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Le blog de Persone

Le nouveau visage de Jésus... Le Christ aux yeux bleus était un juif apocalyptique qui n'appréciait guère les mangeurs de cochon... Oups!

15 Février 2017, 04:03am

Publié par Persone

Le nouveau visage de Jésus... Le Christ aux yeux bleus était un juif apocalyptique qui n'appréciait guère les mangeurs de cochon... Oups!
Le nouveau visage de Jésus... Le Christ aux yeux bleus était un juif apocalyptique qui n'appréciait guère les mangeurs de cochon... Oups!
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Le nouveau visage de Jésus... Le Christ aux yeux bleus était un juif apocalyptique qui n'appréciait guère les mangeurs de cochon... Oups!

 

LA FOI ET LE BATON

 

Entre la Synagogue, L’Eglise et la Mosquée…

L’Orgueil et son côté obscur.

La voie du sacrificateur, englué avec ses ennemis dans la toile d’une malheureuse veuve en noir… Ou en string !

Ça fout les jetons non ?

Quoi d’autre ?

Une grande marmite sacrée dans laquelle les fidèles et les infidèles bouillonnent ensemble dans leurs propres tripes. Des sous, du sang et des larmes.

La religion…

Et merde.

J’ai tant rechigné à penser cette page… Imaginez la colère insondable et l’Amour infini se faisant enfin face, au point mort d’un champ dévasté par les batailles. Imaginez les deux amants terribles s’embrasser de nouveau au seuil de la nuit des temps. L’Apocalypse ? Mon cœur a choisi pour moi…

La réunion.

Et moi, quoi faire de mes origines chrétiennes ?

Ici qu’avons-nous ? Notre Sainte mère l’Eglise… Au nom de laquelle tant de mal fut fait.

Mais qu’a-t-on fait d’elle ? Et qu’a-t-on laissé faire ?

Précisons les termes: Notre Sainte mère l’Eglise, représente-t-elle la foi du juste, la recherche de la vérité ? Puis-je utiliser « spiritualité » pour la définir dans mon article ? Non ! La spiritualité ne s’encombre pas du déterminisme, elle n’engendre pas de charnier.  Il serait plus avisé d’utiliser le terme de « religion », mais le mot résiste ! J’aurais bien recouru au terme « Mère », pour des raisons sensibles que vous comprendrez (la mère nourrit, la mère partage les larmes, la mère protège aveuglement…), mais il résiste aussi ! Je choisis donc la foi ! La foi libère du néant, mais comme l’orgueil, elle est aveugle ! Sans l’intelligence et l’humilité, elle se cristallise pour devenir le spectre conquérant de la conviction et s’éloigne ainsi de la vérité dont elle était pourtant la messagère. Lorsque les murs sacrés sont bâtis, lorsque les frontières sont établies, chacun les siens et les siennes, il est souvent difficile de revenir à la source des erreurs ou des mensonges dont l’entropie a atteint tous les mécanismes des civilisations concernées ! La foi ! Sa faiblesse puissante et sa force fragile résument bien le paradoxe de nos trois « maisons » principales !

Pour une mise en contexte de cette réflexion sur la foi et le bâton, je vous propose un saut dans le temps,  suivi d’une argumentation chronologique :

 

A PROPOS DES ORIGINES DE NOS ALTERITES RECIPROQUES

Le nouveau visage de Jésus... Le Christ aux yeux bleus était un juif apocalyptique qui n'appréciait guère les mangeurs de cochon... Oups!
Le nouveau visage de Jésus... Le Christ aux yeux bleus était un juif apocalyptique qui n'appréciait guère les mangeurs de cochon... Oups!
Le nouveau visage de Jésus... Le Christ aux yeux bleus était un juif apocalyptique qui n'appréciait guère les mangeurs de cochon... Oups!

Après s’être métissé avec l’homme de Néandertal dont le territoire fut progressivement colonisé, Sapiens a assisté à l’extinction de son « hôte ». Ici s’enracine le complexe de la conquête de l’espace pour la grande famille de l’Homo sapiens, déchirée entre la notion de partage et celle de lutte pour le contrôle des ressources et du territoire. L’horloge biologique de la jeune humanité se confronte ici à un problème encore inconscient chez l’individu : L’entropie des systèmes. Entendons par là les premières parties du jeu des causes et des conséquences, devant déterminer les tendances de l’évolution du rapport…

  • Entre les hommes
  • Entre les femmes
  • Entre les hommes et les femmes
  • Entre les tribus qui forgeront les premières civilisations.

Ici déjà, la foi protège la famille !

Comment ? L’horloge biologique n’est pas que la raison de l’estomac, elle est aussi celle du cœur !!!

En réponse aux forces extraordinaires de la nature environnante, mais aussi pour apaiser la rudesse du bâton des chefs, la famille humaine a très rapidement développé ses relations affectives, ses liens sociaux, ses rites funéraires (…) et surtout sa recherche de repères spirituels.

Grimpons de nouveau dans notre machine à remonter le temps et retournons vers le futur… Arrêtons-nous vers le début de la fin de l’hégémonie romaine, il y’a environ 2 000 ans. Période durant laquelle un certain Jésus fit parler de lui…

Une  époque de glaive, de conquête, de décadence et d’agitation cosmopolite, partout régnaient l’hypocrisie, la terreur, la catharsis et le confusionnisme spirituel. Rome semble à son apogée, mais ne retrouvera jamais son prestige. L’a-t-elle un jour mérité ? Les juifs attendent le Machia’h… Entre deux persécutions, ils sont partagés entre la survie, la débauche (…) la foi ou les affaires ! Le méritent-ils ? Et les barbares, comme on les nommait…

La Judée ! Et tout ce Moyen-Orient conquis par les romains ? Explosif ! Que dire de ces empires et de ces dynasties n’attendant qu’un signe de faiblesse de la part de l’aigle pour lui montrer que l’hypocrisie et la paix par les relations profitables n’ont jamais amoindri la volonté de justice et de vengeance face à l’envahisseur ?

L’Empire occidental, le Goliath… La lignée de David dont les « arches » partaient déjà à la conquête du monde sur des eaux furieuses…  Et enfin les nombreuses dynasties qui s’unifieront quelques 500 à 600 ans plus tard, sous l’impulsion de Muhammad. Une période de paroxysmes !

Le nouveau visage de Jésus... Le Christ aux yeux bleus était un juif apocalyptique qui n'appréciait guère les mangeurs de cochon... Oups!
Le nouveau visage de Jésus... Le Christ aux yeux bleus était un juif apocalyptique qui n'appréciait guère les mangeurs de cochon... Oups!

Là-dessus arrive un type, flanqué de 12 disciples, suivis par des hommes et surtout des femmes, ayant parfois quitté le foyer pour vivre l’aventure. Un homme dont on dit qu’il est le Machia’h tant attendu par les juifs ! D’après les informations que nous fournissent la science et l’impartiale logique : Un personnage sur lequel on peut finalement affirmer bien peu de chose, compte-tenu de l’absence de documents d’époque mentionnant Jésus indépendamment des récits des nazaréens, si ce n’est quelques allusions de Flavius Joseph et des documents romains mentionnant son intrusion dans le temple hébreux et la volonté des notables Juifs pour son procès. Les meilleures informations sur le personnage n’étant révélées que par une lecture scrupuleuse et une étude chronologique des premières transcriptions des témoignages (textes originaux) et des multiples rajouts et traductions ayant permis l’assemblage final des épitres et des évangiles du nouveau testament. A cette étude doit s’ajouter une comparaison avec l’ancien testament. Cette étude a-t-elle été faite ? Oui.

 

A PROPOS DU CHRIST

Alors ?

Un homme, tout simplement ? Un juif de bonne famille ? Un homme instruit, apparemment plus par la parole et les prédispositions que par l’écriture ? Un conservateur réactionnaire en lutte contre Rome, mais aussi contre l’hypocrisie des juifs soumis par les liens du profit et de l’esclavagisme social ? Un révolutionnaire ? Un homme chargé d’Amour et de Colère ? Un juif zélé dont le message était plus exclusif qu’égalitariste ? Un homme de foi intense, capable de faire éclater toute l’hypocrisie de ses semblables (les hommes) au grand jour, par le sacrifice ultime de son corps ? Les hypothèses les plus probables, compte tenu des études les plus pertinentes du contexte sociopolitique de l’époque et des enjeux pesant sur les épaules de ceux qui bouleversèrent la Judée avec le cas Jésus. Certains auront du mal à l’admettre, mais Jésus était un juif conservateur et réactionnaire prêchant la fin des temps (de Belzebuth) et l’avènement du royaume de Dieu, enfin sur terre comme au ciel. Ce message est contenu entre autres dans une prière que tout le monde connait - le nôtre Père… Un royaume dans lequel les premiers seraient les derniers et les derniers les premiers…

Les raisins de la colère version intervention divine…  La zemblanité refoulant la sérendipité, en mode apocalypse ! Pas vraiment pacifiste cette vision du jugement dernier, n’est-il pas ? Mais très proche d’une réalité toujours actuelle, sans l’apocalypse !

Ironie du sort, la fin attendue en son temps par Jésus ne s’est pas produite, alors que l’homme moderne, ne croyant plus en rien ou estimant devoir  s’occuper lui-même de ses ennemis, est en train de faire tout ce qu’il peut pour qu’il s’en produise une !

Mais ce n’est pas tout, une petite parenthèse s'impose:

L’église romaine enseigne donc une liturgie prônant l’Amour, mais fondée sur une falsification de la réalité ! Le faisant aujourd’hui devant  deux milliards de fidèles sur plus de 7 milliards d’humains qui, paradoxalement, n’ont plus besoin que de la vérité pour comprendre les mécanismes de ce qui les a menés lentement vers l‘entonnoir morbide de l’hypocrisie productive et du consumérisme. Un mode de vie collectif par défaut, un petit paradis virtuel et matériel, fondé sur des « lois scélérates » permettant de faire turbiner des ouvriers chrétiens, juifs, musulmans (…) et laïques, tous ensembles, dans le meilleur des monde. Combien de temps le matérialisme et le confort masqueront –ils encore l’absurdité suicidaire de cette bande de singes ultra compétitifs ayant pris l’habitude de se serrer la main après avoir craché dedans ? Aujourd’hui le mensonge s’effrite, certes, mais la maladie s’adapte : Les enfants des singes ont oublié leur histoire, plus de doigts croisés dans le dos, plus de molard au creux de la main, le système roule tout seul, chacun son culte, chacun son beurre et son pinard et surtout, chacun pour sa peau et se précieuse carrière !

