DOCTEUR NATURE
Ce dont vous allez témoigner dans ce reportage n’est qu’un exemple parmi tant d’autres, de la négation de la médecine universelle produite par le règne végétal et animal. D’autres études et reportages existent concernant la tension, le diabète ou certains types de cancers. La nature peut tout guérir, néanmoins ce n’est pas parce que Marie fait tout qu’il ne faut rien faire. La médecine douce, la médecine de l’âme et la médecine moderne sont compatibles, au-delà de nos intérêts respectifs. Certes, il serait réducteur d’imaginer qu’à chaque maladie correspond une plante, c’est pour cela que l’art de la médecine naturelle repose sur le mélange des substances et leur dosage en fonction des pathologies et des patients traités et observés individuellement dans leur dimension physique et psychique. Un cauchemar pour les actionnaires de notre mode de vie générique! Suite à l'anthropisation et principalement suite à l'industrialisation, la médecine conventionnelle moderne a opté pour des remèdes efficaces de façon générique, mais la méthode est à double tranchant: d'une part le progrès nous permet d'observer le domaine du micro et d'isoler les principes actifs et d'autre part il nous pousse à fragmenter la matière et à la transformer par nécessité empirique, cela provoquant de nouvelles menaces. Ce progressisme ne concerne pas que la médecine, le bâtiment (habitat), l'automobile (déplacement) ou la culture intensive (appétit) sont aussi de bons exemples. Motivé par le progrès, l'expérience technologique, et la sérendipité, qui justifient ses projets et son mode de vie compétitif, l'Homme accélère le changement et bouleverse l'équilibre de son environnement, avant d'avoir solutionné ses propres dilemmes dans un milieu donné et dans un éon encore stable. A l'inverse, la zemblanité remet en question cette course Osirienne et prophétise le bel avenir du mal, tapis derrière la réussite et la croissance rapide.
Réflexion:
Réconcilier la joie et la tristesse, revient à remettre à sa place ce mauvais ministre qu'est l'Amour propre et à guérir l'orgueil humain des affres de son expérience collective. Cela implique de clarifier la question existentielle et métabolique et cela va s'en dire, de prendre le temps nécessaire pour cette expérience ultime d'ingénierie extérieure et intérieure. Il en va de même pour la réconciliation du maître et de l'esclave, celle du rat des villes et du rat des champs, celle de l'Homme moderne et de l'Homme des bois, etc. Mais prendre le temps, lorsque nous sommes maître ou esclave d'un empire dont la stabilité dépend de la croissance et de la conquête, n'arrange pas nos petites affaires! La voie du milieu, la réconciliation, la recherche de l'harmonie de la masse et du cas individuel, le lien entre le réductionnisme et la métaphysique... Tout cela semble une menace pour le fatalisme "darwinien" et pour les actionnaires de la globalisation mécanisée ou Nouvelle Ordre Mondiale.
