien qui se manifeste au cœur de toutes ces interactions :

La guerre des sexes et le cruel destin de Roméo, de Juliette et du fidèle Mercutio

Alors que faire ?

Prendre un miroir ! Un naturel, de préférence, éclairé par l’aube, l’aurore ou le reflet de la lune.

Ou faire apparaître le miroir en votre âme et conscience et réaliser que tous ces caractères et ces personnalités sont en chacun de nous ! Certains sommeillent, d’autres s’affrontent en permanence. Beaucoup d’entre nous le ressentent, le comprennent parfois, comme ces bons sentiments que l’on oublie 6 jours sur 7 ! Ici la tempérance, l’équilibre et la méditation peuvent aider.

En lisant cela, le plus réactionnaire qui est en nous dira « je n’ai rien du tout de ces autres pôles ou alors, vu le peu de cas que je me fais de leur école, ce côté-là roupille totalement en moi ! ». Mais au fond chacun de nous aimerait qu’une force divine vienne l’aider ou tout au moins, qu’une douce voie vienne de nouveau murmurer à ses oreilles. Au fond, chacun souhaiterait que la raison puisse retrouver son cœur et s’écrier de nouveau : je pense donc je suis car j’ai autant conscience de mon libre-arbitre que de la logique déterminée qui m’entoure et me constitue. Au fond, chacun aimerait que le pain et la soupe reviennent à un goût et un prix abordables, sans avoir à prier Dieu ou à questionner les chiffres ! Au fond, chacun d’entre nous aimerait retrouver ses rêves et son esprit créatif. Suis-je en train de dire qu’il y’a des « déterministres », croyant en Dieu et/ou en les chiffres, en chacun de nous ? Ainsi que des « indéterministres » tout aussi déterminés, mais aptes à tolérer les premiers pourvu qu’il y ait du pain, des arts et de la distraction ? Avec des caractères et un côté androgyne pour tous, qui sommeille ou qui s’exprime ? OUI, c’est bien ce que j’affirme ici.

Voyons cette rotation de réflexes ataviques et conditionnables (les 4 pôles opposés), autour de laquelle gravitent d’autres caractères et la différenciation sexuelle, comme un anneau de pouvoir dont le principe repose sur la compétition et non la complémentarité. Concevons ici que chacun d’entre nous hérite de cet anneau dès la naissance, qu’aucun d’entre nous n’en a conscience et que ce que nous faisons de cet anneau est conditionné par l’esprit de famille et par le système global auquel nous avons confié nos vies. Voilà qui paraît shakespearien ! Mais il y a quelque chose d’infiniment plus grand, caché dans le plus petit… Chacun de nous porte consciemment ou inconsciemment l’anneau en lui, comme autant de trous noirs, or chacun d’entre nous est différent des autres, constitué d’un mélange de poussière d’étoiles qui lui est propre et toujours intriqué au mouvement des astres constituant notre système solaire et au-delà. Personne ne peut être réduit à une roue schématique à 4 pôles autour desquels gravitent des choses ! Si les 12 signes du zodiaque constituent un repère symbolique pertinent pour faire apparaitre la carte multidimensionnelle reliant les mouvements du  plus petit, du moi et du plus grand, nous pouvons dire que chacun d’entre nous hérite d’une personnalité liée à la structure et au mouvement des étoiles (espace-temps), dans un univers déterminé dont la générosité ne se limite pas au déterminisme. Nous parlons ici d’unité (personnalité), de diversité (multiple), de susceptibilité (susceptible) et d’affinité (se rencontrer)... Entre autres. Lorsqu’on répare et réunit le « tout », les « déterministres » deviennent le signe du 100% Homme et 100% Dieu et les « indéterministres », le signe du 100% intestins et 100% lumière, ce qui revient au même ! Le créateur, la créature et la dualité du lien qui les unit, un accord qui résonne dans le temps, une force invincible que connaissent tous les enfants, une symphonie qui hante les rêves de l’artiste. Tout est en mouvement ! Tout est immobile.

C’est après l’enfance, dès l’éteignoir, que l’anneau en nous est appelé par son maître : l’orgueil et la vanité des nations.      

Un anneau pour les gouverner tous ? Was ist das ?

Cette folle ronde c’est la matérialisation de l’anneau des Nibelungen, l’anneau unique forgé dans l’univers de Tolkien, mais aussi la base des liens qui unissent Dumbledore, Voldemort, Harry et le prince de sang-mêlé, dans l’œuvre de JK Rolling. L’anneau décuple et favorise les talents de tous au détriment de l’unité, de l’androgynéité et de (l’Amour violé ?).

Pour rétablir le SPIN : COMprendre que l’autre est le reflet de soi, que l’opposé peut devenir l’inverse, que chacun peut faire demi-tour en utilisant le courant alternatif, et que chacun d’entre nous pourrait se déplacer sur chacune des balances de l’extérieur vers le centre et du centre vers l’extérieur, à l’unisson, régulés en une même inspiration et un même souffle.