Autre paradoxe, aujourd’hui nous nous focalisons tous sur le terrorisme islamique parce que les bombes artisanales et le mitraillage en plein shopping on n’en veut pas ! Mais se creuser les méninges à propos de l’influence de la politique occidentale sur le glissement sémantique de la notion de djihâd, tout le monde s’en fout ! Des occidentaux et les byzantins qui ont construit un immense pouvoir religieux sur les paroles d’un juif zélote que les juifs eux-mêmes trouvaient trop réactionnaire, tout le monde s’en cogne !Pourquoi les faces de craies boutonneuses élevées dans la culture de la bouffe et le sang des porcs ne comprennent pas pourquoi les arabes ne mangent pas de cochon et pourquoi le scandale de Jésus est une clé de l’énigme, tout le monde s’en tamponne le coquillart ! « On s’en bat les couilles » - comme disent tous ces petits génies qui prendront bientôt notre relève… Pourtant les intéressés sont légions ! Des chrétiens devant une réalité et une période décisive ou encore des juifs ou des musulmans attendant patiemment que l’Histoire se révèle… Mais aussi des radicaux,  des extrémistes et des hommes d’affaires qui les instrumentalisent ! Ceux qui s’en tapent ? Des moutons qui iront à la mort sans comprendre la partie qui se joue depuis 2000 ans. La laïcité est menacée ? Certes ! Mais admettons qu’elle est à notre image et que nous ne sommes encore de des petits trous de cul et autres têtes de gland ! Autrement dit, son pire ennemi c’est elle-même, son orgueil, son amour propre, son hypocrisie, son déni… Pourquoi n’a-t-on  rien vu avant ? Je le répète, tout le monde s’en fout ! Le cocktail Molotov dans la salade parisienne pas question, mais la Palestine on a fini par s’y habituer, et puis c’est loin ! Les ghettos juifs ou l’esclavagisme c’est loin ! L’Algérie française, la colonisation c’est loin ! Même le Zoo humain du siècle dernier nous semble loin, si loin ! Restent les délires des Juifs orthodoxes avec leurs jolies couettes ou les enfantillages des ultra-cathos, façon pinard saucisson, mais ça aussi, ça nous fait presque sourire ! Quant à la servitude face au système bancaire… Voilà qui comporte quelques avantages adaptés à toutes les bourses ! Entre  les trente glorieuses et la grande fête du slip, en crise ou avec le vent en poupe (…), pourquoi nous inquiéter de ces vieilles histoires qui n’intéressent que les zinzins de Dieu ? Voilà qui ne met pas de beurre dans les épinards ! Méditons à tout cela, aussi longtemps que faire se peut !

 

Le nouveau visage de Jésus... Le Christ aux yeux bleus était un juif apocalyptique qui n'appréciait guère les mangeurs de cochon... Oups!
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Alors… Vitam impedere vero ?

Voilà pourquoi j’écris comme un boxeur, ne ménageant pas plus mes tripes que la bonne conscience du lecteur ! Bien malheureusement, au royaume des aveugles les borgnes sont rois et l’hypocrisie est devenue une institution profitable face à laquelle la vérité n’est plus qu’un vieux principe inquisiteur dépassé par les obligations de résultat. Ironie du sort ces résultats sont dictés par un facteur inconnu, le cauchemar des économistes, dont le secret réside plus dans la signification des chiffres que dans le comptage des nombres : La complexification morbide du mensonge !

La vérité ! Le mot en lui-même fait peur de nos jours !

Le cœur malin et bien-pensant des médias de masse et de la planète Hollywood l’on mis dans la bouche de tous les méchants du monde ! L’Histoire  la mis dans les hurlements des sicaires et des soldats croisés ou musulmans (…), on l’a mise aussi dans la bouche des anarchistes, des révolutionnaires, des terroristes, des nazis, des soviets ou des maoïstes… Et la peur on n’en veut plus ! Ici et maintenant on oublie et on consomme ! Malheureusement ce ne sont pas les épouvantails qu’on a oublié ! On ne parle même que d’eux ! On a surtout oublié que cette phrase était aussi dans les bouches de tous ceux qui se sont dressés pour résister à l’air du temps sans la moindre violence, enseignant la paix et la voie de la guérison par le mérite, donnant l’exemple de la générosité et de l’humble foi en la vie pour cultiver correctement le jardin du cœur intelligent des humains.

Notre bonheur est matériel, il devient même virtuel et se passe de mieux en mieux de la vérité ! Voilà qui méritait une parenthèse.

Mais revenons-en à notre homme : Le Christ était bel et bien un juif, un zélote illuminé soit par une pure inspiration soit par une illusion cathartique ! Un jusqu’au-boutiste, mais qui aurait sombré dans l’oubli et le déshonneur des crucifiés si ses fidèles n’avaient pas œuvré pour préparer son règne. Qu’a fait la foi ? Du côté des juifs conformes aux pratiques habituelles sous l’emprise romaine : Elle a provoqué le doute, puis l’indignation et le rejet de Jésus. Côté Nazaréens, elle a envahi les cœurs ! Elle a protégé son chevalier et la famille des hommes en donnant l’ardeur aux fidèles ! Mais l’Orgueil, l’amour propre et la raison ont divisé les disciples entre eux. Imaginons un instant la taille des enjeux personnels, sociaux et politiques reposant sur les « pères » de cette Eglise fragile, après la mort des apôtres : Les croix, les clous et le glaive attendent, mais « la bonne nouvelle » est un espoir naissant enflammant rapidement le cœur des opprimés, aussi bien chez les juifs que chez les envahisseurs païens. Une partie à quitte ou double !

Sauver Jésus était impossible. En revanche, après sa mort, ses disciples et fidèles les plus instruits et les plus conscients des enjeux pouvaient interpréter ses paroles et les consigner par écrit pour guider les nouvelles églises en gestation. Encore fallait-il résoudre les dissensions. Les épitres de Paul constituent cette première source écrite à laquelle se sont ajoutés les évangiles, évangiles dont la plupart ont vu le jour bien après la mort des apôtres censés les avoir rédigés. N’oublions pas que les disciples attendaient le retour de Jésus et qu’ils étaient, probablement pour la plupart, analphabètes. Malgré tout, le scandale juif du procès de cet homme, les oppositions politiques et l’espoir d’un paradigme plus juste pour les opprimés… ont été le choc, l’étincelle et le foyer d’un feu ardent ! Le problème posé par Jésus Christ s’est étendu au-delà même de la Judée.     

Le nouveau testament ne serait qu’une longue suite d’interprétations, de falsifications et de traductions délicates de l’Araméen au grecque et au Latin ? OUI ! C’est bien ce que je vous disais : Notre foi a protégé l’espoir naissant des Hommes, un espoir porté par son chevalier du moment, crucifié par ses semblables et plus précisément jugé par les siens pour ses excès dérangeants et exécuté par l’autorité Romaine pour rétablir le calme dans une Judée explosive. Notre foi n’a pas menti, elle est aveugle. Elle a suggéré au cœur d’une nouvelle génération d’hommes et de femmes  de continuer une belle aventure et de participer à un avenir plus décent. Le mensonge vient de la raison, de la bouche et de la main de quelques hommes. Et les Hommes sont ce qu’ils sont dit-on… Si justes soient-elles, les paroles d’un crucifié ayant blasphémé l’autorité des patriarches dans le temple, étaient donc vouées à l’oubli. A moins que… A moins que l’on prouve le caractère sacré de l’homme en question, laissant planer un mystère sur sa naissance et sa résurrection. A moins que l’on puisse affirmer qu’il faisait des miracles. A moins surtout que l’on puisse affirmer qu’il descendait d’Abraham, Isaac et Jacob. C’est donc la raison des hommes et l’orgueil qui ont poussé au mensonge, pas leur foi. La raison et la plume qui falsifient… La marque sur le front et la main, 666 !

On dit qu’écrire s’est se psychanalyser.

Et j’ajouterais « même un mensonge cache la vérité » !!! La foi n’est qu’un rappel de notre horloge biologique et de notre cœur d’enfant ! C’est l’orgueil flanqué de l’amour propre ou de la haine et armé d’un bâton de justicier, qui nous pousse au pire. Or, en cette période, l’orgueil était à son paroxysme : Celui des envahisseurs, autoritaires, condescendants, cruels… Comme celui des envahis les mieux lotis, poussés aux pires compromis… Et celui des perdants de tous bords, soumis, avilis, terrorisés. Que peut la foi contre le règne du glaive et de l’hypocrisie ? Sans l’aide de l’orgueil, de son intelligence et de son bâton ? Seth, l’orgueil négatif des laissés-pour-compte a bien des ressources ! Parmi les dilemmes des nombreux rédacteurs : Etablir des concordances, emprunter les noms des vrais témoins, falsifier discrètement des généalogies…

Il semble difficile, dans ce contexte de violence et de perdition, d’incriminer les nazaréens et l’église des premiers siècles. Plus précisément je dirais que toutes les falsifications n’ont pas le même poids (conséquences sur l’avenir), les volontaires étant les pires.

Nous abordons ici un sujet crucial !

Les mensonges, remis dans leur contexte semblent justifiables, ce qui pourrait confirmer un adage que nous cautionnons tous pour nous doter d’une bonne conscience et pour alimenter le conformisme de nos paradigmes historiques, si morbides soient-ils : N’accusons pas notre Histoire et nos patriarches, le contexte est leur excuse !

Mais, dans cette vision des choses, on ne voit que le sauvetage in extremis de notre Eglise, dans une période justifiant bien quelques falsifications.

Et les Juifs ? Si nous les replacions eux-aussi dans le contexte de cette équation !!!

