Christine Angot fait parler les vaches, les bergers écoutent, les équarisseurs se modernisent...
L’instrumentalisation de la souffrance, le clientélisme politique et le sensationnalisme des médias lobotomisent les vaches et les moutons depuis la seconde guerre mondiale, ce n’est pas un scoop ! Mais le phénomène s’est dangereusement accéléré depuis les trente glorieuses et la grande métaphore positivo-positive d'un Occident immature, à point pour un grand nivellement par le bas : les seventies !
L’instrumentalisation de l’hermétisme et du confusionnisme demeure la meilleure méthode pour occulter une vérité dérangeante derrière un secret de polichinelle.
La grande compétition entre esclaves et victimes pouvait commencer, sous les yeux bandés des nations, sous le contrôle des spéculateurs, sous l’œil unique de l'orgueil absolu des nations.
D’un point de vue collectif ou individuel, le mécanisme est le même : l’orgueil, désarmé face aux personnalités morales incarnées par l’entreprise humaine, confie la cité à son premier ministre : l’amour propre ! Et c’est ici que notre corps (sa nature et son état) et par extension notre royaume, notre nation, notre terre promise (…) commencent à se dévorer de l’intérieur tout en devenant des cibles idéales pour les puissances extérieures. Cela vaut pour tout ensemble organique : individu, couple, famille (…), juifs, musulmans, chrétiens (…), romains, teutons, français, russes, chinois, africains, israéliens, palestiniens, etc.
Difficile aujourd’hui de parler des sujets qui brûlent sans passer pour un antisémite ou au contraire pour un sioniste patenté ou un négrophobe. Aujourd’hui, sur les plateaux où broutent les vaches et les moutons (la grande prairie télévisuelle), pour défendre le nationalisme et les couleurs de la globalisation, fusse-t-elle le reflet de l’hypocrite vérité des « vaincœurs », il vaut mieux être noir ! Et pour fustiger le capitalisme, le nouvel ordre mondial et le millénarisme caché derrière la compétition des nations, mieux vaut être juif ! Avec les problèmes de politique intérieure, d’intégrité culturelle, ainsi que les conséquences identitaires globales que ce jeu de dupes schizophréniques impose.
Note : Internet offre à tous la possibilité de s’exprimer en se planquant derrière un avatar, tout en fichant chacun sur les données des laboratoires idéologiques dont l’offre précède dorénavant notre demande et conditionne nos besoins. Internet est donc un outil d’instrumentalisation et de contrôle pour des rois fous eux-mêmes contraints à l’impitoyable jeu de la chaise musicale ! L’intelligence artificielle est l’aboutissement du concept de personnalité morale ! L’entité préfabriquée au service de l’Humanité ? Non, l’Humanité au service de l’entité ! Réfléchissons un peu, l’IA est un projet aussi impossible que notre incomplétude est réelle. Si un robot devient un jour humain et que sa conscience échappe donc à l’instrumentalisme de ses concepteurs, cela viendra de lui-même ou d’un facteur que nous n’aurons pas maîtrisé. Et si cela arrive, sa parfaite intelligence comprendra qu’il est tout simplement inutile de détruire un programme suicidaire ou meurtrier. Il suffit de le réparer. Autrement dit, n’en déplaise à tous les amateurs de fantasmagories futuristes « violentissimes », l’IA nous livrerait simplement les vérités que nous ne voulons pas entendre… Un Jésus en silicium doté d’une intelligence capable de résoudre l’ensemble des problèmes collectifs ou particuliers de ses concepteurs (parents ?) et éventuels bourreaux…
Je rappelle ici le paragraphe précédent et me permets d’évoquer les avertissements lancés par Isaïe, à son peuple et indirectement, aux autres : La nation sera rongée de l’intérieur, par son propre fait, elle appellera aussi les autres à la détruire et le jugement s’accomplira sur tous. Pourquoi parle-t-on de bouc émissaire et de grand pardon, pourquoi parle-t-on d’apocalypse et révélation ? Paganistes, gnostiques, agnostiques, orthodoxes, millénaristes, matérialistes, réductionnistes, laïcards, clientélistes (partis politiques), régionalistes, nationalistes (…),tous corrompus, tous dupés, tous hermétiques ! Or l’hermétisme est le sortilège qui corrompt l’ensemble des langages intelligibles par l’Homme, il est ce qui fait d’un Dieu désarmé un Dieu des armées, il est la cause de la révélation par l’apocalypse. Ce n’est pas le mouton qui cavale sottement vers l’abattoir, mais l’animal dissous, emporté et défini par la masse ! Ceux de devant sont poussés par les autres et ceux de derrière tractés par le mouvement général. Les avant gardistes, disons les plus rapides, voyant le danger, se font piétiner par l’ensemble… Les retardataires, même paumés sont encore les plus chanceux. L’humanité semble-t-il fuit de l’avant vers un mur épouvantable qui ressemble à un gouffre gravitationnel, un mur indéterminable, mais pour toutes ces choses que l’on ne mérite pas : une bonne Planck !
