Hermès time'S over... 0'S back to reset the DOS/SOD... What the fuck???
Voici qui pourrait réconcilier les français et les Belges sur leurs origines communes et donc sur la question de la blague qui fait le con et du con qui fait la blague :
La franchise est la qualité de celui qui ne dissimule pas sa pensée et qui révèle donc sa raison, sa volonté et ses sentiments, qu’ils soient saints ou non, y compris à ceux qui ne veulent pas l’entendre. Autrement dit, la franchise d’un être, qu’il soit sauvage, civilisé, animé de bons ou mauvais sentiments, révèle la vérité. Un mot qui fait peur ! Un mot qui fait rire les cyniques et les moqueurs… Les moutons les plus endurcis.
Synonymes : Confiance, spontanéité, sincérité, révélation et FRANC parler.
Contraires : cachoterie, dissimulation, déloyauté, fourberie, fausseté, mensonge, ruse, tromperie (trumperie J ), HYPOCRISIE.
De l’ancien français : franc, noble, libre, habitant de Francie. Mot dérivé du latin médiéval « francus » « homme libre », forme latinisée du francique Frank, ancienne peuplade germanique dont le nom viendrait du vieux germanique frankon « javeline, lance »). Sémantiquement, nous retrouvons ici le thème de Shakespeare concernant l’anglais qui rappelons-le est aussi une langue indo-européenne d’origine germanique et enrichi par l’ancien normand et le français malgré le désastre de la guerre dite de 100 ans. A travers les pièces cryptées de l’auteur, se révèle peu à peu la vérité d’un théâtre immanent. Les francs furent unifiés par les mérovingiens dans une période de mutation démographique due à la dissolution de l’empire romain. En ces temps de troubles et de redéfinition des unités culturelles régionales, ce peuple avait gagné sa reconnaissance par ses talents militaires et la justesse de ses leaders. Parallèlement et malgré les faiblesses de l’aile occidentale, les décideurs romains voyaient d’un mauvais œil l’allégeance de l’empereur légitime Julius Nepos à la puissance de Constantinople : un grec siégeant à Rome et au service de l’Orient, peut-être que cela rappelait trop l’aura d’un Alexandre ! Et cette bibliothèque d’Alexandrie que les romains avaient brûlé non sans raison, quels secrets renfermait-elle ? Dans ce contexte, le général Oreste (commandant suprême des armées) renversa Julius Nepos et fit son de fils Romulus Augustus, le nouvel empereur. Mais Oreste est vaincu par des concurrents et Romulus déposé, qualifié d’usurpateur et exilé. Il n’était qu’un adolescent ! Imaginons maintenant ce qu’un général romain avait pu transmettre à son fils avant sa chute programmée et la fin de l’empire hellénistique :
Les grecs se sont couchés devant nous, peut-être affaiblis par l’oracle de ce fou d’Alexandre qui imaginait que l’Empire devait partager ses connaissances mais laisser libre tous les royaumes qu’il avait pourtant conquis. Toujours est-il que ni ses généraux ni les nôtres n’ont su aller aussi loin et rayonner à ce point dans l’espace et peut-être dans le temps ! L’Empire s’effrite mon fils, la splendeur de Rome n’est plus et Marc Aurèle avait probablement raison : l’unité, l’invincibilité et la durabilité viennent par le mérite de la pierre de connaissance et par la plénitude totale, le seul rayonnement légitime… Pas par la force et l’usure ! Il n’y a aucune raison pour que mes nombreux ennemis ne me tuent pas d’ici demain, mêmes s’ils saluent tous les gestes qu’ils n’ont pas su faire à ma place… Alexandre au final avait peut-être raison. La richesse et la puissance sont éphémères et à la fin de tout, je m’aperçois que plus l’empire repose sur de mauvais accords, sans sincérité, sans franchise réciproque, plus dure sera la chute de ce dernier. Et plus amère que jamais sera la guerre entre les territoires vassalisés par la force et la corruption ! Constantin Ier fut plus grand et plus sage qu’on ne pouvait l’imaginer et tu as appris aussi tous les enjeux reposant sur les décisions du concile de Constantinople ! La trinité mon fils et l’immanence de l’être. Mais le nouvel empire chrétien prend naissance dans les divisions et la question de Jésus, que nous avons tous crucifié juifs ou romains, demeure une épée de Damoclès. Ce nouvel empire se prépare à commettre les mêmes erreurs que nous tous, je le crains. Mon fils, le devoir des derniers est la transmission. Soit un bon empereur !