Le nouveau visage de Jésus... Le Christ aux yeux bleus était un juif apocalyptique qui n'appréciait guère les mangeurs de cochon... Oups!
Le nouveau visage de Jésus... Le Christ aux yeux bleus était un juif apocalyptique qui n'appréciait guère les mangeurs de cochon... Oups!
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A PROPOS DES JUIFS :

 

En 70, le temple est de nouveau détruit, après un massacre légendaire ! En 135, les juifs sont chassés de Jérusalem. L’ordre des sadducéens disparaît totalement, le judaïsme étant sauvé par les pharisiens. Les hébreux devront attendre l’entrée dans Jérusalem de Omar ibn al-Khattâb (Ami et bras droit du prophète Muhammad), victorieux face à l’empire romain d’orient (Empire Byzantin), avant de rentrer enfin dans leur ville sainte avec le droit d’y observer leur culte.  On leur confit la tâche des poubelles et de la propreté de la ville, ce qui vaut toujours mieux que le code Justinien. Après Six siècles d’attente !!! Cerise sur le gâteau: Entre temps les romains ayant progressivement admis le christianisme, L’Eglise s’est affirmée ! Notons un mécanisme intéressant : Même après la destruction du temple, les juifs nazaréens étaient toujours minoritaires et les entailles au code judaïque pratiqué par les disciples de Jésus pour convertir les païens achevaient de justifier le rejet total du mouvement chrétien. Mais, comme je l’ai mentionné, les juifs avaient déjà fort à faire pour rassembler le peuple d’Israël et pour adapter la pratique des lois après la destruction du Saint des saints. C’est l’Empereur Constantin qui a fait basculer la situation en donnant aux chrétiens le pouvoir de déifier leur prophète, quel que soit l’avis des juifs, dont les croyances ne vaudront bientôt pas mieux que celles des hérétiques.     

Et ceci n’est qu’un piètre résumé, je vous épargne les détails ! Et les persécutions subis par les juifs, essuyant le poids habituel des croix romaines avec la vengeance des chrétiens en plus !!!

Vous rendez-vous compte de l’implication de tous ces faits ?

Je précise ma pensée : Au 7ème siècle, les Juifs repartent à zéro en faisant les poubelles de leur ville sainte et y découvrent l’influence prise par l’Eglise chrétienne, le culte et les lieux saints chrétiens ayant survécu au siège de la ville et bénéficiant d’une garantie de pèlerinage par Arun al Rashid. Mais quelle est cette Eglise ? Un culte adopté par les envahisseurs païens et fondé sur les paroles d’un juif réactionnaire et conservateur !!! Un juif que la plupart des juifs considéraient comme un simple prêcheur apocalyptique, doué, mais dérangeant, un type dont la vie et la mort n’avait pas même marqué les descendants d’Abraham !!!

Note : Si Jésus en personne était revenu d’entre les morts pour assister au retour de ses compatriotes, ils auraient probablement piqué une colère et crié au blasphème devant la croix chrétienne !!!   

Comprenez-vous ici l’implication des mensonges que nous étions prêts à justifier facilement quelques paragraphes plus haut, avec pour excuse… Le contexte ! La grande excuse de l’Histoire et de ceux qui l’ont faite, comme nous faisons le futur !

Si le mensonge originel de l’Eglise était excusable, la réaction des juifs après leur souffrance est excusable aussi, non ? Sauf hypocrisie, vous conviendrez qu’il s’agit là d’une logique indéniable ! Au passage, nous venons de comprendre comment un gros mensonge délibéré et soutenu dans le temps, quand bien même fut-il commis au nom de l’Amour, crée toujours une injustice dont les conséquences mènent à l’esprit de revanche, à la haine et à la souffrance ! Jusqu’au retour de la vérité. Des zélotes aux sicaires, des sicaires aux intégristes ultra-orthodoxes et sans oublier les sionistes radicaux sans pratique religieuse affirmée… Tous ceux-là ont des excuses, puisque l’Histoire est une grande excuse à elle toute seule ! Non ? Ce fameux contexte qui excuse tous nos braves patriarches des quatre horizons! La grande excuse de Monsieur Toulmonde. Mais… Si tous ces mensonges, mouvements réactionnaires et violences sont excusables, où sont les limites de ce qui est excusable ou pas ? Les crimes staliniens, excusables ? Le nazisme, excusable ?

Tout cela fiche un coup à la bonne conscience, non ? Un bon début !

Et plus tard, pour nos arrière, arrière-petits-enfants… Le fait que l’on ait sacrifié leur avenir pour s’être vautrés dans l’ignorance et la consommation consumériste, excusable ?

Comprenons-le, la bonne conscience nous a rongé le cerveau comme un poison mortel ! En soi « excusable » est un terme à double sens, très dangereux lorsqu’il alimente la bien-pensance ! Les mensonges de l’Eglise, les vengeances par le crime rituel, l’escalade de la violence, la décadence et les délits d’initiés dont on parle ici sont commis sciemment, avec préméditation et de façon durable !!! Il ne s’agit pas de réaction à froid, ni de légitime défense. Dans ce contexte, le mensonge n’est pas plus excusable que les violences qui en découlent, tout comme la violence n’est pas plus excusable que les mensonges qu’elle engendre… Et ainsi de suite.

Je l’affirme encore, c’est de Pardon dont nous avons besoin, et avant cela, de repentir (!!!), plutôt que d’excuses, toutes plus hypocrites les unes que les autres !

Mais revenons à nos brebis, à nos agneaux, à nos boucs… A nos poules, nos vaches et nos fermiers :

En 1078, les juifs les plus réactionnaires auront la satisfaction maligne de voir le pèlerinage des chrétiens aboli, mais en 1095, les croisés débarquent à Jérusalem… A l’issue du siège et du sac par les soldats chrétiens, les juifs ayant aidé à défendre la ville se réfugient dans la synagogue. On donne l’ordre de la brûler.

A partir de 1268, les juifs retournent dans la cité dans laquelle le rabbin Moshe ben Nahman a fait rebâtir une synagogue. Ce dernier arrive à Jérusalem en 1267, après s’être attiré les foudres de l’Eglise chrétienne en Espagne pendant la disputation de Barcelone. Je vous laisse découvrir le sujet de la dispute par vous-mêmes !!!

Avec le temps, toutes les causes et conséquences issus du mensonge que nous excusions à deux pages d’ici se sont multipliées « comme des petits pains » bien au-delà du Moyen-Orient ! Comme notre actualité en témoigne.

Les choses s’aggravèrent avec le confusionnisme de l’époque :

Les crises, les famines, la peste, la fin scabreuse des chevaliers de l’Ordre du Temple, l’obscurantisme et la radicalisation de principes fondateurs, établis sur des vérités à l’emporte-pièce…

Les droits divins ! Et la sacrosainte inquisition, tout un poème !

Le sceptre et la couronne sacrée de l’Orgueil ! 1 et 0… Le bâton et l’anneau unique ! Rappelez-vous : Satan, Anus, Pardon et Paradis (…) définis par des leaders totalement corrompus, de viles créatures en costume du dimanche !!!  Nous connaissons bien la suite... Les intérêts du Vatican, la luxure, l’hypocrisie, la consolidation des murs du mensonge…

LA SAINTE INQUISITION. QUELLE HONTE !

Mais il ne s’agit là que du côté chrétien et Européen ! Et côté juif ?

Côté Juif, on profite de l’Empire ottoman pour fuir les persécutions des chrétiens d’Europe et revenir vers la terre sainte. Au passage, ils participent à la révolution du protestantisme et à l’essor d’un important courant intellectuel en Allemagne, ceci étant un des ingrédients principaux du Complot juif faisant les choux gras de nombreux antisémites.  A la fin du XIX ème, l’antisémitisme ronge une bonne partie de l’Europe, les juifs émigrent fortement vers Jérusalem. En 1917, la déclaration Balfour légitime le foyer national juif en Palestine… La région est sous mandat britannique ! Et plus tard… Du sang et des larmes, une plaie qui n’en finit plus de s’ouvrir.  

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A PROPOS DES JUIFS :

 

En 70, le temple est de nouveau détruit, après un massacre légendaire ! En 135, les juifs sont chassés de Jérusalem. L’ordre des sadducéens disparaît totalement, le judaïsme étant sauvé par les pharisiens. Les hébreux devront attendre l’entrée dans Jérusalem de Omar ibn al-Khattâb (Ami et bras droit du prophète Muhammad), victorieux face à l’empire romain d’orient (Empire Byzantin), avant de rentrer enfin dans leur ville sainte avec le droit d’y observer leur culte.  On leur confit la tâche des poubelles et de la propreté de la ville, ce qui vaut toujours mieux que le code Justinien. Après Six siècles d’attente !!! Cerise sur le gâteau: Entre temps les romains ayant progressivement admis le christianisme, L’Eglise s’est affirmée ! Notons un mécanisme intéressant : Même après la destruction du temple, les juifs nazaréens étaient toujours minoritaires et les entailles au code judaïque pratiqué par les disciples de Jésus pour convertir les païens achevaient de justifier le rejet total du mouvement chrétien. Mais, comme je l’ai mentionné, les juifs avaient déjà fort à faire pour rassembler le peuple d’Israël et pour adapter la pratique des lois après la destruction du Saint des saints. C’est l’Empereur Constantin qui a fait basculer la situation en donnant aux chrétiens le pouvoir de déifier leur prophète, quel que soit l’avis des juifs, dont les croyances ne vaudront bientôt pas mieux que celles des hérétiques.     

Et ceci n’est qu’un piètre résumé, je vous épargne les détails ! Et les persécutions subis par les juifs, essuyant le poids habituel des croix romaines avec la vengeance des chrétiens en plus !!!

Vous rendez-vous compte de l’implication de tous ces faits ?

Je précise ma pensée : Au 7ème siècle, les Juifs repartent à zéro en faisant les poubelles de leur ville sainte et y découvrent l’influence prise par l’Eglise chrétienne, le culte et les lieux saints chrétiens ayant survécu au siège de la ville et bénéficiant d’une garantie de pèlerinage par Arun al Rashid. Mais quelle est cette Eglise ? Un culte adopté par les envahisseurs païens et fondé sur les paroles d’un juif réactionnaire et conservateur !!! Un juif que la plupart des juifs considéraient comme un simple prêcheur apocalyptique, doué, mais dérangeant, un type dont la vie et la mort n’avait pas même marqué les descendants d’Abraham !!!