Avant d’aller plus loin, je rappelle que le reportage parle de la chloriquine ou chloroquinine, une molécule synthétique, substitut de la quinine. Ce médicament (assez dangereux) est utilisé depuis longtemps pour traiter le paludisme et montre in vitro des capacités antivirales que l’on ne peut pour l’instant reproduire in vivo. Le docteur Raoult, tristement célèbre depuis peu a testé l’efficacité partielle de cette molécule sur des patients atteints du covid avec de bons résultats et a sommé les autorités de gagner du temps avec sa méthode en attendant des progrès et en permettant d’améliorer la situation sanitaire. Une idée respectable et respectant le serment d’Hippocrate qui nous aurait permis de désengorger les hôpitaux saturés et de limiter les morts en attendant mieux. Malheureusement, il se heurte à des lobbies financiers et pharmaceutiques engagés sur d’autres pistes n’aboutissant pourtant pas ! Pourquoi ? Pour la notoriété et l’argent bien entendu, mais aussi pour la piste d’enquête que cela pourrait ouvrir. Ironie du sort, la chloroquine ou plus précisément les actionnaires des dérivés pharmaceutiques de la quinine sont eux aussi impliqués dans un scandale : par un principe de précaution frauduleux et hypocrite, ils ont caché au monde entier l’efficacité supérieure d’une plante pour guérir le paludisme (deux ou plusieurs espèces d’artemisia dont l’artemisia annua, endémique à la région chinoise). Les laboratoires (chinois) ayant quant à eux utilisé l’artémisia, l’on fait en isolant les principes dits actifs de la plante, cela laissant leur nouveau médicament toujours moins efficaces que la plante elle-même, prise en décoction simple, bien que sous prescription méthodique (et non couteuse). CQFD : isoler les éléments que l’on croit être les seuls « actifs » dans une plante alors qu’elle en contient d’innombrables et souvent variables suivant les espèces, est souvent une opération motivée par le souci de résultats rapides. Mais l'étude est donc incomplète, en l’absence de preuves formelles de l’inefficacité des autres agents contenus dans le végétal ! Les médicaments ainsi produits à la chaîne sont parfois moins efficaces que certains remèdes naturels utilisant les mêmes ingrédients d'origine (ce qui semble le cas pour l'artémisia), sans compter les effets secondaires que l’on doit aux adjuvants nécessaires à cette pharmacie synthétique. L'OMS joue sur le fait que peu de naturopathes maîtrisent véritablement les principes actifs de cette plante et que son efficacité en simple décoction demeure aléatoire. Autrement dit, la simple tisane n'engendre pas d'effets secondaires dangereux, contrairement aux ATC, mais son taux d'efficacité ne fait pas l'objet d'études validées et il se peut qu'une "mode" de la tisane magique puisse motiver des populations crédules à ne plus se soigner dans les règles, en consommant la chimie prescrite par l'Organisation.
Questions :
L’artémisia peut-elle être efficace pour le Covid et faire la fortune de ses cultivateurs industriels, cela pouvant donner à certains l’idée de faire muter un virus usurpateur à forte capacité de mutation, en le mettant en présence du protozoaire plasmodium, parasite responsable du paludisme ? Cela est-il seulement possible?
Ou au contraire, la redécouverte d’un remède naturel pouvant guérir le paludisme à moindre cout en portant un gros coup aux actionnaires des médicaments dérivés de la quinine, a-t-elle pu pousser les marchands de santé à engendrer une nouvelle pandémie avec les COV (composés organiques volatiles) viraux… Une souche leur aurait-elle échappé avant qu'ils aient trouvé la vaccin ou les remèdes symptomatique?
Une simple expérience d'intérêt pharmaceutique qui aurait dérapé?
Doit-on aussi suivre la piste du terrorisme bactériologique (vol de souche dans un laboratoire)?
La nature elle-même a-t-elle engendré le Covid mutant pour cause de culture agroalimentaire intensive (cas de la grippe espagnol pour citer le début de notre cauchemar darwinien moderne) ?
Quelle que soit la réponse, force est de constater que la guerre des laboratoires et le bal macabre des hypocrites génocidaires de la race humaine est ouvert… Les vaches vont danser.
Le père pourrit le fils et le fils tue le père… un complexe de longue date dont la puérile humanité ne s’est pas encore extirpée.