Pourquoi cette discussion fictive ? Parce qu’il est impossible qu’un des derniers généraux romains eût été suffisamment stupide et sans éducation pour ignorer ces faits historiques majeurs datant à peine d’un siècle ! Et assez fou pour ne pas les transmettre à son enfant avant de le sacrer empereur. Or il se trouve que le jeune garçon, avant d’embrasser un destin mystérieux et probablement funeste confia son héritage et son titre à un roi que nous connaissons bien : Clovis, roi du peuple franc ! Il y a dans ce fait historique une haute valeur symbolique : c’est un enfant qui a choisi à qui remettre une telle « franchise ©».
Chargé du fardeau de cette infernale boîte de pandore et probablement de ce qui deviendra ultérieurement le grand mystère de la rose-croix, la lignée des mérovingiens entra dans l’Histoire, fut le socle de la fondation du royaume de France, mais périt sous le joug de l’éteignoir ! Nous retrouvons ici l’origine de l’utilisation du mot éteignoir dans le vocabulaire antirévolutionnaire de Flaubert. Un intellectuel tel que lui ne pouvait être anti progressiste, mais nous ne savons pas ce qu’est le progrès ! Nous qui avons fièrement incarné l’arme absolue du crime et grassement profité des moyens qui nous ont conduits jusqu’à elle. Flaubert savait dans quelles conditions la lignée des mérovingiens s’était éteinte. Et l’artiste qu’il était évoquait ceci : les derniers petits êtres francs sont les enfants, ils le demeurent jusqu’à ce que le déterminisme des parents, soumis à l’Orgueil tout puissant des nations, ne les éteigne. Les enfants, normalement programmés pour faire des mathématiques et maîtriser les langues et les écritures, mais héritiers du sang et du verbe... Encore faut-il que vérité soit dite et que le langage ne soit pas corrompu et verrouillé par l'hermétisme. Flaubert concentrant sa charge sur les dérives de la nouvelle révolution (celle qui nous est si chère), ne l’exprime pas directement, mais il semble que ses « prophéties Nietzschéennes » soient plus universelles qu’on ne l’imagine, évoquant aussi l’emprise de la « bureaucratie » des maires du Palais sur de jeunes rois mérovingiens ayant hérité d’un NOM trop lourd à porter.
Si petite soit-elle en effectif, la destruction totale d’une lignée correspond sémantiquement à un génocide (tuer le gène) ! Pas celui d’un groupe humain, mais celui d’une lignée. Et de surcroît nous avons ici, en cumul, un acte collectif de régicide étalé sur 400 ans. La Francie détruite de l’intérieur et de l’extérieur, tout comme Israël. Mais les mérovingiens ne se sont pas divisés idéologiquement ou politiquement comme l’ont fait les hébreux après un millénaire de partage de la connaissance avec les égyptiens, les babyloniens et en dernier lieu les romains… Ils n’en ont pas eu le temps ! Et ils n’ont pas découvert l’école de la raison et des mystères entre voisins belliqueux ou hypocrites, ils en ont hérité après la chute d’un millénarisme, entourés par des voisins belliqueux et hypocrites ! Les rois mérovingiens atteignaient rarement l’âge de 30 ans, affaiblis par la résistance permanente aux agressions et cantonnés dans leur prison royale par les maires qui prétendaient patiemment au titre : les futurs carolingiens !