Note : Si Jésus en personne était revenu d’entre les morts pour assister au retour de ses compatriotes, ils auraient probablement piqué une colère et crié au blasphème devant la croix chrétienne !!!   

Comprenez-vous ici l’implication des mensonges que nous étions prêts à justifier facilement quelques paragraphes plus haut, avec pour excuse… Le contexte ! La grande excuse de l’Histoire et de ceux qui l’ont faite, comme nous faisons le futur !

Si le mensonge originel de l’Eglise était excusable, la réaction des juifs après leur souffrance est excusable aussi, non ? Sauf hypocrisie, vous conviendrez qu’il s’agit là d’une logique indéniable ! Au passage, nous venons de comprendre comment un gros mensonge délibéré et soutenu dans le temps, quand bien même fut-il commis au nom de l’Amour, crée toujours une injustice dont les conséquences mènent à l’esprit de revanche, à la haine et à la souffrance ! Jusqu’au retour de la vérité. Des zélotes aux sicaires, des sicaires aux intégristes ultra-orthodoxes et sans oublier les sionistes radicaux sans pratique religieuse affirmée… Tous ceux-là ont des excuses, puisque l’Histoire est une grande excuse à elle toute seule ! Non ? Ce fameux contexte qui excuse tous nos braves patriarches des quatre horizons! La grande excuse de Monsieur Toulmonde. Mais… Si tous ces mensonges, mouvements réactionnaires et violences sont excusables, où sont les limites de ce qui est excusable ou pas ? Les crimes staliniens, excusables ? Le nazisme, excusable ?

Et un beau jour, pour nos arrière, arrière-petits-enfants… Le fait que l’on ait sacrifié leur avenir pour s’être vautrés dans l’ignorance et la consommation consumériste, excusable ?

La Zemblanité et la sérendipité en action sous le nez et la barbe d’une humanité encore jeune et inconsciente ! Tous et toutes le poing ou le doigt levé, écrasés par le poids du jugement, de la haine et de vaines révolutions !!! Si les juifs (suivis de nous tous) sont l’Exemple, comme on dit, c’est bien de cela !!! La main d’Abraham risquant de s’abattre sur son fils… Vous ne voyez pas le rapport ? Actualisez donc un peu : Le bozo moderne sacrifiant ses enfants, armé de sa bonne conscience… Vous voyez maintenant ? Continuons : Le bon bouc que l’on sacrifie pour relâcher le mauvais dans le désert, Dieu condamnant Lucifer, vouant à l’amertume le plus talentueux de ses anges, les richesses et la corruption d’Israël, les merveilles et les horreurs de Jérusalem, la réussite et la mort en Allemagne… Un jour seigneur, un jour victime, parmi les seigneurs ou les victimes.

Mais oublions un peu Israël pour une vision plus globale : La gloire du moqueur et l’humiliation du dindon de la farce, les faiblesses du maître et l’endurance du serviteur, la cruauté de l’esclavagiste et la mémoire de l’esclave, la bonne conscience du premier de la classe et la vengeance du cancre à la récré, L’opportunisme jubilatoire des voltairiens et la neurasthénie romantique des rousseauistes, L’hypocrisie profitable du vendeur d’armes et le glissement sémantique du jihad…

Tout cela fiche un coup à la bonne conscience, non ? Un bon début !

Comprenons-le, la bonne conscience nous a rongé le cerveau comme un poison mortel ! En soi « excusable » est un terme à double sens, très dangereux lorsqu’il alimente la bien-pensance ! Les mensonges de l’Eglise, les vengeances par le crime rituel, l’escalade de la violence, la décadence et les délits d’initiés dont on parle ici sont commis sciemment, avec préméditation et de façon durable !!! Il ne s’agit pas de réaction à froid, ni de légitime défense. Dans ce contexte, le mensonge n’est pas plus excusable que les violences qui en découlent, tout comme la violence n’est pas plus excusable que les mensonges qu’elle engendre… Et ainsi de suite.

Je l’affirme encore, c’est de Pardon dont nous avons besoin, et avant cela, de repentir (!!!), plutôt que d’excuses, toutes plus hypocrites les unes que les autres !

Mais revenons à nos brebis, à nos agneaux, à nos boucs… A nos poules, nos vaches et nos fermiers :

En 1078, les juifs les plus réactionnaires auront la satisfaction maligne de voir le pèlerinage des chrétiens aboli, mais en 1095, les croisés débarquent à Jérusalem… A l’issue du siège et du sac par les soldats chrétiens, les juifs ayant aidé à défendre la ville se réfugient dans la synagogue. On donne l’ordre de la brûler.

A partir de 1268, les juifs retournent dans la cité dans laquelle le rabbin Moshe ben Nahman a fait rebâtir une synagogue. Ce dernier arrive à Jérusalem en 1267, après s’être attiré les foudres de l’Eglise chrétienne en Espagne pendant la disputation de Barcelone. Je vous laisse découvrir le sujet de la dispute par vous-mêmes !!!

Avec le temps, toutes les causes et conséquences issus du mensonge que nous excusions à deux pages d’ici se sont multipliées « comme des petits pains » bien au-delà du Moyen-Orient ! Comme notre actualité en témoigne.

Les choses s’aggravèrent avec le confusionnisme de l’époque :

Les crises, les famines, la peste, la fin scabreuse des chevaliers de l’Ordre du Temple, l’obscurantisme et la radicalisation de principes fondateurs, établis sur des vérités à l’emporte-pièce…

Les droits divins ! Et la sacrosainte inquisition, tout un poème !

Le sceptre et la couronne sacrée de l’Orgueil ! 1 et 0… Le bâton et l’anneau unique ! Rappelez-vous : Satan, Anus, Pardon et Paradis (…) définis par des leaders totalement corrompus, de viles créatures en costume du dimanche !!!  Nous connaissons bien la suite... Les intérêts du Vatican, la politique, l’hypocrisie, la luxure, la consolidation des murs du mensonge…

LA SAINTE INQUISITION. QUELLE HONTE !

Mais il ne s’agit là que du côté chrétien et Européen ! Et côté juif ?

Ghetto, impôts et obligation de résultat avec Pogrome en option en cas de crise identitaire dans ce grand marché de l’hypocrisie humaine ! Du point de vue chrétien : Un juste traitement pour le peuple déicide. Relayée par le retour des extrémismes, cette ineptie paradoxale est toujours de mise aujourd’hui, essentiellement chez ceux qui fantasment un Jésus aux yeux bleus remplis d’Amour ! (L’hôpital qui se fout de la charité dirait mon grand-père, qui n’était pas juif.)

Ces derniers profitent de l’Empire ottoman pour fuir les persécutions des chrétiens d’Europe et revenir vers la terre sainte. Au passage, ils participent à la révolution du protestantisme et à l’essor d’un important courant intellectuel en Allemagne, ceci étant un des ingrédients principaux du Complot juif faisant les choux gras de nombreux antisémites.  A la fin du XIX ème, l’antisémitisme ronge une bonne partie de l’Europe, les juifs émigrent fortement vers Jérusalem. En 1917, la déclaration Balfour légitime le foyer national juif en Palestine… La région est sous mandat britannique ! Point d’amalgame : En Angleterre, comme partout ailleurs, certains sont d’accord avec le décret, d’autres non et d’autres encore sont sans avis. Au final, les juifs rejetèrent le mandat à coup de cocktail Molotov, indépendance oblige !

 

Et jusqu'aujourd'hui… Du sang et des larmes, une plaie qui n’en finit plus de s’ouvrir.  

Le nouveau visage de Jésus... Le Christ aux yeux bleus était un juif apocalyptique qui n'appréciait guère les mangeurs de cochon... Oups!
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A PROPOS DU MENSONGE

 

Autrement dit, mentir pour une juste cause c’est prendre le risque de la sacrifier, ceci n’est excusable que si la vérité est rapidement rétablie. Persister pour éviter d’admettre le tour de passe-passe avec lequel on a motivé les troupes, revient à engendrer des nations d’inconscients en proie à la dégénérescence, des nations que le passé rattrapera sans cesse. Une entropie morbide tout à fait prévisible… Sans excuses donc !

Faire du mensonge une vérité et une croyance collective est un crime contre l’humanité.

Mais ne l’oublions pas, le repentir et le pardon concernent tout le monde sans la moindre exception, ceux qui se sont trompés, ceux qui ont menti, ceux qui ont tué ou laisser mourir...  

Une des clés de ce Pardon se trouve dans les vieux comptes et les petits papiers des juifs et des chrétiens ! Une autre est cachée sous les tapis d’Orient, formant une route entre les terres du milieu et l’Asie ! Une autre est au cœur d’un foyer ardent : celui de l’industrie et de l’aventure coloniale chez les bridés ! Une autre encore est radioactive, celle reliant les américains aux Japonais !

Une, qui concerne tout le monde, est cachée en Afrique ! Je préfère ne pas revenir sur le sujet…

Et puis il y a les clés des serrures qui coincent à l’intérieur même de chaque maison : Une concerne les laïques et les croyants, une concerne les chrétiens entre eux, une concerne les juifs entre eux, une autre concerne les sunnites et les chiites.

Et la clé principale, selon moi, est celle qui ouvre un coffre perdu depuis la préhistoire ! Un coffre renfermant un cœur maudit qui n’attend plus que de retrouver son Saint Graal. Ce cœur est celui des hommes ! Et la femme, en devenant un Homme comme les autres, a oublié où elle avait jadis enterré le coffre et caché la clé !

C’est une grande leçon de psychologie qui s’impose ! Une humanité sur le divan.    

-Notre orgueil est donc ce père qui transmet le bâton et le barreau ! Des outils pour bâtir et défendre, des outils pour enfermer et punir.