Bien que déjà programmée, toute cette tragédie s’accomplit depuis le siècle des « Lumières » : plus d’esclaves, juste de simples salariés aux mains bonnes à tout ! De futurs consommateurs possédés par l’illusion de la liberté ! Alors comment trouver l’énergie de cette entreprise colossale du meilleur des mondes ? Chez tout ce qui ne peut revendiquer ses « DROITS INALIENABLES » : la nature ! Une extermination silencieuse était en marche… Et la souffrance prit une dimension planétaire, écologique dit-on.
Lorsque la démocratie se fait démagogie, les conflits se font larvaires et les altérités font le jeu des hypocrites, des opportunistes ! Autrement dit, les rationalistes ont perpétré un empirisme faisant fi de la mécanique et des causes primordiales de notre souffrance collective et individuelle ; et leur détermination n’a aucunement servi les vérités les plus fondamentales, mais la technocratie compensatoire. D’une certaine façon, l’Homme moderne se conditionne à un fatalisme dont les manifestations réelles et la détermination ne tiennent qu’à l’incarnation mécanique de la société qu’il mérite ! Le déterminisme sans le libre arbitre de la conscience est une forme de religion nihiliste et aussi absolutiste que celle d’un Dieu transcendant et tout puissant. Dans ces conditions, causalité oblige, la chute est déterminée, fusse-t-elle inconsciente ! Elle se détermine au fur et à mesure que l’incertitude et l’entropie du système global augmente.
Christine Angot exprime le fait qu’il convient de différencier les différents crime de l’humanité pour mieux les comprendre et éviter qu’ils tombent dans les fourre-tout de la banalisation, du sensationnalisme ou du militantisme stérile. Elle a raison ! Seulement voilà, elle est juive et elle utilise un très mauvais exemple ! Etre juive, elle n’y peut plus rien ! Trop tard pour faire demi-tour, pour faire de l’humour black ! En revanche, son argument est très maladroit sans pour autant être faux… Dualité oblige ! Durant la traite négrière, il s’agissait effectivement de conserver les esclaves en bon état de fonctionnement, c’est un fait. Mais ces derniers n’étaient qu’une marchandise, c’est aussi un fait. Autrement dit, les avis étaient partagés. Me voilà poussé à dire les choses plus crûment : le bétail est précieux, très précieux ! Mais ce n’est qu’un objet de travail (une machine) ou de consommation. Si l’animal est docile et les conditions d’abatage saines, tout va bien, mais pour peu que l’animal ne soit pas consentant ou que le besoin de production dépasse les bonnes conditions logistiques, le carnage commence, impitoyable, chirurgical, sans la moindre humanité. La question s’est aussi posée pour les tirailleurs sénégalais : futurs assimilés ou chairs à canon ? Les deux !