Black-listés, les mérovingiens ! Durant 400 ans, comme les africains ! Et jusqu’à l’extinction, comme cela fut souhaité pour les juifs… Par l’Orgueil des Nations, qui ne partage pas son pouvoir.
Après la disparition du dernier roi des francs, la lignée des carolingiens s’installa au pouvoir, longtemps convoité. Ceux-ci revendiquèrent longtemps la transmission biologique du légendaire caractère Mérovée et de la mémoire inscrite dans sa descendance depuis Clovis, mais les archives et les enquêtes généalogiques ont révélé la supercherie.
La potentialité d’un roi en exil et le fait d’un usurpateur sur le trône. Une incarnation errante portant la coupe et dans le royaume,un pouvoir représentatif fabriquant du mauvais pain et de mauvais pinards. Ce soi-disant vin nouveau que l’on décante dans la mémoire des vieux fûts de chêne avant de le verser dans la gueule béante du peuple et dans les calices ostentatoires d’une aristocratie illégitime. Les compétitions de pouvoir des lignées aristocratiques patrilinéaires et matrilinéaires furent le creuset de nombreuses guerres intérieures et extérieures… Un signe qui n’a pas échappé aux alchimistes, à commencer par Shakespeare.
La nature cache-t-elle la connaissance dans les seuls langages reconnus et développés par l’humain, comme si l’Homme et son cerveau étaient la fin des fins en soi ? Brûlez les livres et coupez les têtes pensantes et POUF, plus rien ! Est-elle aussi limitée que cela cette nature à double sens que l’on ne connaît guère que par la guerre ? Ne sait-on pas aujourd’hui qu’elle cache aussi bien des choses dans notre appareil génétique ? Nietzsche était-il si fou et si moyenâgeux ? Comme la bien-pensance aimerait que nous l’entendions. Hitler est-il vraiment un accident de l’Histoire ? Nombre de choses et de NOMS demeurent gravés dans la pierre et dans la chair.
Sommes-nous si évolués qu’on ne veut bien le prétendre ? Un certain Francis Cabrel a chanté « est-ce que ce monde est sérieux ? » en pleurant sur le destin des taureaux et des femmes de toreros…Ça a fait marrer tout le monde ! Sauf les pleureuses dit-on !
L’Homme tient à son héritage patrilinéaire ! Depuis l’antiquité, la guerre des roses se solde par le mariage arrangé des femmes et celui politique des reines ! Durant des millénaires, nos femmes ont été contraintes d’épouser les meilleurs marchands de tapis et d’esclaves d’entre nous ! Nous ne pensons que rarement à la question sans âge du droit d’aînesse… Et autres « détails de l’Histoire » ! Nous n’en mesurons donc pas les conséquences. Pourtant, c’est un fait, dans un tel système patriarcal, l’apparition du divorce (y compris pour les rois et reines) est une nouvelle perversité touchant les femmes et les enfants (dont le destin était toujours arrangé par le mâle) et une bombe à retardement, une apocalypse programmée pour les nations du monde. Une critique « régressioniste » du divorce ? Diront les idiots ! Non, une critique du mariage et du port d’un objet d’union reflétant le pouvoir de l’anneau unique de pouvoir ! Et facteur entropique : notons le cas d’Aliénor d’Aquitaine, successivement épouse de Louis VII roi de France et de Henry Plantagenêt, futur Henri II d’Angleterre, qui par son héritage changea les rapports de force entre les deux pays en faisant de l’Aquitaine un foyer de tension. Un des premiers facteurs déclencheurs de la guerre de 100 ans.
Abracadabrant non ? Une histoire plus simple aurait-elle pu mener autant de vaches savantes à l’abattoir ?