-Notre intelligence est un présent ! Ce don qui adapte ce que l’on est à ce qui est et ce qui est à ce que l’on est. Elle est le lien qui éclaire l’avant et l’après, elle possède un potentiel infini que l’on peut gâcher ou épanouir, elle peut se mettre au service de la foi, de l’orgueil… ou de l’horloge biologique lorsque le ménage est fait ! Elle est la seule qui nous permettra de comprendre la subtilité de la création, qui est déterminée sans pour autant nourrir de complexe avec la notion du libre arbitre, un complexe qui n’appartient qu’à la bête humaine ! L’absence de libre arbitre est le joker du roi et du bouffon ! La mauvaise carte de l’intelligence frustrée des suivis et celle des suiveurs, auxquels elle permet de ne plus se sentir responsables de leurs actes.  

-Notre foi est la même, que nous soyons Juif, Chrétien, musulman, bouddhiste, taoïste ou même athée. C’est notre culture (amour propre), notre raison (culturelle) et notre orgueil (moi) qui font la différence.  Notre foi est la mère qui nous accroche à l’existence, elle est pour nous le simple témoin invisible de ce qui est, son onde fleurit la tombe du passé et nourrit l’arbre de l’avenir. 

 

Concluons cet article par un petit exercice de logique comparative :

Le nouveau visage de Jésus... Le Christ aux yeux bleus était un juif apocalyptique qui n'appréciait guère les mangeurs de cochon... Oups!
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J’écrivais en début d’article : La foi nourrit comme une mère, elle bénit et partage nos larmes…

Et au risque de choquer, j’ajouterais qu’elle protège la famille, des couilles et du bâton d’un chef qu’elle a pourtant épousé ! Vous ne voyez pas qui est concerné ? L’Orgueil dominant ! Les mâles, les rois, les empereurs, les arrivistes et tous les grands vainqueurs de l’Histoire ! Dans certains cas, elle accepte les compensations de son sacrifice. Dans d’autres, elle reste frustrée et austère.

Qu’a donc fait notre Mère ? (Ici, le mot ne résiste plus)

La même chose que les femmes depuis le berceau de l’humanité ! Je me répète, elle a protégé la famille !

N’oublions pas que les brebis sont égarées et que le chef, depuis la préhistoire, s’octroie le droit de mort !

A moins d’être parfaitement stupide ou borné, il serait difficile de nier le fait que c’est la femme qui a enseigné l’amour à l’homme, ne serait-ce que pour protéger son vagin et son (.), pour ceux qui auraient besoin d’un dessin. Tout comme il est simple de concevoir que notre mère s’est incarnée dans le cœur des humains pour les guider vers l’Amour, ne serait-ce que pour les protéger d’eux-mêmes ! Continuons…

C’est bien pour protéger la famille, n’hésitons pas à dire la famille des dominés (hommes, femmes et enfants) que la femelle se sacrifie aux caprices des chefs ! C’est aussi pour protéger ses braves moutons que notre Mère se plia jadis au chantage du roi et de son gros sceptre ! Il convient ici de mesurer ce qui me semble un paradoxe : Ce ne sont que des hommes qui dirigent et qui définissent le paradigme censé représenter notre Mère ! En clair : Jadis des hommes d’Eglise (parlons pour la chrétienté) se sont pliés au chantage du bâton, chantage facilité par la force, mais aussi par un point très sensible… Les petits et grands secrets concernant le sanctuaire des sanctuaires ! Le vagin ? Oui, mais j’évoque aussi la Bibliothèque, ce cœur où se distille les vérités et les mensonges ! Continuons…

Force de reniement, une femme finit par accepter son sort, elle devient un homme comme les autres. Notre Mère L’Eglise, elle, voit à sa « tête » des hommes avides de pouvoir, imaginant reprendre le bâton au roi, mais ne faisant qu’empirer les choses ! On pourrait parler de la triste naissance de la foi professionnelle.

Les chefs sont fâchés, la dame se laisse prendre, elle fait même semblant pour éviter le bourre-pif, mais… Rognnndudju elle kiffe pas ou quoi la (…) ?!?J’vais y mettre mon (…) Pardonnez-moi, j’exagère ! Parfois elle en arrive à se renier, se protéger au point de croire qu’elles aiment ! Dans ce cas : Rognnnndudju elle aime ça la (…) !!! J’vais y mettre mon gros (…) Jusqu’au dégoût ! Jusqu’au néant. Mais la famille des dominés est fâchée elle aussi ! Surtout les mâles… Les femelles étant rappelées à l’ordre dès le plus jeune âge. Nos filles, nos femmes et nos mères sont-elles des salopes ? That’s the question gentlemen ! Quand je pense que depuis des « lustres », l’homme se fend la quiche sur le fait que les gonzesses soient entre elles pire que les mecs ! A méditer non pas en long ou en large, mais en travers ! Pour notre foi, c’est aussi l’horreur : On tue en son nom.  Une histoire parmi tant d’autres : Le cœur intelligent des chevaliers du temple a reçu une blessure à Jérusalem, partout où il fut à la fois le témoin et le bourreau. Il agonise, déchiré en deux, face au jugement… Le cœur des justes parle : « Ce n’est pas de ma foi dont je doute ! » Le cœur des égarés s’exprime « J’avoue tout, pitié, j’ai pactisé avec le démon, j’ai brouté la sauvageonne et fumé l’herbe du diable, j’ai assiégé et pillé  des villes pour payer mes dettes aux vénitiens… » Ce cœur est à l’agonie et hors de contrôle… Les hommes du Saint bûché et les soldats du Roy se chargent de lui. Les chevaliers sont traqués puis assassinés jusqu’au dernier ! Etaient-t-ils tous gras et corrompus ? Ou les plus brillants possédaient ils des secrets qu’il valait mieux enterrer ? Notre Mère pleure, encore. Elle n’est plus dans L’Eglise. En ces instants et principalement en France, la foi chrétienne est comme cette femme que j’évoque ! A l’image des templiers, certains fidèles se sentent trahis ! Et l’Eglise ? Le Roy se délecte de lui souffler à l’oreille « Regarde jusqu’où tu es tombée ! Travaillons ensemble…»

Pour le Vatican c’est l’obscurantisme et les divisions internes, pour l’Europe c’est la crise, la famine, la maladie et les guerres, pour l’Islam, c’est bientôt la fin de l’âge d’or. Le bilan des guerres entre les chrétiens et les musulmans est lourd ! Mais des échanges ont eu lieu ! Des chiffres, des mots, des symboles, des sciences, de la mémoire, de la chair… Quelle que soit notre place, l’autre ne nous a pas laissé que de mauvais souvenirs !

Puis vint l’infection des plaies et la complexification de tous les schismes… L’Orgueil, le repli et la liturgie, chacun la sienne !

Puis vint le progrès, l’appel du monopole absolu et le motif du profit !

En occident, on décide de guillotiner le cordon ! L’Orgueil de l’homme bête au sommet du pouvoir ! Toute une économie fondée sur le viol, l’hypocrisie et le consumérisme. Chez les musulmans, on se radicalise face à la vague ! Le djihad et son glissement sémantique…

Cauchemar pour la femme, pour l’enfant et pour notre Mère, la foi. Les mères ? Des potiches de cuisine, des pondeuses, des pisseuses, des salopes, des Hommes comme les autres… Ou des ombres voilées ?

Notre Père ? Nous méritons sa colère, elle est en nous tous ! Mais nous ne la comprenons pas !

Notre Sainte mère l’Eglise est aujourd’hui en face de son pécher originel ! Et tous les chefs religieux du monde devraient enfin accepter de se retrouver dans la même position de repentir afin de guider leurs fidèles vers l’autonomie cérébrale et le grand Pardon, le vrai !

Mais qu’a-t-on fait ?! Qu’a-t-on laissé faire ?!

Tous autant que nous sommes, maîtres et esclaves.

Le grand Pardon, le vrai, se mérite ! Il nous attend tous !

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BOUDDHISME OR NOT BOUDDHISME II

12 Février 2017, 20:15pm

Publié par Persone

BOUDDHISME OR NOT BOUDDHISME II
BOUDDHISME OR NOT BOUDDHISME II
BOUDDHISME OR NOT BOUDDHISME II
BOUDDHISME OR NOT BOUDDHISME II

Question volontairement mal posée bien sûr ! Pourquoi me faciliterais-je et vous faciliterais-je la tâche ? Uhuhu !

Le sujet est sévère ! Mais je persévère, je persiste !

Et si la physique classique et quantique pouvaient réconcilier enfin les judéo-chrétiens, les musulmans, les bouddhistes et les non croyants sur les questions de la réincarnation, de la résurrection et de la vie éternelle ?

Comment ?

Par quelques principes acquis : La conservation d’énergie, l’entropie et la gravitation.

Explication grossière : Dans l’évolution d’un système, aucune énergie ne se crée spontanément pour s’ajouter à celle déjà existante. Lorsque l’on consomme de l’énergie, nous ne faisons que la transformer en la dégradant, la rendant ainsi de moins en moins utilisable. Autrement dit tout ce qui est nous a été fourni dès le départ, au Big-Bang ne fait plus qu’évoluer, tout n’est qu’une question de transformation, d’équilibre et de recyclage. Notre univers est l’ensemble connu, contenant des sous-ensembles comme les galaxies, les systèmes solaires, les planètes, les êtres vivants… Or, tout système complexe ou vivant consomme (dégrade) de l’énergie, tout comme il subit inéluctablement une entropie et  une dégradation de ses moyens de transformation l’entrainant vers « la mort » dans le jargon commun de l’échelle humaine, « le point Oméga » à l’échelle du macro, ou encore « le retour au point Alpha » en ce qui concerne le micro, charge de vie enfin libérée de son temps de service.  A l’échelle des petites choses : Une vie éphémère et la mort omniprésente. A celle de l’Homme : La créature semble se conduire comme s’il avait largement le temps de voir venir… A celle du macro : Les délais nous semblent gigantesques ! Or, la fin de chaque système engendre des réactions ou des évènements qui entretiennent la continuité d’un ensemble global, qui est lui-même un sous-ensemble d’un autre ensemble et ainsi de suite. Notre univers dans sa globalité aura aussi une fin, le fameux point Oméga. Sans énergie, inerte, se contractera-t-il sous l’effet gravitationnel pour retourner vers le point de départ ? L’hypothèse la plus séduisante. Mais qui dit mouvement dit énergie, largement de quoi alimenter ce que j’appelle la brume quantique de la mémoire et de l’intelligence du divin qui était en nous, comme en chaque chose et non chose. Retour vers la maison mère, la matrice, l’œuf magique. Une énergie toute puissante au point critique, une soupe que connaissent bien le processeur et la mémoire de la pile divine (en phase de restauration du système avec mise à jour et nouvelle base de données) pour employer un juste milieu entre mon jargon et celui des technocrates. J’avoue que la fin de ce paragraphe soulève une question toujours en suspens, une conclusion perdue dans les méandres sémantiques et les conflits de la science et des différentes religions.    

