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Le blog de Persone

Pandémie tacite

7 Avril 2020, 16:26pm

Publié par Persone

Pandémie tacite
Pandémie tacite

Bonjour à tous,

La science ne trompe pas dit-on. Pour la simple et bonne raison que son protocole de base, sa règle N°1 est de ne rien affirmer, ne rien déclarer comme juste, tant que l’ombre d’un doute subsiste. Mais la science n’est ni le scientifique, ni l’Homme, et encore moins les lignes éditoriales qui la font parler. Que se passerait-il si des journaux scientifiques passant pour des sources sûres aux yeux de tous dérogeaient à cette règle N°1 ? La même chose que lorsque les médias et les autorités gouvernementales les contrôlant, autrement dit des institutions jugées comme fiables par les peuples, ont délibérément menti pour endormir les masses et pour retarder la prise de conscience collective de leur échec… Jusqu’à ce qu’une catastrophe majeure bouleverse la donne. La relance et la grande métaphore après l’horreur suffisant largement pour que les survivants, d’un commun accord, se jurent de ne pas regarder en arrière et d’aller de l’avant. Pour les irréductibles et les intellectuels les plus affutés, l’empire a prévu le verrouillage des archives pendant 2 générations (chiffre moyen concernant les pays démocratiques depuis la seconde guerre mondiale).

Pour citer deux exemples  typiques :

  • L’Espagne a été la première à déclarer publiquement la pandémie de grippe espagnole due à la mutation d’un virus classique pour cause d’élevage intensif d’espèces aviaires. Ne pas mélanger les poules, les vaches et les cochons dit-on ! Pourquoi les journaux et les autorités des pays voisins n’ont-elles pas réagi alors que les observateurs sanitaires y faisaient le même constat ? Parce que ces pays voisins étaient impliqués en tant que belligérants ou alliés actifs dans la première guerre mondiale. En clair : secret militaire, secret défense, secret d’alliance et fardeau du mensonge sur lequel repose le pouvoir, partagé tant par les attaquants que par les attaqués.
  • A l’aube de la seconde guerre mondiale, le gouvernement français n’osait imaginer que l’allié américain  jouait un double jeu en acceptant de ruiner l’Allemagne par un crédit toxique pour nous satisfaire et s’enrichir au passage, tandis que nombre de ses lobbies sympathisaient avec le futur Reich, spéculant sur l’industrie et la machine de guerre Allemande. De nombreux opposants et des intellectuels de bonne renommée s’affairaient pourtant à sonner l’alarme, mais le poids des alliances outre-Atlantique les fit passer pour des épouvantails de mauvais augure. Une majeure partie de notre échec militaire et de notre défaite repose sur ce point. Or, pour revenir à nos moutons et à nos bergers assermentés, il se trouve qu’à l’époque, nous pouvions lire dans la première de couverture du journal « Le Monde », que la guerre ne durerait pas, si tant était que les allemands ne se rendissent pas dès le départ. Dans les détails, le journal stipulait aussi que les munitions et les canons allemands étaient de telle mauvaise facture, que notre armée ne craindrait pas grand-chose !

La science, c’est comme « Dieu », elle n’est pas l’Homme et encore moins l’institution qui le gouverne par défaut, par accord tacite.

Pourquoi une telle introduction ? Parce que quelque chose m’inquiète profondément dans les médias… Honnêtement, accablé par des épreuves personnelles lourdes à porter, je dois constater que des forces impitoyables se dressent entre l’individu que je suis et son devoir collectif. A ce jour, je pensais stopper l’écriture et le partage, devant me concentrer sur mes propres épreuves en me contentant, au mieux, de corriger un ouvrage important en attente d’édition. Une simple lecture m’a rappelé à l’ordre : je viens de découvrir un article de Futura-sciences censé démystifier les théories de d’élaboration volontaire du virus Covid 19 en laboratoire. Après lecture et relecture, pas un doute ; ne pas écrire, ne pas réagir, ne pas dénoncer l’imposture aurait été criminel ! Alors je partage, dussé-je y sacrifier une énième nuit supplémentaire et me ronger encore un peu plus les os.

Il y a peu, un ami militaire, ayant travaillé dans les Renseignements Généraux, m’a confié : tu t’échines à expliquer des choses volontairement complexifiées et codées à des abrutis qui préfèrent rester aveugles ou profiter de la situation en demeurant borgnes. « Trop bon, trop con ». Je lui ai répondu, même les pires des cons et les chefs d’escadrille parmi les salopards ont des enfants en bas âge, de malheureux animaux et des plantes vertes… Je travaille  pour eux. Sauf notre respect mutuel, je te dirais « trop malin, trop malin, celui qui comme Ulysse… L’information est un courant de faible tension qui ne s’arrête pas aux bêtes, elle ne fait que passer par elles ». Son œil de légionnaire n’a pas compris, son œil de génie militaire si !  Voilà qui m’a évité un bourre pif.