Un coupable ? Des boucs émissaires ? NON… Tous coupables, tous traversant inconsciemment le désert de nos âmes, marqués comme des bêtes, fuies par toute autre créature vivante sur cette terre ! L’amour propre est un faible qui gouverne la cité et l’orgueil est un vieux fou juvénile totalement désarmé.
Autrement dit, la Francie s’est unifiée autour d’un anneau de vérité que chacun prit pour un anneau de pouvoir et les porteurs de cet anneau, des enfants, petits princes ou de très jeunes rois furent sacrifiés sur l’autel de notre folie collective.Le sortilège d’Hermétisme, posé sur la connaissance et le cœur sacré, ne fut pas rompu ! Et l’anneau unique de pouvoir, un non objet en réalité, un anneau d’invisibilité, commença lentement à ronger la cité humaine. Ardemment convoité par l’amour propre et par l’Orgueil. Un Orgueil complexé par son impuissance réelle, mais qui ne partage pas ses pleins pouvoirs représentatifs !Le sort de beaucoup repose aujourd’hui sur les sanctuairesintemporelsayant abrité certains exilés. Cela concerne les juifs, les chrétiens, les musulmans. Pourquoi cette fatalité ? Lorsqu’on hérite d’une vérité fondamentale, simple/subtile, et qu’on la couvre d’hermétisme en la conservant pour soi, la mort est inéluctable, déterminée, si longue soit l’échéance. Elle fut violente pour les mérovingiens, probablement innocents et moins « fait Néant S» que l’image laissée par des chroniqueurs soucieux de ne pas déplaire à leurs successeurs ! Francs, courageux étaient les premiers rois de cette lignée, jeunes et faibles étaient leurs fils. Lorsqu’on est tout petit et qu’on porte l’anneau, dans une époque barbare, le destin est forcément cruel.
Les carolingiens quant à eux ont unifié la France par le glaive et ont connu la gloire suffisante pour un nouveau rayonnement jusqu’à la prise de pouvoir progressive de la lignée des capétiens, mais avec un anneau qu’en réalité ils ne possédaient guère ! Comme cet anneau n’est pas un objet, il est simple de comprendre comment ces derniers et leurs voisins militairement contenus, le confondirent justement avec un objet de pouvoir ! Et tant de choses furent perdues… Pauvre Robert, premier des rois capétiens, ta lignée unifiera la France, mais comment tes enfants pourront-ils révéler ce qu’ils ne connaissent pas et conservent pour eux comme le bâton de Dieu le père ! Un simple et triste braquemart flanqué de deux valseuses en conflit permanent ! Ironie du sort, lors de la longue guerre entre la France et l’Angleterre, les capétiens et leurs armées se jetèrent à plusieurs reprises sur leurs ennemis, motivés par la supériorité numérique et l’idée d’une puissance divine légitime. Résultat : leurs adversaires plus pragmatiques et leurs longs arcs connurent trois premières victoires sanglantes bravant un rapport de force qui fait encore la fierté des anglais. Acharnés, les français ordonnaient à la police militaire (ancêtre de la gendarmerie) d’exécuter tout soldat faisant demi-tour sur le champ de bataille. Un piètre exemple de l’héritage stoïcien et des préoccupations théologiques confiées jadis au roi des francs !
Il convient aussi de replacer la guerre de 100 ans dans un contexte historique obscur que je résumerais en trois points :
- Primo, la lecture symbolique des « saintes écritures », les recherches théologiques et le nouvel élan culturel de la première partie du Moyen âge (du Vème au VIIème siècle) furent minés par les tensions que l’on retrouve dans toute période de transition par le glaive, dans toute dissolution d’un Léviathan ayant régné par la force. Plus tardivement, la lutte qui s’engage au Xème siècle entre le pouvoir intemporel des papes et celui des empereurs marquera à jamais la première dissociation entre deux statuts pourtant complémentaires ! La « lutte du sacerdoce et de l’Empire » ne finira jamais vraiment, jusqu’à ce qu’un certain Général De Gaulle, le dernier capétien dit-on, fasse mine d’y mettre un terme en nous laissant une bombe à retardement planquée dans les fondations !