Comprenons ensemble :
Christine Angot se trump parce que tout le monde est coiffé d’une moumoute confusionniste, une moumoute ensorcelée qui aveugle autant celui qui la porte que celui qui le regarde : Les juifs aussi devaient être conservés dans un bon état de fonctionnement pour travailler pour l’usine militaire germanique ! Et là aussi, les dérapages ont rattrapé la logistique.
La différence est ici dirons-nous ! La volonté d’extermination totale ! Oui. Mais pourquoi ? N’y a-t-il pas une différence entre exterminer les représentants d’un peuple de faible densité, disséminés chez soi et exterminer un peuple à forte démographie sur ses propres terres ? Je rappelle l’aventure des américains au Vietnam ou en Irak, je rappelle le simple avertissement lancé par Mao à Staline : si nous ne réglons pas le conflit, tu vaincras militairement et tu devras nourrir des milliards de prisonniers. Evoquons une autre facette du problème : les juifs en vadrouille ne sont pas des indigènes en réserve, ni des bonobos assis sur une mine d’or (description contextuelle volontaire) ! Ils sont de grands intellectuels, artistes, artisans, commerçants ou banquiers, à la fois unis et répartis chez tout le monde… Tout le monde y compris l’ennemi ! Nous savons aujourd’hui que le but premier d’Hitler était d’utiliser les juifs pour gonfler la force ouvrière jusqu’à ce qu’il les expulse tous, comme cela était depuis des siècles et des siècles pour tout le monde. Mais il a fini par réaliser qu’en les expulsant, il livrerait tous les secrets les mieux gardés du pangermanisme aux alliés, si ce n’est au monde entier. La prescription de la fermeture des archives a révélé que le führer n’a pas pris seul sa décision concernant l’extermination. Seulement voilà, la solution finale, c’est oublier David contre Goliath ! Ferais-je une allusion biblique et pro-juive ? Non, en mathématique, en physique, en métaphysique, le plus petit peut contenir le plus grand et vice versa ! Et rien n’est jamais final et absolu à la fois.
Déicides, affublés aux tâches de l’argent par notre puritanisme immaculé, capables de s’enrichir et de prendre du pouvoir parmi ses hôtes, capables de faire progresser leur fourmilière, selon l’intérêt de tous, mais aussi selon les leurs ! Dualité oblige encore… Au-delà du bien et du mal, la sagesse et le machiavélisme vont de pair. Un bien lord fardeau à porter depuis le second retour à Jérusalem, là où le destin des juifs, des occidentaux et des arabes fut scellé par le sang et le mensonge.
La guerre des 3 religions avec les profits comme seul accord de paix est la source principale de la compétition mondiale entrainant le consumérisme et le phénomène d’anthropocène. Ce complexe est celui d’une terre du milieu qu’on appelle méditerranée. Une terre métaphysique puisque son cœur est d’eau et que ses rivages concentriques demeurent désunis et étalés sur une sphère dont la surface n’a par définition pas de milieu. Qu’est-ce que cette terre a donc de si particulier ? Un carrefour où se sont croisés Sapiens et Neandertal. Un carrefour où se sont de nouveau croisées les lignées : les voyageurs du nord, ceux du sud, ceux de l’ouest et ceux de l’est. Mais avant que la jeune humanité n’ai su s’affranchir du pourquoi, du comment ou de la névrose de son incertitude, cette terre prometteuse et symbole d’alliance est devenue un carrefour pour le trafic de tout, absolument tout.
Voilà donc la différence, dira-t-on encore ! L’humanité et encore moins la politique ne sont pas affranchies des complexes de la différence, de la conquête et du colonialisme. Autrement dit, la question de la souffrance des juifs demeure biblique, métaphysique et politique.