Le journal en question, Futura sciences donc, fait parler la science en son nom et donne la preuve indubitable, je ne démens pas l’étude, que le virus est trop complexe et trop  adapté à l’Homme pour être le fruit d’une élaboration en laboratoire par manipulation génétique d’ordre artificiel, c’est-à-dire conduite par la main de scientifiques directement sur une souche existante ou par implant sur un squelette synthétique. Malheureusement le journal conclut aussi ceci : « Les caractéristiques du coronavirus excluent la manipulation en laboratoire comme une origine potentielle pour le SRAS-CoV-2 », insiste Kristian Andersen. De quoi mettre fin à toute spéculation de manipulation de génie génétique délibéré.

Réfléchissons un peu : mettre en présence deux créatures différentes, atteintes respectivement par deux virus différents, mais compatibles "sexuellement", c’est aussi de la manipulation génétique ! Et que peut-on obtenir en pratiquant une telle expérience sur de nombreux cas avec un bon protocole ? Un nouveau virus mutant doté de nouvelles capacités et qui aux yeux de tous, preuves à l’appui, aura muté naturellement.

Ce qui m’inquiète ici :

Vraisemblablement, notre nouveau virus semblait le fruit de cette hérésie qu’est la culture intensive (mutation des souches virales entre les espèces aviaires, les cochons, les bovins, tout ce que mangent les chinois et l’Homme). Profondément agacé par l’arnaque et les instrumentalisations de la théorie du complot, loin de moi l’idée de rejeter cet avis raisonnable, qui n’en est pas moins alarmiste concernant la nécessité absolue de changer notre mode de vie suicidaire et ignoblement criminel, meurtrier, envers les espèces animales et végétales.

Mais comment ne pas vaciller en constatant qu’un magazine ayant l’aval de la communauté scientifique brise la règle N°1, en affirmant une ineptie qui non seulement lui fait risquer sa réputation, mais qui de surcroit va donner raison aux cervelles les plus affûtées œuvrant pour la théorie du complot ?

La religion, le droit divin, la justice, la science… Lorsqu’une autorité suprême se contredit elle-même, il y a fort à parier que de terribles et funestes intérêts corrompent leurs représentants.

Je vous conseille ici de revenir sur mes articles précédents concernant le contexte géopolitique actuel, la nouvelle prégnance de nos millénarismes et l’échec total de notre consensus démocratique à l’échelle globale. Un échec programmé, causal, dont la transcription chrétienne fait mention à travers la notion d’accord tacite. "Libérez Barrabas et crucifiez le corbeau de tempête qui fait mauvais hôte chez les marchands et consommateurs que nous sommes". Le début de la fin pour la Pax Romana… Et une conversion des bourreaux qui ne suffira pas à relever l’Empire.  

Au Sud,  la colère, la faim, la soif et la rancœur. Au Nord, le royaume de rois déchus et oubliés de nos mémoires, la terre froide et désolée du gêne Ötsi. Entre l’Est et l’Ouest, une guerre larvée et déniée depuis trop longtemps, dont les tambours mortels sonnent de nouveau.

A qui servirait un acte volontaire ?

Au terrorisme peut-être, du moins aux terroristes prêts à se sacrifier comme Samson contre les philistins ou comme un fanatique capable de se faire sauter le caisson pour égratigner le soft power de la bonne conscience.

Et plus encore à une élite en face de son échec à gouverner les peuples, une élite rompue à l’empirisme et consciente que seules les masses les plus pauvres et les plus faibles ne survivront pas à une arme bactériologique/virale. Un acte écologique et un terrain favorable pour la reprise…

Le millénarisme religieux, l’extrémisme politique et les laboratoires idéologiques de la raison des vainqueurs !

Les services de renseignement de nombreux pays dits non alignés, travaillent ces trois pistes. Mais gardons ceci en mémoire : que ce virus soit le fruit des cultures intensives propre au moteur corrompu de notre croissance ou celui d’une manipulation génétique, le résultat sera le même. Un catalyseur, un déclencheur de la mécanique de la ruine.