- Deuxio,les croisades coûtent très cher et les Templiers sont à la fois trop riches, trop influents, trop au courant des versions juives et arabes de la situation à Jérusalem et globalement incontrôlables ! Le procès de l’Ordre du Temple et la mise à mort retentissante de Jacques de Molay plongea l’esprit des français dans de sombres augures.
- Et tertio, ne l’oublions pas, la guerre de 100 ans s’est achevée par la victoire du Roi de France qui récompensa son héroïne Jeanne d’Arc, stratégiquement devenue inutile, en la livrant aux anglais. Un dernier bûcher de très mauvais augure !
Les mérovingiens ont « fait Néant » dit-on… Alors admettons que leurs successeurs ont quant à eux incarné le néant ! Une absurdité vénale et une terreur sans nom qui n’en finissent plus de nous consumer.
Par son pouvoir, l’empereur ou le roi n’incarne plus la connaissance, mais son illégitime puissance ! Son règne, son influence, son aura, deviennent peu à peu morbides et représentatifs ! Il n’est plus qu’un intendant, étranger à sa propre demeure.
La réalité du monde est immanente et donc subtile et bien protégée, mais elle est aussi simple que le mérite d’une créature qui sait conserver son innocence ! Les premiers pharaons venus d’Afrique en savent quelque chose, ils ont vu Israël et l’Egypte s’entretuer autour du secret de la beauté, de l’or et de l’écriture « divine » ! Comme tous les peuples que les empires voraces ont colonisés ! Lorsque l’usurpation et le mensonge deviennent le socle d’un empire, lorsque l’incomplétude et l’incertitude forment le complexe occulté de notre empirisme, l’entropie du système est déterminée vers la chute ! En matière d’eschatologie, c’est ce qu’on appelle l’apocalypse, cet espace-temps indéterminable et pourtant déterminé, où la vérité simple sera révélée par la destruction.
Une triste et belle histoire n’est-il pas ? Notre Histoire !
Epilogue :
Mais qu’est devenu le mot franchise ?
Franchise :
La définition 0 a été décrite plus haut.
1 Exemption d’une contrainte : tout d’abord une définition métaphysique : libération d’un poids pour l’âme ! Puis progressivement une définition matérialiste : exemption d’une taxe… Révélateur non ?
2 Droit qui limitait l’autorité souveraine au profit d’une ville, d’un corps d’état ou d’un individu. Introduction de la notion de monopole qui conserve le pouvoir et le centralise à défaut de partage possible. Un anneau de connaissance se partage, un anneau de pouvoir possède son porteur et est convoité par les autres.
3 Monopole d’une marque ou d’un brevet par une personnalité physique ou morale que l’on doit rémunérer pour utiliser son concept ou son aura.
Stupides marchands de faux tapis volants que nous sommes tous !
Nous croyons parler nos langages respectifs ? La belle affaire !
C’est le langage vil et mercantile du nouvel ordre mondial que nous parlons tous !
Une langue de serpent et un anneau pour les gouverner tous !
Shakespeare doit se retourner dans sa tombe, tout comme Tolkien, en voyant ce que leur langage est devenu ! Et je ne parle pas de toutes ces élites françaises, qui n’ont même plus conscience de la signification des mots qu’ils utilisent pour soulager leurs altérités réciproques et justifier leur échec total.
Epilogue :
Tout ceci ne tournerait qu’autour de l’histoire de France ? Ne soyez plusbêtas ! Relisez bien. Shéhérazade de son côté vous en toucherait bien deux mots, si certains Wahhabites, en parfaits agents doubles, ne l’avait censurée comme Apollon maudit Cassandre !
Glissement sémantique, dérapage critique… Une issue déterminée.
A nous de redevenir les capitaines de nos âmes.
Déconstruire, réparer et emplir de nouveau le vase...