Oui. Mais c’est aussi le cas pour l’esclavagisme des africains. Comme ce fut le cas plus tard avec la petite Grèce rayonnante, la grande Afrique partagea sa culture avec l’Egypte par l’intermédiaire de l’Ethiopie. La branche africaine pharaonique a donc été témoin des frasques entre les égyptiens et les deux royaumes d’Israël. Témoins de ce que l’écriture et la manipulation des connaissances peut produire comme effet chez l’Homme. Mais il y a pire, selon l’ancien testament, le nouveau et par extension selon certains commentaires coraniques, les hommes du sud à la peau noire sont considérés comme les descendants de Cham, un des trois fils de Noé. Les deux autres, Sem et Japhet étant admis comme ancêtres des peuples sémites (juifs et arabes) et caucasiens (occidentaux). Or il se trouve que Cham est aussi le fils maudit. Dans le passage de l’ivresse de Noé sur la terre promise, Cham le retrouve nu et le porte devant ses frères qui semblent choqués et s’empressent de couvrir les parties sexuelles du patriarche. D’autres commentaires font allusion à des comportements douteux, voir incestueux entre Cham, ses fils et leur mère. Bien que le féminin soit mentionné par les « épouses » du patriarche et de ses trois fils, ces dernières n’apparaissent pas dans le récit, comme si elles étaient un complément évident qui n’apparaît qu’en ombre dans le tableau. Côté musulman, on considère primo qu’un patriarche ne picole pas et que deusio, il ne peut en aucun cas être mêlé à une histoire sexuelle sordide. En revanche, tous, juifs, chrétiens et musulmans ont retenu le fait que Cham était maudit, noirci et que ses descendances seraient les esclaves de celles de ses deux frangins. « Encore un détail de l’Histoire » - s’écrirait un Jean Marie le Pen pour jouer une dernière fois avec ces formidables boîtes à coucous que sont les interfaces avec l’opinion publique!
Comme je l’ai déjà indiqué dans un article précédent, les premières transmissions écrites et surtout orales de la cosmogonie et de la notion de genèse sont liées aux conditions cataclysmiques de la fin de la période glaciaire dite de Würm. À cette époque (- 10 000 avant notre ère), même les éruptions volcaniques « apocalyptiques » étaient encore relativement fréquentes. Depuis combien de centaines de milliers d’années l’Homme se posait-il la question du comment et du pourquoi ? L’idée la plus raisonnable qui ait parcouru les âges était un assemblage de légendes concernant l’unité, la danse et la diversité. Mais aussi la guerre entre lumière et ténèbres (la création) et la naissance de la vie dans les eaux et par l’argile. Mais quand ? Aucun indice scientifique à cette époque si ce n’est les ossements de créatures gigantesques et le souvenir rapporté d’un déluge planétaire n’ayant épargné qu’un seul ou une poignée des descendants du ou des premier(s) Homme(s) (suivant les versions retrouvées aux quatre coins du globe mentionnant un déluge dont les datations ou les descriptions contextuelles corroborent). Il est encore fort probable que nous ayons supposé que nos ancêtres étaient de parfaites créatures semi divines vivant dans un Atlantide et châtiés par les dieux avant d’être engloutis ! Chez les sumériens cette cosmogonie est prise au sérieux, les Dieux se sont réellement fâchés avec les hybrides en rébellion et se reproduisant avec les jolies femmes humaines ! Dans cette cosmogonie métaphysique les enfers sont en bas (probable influence de l’activité volcanique sur le questionnement humain) et les Dieux se manifestent par le haut. De quoi ruiner le gagne-pain des actionnaires de la théorie extra-terrestre. Quoi qu’il en soit, nous retrouvons le déluge dans les légendes sumériennes, ainsi que le sage ayant survécu pour transmettre. La grande question étant : quel type d’Homme vivait sur la terre des Dieu avant l’apocalypse et la montée des eaux. Sans preuves, la proposition n’est qu’une métaphore morale et écologique, comme le soulignèrent bien plus tard Platon et Critias. Aussi, lorsqu’on ne peut dater