L’énergie donc…

Cette conscience et cet orgueil qui nous guident et nous protègent, ces choses que traite et interprète notre cerveau, elles ne sont pas notre corps physique, elles ne sont pas nos os, notre peau, ni même nos neurones ! Elles ne sont qu’un tissu d’informations et de volonté, un codage contenu par de l’énergie et transporté par des connections synaptiques que notre bulbe semble pouvoir créer à l’infini ! Ah la matière grise ! Nous ne sommes pas tout blancs, mais ne broyons plus du noir ! Uhuhu ! Et la mémoire ! Toute cette énergie, cette brume électrique, que fait-elle après notre mort ? Elle disparaît ? Une question à laquelle on répondrait oui sans même réfléchir ! Et pourtant… La matière organique pourrit, nos atomes sont recyclés… mais l’énergie ? Pouf, elle disparaît ? Le oui n’est pas plus prouvé que le non. C’est l’énergie lié à la masse que l’on observe depuis longtemps, mais nous découvrons depuis peu l’énergie invisible ! 

Si mes élucubrations ne sont pas fausses, la force du vide et de la matière noire pourraient être ces charges infiniment minimales contenues dans le vide et s’exprimant dans l’attraction ou la répulsion, en fonction de leur dualité (signe + ou -). Ces forces invisibles jusqu’à notre époque sont aujourd’hui susceptibles de nous expliquer la gravité par l’analyse de phénomènes électromagnétiques ondulatoires omniprésents, mais infinitésimaux. Les physiciens ont réussi à démontrer que l’antimatière présente aux alentours des trous noirs est composée d’une simple inversion de la matière (le proton possède une charge négative et l’électron une charge positive). Je gage que de l’autre côté du +1 (représentant notre univers expansif dans lequel il faut une gravité compensatoire pour créer un écosystème sur une planète), ce qui signifie aussi de l’autre côté du 0 (le miroir quantique), existe le -1, siège de l’attraction (contraction) suprême et de l’expansion régulatrice.

Bref, ces charges quantiques ne correspondent pas aux lois de notre univers « macroscopique » relatif (en vérité nous devrions l’appeler notre univers « moyenscopique », limité par notre égocentrisme) ! En revanche, elles sont présentent aussi bien dans l’espace infini que dans notre propre corps, dans tout le vide qu’il contient !!!

Mon hypothèse : L’énergie du vide et ces infimes charges que l’on arrive  déjà à utiliser dans les nanotechnologies pour fabriquer des ordinateurs « quantiques », sont naturellement contenues en nous et autour de nous et représentent notre conscience ! Je n’ai aucun doute sur le fait que cette conscience ne soit pas condamnée par la limite du corps physique, mais j’avance ici que la mort elle-même n’est qu’un passage permettant à cette conscience de repasser par le +1, la machine à laver du 0 et le feu du -1, avant de choisir de nouveau son signe (sexe) et de repasser dans le monde expansif de la matière et la diffusion de la lumière. Voyons ici notre conscience comme un software et une mémoire sans masse, capable de voyager comme un photon. La question étant : De quoi est chargé ce « hardware » quantique que nous libérons à notre mort ! Pour les bouddhistes, un sage pourrait conserver une partie de sa mémoire ancestrale pour guider ses réincarnations. Mais pour les autres ? Personnellement, j’avance le principe des allèles récessifs et dominants de la reproduction : Et si notre ordinateur quantique ne conservait que la mémoire des choses que nous avons reproduites inlassablement toute notre vie ? Des tâches répétitives, avilissantes, absurdes d’un point de vue écologique, impropres à l’épanouissement de la vie, incompatibles avec la pureté, les rêves et la mémoire quantique des enfants (…) et totalement matérialistes et dissociées de la question de l’avant vie et de l’après mort !!! Des tâches qui nous abonnent à la promesse de la maladie d’Alzheimer dès l’âge adulte, des tâches qui face à la mort ne représentent rien ! Une mémoire futile totalement inutile pour le passage et une mémoire de l’essentiel vide ! Comprenons que notre orgueil collectif a fait de nos vies une misérable expérience par défaut, une vie de stress et de labeur conditionnée non pas par la nature ou l’ordre des choses, mais vulgairement et vénalement par quelques plus malins que nous ! Le prix que nous payons tous, y compris nos manipulateurs : Une vie de merde, un passage dans la peur et la souffrance et une mort réelle !

Vous ne voyez pas le rapport avec les caractères récessifs et dominants en génétique ? Et si le commun des mortels (ordinateur quantique à mémoire essentielle vide) ne se réincarnait qu’aléatoirement en revenant systématiquement aussi brute et primaire que la ou les fois d’avant ? Cela pourrait aussi expliquer pourquoi certains portent leur(s) sexe(s), leur(s) nom(s) et leur(s) signe(s), leur(s) chiffre(s), leur archétype ou leur lignée à la perfection et d’autres moins ou pas du tout. Cela expliquerait aussi ces humains trop rares qui ont su sacrifier leur vie pour la recherche de la vérité et tous ces grands hommes sortis de nulle part, de la boue ou de la fortune, de la lie du peuple ou de la bourgeoisie ! Bref m’est avis qu’un être qui chargerait sa mémoire quantique d’une vie exemplaire y imprimerait une empreinte indélébile lui permettant de se guider dans le grand recyclage et de revenir avec un caractère dominant capable de s’exprimer plus rapidement et plus intensément que ses congénères du même moule, du même nom, du même signe…

Une objection majeure chez tous les réfractaires au concept de la réincarnation assez pragmatiques pour avoir décelé un paradoxe en ce qui concerne la conservation d’énergie :

Comment expliquer qu’il y’a toujours plus d’humains ?

Je répondrais – Pourquoi ne prendre en compte que le nombre d’humains dans ce problème concernant un système terrestre peuplé d’une multitude d’autres vies, d’autres esprits, d’autres âmes ??? La population humaine augmente, certes ! Autant que les populations animale et végétale diminuent ! Point de paradoxe.

Donc, si mes élucubrations sont justes, les trois Maisons (Adonaï, Dieu, Allah) seront tentées de me traiter d’hérétique ! Pourtant, ce simple raisonnement leur apporte leur salut, leur réconciliation et la fin de leurs schismes internes sur un plateau ! Il faut être un père sévère, idolâtre et honteux de son échec pour affirmer à ses enfants que Dieu Unique, le Père existe (comme si nous l’avions vu), que seul son Fils Unique est pur et peut se réincarner, alors qu’eux, misérables enfants de pécheurs, pécheurs à leur tour seront voués à une vie de dévotion, dans les pas des pères de l’église et dans les jupons de l’état, pour finir aux petits soins de la tondeuse en broutant gentiment vers l’abattoir final après lequel nous iront tous en enfer ou au paradis !!! Génétiquement parlant, n’oublions pas que nous descendons tous des mêmes hommes primitifs et que leur gênes s’expriment encore a travers nous !!! Et si c’étaient les gênes de nos anciens chasseurs, sages ou même prophètes qui s’exprimaient encore au sein de nos communautés métissées et cosmopolites ? Et si ce n’était que l’esprit émanant de toutes les paroles et les actes de nos prophètes qui « descendait » encore et toujours dans ceux qui croient en eux ? Une question encore tabou chez de nombreux chrétiens : Et si Jésus, comme Mahomet, avait eu lui aussi une vie d’homme ? Ah Jésus ! Et si nous le libérions enfin de tout ce que l’on dit savoir sur lui, ne prouvant ainsi que notre déterminisme et l’hypocrisie de notre foi ! Tous indignes de ce personnage tout relatif que nous aimons imaginer souffrir éternellement pour supporter et pardonner des immondices qui ne concernent que nous !

BOUDDHISME OR NOT BOUDDHISME II
BOUDDHISME OR NOT BOUDDHISME II
BOUDDHISME OR NOT BOUDDHISME II
BOUDDHISME OR NOT BOUDDHISME II
BOUDDHISME OR NOT BOUDDHISME II
BOUDDHISME OR NOT BOUDDHISME II
BOUDDHISME OR NOT BOUDDHISME II
BOUDDHISME OR NOT BOUDDHISME II
BOUDDHISME OR NOT BOUDDHISME II
BOUDDHISME OR NOT BOUDDHISME II
BOUDDHISME OR NOT BOUDDHISME II
BOUDDHISME OR NOT BOUDDHISME II
BOUDDHISME OR NOT BOUDDHISME II
BOUDDHISME OR NOT BOUDDHISME II

Bref la résurrection et les stigmates ne sont qu’une version élitiste et totalement exclusive de la réincarnation et des signes de restauration de la mémoire individuelle et collective ! Ici ce n’est pas la foi chrétienne, judaïque ou musulmane que je conteste, mais l’Orgueil des patriarches qui nous servent de guides par défaut et surtout les dogmes obsolètes et les travaux de faussaires contenus dans nos livres de référence !!! Si les mensonges tombent, ce ne sera pas la fin des religions ! Juste les réconciliations après une longue Père S Eve Errance morbide de 6 milles ans ! Une per6tance qui est à 3 doigts de nous consumer tous ! Idolâtrie et jugement, admiration et pitié… loin, infiniment loin et pourtant si près de l’Amour et de la Compassion.  

Et la vie éternelle ? Voilà qui vous obsède vraiment !