Réflexions et données factuelles :
Nous savons que des plantes guérissent de nombreuses maladies propres à l’Homme, mais propres aussi à son mode de vie évolutif. Ce qui nous amène à comprendre que le règne végétal possède une programmation médicinal manifeste et que cette programmation évolue dans le temps en s’adaptant aux nouvelles données. Tous comme les virus et autres agents régulateurs. La plus part d’entre nous, en Occident, pensent que les maladies ou agents infectieux que nous engendrons, et essentiellement ceux produits en laboratoire, ne peuvent être pris en charge par la nature. La question n'est elle pas plutôt: combien de temps la nature prendra elle pour s'adapter? "Seul le labo peut résoudre empiriquement les problèmes du labo!"... Cela revient à croire qu’un petit homme dans une blouse blanche, considéré comme un génie parmi les siens, peut berner et surpasser la nature dont il n’est que le dernier né en tant que mammifère. Un singe endimanché tombé de la dernière averse. En parlant de façon plus factuelle, cela revient aussi à nier que la nature s’adapte parfaitement à nos produits chimiques. Ce qui est faux. La cellule, le virus, la bactérie, c’est de l’ADN et de l’ARN en capsule, de la conscience en boîte, une intelligence qui trouvera toujours un hôte. Doit on travailler contre une intelligence qui n'est pas la nôtre ou avec elle? Reste donc à définir la nature du "problème du labo" sous un angle physique et métaphysique, disons existentiel!
Le processus métabolique planétaire respecte un équilibre depuis toujours et continuera à le respecter jusqu’à la fin, fin qui correspond à la transformation de toute l’énergie consentie depuis le début. Les physiciens et les métaphysiciens, dans un exercice ontologique parlent ici de mémoire et de recommencements perpétuels.
Cet équilibre logique et maintenu par plusieurs degrés et dimensions d’intelligence, le tout soumis au principe d’immanence, n’a pas attendu l'Homme et son exclusivité ressentie pour pratiquer la régulation et la dérégulation ! L’Homme fait seulement parti du processus, il est un des régulateurs. Le fait que nous ayons pu nous convaincre du contraire est à la fois puérile, égocentrique et suicidaire. Comprendre : même si l’Homme fabrique lui-même les schmilblicks ou les maladies qui le tueront en masse, c’est que l'intelligence de l'univers et la causalité dépassent ses illusions, l'incomplétude de ses propositions et ses intérêts pour remettre à sa place sa vie devenu paradoxale, meurtrière et dangereuse pour le système planétaire. Mais l’Homme faisant partie des régulateurs, la nature tendra à empêcher qu’il disparaisse totalement : d’une part parce que le machiavélisme des élites aura préparé pour eux des issues de secours, d’autre part parce que la nature est si vaste et subtile que nombre de variables feront en sorte que les plus infâmes ne seront pas seuls à survivre (l’intelligence et les talents ne sont pas l’apanage des plus fortunés d’entre nous, ni des plus dominants).
Schématisons maintenant comment la nature pourrait-elle aussi concocter un remède à une terrible pandémie engendrée par l’Homme, à cause de son mode de vie, ou pire, en labo ou encore par mutation de virus par fréquentation de cobayes aviaires et de cobayes mammifères, dont l’Homme. Dans le cas d’un virus fabriqué en labo, la nature prendrait assez vite le dessus grâce au système immunitaire des animaux et Hommes pour la simple et bonne raison que ce dernier a bien du mal avec ses instruments à reproduire des squelettes, des tentacules et des hameçons d’agents infectieux aussi efficaces que ceux de la nature ! Dans les deux autres cas concernant fort probablement l’origine du Covid (mutation naturelle ou assistée), nous avons l’intelligence/machiavélisme humain/e et les variables dont nous venons de parler pour éviter la catastrophe. Mais le COVID n'est pas l'apocalypse au sens vulgaire du terme, voyons le plutôt comme le début du dernier chapitre d'une ère anthropique shakespearienne. En attendant pire, donc, nous avons notre génie scientifique qui nous concoctera d’ici peu un vaccin aux ¾ efficace… Et nous avons aussi l’immunité naturelle des plus forts, après le sacrifice des plus faibles. Seulement voilà, c’est monstrueux et même si les gagnants de l’histoire sont les « gentils rebelles » réfractaires à l’empirisme des élites, d’innombrables innocents auront perdu la vie « pour quelques dollars de plus » !
