Qui exprime vraiment? Qui ou quoi compte pour qui? Pourquoi? Quand? Où? Et comment?
Dans un article précédant, dont le lien figure en bas de page, j'introduisais mes propos par la question sémantique suivante:
The GATE’(S) BILL of HARD/WARE and MICRO/SOFT - Traductions: la facture de la porte du lourd matériel marchand et du tout petit logiciel. Ou encore : la facture de la porte de l’objet dur et de la souplesse de son porte-parole (le micro).
Ceux qui débarquent ici se demanderont probablement si l’introduction de ce texte (concernant le nom de Bill Gates et l’équation sémantique qu’elle forme avec les fonctions du personnage) est un surprenant hasard venant égayer une triste démonstration et une expression sans concession au regard de la partialité de nos consciences endormies. Il n’en est rien !
Au-delà de ce que l’école nous enseigne à tous dans une optique de croissance matérielle aveugle, le langage sous toutes ses formes est un principe immanent qui révèle ses secrets à qui sait encore poser correctement une question, à qui sait encore réunir les voies de la sémantique, des sciences, de la logistique et des arts. Autrement dit, au-dessus et en deçà du plancher des vaches, les initiés qui nous manipulent dans l’ombre et influencent ceux qui nous gouvernent, jouent de cette connaissance hermétiquement verrouillée depuis deux millénaires, mais comme des adolescents borgnes jouent avec le feu lorsque leur expérience de manipulations des enfants aveugles dérape. Un criminel finit toujours par semer des traces en faveur de la vérité ou par retourner sur les lieux de son premier crime pour y ressentir le souffle de vie qu’il a perdu depuis ! Cela se nomme le démon de la perversité, démon pour le criminel, mais ange de la vérité.
Qu’est-ce à dire ? L’illustre famille Gates tiendrait-elle son patronyme d’un ancien jeu sémantique fondé sur la connaissance du langage et du pouvoir qu’elle procure sur les « moldus »? William Henry Gates III aurait-il lui-même choisi son prénom de substitution pour satisfaire un héritage qui se perd dans les méandres des millénarismes ? Il suffit de demander à un statisticien si de telles coïncidences sémantiques peuvent être le fruit du hasard ou d’une logique subtile, pour avoir votre réponse. À elle toute seule, l’histoire des Gates résume le côté obscur de l’humanisme matérialiste et ses conséquences sur le monde ! Une histoire qui en dit long sur les schismes religieux, sur la face cachée des Lumières, sur le choc des civilisations, sur les jeux de pouvoir et sur l’influence des Etats-Unis sur la politique mondiale. Depuis l’Antiquité, les personnages célèbres ont des noms dévoilant le même jeu sémantique ! Un exemple : un des mathématiciens réputés pour avoir ouvert la voie à toutes les sciences modernes s’appelait Leonhard Euler. Depuis le Moyen-Age, le prénom Leonhard ainsi orthographié correspondait à la notion d’éon et de dur (hard). En déplaçant les lettres pour former un anagramme, nous obtenons l’expression suivante : Hadron réel El, soit : Hadron réel Dieu. À l’époque El était utilisé pour signifier Dieu en raison des correspondances sémantiques cachées (hermétiques) unissant toutes les langues pratiquées dans la sphère judéo-chrétienne et au-delà. En intercalant le symbole mathématique U (union) nous obtenons Leonhard Union Euler, ceci correspondant à l’anagramme Hadron réelle union. Or, le Hadron, bien que soupçonné depuis l’antiquité, n’a été identifié et nommé ainsi que deux cent ans après l’existence physique de ce charmant monsieur, fils d'un Pasteur qui attendait une belle promotion à la naissance de sa progéniture. Le patronyme Euler est quant à lui relatif à la notion El Eru, issue d'un codage sémantique de la mythologie indo-européenne. Pour les grecs, Eon est une divinité liée au temps, pour les gnostiques, c’est une puissance éternelle émanant de l’être suprême et par laquelle s’exerce sa puissance sur le monde, etc… Pour la science, l’éon est l’intervalle de temps géochronologique correspondant à la plus grande subdivision chronostratigraphique de l’échelle des temps géologiques. L’éon dur (Leonhard, noyau de particule complexe) U Le versant caché du divin ! La particule de Dieu. Thème que l’on retrouve dans certains jeux de piste laissés par Albert Einstein. Une énigme qui a fait courir les services secrets des alliés et de leurs opposants, dans le contexte de la seconde guerre mondiale et de son bilan. Je vous évite de longues démonstrations concernant la plupart des grands hommes retenus par l’Histoire, toutes mènent au même point : la falsification des données, le langage et son instrumentalisation à des fins diverses.