La réincarnation carte en main ? Un de ces trucs New-Age qui ne coûte que 70 balles la séance pour devenir un être cosmique surfant dans la topissitude astrale ?

Ah la facilité ! Elle nous tue mais qu’est-ce qu’on en redemande !

Carte en main ça n’existera jamais ! Comme cette absolution, cette liberté, ces droits de l’Homme, cette libération de la femme, ces révolutions oranges ou ces printemps arabes (…) et toutes ces formes de catharsis qu’on nous vend sur un magnifique et terrible podium de charlatan ! Le mérite passera par la conscience mise à nue, la repentance, la pénitence et la résurrection de notre cœur intelligent ! C’est ici que le saut de la foi doit être accompli lorsque le sujet veut concrétiser ses bons actes pour grandir, apprendre à Voir et à Voler ! Je le répète encore, ce saut de grâce éternelle ne s’effectue pas avec la certitude d’être sauvé !!!

Pour conclure j’aimerais rendre à Confucius ce que César  et les adeptes de l’Unique lui ont piqué par notre intermédiaire apathique ! Non pas la gloire, mais la reconnaissance. Depuis plus de 2 000 ans, les barbares du bassin méditerranéen se déchirent pour l’Orgueil et le pouvoir, tout en cohabitant pour le commerce et le motif du profit ! Les asiatiques ne sont certes pas des enfants de cœur et ne sont pas en reste en matière de machisme, mais avouons que nous leur avons distribué de force les cartes de notre monopoly hypocrite alors que leur philosophie, leur subtilité, leur ingénierie et leur logistique commerciale avaient fait leurs preuves bien avant les nôtres ! Comme je l’ai déjà démontré, le péril jaune, c’est nous qui l’avons programmé ! La fureur des dragons, c’est nous qui l’avons réveillée !

Et le Dalaï Lama ? Pour certains : « Ce vieux tibétain à lunettes qui prêche pour sa paroisse et dont tout le monde se fout ». Pour d’autres : « Un homme qui aurait sympatisé avec les allemands à l’époque des nazis »… Et pour une majorité : « cette catharsis vivante en tournée permanente qu’on observe de loin dans des salles de spectacle dont on ressort avec un sourire niais et une subite compassion de trois jours » ! Bref le Dalaï Lama, vu par la connecting génération ! Celui que l’on croit soutenir avec notre grand cœur occidental et l’aide de nos représentants. Mais prenons-nous conscience que pour obtenir quelque peu notre attention (et encore moins d’action !), cet homme doit accepter de mettre en suspend tous ses principes de vie et de respect de ce qui demeure ! Accepter de lutter contre l’âge et la maladie en offrant une petite catharsis hygiénique à des fans de walking dead abonnés à people magazine, le tout pour que quelques dollars, quelques euros et un soupçon d’accord diplomatique puissent aider son pays à supporter une horreur que nous cautionnons tous indirectement.

Je ne vous parlerais pas des shamans que l’on traîne dans nos meetings de la COP 21, toisés par le spectateur moyen comme une curiosité exotique ! Mais certains diront que je m’éloigne de mon sujet ! Pas tant que cela pourtant!  J’évoque ici le mérite et la subtilité du bouddhisme relative aux secrets de la conservation d’énergie, de l’entropie, du mouvement perpétuel et de la vie éternelle (…), tout comme j’évoquais, dans un article précédent,  le mérite de la pensée animiste relative au secret des rêves et des plantes ! Cela fait partie d’un tout !

Un tout dont nous sommes loin, vides et dissociés que nous sommes !

BOUDDHISME OR NOT BOUDDHISME II

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DIEU EST JUIF, JUIF EST DIEU...

10 Février 2017, 02:24am

Publié par Persone

DIEU EST JUIF, JUIF EST DIEU...

Une question nucléaire à 666 milliards de dollars !

Une question méditerranéenne et atlantique pour laquelle on tue… Rien de pacifique !

Etait-il écrit que Fat man et Little boy visiteraient un jour l’Empire du Soleil Levant ?

Comme il se doit, les sciences tendent à démystifier peu à peu les grandes affirmations fixées par la théologie, mais aussi les différents syncrétismes issus de la théosophie ou encore, les faux-semblants trompant les 5 sens et la raison de l’Homme depuis des millénaires. Pourtant, depuis certaines découvertes, notamment en physique quantique et en cosmologie, de plus en plus de scientifiques expriment des vérités contenues dans les livres ou le véda des religions principales, des vérités qui restaient cachées par les limites de la recherche et par nos problèmes de sémantique ! Aujourd’hui, c’est un fait, certaines avancées pourraient bien constituer un motif de réconciliation entre les différentes religions et les multiples personnalités peuplant cette planète.   Pourtant, malgré les sciences et la philosophie transmises par l’âge d’or de l’Islam, malgré l’approche cabalistique du testament judaïque, malgré l’immense contribution des juifs à la recherche, malgré les efforts consentis par les autorités chrétiennes depuis un siècle environ et malgré les efforts récents fournis par une « raison en crise »,  des conflits majeurs  et des zones d’ombre persistent. (Restons pour l’instant concentrés sur la grande marmite familiale et fratricide formée par l’Occident, le Proche et le Moyen-Orient).

La grande cité des sciences est gouvernée par des Hommes dont le cœur n’est pas moins corruptible que celui de leurs prédécesseurs croyants ou non !

Par définition la science ne peut se prononcer sans preuves irréfutables, mais elle se vend très bien et crée de nouveaux paradigmes liés  au machiavélisme de la raison et à la consommation. Elle admet ses erreurs, mais le matérialisme qu’elle engendre et son détachement de la foi et de la morale engendre vite un mode de vie dont l’entropie fulgurante démontre le manque d’anticipation ou de responsabilité systémique. En cela les scientifiques doivent admettre qu’ils ne sont que des chercheurs, ils ne font que s’approcher de la vérité et leurs erreurs, pourtant admises, ont engendré autant de souffrance sur terre que les mensonges et les querelles des autorités religieuses. Dans de nombreux exemples, le progressisme des Lumières et les frasques les plus sophistiquées de la grande cité des sciences des arts et des industries ont même jeté de l’huile sur le feu ! La situation a-t-elle vraiment changé entre notre âge bête et notre adolescence endiablée ? Pas vraiment, nous avons toujours différents Juifs, différents occidentaux et différents orientaux  tous désunis et chacun dans ses propres conflits de croyance ou de non croyance ! Le terrain de jeux des terres du milieu… Ressemblant de plus en plus à un immense terrain vague parsemé de champs de ruine.

La science, grâce au génie des physiciens, des chimistes, des mathématiciens et des psychanalystes (…) peut aider tout le monde à se comprendre ? Encore faudrait-il qu’elle ne soit plus entre les mains de l’Orgueil ! Celui des vainqueurs et des perdants, alternants leurs places entre deux révolutions majeures.  Voltaire lui-même, malgré son ironie n’était pas un homme sans foi, en constatant que l’Histoire a finalement donné raison à Rousseau sur les dangers de l’hypocrisie du modernisme, il regretterait probablement son opportunisme et sa confiance dans le progrès et la sophistication de l’esprit humain !

En définitive, la foi, l’intelligence, l’orgueil, la morale, l’amour propre et l’amour  sont aveugles lorsqu’ils ne fonctionnent pas en équilibre, les uns avec les autres ! Dans un schéma global, un être vivant croit ce qu’il voit et ressent directement, bref il a la foi. Mais celle-ci est aveugle sans le discernement (intelligence). L’orgueil est le gardien de la personnalité de cet être sensible et intelligent qui évolue proprement. Il protège l’intégrité, mais sans l’amour propre, il devient vite un despote. Ensemble, ils forment un pouvoir suffisamment puissant et aveugle pour que le sujet devienne le terrain d’affrontement de Seth et Osiris, se retrouvant victime des autres et bourreau de lui-même. C’est ici qu’interviennent la morale (celle de l’horloge biologique, en opposition à celle instruite par la culture à travers le truchement de l’amour propre) et l’Amour. L’Amour, sauf accident nous attend dès la naissance, mais il n’est qu’un point indéterminé, troublant, admis par la foi, l’intelligence et l’orgueil. Correctement épanoui, l’Amour passe du point à l’ensemble, il bat comme un cœur ! Lorsqu’il est « ensemble », il peut englober toutes les autres facultés de l’être. 

Une conclusion s’impose : Que nous soyons athées, syncrétistes ou fidèles à Moïse, à Jésus, à Muhammad ou à Bouddha (…), la science ne guérira pas nos dilemmes antiques, ni la fureur de nos Léviathans (orgueils collectifs) tant que les hommes n’auront pas balancé toutes leurs cartes sur la table entre eux bien entendu, mais aussi avec leurs femmes et devant leurs enfants !!!  

Procès de Galilée - Celui du singe... Et la relativité du déterminisme.
Procès de Galilée - Celui du singe... Et la relativité du déterminisme.
Procès de Galilée - Celui du singe... Et la relativité du déterminisme.

Procès de Galilée - Celui du singe... Et la relativité du déterminisme.

Epilogue :

Les questions de Dieu le Père, du viol originel, de la condition de la femme et de l’enfant, du patriarcat, du cauchemar pseudo darwiniste de l’impérialisme, de la continuité inavouée de la condition du maître et de l’esclave, ou encore du poids de nos mensonges ou de l’hypocrisie de la paix par les profits (…), ont déjà été traitées à travers les chapitres précédents.

J’aimerais développer ici un point de sémantique, qui selon moi et contre toute attente, pourrait bien réconcilier la théologie chrétienne et la science :

Un point de désaccord crucial entre l’Eglise et l’académie peut nous servir d’exemple : La Sainte trinité, dont je revisitais l’expression dans un article précédent.

Envolon- nous quelques 1 600 ans plus tôt, entre les premiers conciles de Nicée (325) et de Constantinople (381). Durant ce demi-siècle, l’Eglise affirma et confirma que Jésus était pleinement homme et pleinement Dieu, que le Père et le fils étaient bien distincts, mais ne faisaient qu’un. Elle confirma cette position au second concile œcuménique après y avoir incorporé un ingrédient : L’Esprit Saint. Le Père, le fils et le Saint-Esprit ne font qu’un : Dieu.