Quelques associations logiques :

  • Austérité, autorité, perte des droits, principe de précaution drastique !  Pour garantir aux vaches que nous sommes, une apparente sécurité… ça c’est le cas d’un virus naturel et d’un consensus global, en la faveur du Nouvel Ordre Mondial et des spéculateurs ou politiques responsables de tout ce désastre. Que le virus soit « naturel » ou « artificiel ».
  • Le virus élaboré volontairement, faut-il le dire, c’est le premier chapitre de la guerre totale.
  • Et enfin, l’austérité passagère, le confinement en attendant l’investissement de tous dans le système de santé, l’annulation des dettes, le contrôle de l’inflation par la reconquête de la souveraineté des états sur la monnaie et sur la main invisible de l’économie ultra-libérale, la réparation du système judiciaire et enfin la réforme des institutions religieuses, ça c’est la sortie de crise sanitaire et la construction possible d’un nouveau monde. Que le virus soit « naturel » ou « artificiel ».

La troisième option est impossible, si les forces en présence ne se heurtent pas au seul mur auquel elles ne s’attendent pas : la vérité ! Ça fait sourire les babines, non ? Rien d’étonnant, la vérité, personne ne l’attend plus. Au mieux, la notion nous fait ricaner, au pire elle nous emmerde et devient très vite insupportable, incompatible avec notre petite vie. C’est pour cela que la vérité est ce qu’elle est et que personne ne peut lui échapper, ne la voyant jamais venir. Elle ne vient pas, elle est partout, invisible, sous nos pieds, sous notre pif éternellement enrhumé. Trêve d’énigme, la vérité, c’est le code source du langage. Il existe une science que l’on oublie souvent, alors qu’elle est au cœur de toutes les sciences. Par elle la parole est devenue écriture, par elle l’écriture a expliqué la parole et tout ce qui peut être signifié… La sémantique. Lorsque l’on comprend qu’elle inclut les autres sciences (arithmétique, géométrie, mathématique, musicologie, physique…), on réalise aussi que plus qu’une science, elle est un art pouvant nous conduire à l’immanence du principe de la vie. Or, une maîtrise poussée de la sémantique conduit indubitablement à réinterpréter « scientifiquement » tous les paradigmes historiques nous ayant guidé dans la mécanique de la ruine pour cause d’altérités réciproques entre barbares ou hypocrites peu évolués.

Vous comprendrez ici, c’est mon vœu le plus cher, pourquoi j’insiste tant depuis toutes ces années pour attirer votre attention sur le fruit de mes recherches et surtout, sur mes découvertes. Force est de constater que mon ami militaire n’a pas complètement tort et que je progresserais mieux si je n’étais pas autodidacte et suivi par quelques sponsors ! Si je ne m’adressais pas par défaut de relations à des internautes passifs, orgueilleux, parfois idiots ou satisfaits de leur opportuniste intelligence, pour reprendre l’idée de ce brave soldat torturé par le poids conséquent de son génie militaire. Quelques chiffres : 40 000 passages sur mon blog depuis 10 ans sans pub et 7 fois plus d’articles lu, la même chose sur les réseaux dits sociaux en 3 ans, mais seulement une cinquantaine de commentaires, tous plus plats les uns que les autres. Sur facebook, le « number one », une foule de passages et de curieux, mais seulement une centaine d’abonnés silencieux et une dizaine d’amis « électroniques » fiables dont la moitié seulement maîtrise l’art du langage ! Parmi mes fréquentations, la plus honnête m’a confié un jour : « je ne partage pas tes articles parce que j’ai peur qu’on me prenne pour un torturé des méninges ». Amour propre ! Ou plutôt maladie collective, connective, de l’amour propre.  Un autre, prudent, m’a dit : « moi je ne partage pas parce que je ne tiens pas à être surveillé par quelque autorité que ce soit ». Isolationnisme, hypocrisie, peur.

N’y a-t-il plus le moindre espoir en vous ?

L’allégeance, la soumission, l’opportunisme, le sophisme, (…), ou l’illusoire  confort de l’ignorance sont-elles les seules forces qui vous animent ? L’auto satisfaction peut-être ? Avec un orgueilleux sentiment de supériorité ou d’infériorité ?  

Par acédie ? Par envie ? Par colère ? Par luxure ? Par gourmandise ? Par avarice ?... Ne fuyez pas ce qui caractérise votre nature, mais n’en faites pas une somme de péchés !

L’accord tacite est le pouvoir qui perpétue nos habitudes et légitime notre suffisance.

Ensemble conjurons les faux imbéciles que nous sommes !

Ensemble poussons le mal, qui n’a ni forme, ni nom, ni légitimité ici, à démasquer sa vraie nature !

Il en guérira et la part des ténèbres épousera de nouveau la lumière que nous avons perdue.

Réparation !      

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