Qui a forgé l’anneau ? L’Orgueil bien entendu. La somme de NOUS. Le Léviathan des nations selon Hobbes. Alors ? Dieu lui-même ? Répondons à cela plus tard et revenons à nos moutons, ceux qui sont dirigés par ceux qui possèdent les anneaux qui sont eux-mêmes gouvernés par l’unique :

Quelles infamies sont cachées derrière l’opposition des 4 pôles et caractères en mouvement ?

Fut un temps, les déterminés travaillant pour Dieu l’unique avaient pour coutume de faire brûler les déterminés qui affirmaient des hérésies (du moins ce qu’ils ont qualifié ainsi)! Il faut dire qu’avant cela, les païens grands amateurs de philosophies et de sciences persécutaient les monothéistes. Et qu’après cela, la république renaît de ses cendres dans la terreur… un sanglant retour de bâton pour la hiérarchie verticale. Les « déterministres » ont tendance à mener la danse tout en se déchirant l’un, l’autre.

Fut un temps, les « indéterministres » matérialistes étaient de bon artisans, travailleurs ou représentants du peuple. Ils ont longtemps souffert des guerres, des schismes et des changements de régime. Tout comme les rêveurs, les artistes, les saltimbanques, les ramasseurs de chagrin, les mystiques et autres créatures étranges. À la révolution, tout s’est violemment inversé. Aux côtés des intellectuels déterminés pour la hiérarchie horizontale, ils ont décapité, tué, tué encore, tué toujours… Plus pour le Seigneur désormais, mais contre les fanatiques persistants ou tout simplement les uns contre les autres, entre nouveaux conquérants du monde moderne : la guerre horizontale du capitalisme libéral contre le socialisme collectiviste, la guerre de position du national ou du global. Aujourd’hui, l’électorat des « indéterministres » a été bichonné au-delà de toute limite consommable, tout en laissant aux conservateurs leur chasse gardée. Le réductionnisme et la cosmologie ont le vent en poupe, tout comme l’art et le spirituel qui se commercialisent ! Mais la roue reste de feu, elle se consume de plus en plus vite et les mirages ne tiennent plus.

Hormis de nouvelles voix qui sortent enfin de l’ombre, la science vient de prouver qu’elle ne dira rien de plus que L’Eglise ! Par défaut, elle nous promet la conquête de l’espace pour quitter notre poubelle. Les dirigeants matérialistes nous ont rendu esclaves de nous-mêmes à crédit, l’Eglise se fait une forteresse comme les autres, l’art s’embourgeoise… Et la haine murmure de nouveau à nos portes.

Une vieille histoire sanglante que celle de l’anneau !

Nous avons vu dans une première étape qu’il était important de réaliser que l’affrontement de tous, par stéréotypes, est le reflet des diverses personnalités et  caractères qui sommeillent ou s’agitent en nous. Autrement dit : nous sommes chacun une partie du Léviathan qui s’abat sur nous et chacun d’entre nous est son reflet. La première étape nous dit : faites apparaître le miroir et regardez dedans.  Ensuite, nous avons constaté à quel point les 4 personnalités cardinales étudiées avaient été meurtries par notre histoire commune et contrainte par l’anneau de pouvoir de faire des choses innommables et des pactes obscurs. Depuis quand ? Depuis que le chef et le sorcier déterminés ont trouvé les chiffres et pactisés, en fourvoyant les signes et les symboles pour le contrôle du vagin et de la population ! Et plus récemment, depuis que la grande révolution les a poussés à extirper de la terre et de la mer toute l’énergie nécessaire pour compenser le malheur, les besoins et les plus folles envies des travailleurs planqués sous les jupons des « indéterministres ». La seconde étape nous conduit donc à l’introspection et à l’écoute de l’autre jusqu’au repentir et au pardon. Ensuite, viendra le temps d’affronter le Léviathan, par le truchement du miroir des miroirs.

Mais il y’a ici une question que nous n’avons pas traitée : le mérite !

 Quelle est la hauteur du préjudice ?

Les serrures ont été violées, le tabernacle, le vagin, le côté androgyne ont été salis, meurtris. Les chiffres, l’or et le pouvoir ont été trouvé, mais le cœur a été trahi, volé et dispersé. Les signes et les symboles ont été fourvoyés, bien que maintenus tant bien que mal (bien qu’identifiables) dans nos actes inconscients et grâce aux dons et aux sacrifices des alchimistes de tous temps. Le préjudice est un puits sans fond, dans lequel il faut oser plonger ! Sans assurance de retour pour ceux qui souhaitent y trouver la pierre et le secret de l’anneau ! Une fois ramenés à la surface, le poids de ces objets que l’on ne peut que COMprendre et non porter, est difficile à admettre pour ceux qui n’ont pas fait la plongée extraordinaire (le saut de la foi, non sans raison). L’observateur résiste… Il ne voit que des symboles invisibles et ressent le poids de la complexité dans laquelle nous nous sommes englués depuis quelques millénaires ! Il va falloir unifier les quatre voies, accepter la sémantique, le réductionnisme, les lois sans parti pris de l’estomac et de l’environnement (…) et le retour des grands rêveurs ! Mais il s’agit aussi de remettre les signes et les symboles à leur place et de réunifier les langages de chacune des voies. Autant dire que la formule magique n’est pas simple ! Elle se mérite. Elle apparaîtra comme simple, lorsqu’elle sera méritée et c’est ici que la pierre se manifestera, ainsi que l’anneau d’union. C’est aussi ici que se réconcilieront ceux qui ont le livre et ceux qui ne l’ont pas.