Les plantes pourraient-elles nous aider ? Fort probablement ! Parallèlement à toute mutation d’une forme d’intelligence, des informations passent et la nature sous toutes ses formes réagit. Pour garder en vue la piste végétale, le processus se fait ainsi : lorsque le règne végétal capte que des régulateurs importants meurent en masse, elle capte aussi les sécrétions de leurs dépouilles grâce aux insectes et aux champignons. Mieux, elle reçoit l’information que d’autres prédateurs pullulent en conséquence, menaçant de nouveau l’équilibre. L’information circule de végétaux en végétaux, une fois encore grâce aux champignons. Cette information est à double sens et dotée d’une mécanique à toute épreuve : action, réaction, transmission. Au cœur de cela, le potentiel électrique et le jeu des particules. La force de tension, le mystère géométrique en parti résolu de l’équilibre gravitationnel et le feu nucléaire ! Un Amour de vie douée de l’art de la transformation, sujette à un désir électrique et relativement soumise aux lois de l’attraction et du détachement.
Parlons du cancer : la médecine nucléaire infâme issue de notre technologie a fait ses preuves, mais une fois encore dans le traitement de cette maladie de la dégénérescence, on se contente de contrôler l’hécatombe tout en faisant gagner beaucoup d’argent aux actionnaires. Or, malgré les efforts de la censure, nombre d’entre nous savent aujourd’hui que les meilleurs remèdes au cancer sont dans le changement de vie et la pratique de disciplines intellectuelles, sensorielles, alimentaires, sexuelles et touchant aussi aux domaines particuliers de la connaissance de l’infiniment petit et des langages à pratiquer pour communier avec. Ce domaine concerne aussi l’inconscient et les rêves. Autrement dit, il existe aussi une autre façon de se protéger des risques de cancer, même dans l’enfer des fourmilières qui ont pris possession des villes et des campagnes : la juste conduite du cœur intelligent et un équilibre physiologique qui ne s'obtient pas par la culture intensive de la zen attitude, ni par le "life coaching à la carte" ! Pas donné à toutes les vaches après des générations de conditionnement dans le stress et la compétitivité. Reste quelques catalyseurs, une fois encore issu du règne végétal : les champignons, champignons toujours (!) et autres plantes contenant des alcaloïdes aux divers effets psychotropes. Le hic, c’est qu’il ne s’agit pas de les consommer par dépendance et pour le seul intérêt de planer. Chacune de ses drogues naturelles ont une fonction précise et entrainent des états de conscience qui doivent être maîtrisés par l’expérimentateur. Nos gouvernements ont toujours eu une attitude très hypocrite concernant les drogues. On raffine de l'opium pour les hôpitaux, mais on partage aussi les bénéfices du deal de rue avec la maffia. Ne parlons pas des vertus stratégiques du tabac et de l’alcool! Concernant les drogues popularisées par le contexte des années 70, il s’agissait de mettre l’accent sur l’incontournable THC, qui ne confère que peu de modification de l’état de conscience, contrairement aux acides et autres réjouissances. La grande expérience psychédélique et l'âge d'or du show-business! Sexe, drogue et rock’n’roll. Depuis ce dérapage et cette révolution instrumentalisée des mœurs, que l'on doit à nos laboratoires idéologiques, la drogue est un secret de polichinelle et une nécessité dans le milieu des soins palliatifs, mais en aucun cas un sujet d'étude concernant "la médecine de l'âme" (terme animiste). D’une main je fais passer la drogue et de l’autre, je verbalise le consommateur en donnant l’illusion d’une ferme, mais bienveillante sécurité aux parents. Du point de vue animiste, certaines plantes dîtes hallucinogènes, confèrent aux initiés les plus aboutis la faculté de suivre le cheminement d’une des voies menant au langage conscience/matière, ou Homme/nature, si vous préférez. Cette voie n’est évidemment pas le réductionnisme, nous pouvons la définir comme liée à la voie sémantique pure, non « retranscriptible » en terme matérialistes. Des artistes ont tenté d’exprimer ce langage et ses expériences, mais le résultat est nécessairement très insuffisant, disons incomplet. Certains de ces états de conscience peuvent être atteints par méditation, néanmoins l’homme a encore fort à faire pour reproduire en lui tout ce que la nature peut lui dire depuis toujours.