Qu'est-ce à dire, le langage lui-même nous tromperait-il? Certes non! L'immanence du langage fait que peu à peu nous le découvrons, alors qu'à l'origine de l'humanité interactive, les sons, les mots et les expressions simples utilisés pour communiquer étaient les mêmes d'un bout à l'autre de la terre. Pas une langue adamique comme l'ont dit certains, cela serait un paradoxe au regard de la logique, un paradoxe qui arrangerait bien les institutions religieuses! Mais plutôt un point commun issu de notre métabolisme physiologique, comme le prouve le langage gestuel et les sons émis par les nouveaux nés. Ce langage se diversifiant en fonction du facteur d'influence culturel. Cependant, quelles que soient les langues véhiculaires étudiées, les linguistes et les sémanticiens ont fini par découvrir que des correspondances sémantiques, arithmétiques et géométriques les unissaient toutes, au delà des translitérations utilisées pour constituer le socle commun et les divergences logiques des langues mortes. Nous pouvons alors nous demander si l'étonnante signification du nom Bill Gates mis en équation avec les fonctions du personnage pourrait en sus nous révéler quelques subtilités concernant les chiffres et leur valeur sémantique. De quoi motiver notre statisticien à nous répondre : aucun hasard ici! Vérifions : Bill Gates est donc le roi du matériel dur et du soft, pour aller plus loin dans ce qu'il représente globalement et politiquement, nous pourrions dire qu'il est le prince du doux matériel dur (la main de fer dans le gant de velours, mais aussi la douceur illusoire et virtuelle des logiciels dont nous dépendons tous en acceptant d'être dépendant du matériel, de la machine et de la bureaucratie qu'elle incarne (IA 3.0)... Or BILL GATES SOFT HARDWARE d'après la loi de la sommation redécouverte par Leonhard Euler (redécouverte aussi par Pythagore bien avant lui), donne ceci : B(2)I(9)L(12 et donc 3)L(3) G(7)A(1)T(20 et donc 2)E(5)S(19 et donc 1) = 24 et donc 6 / S(1)O(6)F(6)T(2) = 15 et donc 6 / H(8)A(1)R(9)D(4)W(23 et donc 5)A(1)R(9)E(5) = 24 et donc 6. Mince alors, encore un 666! Histoire de ne pas alimenter les moulins des amateurs de numérologie galvaudée et de complots satanistes bidons, je rappelle que le chiffre 6 est le symbole réduit de l'angle à 60° qui caractérise le triangle parfait dit équilatéral. Cette valeur d'angle est aussi la base de la calligraphie des chiffres 4 et 7 pour des raisons de compréhension des relations entre la mesure du temps et des espaces. Les 666 talons d'or du roi Salomon ne symbolisent pas le satanisme, mais la dualité concernant ce que l'on peut faire de bien ou de mal avec la matière, le matériel et la fortune. Fortune étant lui-même un terme à double sens! Pas de superstition ici, juste de la logique, de la sémantique et une analyse approfondie des liens de causalité unissant la conscience et la matière. Soit dit en passant, O n'a pas pris le 15ème rang de notre alphabet latin par hasard, après l'intervention d'un certain Pierre de La Ramée! À cette époque, la grande énigme du pendule de Foucault concernant la mesure du temps et la relation espace-temps était au cœur de toutes les convoitises et des jeux de pouvoir entre les nations. La base angulaire 360° (trois fois la valeur de l'angle du triangle équilatéral) concerne avant tout la mesure des espaces, mais aussi celle du temps par l'intermédiaire du calcul de coordonnées, nécessaires à mesurer les vitesses angulaires ou la position d'objets mouvants par rapport à un point de repère fixe. Or en divisant 360° par 15 (6 encore), on obtient 24. L'unité horaire journalière que nous connaissons tous.
Autrement dit, les liens subtils unissant tous nos langages et caractérisant leur intime relation avec le signifié manifeste de la vie, avec le symbolisme, avec les sciences, avec la politique temporelle et avec les arts, constituent une chasse gardée que les élites se réservent jalousement. Pour nous manipuler? Question mal posée, bien que la réponse soit positive! Comprenons bien que le pouvoir dont ils ont hérité est mal acquis, que leur savoir n'est pas la réunion des connaissances et que le langage et ses révélations les plus hautes ne sont pas mérités par leur cœur corrompu. Mais surtout, comprenons ensemble qu'après avoir une nouvelle fois désigné des boucs émissaires et décapité les têtes pensantes, la révolution permanente nous éloignera d'autant plus de ce secret innocent concernant la nature de notre existence, le Graal que nous cherchons tous en nous en détournant. Lorsque l'empirisme pousse les hommes à vénérer un progrès comme un dieu qui leur permet d'enfouir leurs péchés les plus intimes, les rois et les empereurs perdent un œil et les peuples sombrent dans l'obscurité la plus totale. Dans cet accord contrarié global, dans ce royaume tacitement consenti entre borgnes (rois et voleurs) et aveugles (la masse ouvrière), tout gouvernement gouverne comme les gouvernés gouverneraient s'ils étaient à leur place à l'exercice du pouvoir.