Quelle est la hauteur du préjudice ? Est-ce que la pierre et le secret de l’anneau se méritent ?

Je vous renvoie ici au début de ce texte et à l’histoire du grand-père, du petit fils et de l’âne. Chacun d’entre nous, y compris moi-même, trouvera les écrits suivant trop compliqués, trop sémantiques, trop chiffrés, trop métaphysiques, trop lourianiques, trop théologiques, trop mélangés de tout et de rien… Avec une synthèse explicite mais très contraignante pour les illusions de chacun ! Mais une question s’impose encore : voudrait-on qu’un moyen de concilier les cultures et les croyances, les maîtres et les esclaves, les hommes, les femmes et les androgynes… soit facile à exprimer et à comprendre ? Voudrait-on que la réunion des voies, la conscientisation des symboles et la réparation des préjudices soient réduites à une formule simplette ou une projection de bonne conscience ? Voudrait-on que la formule s’adapte à notre langage préféré ? Qu’elle soit entièrement déterminée, entièrement abstraite ou mieux encore, qu’elle n’existe pas et qu’on nous foute la paix jusqu’à l’extinction finale !

Dieu nous sauvera (Révélation) ? Ou tout est foutu (Apocalypse) ? Voilà déjà un bon début de méditation !

Il est temps d’inspirer et de souffler de nouveau à l’unisson, temps de retrouver notre mémoire et nos symboles perdus, temps de se repentir et de réparer le sacré qui a été violé !  Temps de marcher ensemble vers le Graal, sans forcer la serrure, sans vouloir le posséder, sans s’octroyer le droit de vider la coupe au nom d’une illégitime nécessité et sans attendre qu’il vienne à nous ! Trop longtemps, nous avons construit l’illusion de nouveaux départs sur une terre meurtrie par l’ingénierie et les armes, une terre imbibée de souffrance, maculée en profondeur par le sang des coupables et des innocents. Trop longtemps nous avons inauguré le futur en enfermant la vérité dans le cachot maudit de Cassandre, occultant peu à peu les blessures profondes d’une enfance mouvementée (les guerres du feu, du vagin et du territoire) et surtout les décombres d’une adolescence ingrate, hypocrite et suicidaire. Réassembler le tout ne sera pas facile, mais reste à la portée de chacun, c’est avant tout une question de mérite, d’effort et de lâcher-prise.

Voilà donc ce que je vous propose ici : une plongée assistée dans les méandres du temps et de l’espace, une relecture des symboles et des histoires bibliques, un lien sémantique entre les chiffres, les lettres et les mots, une évocation du travail caché des alchimistes à travers les âges… Et une comparaison systématique de mes décryptages avec une analyse psychologique de notre évolution.

Comme je l’ai stipulé dans tout cet épilogue, la lecture ne sera pas aisée. L’écriture fut bien pire encore. Avant de plier un esprit du temps à se coucher sur le papier, il faut accepter de voir, d’être vu, et emporté par le siphon qu’il vous propose. Les spectres libérés par mes recherches ont été impitoyables, les constats souvent insoutenables, l’aventure ingrate et l’écriture infiniment pénible.

La vérité est un mot galvaudé et un blasphème qu’on a l’habitude d’entendre de la bouche des fanatiques ou des dictateurs !  Elle fait peur ! Mais au fond, elle n’est qu’Amour. Et pour mériter cet Amour, il est temps que chacun affronte les préjudices commis et prenne conscience des mécanismes de la souffrance. Voilà ce qui fait peur !

Chers lecteurs, la solution à l’énigme « mais qui a forgé l’anneau ? » implique forcément la dualité ! Je vous invite à cette méditation, pour ma part, je publierai bientôt un ouvrage en deux tomes, vulgarisant toutes les réponses extraordinaires et les nouvelles que m’ont donné les chiffres, les mathématiques, les lettres, les langues anciennes, l’Histoire, l’archéologie.

Indice :

Hermétisme = pouvoir du tyran menteur ou sagesse de l’hypocrite.

Autre indice :

Arithmétique + Sémantique = Arithmantique !

Et contrairement aux idées reçues par les vaches, notamment pour cause d’hermétisme réciproque : Arithmancie Divination

Un anneau pour les gouverner tous ? Was ist das ?
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