L’orgueil des nations et leurs actionnaires craignent plus que tout le retour de l’intelligence humaine, de Peter Pan et des variables imprévisibles de la nature sauvage ! Ce sont des déterministes absolus dont le déterminisme n’est qu’une excuse aux monstruosités qu’ils engendrent. Mais leur « croyance » matérialiste possède aussi un autre atout, une arme absolue contre l’épanouissement biologique et mentale de l’Homme : tout est déterminé, tout n’est que causalité mesurable et nous n’avons donc aucune liberté réelle, aucun libre arbitre et donc aucune responsabilité ! Un prétexte idéal pour soumettre les vaches à une IA par défaut, démocratique ou non. Un système d’exploitation dont la justice nécessairement corrompue fonctionne pourtant à merveille, par compensation et principe de précaution. Le nouvel accord tacite dont nous avons hérité en suivant les ampoules et les promesses du siècle des Lumières.
Avant de conclure, parlons de nouveau de docteur nature :
Tout être vivant est naturellement conduit vers les remèdes qui le concernent, dont il a déjà manqué et dont il aura encore besoin. Ce phénomène est motivé par différent canaux : les 5 sens, l’instinct, la mémoire, le rêve, la passerelle entre le conscient et le non conscient et enfin le microprocesseur (la raison métabolique et analytique pourrait-on schématiser). Au-delà encore, existe un autre sens et non-sens à la fois : la faculté de lecture des signes qui s’offrent à nous, comme des messages codés dans l’espace-temps et manifestés en filigrane derrière la barrière grossière de la causalité mesurable (dans le sens matérialiste du terme mesurable). J’insiste, tout être vivant est conduit par son horloge biologique vers les remèdes naturels qui le concernent !
Mais pour cela il ne faut pas que cet être soit un animal domestiqué et avili par un quelconque système d’exploitation. Ce genre d’animal de ferme est conditionné à attendre sagement que le fermier lui administre sa médecine de troupeau, dans le cas contraire, sans son maître, il se laisse mourir. N’ayant plus le moindre intérêt compatible avec le serment d’Hippocrate, nos exploitants de masse produisent donc des médicaments de plus en plus génériques, provoquant nombres d’effets secondaires, entrainant le bétail dans la consommation d’autres médicaments et affaiblissant leur système de défense naturel. Ce dernier phénomène d’affection physiologique à long terme se cumule au fait que les médicaments vendus atténuent souvent les pathologies, mais sans en guérir totalement le patient/client. Autrement dit le sujet se soumet de lui-même, indolemment, à une dépendance totale vis-à-vis du système d’exploitation et jusqu’à la fin de ces jours. Aujourd’hui, rares sont les morts qui n’ont pas été lentement tué par un ou plusieurs médicaments. Les autres faisant partie des victimes de l’alcool, des drogues, du tabac industriel, du réseau fructueux de l’automobile ou de la maladie propre à la dégénérescence de l’horloge biologique humaine : le cancer. Rappelons que le cancer, outre la dégénérescence mentionnée, est aussi provoqué par toutes les consommations compensatoires relatives à notre mode de vie morbide : la malbouffe, la sur bouffe, la toxicomanie et toute forme d’addiction aux substances passant par les orifices donnant accès à notre ingénierie intérieure. Sans parler du cancer, notons ici que le consentement contrarié à un lent suicide par les drogues, est le cauchemar relatif au mal être qui ronge nos nouvelles générations.
Fait divers, fait quotidien : la respiration d’un air pollué n’est pas une addiction, mais une intoxication à la fois involontaire et pourtant consentie communément par accord tacite. Un facteur de mort programmée, légué à nos enfants avec notre accord… TACITE (4)!
Bon documentaire !