Les lecteurs aux cœurs les plus intelligents et ouverts se demanderont ici ce que le langage peut bien révéler lorsqu'il est mis en équation avec toutes nos connaissances! Mais force est de constater que cet article est déjà suffisamment long et fourni pour des organes réfléchissants habitués à des saillies ordinaires et vulgaires depuis plusieurs générations. L'humour utilisé ici n'est pas moqueur! Il est à la mesure de la comédie dramatique à laquelle nous avons tous consenti, FORCE de VIOL COLLECTIF à RE/PETI/TION. Ce que le langage révèle ne mérite d'être dit qu'en prenant le temps nécessaire pour le dire afin d'être conscientisé par tous. Or force est de constater que depuis 5 ans, je propose GRATUITEMENT les clés indispensables à comprendre ces révélations à un public aussi large qu'hermétiquement fermé. Devant mon désarroi, les plus compatissants, comme les plus critiques, me proposent de généraliser ou au contraire d'entrer plus profondément dans les détails, de romancer pour séduire ou au contraire de vulgariser plus pour m'adresser aux esprits pragmatiques, de faire plus court ou de faire plus long, etc, etc... Un psychanalyste m'a dit il y a peu que je devrais faire payer mes écrits parce que les gens font plus d'effort lorsqu'il en va de leur bourse! Apparemment Freud, cet hypocrite, n'a pas dit son dernier mot... Nous retrouvons ici la fable du meunier, de l'enfant et de l'âne. Les révélations contenues dans le langage lui-même sont libres de droit, contrairement aux erreurs et délits intellectuels qui font la richesse de leurs auteurs, de leurs familles ou des maisons qui en ont récupéré l'usufruit et la rente! Elles s'adressent autant aux peuples qu'à ceux qui les gouvernent, sachant que pour en comprendre vraiment la portée, les premiers devront se libérer de leur acédie maladive et les seconds de leur péché d'orgueil. À bien réfléchir, chacun d'entre eux devrait au final se libérer, le temps d'une lecture, de tous les péchés capitaux qui les gouvernent. On ne peut pas dire que l’on respecte la logique ou la raison du vivant et de l’humain, tout en perpétuant empiriquement une expérience faussée et manifestement morbide ! Tout comme on ne peut se réfugier derrière la prière ou l’invocation des anges et autres énergies cosmiques, alors que l’on participe indolemment à une mécanique globale dont l’ignominie foudroierait le cœur endurci de Zeus en personne ! Il n’y a rien de pire que de se réfugier dans les principes, les prières, les mantras, la splendeur du Zohar, ou je ne sais quoi d'autre, en invoquant la bonne conscience et en prenant ainsi en otage l’Amour d’une innocence que l’on regarde subir le viol au quotidien, sans jamais se mettre en danger pour stopper l’innommable. J’ai essayé se disent certains, mais le danger est immense et le mal global invincible ! Voilà bien ce que ce mal a envie d’entendre. Lorsqu’il n’en restera plus un pour sacrifier ce qu’il a de plus cher s’il faut, tous connaîtrons enfin la grande victoire de la souffrance et de l’esclavagisme tacite.
Pour répondre néanmoins aux cœurs vaillants les plus sages parmi mes lecteurs, je les renvoie à tous mes textes concernant l'art du langage et de l'arithmancie cachée et je leur rappelle que cet art est la clé qui brisera l'hermétisme plurimillénaire, le sortilège qui annulera tous les sortilèges, et l'accord nécessaire à effacer les altérités réciproques millénaristes qui sont le moteur de la guerre économique et du consumérisme qui augmentent exponentiellement les effectifs de nos tombes amères. Et des fossoyeurs qui en font leur maudit gagne-pain, et autre coupe ostentatoire percée à mauvais vin.
THE GATES OF THE HARDWARE AND MICROSOFT - Le blog de Persone
The GATE'(S) BILL of HARD/WARE and MICRO/SOFT - Traductions: la facture de la porte du lourd matériel marchand et du tout petit logiciel. Ou encore : la facture de la porte de l'objet dur et de la...