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Le blog de Persone

Le pouvoir du verbe et la magie cachée des mots. Réflexion sur la falsification et l'instrumentalisation du langage.

10 Décembre 2019, 16:53pm

Publié par Persone

Le pouvoir du verbe et la magie cachée des mots. Réflexion sur la falsification et l'instrumentalisation du langage.
Le pouvoir du verbe et la magie cachée des mots. Réflexion sur la falsification et l'instrumentalisation du langage.
Le pouvoir du verbe et la magie cachée des mots. Réflexion sur la falsification et l'instrumentalisation du langage.
Le pouvoir du verbe et la magie cachée des mots. Réflexion sur la falsification et l'instrumentalisation du langage.
Le pouvoir du verbe et la magie cachée des mots. Réflexion sur la falsification et l'instrumentalisation du langage.

Problèmes et solutions sont des états différents d'une même nature.

Ceci est à la fois une question et une réponse, autrement dit, un sujet bac pour les nuls et les champions, tout le monde est concerné. "10 certes à sion" donc!

Indices pour clé de sol/luce/ion:

  1. Pour ré/pondre, pensez au "droit" d'ingérence! Sur l'enfant, sur le peuple, sur les autres peuples! Pour ré/pondre, pensez à la poule qui fait l’œuf et à l’œuf qui fait la poule. Pensez aux stades d’évolution d’un système ou à celui d’un individu : poussée/équilibre/retour ou enfance ou développement de l’œuf/accomplissement du gallinacé et reproduction/vieillesse. Qu’est-ce qu’un enseignant ? Est-il un « en saignant » qui perce/Eve/erre en faisant de ses « sujets » une contrainte ? Maîtres et disciples soumis, enchaînés les uns aux autres par un paradigme communément imposé ? Ou un enseignant qui transmet l’information comme un conducteur de bus public, un transporteur d’énergie ? Une énergie qui se partage en toute gratuité, par redistribution, et dans un échange réciproque caractérisé par une réaction globale équilibrée : interactions sans intérêt propre ni conflit d’intérêt (jargon métaphysique), permettant l’annulation de la somme des forces tendant à diffuser ou à réduire l’information (nature/état, charge et vitesse, dans le jargon de la physique/chimie).
  2. Nous avons affaire, semble-t-il, à un vieux complexe qui pourrait bien donner raison à cet opportuniste de Freud ! Le père sacrifie le fils et le fils ne peut s’empêcher, bien que le sentiment le torture, de vouloir tuer ce père. Une situation problématique que l’on peut s'atteler à résoudre ou par laquelle l'on peut s’enrichir ou se faire un NOM en suivant l’air populaire de la révolution permanente.  
  3. Comment définira-t-on l’expérience, la réaction et ses cycles ? Sang pour sAng ou cent pour cent ? Et ce maître ou adulte qui était disciple ou enfant avant de s’octroyer le droit ou le devoir d’enseigner, quelle sera la monnaie de sa pièce ? Sang et cent ou sens… Ren(d)/seignement ou ren(d)/saignement… En/seignant ou en/saignant… E, cinquième  lettre de l’alphabet latin, symbole d’énergie (E), de médiation (5) et de quintessence… Je rappelle que les correspondances entre les alphabets de nos langues mortes sont établies depuis l’Antiquité ! Et A, première lettre. A est le point de vue et la perspective de l’observateur manifesté. E est son tout, son énergie primordiale et son énergie transformée. Le sang transporte l’information, tout comme la douleur est une information prévenant de l’effluve problématique et de la perte morbide du fluide.  

Quelques clés de réflex/ion donc !

Mais ce n’est pas parce que Marie fait beau/coup (gracieuse jonction entre la tête « capitus » et l’abdomen « ab/domaine ») qu’il ne faut rien faire…  C'est volontairement que je n'ai pas dit « parce que Marie fait TOUT » contrairement à la pub bien connue de certaines générations TV ! Pourquoi ? Parce que ABSOLU est une notion galvaudée depuis plusieurs millénaires ! Ab/sol/lu signifiait à l’origine, ce qui s’éloigne de la clé de ce qui est lu parce qu’inscrit par la lumière sur le support des ténèbres (blanc sur noir concernant la vie ou vice et versa concernant l’écriture). De Ab : s’éloigner et de soluble ou solution : la substance de double nature. Ab/solus et ab/solution viennent de la clé de sol et de « luce » signifiant lumière. Et S(19 ou 1) + T(20 ou 2) = C(3). S est le serpent ou la sinusoïde exprimant la vie et la séparation du yin-yang, T est le temps et C est donc lumière et principe de 3 !

Je vous laisse donc une occasion de repasser votre BAC !

Note  à propos du BAC : nous avons ici  B 2 dualité, A origine manifestée et perspectives et C lumière ou principe de 3 ! Baccalauréat vient de Bachalariatus signifiant  chevalier en herbe : du latin Bacca (fruit/baie) et laureatus (couronné de laurier). Un premier symbole que nous retrouverons plus tard incarné par le mérite d’un certain Perceval ! L’humble et insignifiant chevalier devant lequel s’ouvre pourtant l’ovule, disons le sanctuaire, contenant le Graal et le secret intime de la lumière et des ténèbres !

Note à propos du mot problème : vient du grec πρό : en avant, vers l’avant et avant par extension. ϐλημα : coup, blessure.

Où sont nos maîtres de la sémantique, où sont nos grammairiens ? Et que fait-on de notre école ?  

Prends ta potion (solution aqueuse) avant d’être blême disaient les sorcières.

Si cette méditation raisonnable vous motive, je vous propose de plancher sur une autre formulation du même problème :

Une question et une réponse sont-elles deux états différents d’une même nature ?   

Nous avons jusqu’à la prochaine fin d’un temps en trois mouvements pour répondre et accorder nos…

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