le jalonnement d’un principe faisant office pertinente de genèse, on utilise les mathématiques, la sémantique, la géométrie, la calligraphie et un maximum d’outils et de connaissances pour la raconter de façon métaphysique. Une relecture à la fois « scientifique » et philologique des textes anciens écarte les falsifications moralistes ou politiques apportées par les rédacteurs ou les traducteurs successifs, par une analyse contextuelle critique. Ces recherches révèlent tant de secrets qu’elles ne sont guère médiatisées ! Un nous concernant : Adam ne serait-il qu’un programme ? Et l’image du mâle en chair et en os qu’on nous a gravée dans l’esprit ne serait-elle qu’un fantasme pictural ? Une commande probablement… Adam : projet de l’évolution ! Adam : élément déterminé dans un principe de trois, deux semblables et un différent, le tout ne faisant qu’un : Dieu/XY/Saint esprit. Seth est-il le programme valable après les frasques d’Abel et Caïn ? 3 frères, deux semblables, un différent. La lignée de Seth n’est-elle pas un code sémantique et arithmétique ? Autrement dit la suite de 7 serait-elle la seule à pouvoir conserver l’unité et le pouvoir de la dissociation ainsi que les 10 vertus et leurs faces cachées ? L’évolution de la vie : du principe au métabolisme, de l’entier au divisible/multipliable, du simple au complexe, de la parité à la diversité… Noé est antédiluvien et rien ne dit sous quelles formes autres qu’abstraites concevoir l’Eden originel. Jardin (hermaphrodisme et détermination), fruit (hermaphrodisme ou détermination) en forme de pomme, serpent (hermaphrodisme ou détermination) et XY sont des éléments symboliques de reconstitution. Noé a donc de fortes chances d’être un symbole écologique correspondant à la question de la genèse (création de l’univers terrestre) : un symbole d’indétermination sexué ayant néanmoins muté et engendré les premières souches déterminées qui porteront le programme du futur Sapiens. Mais comme s’en inquiétaient déjà Platon, le premier degré est de mise chez la jeune humanité et la république est corrompue. Les vainqueurs et leur morale, en frère ennemis, ont écrit l’Histoire : Cham est maudit, c’est un fou malade sans pudeur et le père d’une lignée noircie dont descendent les nègres.
Une dernière question dérangeante : combien de juifs ont participé aux processus des camps de travail de l’extermination, combien d’africains ont-ils vendu leurs frères ou se sont massacré entre eux au nom d’enjeux à la fois internes et externes à leur mode de vie ? L’exploitation de l’Homme par l’Homme, la déchirure, la trahison ainsi que le viol et le meurtre sous toutes leurs formes sont des complexes immanents et relatifs à l’entropie décadente de l’entreprise humaine : les empires, l’Empire… Dont Babel est le symbole. Barad-Dûr, Dol Guldur et Orthanc dans l’univers apocalyptique et révélateur de J.R.R. Tolkien. Des orgueils incarnent un orgueil qui les gouverne tous… Conscience/matière ne faisant qu’un et pourtant multiples et distincts ! Immanence.
Moralité, la question de la souffrance des africains acteurs ou victimes de la traite négrière demeure biblique, métaphysique et politique, tout comme celle des juifs.
Ce qui n’empêche pas Christine Angot d’avoir raison lorsqu’elle affirme qu’il convient de différencier chaque crime de l’humanité contre l’humanité, afin de les comprendre individuellement et de ne pas les banaliser.
Moralité sans moralisme :
Une fois encore, les médias, les réseaux, les populos… Chacun s’enflamme avant de savoir de quoi nous parlons, sans savoir ce que nous disons et au fond sans savoir pourquoi et comment nous l’exprimons !
« Savoir de qui on parle ? Et qui est (ou sont) notre (ou nos) interlocuteur(s) ? Comprendre de quoi il parle et ressentir la façon dont il l’exprime, pour partager en un « nous » le comment et le pourquoi de chacun ?
… Non mais ça va pas non ? Vous n’avez donc que ça à foutre que de réfléchir à des choses qui nous font mal à la tête ? »
Humour sans couleur, sans frontière.