La version traverse les âges… elle résiste même à Luther !

Et paf ! Une autre lumière fut, celle qui allume les ampoules… La révolution du modernisme et sa rigueur scientifique ! Mais l’Eglise campe et réaffirme sa version, jusqu’à aujourd’hui. C’est ici que la raison déterminée trouve son meilleur argument : 100% homme ou 100% Dieu, il faut choisir. Et l’ajout de la Sainte-Trinité, une poésie de trop, une fantaisie aux yeux des blouses blanches. Le mobile originel des falsifications bibliques (affirmer définitivement la divinité de Jésus et l’autorité de l’Eglise en matière de théologie) confirmait le scepticisme !

Mais quelque chose ne tourne pas rond ici ! Et si l’Eglise n’avait pas eu une si mauvaise intuition ? Si elle avait misé juste en fonction des éléments dont elle disposait ? Ou alors… Tous ses représentants seraient si stupides qu’ils campent toujours sur une affirmation digne d’un mensonge de gamin ? Ceux qui pensent que les pets de nones sont la cause primordiale du trou de la couche d’ozone diront que oui !

Mais ne dit-on pas que la vérité sort de la bouche des enfants, même lorsqu’ils mentent ?

Retournons vers les premiers siècles : An 325, l’Empereur Constantin redonne de l’éclat au « phare » romain, la liberté de culte est proclamée, mettant fin aux persécutions sur les chrétiens. C’est lui-même qui convoque le concile de Nicée pour mettre fin aux dissensions théologiques entre les fidèles de Jésus. L’Eglise est déjà constituée, son aura et son autorité sont enfin légitimées et le nouveau testament s’apprête à entrer dans l’Histoire… Après de nombreuses traductions, copies, copies de copies  et … Falsifications. Le problème majeur : Que faire des ambiguïtés concernant les fondations ?!? 

Au second siècle, attendant toujours la résurrection de leur prophète, les nazaréens convaincus de l’urgence apocalyptique et plaçant les paroles de Jésus au-dessus des lois juives (les moins nombreux) décidèrent de suivre les consignes des premiers apôtres. Depuis, les interprètes, traducteurs et copistes partageaient un lourd fardeau : La modification des données généalogiques de David à Jésus et l’affirmation du caractère divin de ce dernier.

Pourquoi mentir et ne pas avouer simplement que Jésus est un simple prophète, plus proche de Dieu que l’homme ordinaire ?

Parce qu’il s’agit ici de monothéisme !

Il n’y a qu’un Dieu, un seul et unique ! Au second et surtout au troisième siècle de notre calendrier, alors que les « saintes écritures » du nouveau testament sont entre les mains des fidèles les plus érudits, la vibration créée par le Christ et ses apôtres a envahi plus de juifs qu’on ne l’aurait imaginé et même des romains ! Mais Jésus était bel et bien juif !!! Un révolutionnaire, peut-être, mais surtout un extrémiste orthodoxe qui n’aurait jamais envisagé une autre confession que celle de ses semblables ! Donc s’il reste un simple prophète, les chrétiens devront admettre qu’ils partagent le même Dieu que les saducéens, les pharisiens, les esséniens ou les zélotes, en d’autres termes qu’ils sont des juifs comme les autres identifiables selon leur façon de définir le sens des lois judaïques (Pour info, une lecture des textes les plus anciens (épîtres de Paul et évangiles de Marc, Mathieu et Luc) et des passages les moins douteux du nouveau testament montre que Jésus avait un prêche radical, discriminatoire et apocalyptique). Après la mort de Christ et celle de ses disciples, vu l’image du crucifié et de sa bande chez la majorité des juifs, ôter au Christ son caractère divin, c’était suicider tout le mouvement !!! Mais ce n’est pas tout : Il ne peut y avoir plusieurs dieux, mais avec un prophète dissident et séduisant les païens, Dieu semble multiple, dans le sens indéterminable du terme ! Par extension cela signifierait aussi que tous ici-bas partageons le même Dieu unique, la divinité décrite par chacun pouvant se réduire à une vision culturelle légitime, les Hommes  n’ayant plus qu’à s’accorder entre eux sur la complémentarité des messages et des signes laissés par leurs messies respectifs. En bref, la mondialisation (!!!) par le partage des données, en toute intelligence ! Au stade d’une humanité à l’âge bête, on peut toujours rêver ! Alors imaginons un peu toute cette situation à l’entrée dans la seconde moitié du premier millénaire… Avec l’arrivée d’un certain Muhammad dans l’équation, on peut facilement imaginer la position de l’Eglise !  Jésus doit être divin ! Un point c’est tout !

Comprenez bien chaque mot de cette expression commune : UN POINT c’EST TOUT…  Je gage que cet adage du déterminisme soit en fait le lien que la raison toute puissante aujourd’hui possède inconsciemment avec l’indéterminé, la foi et par extension… La religion ! Une magnifique, une extraordinaire ironie du sort à la mesure de la subtilité du divin ! La vie est un putain de miracle.

Mais revenons à nos propos !

Avant que l’Eglise ne prenne position au concile de Nicée, la question de Jésus divise aussi les fidèles entre eux :

Les ébionites nient le caractère divin de Jésus et le voient comme un simple homme exprimant la parole de Dieu, les gnostiques affirment qu’il y a plusieurs divinités et que Jésus en est une hiérarchiquement plus haute que celles admises par les autres juifs et les païens, les docètes affirment que le Christ est 100% Dieu et qu’il n’était pas réellement incarné ici-bas ! (…) Bref, pour la survie de l’Eglise, l’affirmation de la divinité de Jésus n’est déjà plus à remettre en question. Un consensus est obligatoire, à moins de faire tomber la vérité ! En affirmant la sainte trinité, l’Eglise affirme son autorité théologique et règle le problème de la division.

Inutile de m’étendre ici sur ma position vis-à-vis des horreurs perpétrées au nom du divin, il va s’en dire qu’en niant le judaïsme conservateur de Jésus (pourtant irréfutable), la petite famille chrétienne a préparé le terrain pour plus de 2000 ans de guerre, tout en cherchant la paix ! En rompant le dialogue avec les autres religions, en affirmant sa seule autorité en matière de théologie et en protégeant ses secrets jusqu’à aujourd’hui, notre Eglise s’est inscrite parmi tous les responsables des mensonges et de l’hypocrisie qui accélèrent l’entropie des systèmes humains et les jalonnent de haine et de souffrance.

Mais je persiste en affirmant que l’idée de la trinité ne fut pas mauvaise, que l’intuition ne fut pas fausse et qu’il y a toujours une vérité cachée derrière un mensonge.  Je rappelle encore que Jésus, étant juif et particulièrement zélé dans sa pratique du judaïsme, n’entre pas dans cette équation « chrétienne » dont il n’aurait pas lui-même imaginé l’existence. Pour comprendre Jésus, son message et ce qu’il était vraiment, chacun devra faire l’effort de lire ou de relire scrupuleusement l’ancien et le nouveau testament et de prendre connaissance des découvertes de la recherche indépendante sur le sujet.

En affirmant que Jésus est pleinement Dieu et Homme et qu’ils ne forment qu’un avec le Saint-Esprit, Dieu reste Dieu, Le fils incarne son père à la perfection et le Sainte esprit ? [Saint-Esprit] est le trait d’union entre le divin et le ballet de la matière. A l’époque, cela a réglé la question des dissensions et des excentricités les plus folles ! Et à ce jour, le principe tient bon face au manichéisme, au trithéisme ou au polythéisme, devant un regard critique. Aussi, d’un point de vue sémantique le principe peut évoquer une chose : La création est intelligente, on la nomme Dieu. Dieu exprime la dualité éternelle des choses qui sont et ne sont pas, qui sont en haut ou en bas lorsqu’elles sont, qui sont à gauche et à droite, immobiles et en mouvement, froides et chaudes, mâles et femelles… Ce qui existe est dans ce qui n’existe pas et ce qui n’existe pas est dans ce qui existe. Dieu est la partie et Dieu est dans la partie… Le créateur et la créature sont distincts, mais ne font qu’un ! Le Saint-Esprit est l’intelligence dont la science elle-même ne doute plus. Un créateur (dualité), une créature incarnée (dualité) et l’intelligence qui lie les trois mondes « Micro, Homo, Macro » dans une boucle éternelle dont l’observation nous renvoie le reflet du passé, la raison du présent et l’image de l’avenir. D’un point de vue plus érotique : Un œuf androgyne contenant déjà le père (androgyne mais déterminé) et la mère (androgyne mais déterminée) et la formule du paradis terrestre ! 3 principes qui ne font qu’un : Dieu.

3 pour faire une base, 3 repères fondamentaux (plus, moins et neutre… haut, bas et milieu… Passé, présent et futur…), 3 quarks dans un protons, 3 éléments pour lier deux brins D’ADN (…) ! Et surtout la physique quantique qui nous affirme que l’électron semble avoir un don d’ubiquité si subtile qu’il échappe aux yeux de l’observateur. Le rayonnement divin, qui permet à Dieu d’être la partie (partout) et dans la partie (incarné), de façon à ce que le divin soit si subtil que l’être incarné est investi du libre arbitre et de l’aventure de sa vie pour se rencontrer de nouveau, pleinement divin, à la fin de son existence ???

Alors alléluia ?

DIEU EST JUIF, JUIF EST DIEU...
DIEU EST JUIF, JUIF EST DIEU...
DIEU EST JUIF, JUIF EST DIEU...

Pas vraiment ! Cette question renvoie au problème de la résurrection et de la réincarnation en ce qui concerne la religion et à un problème de sémantique lié au complexe de la foi pour les scientifiques les plus incrédules ! Pour ces derniers, l’étude de la matière nous prouve que l’univers est déterminé, mais reste indéterminable pour l’homme, refusant tout amalgame et se contentant d’affirmer que l’intelligence de la création est manifeste et que c’est donc l’intelligence qui doit être préservée à tout prix pour permettre à la vie de se perpétuer après le point Oméga déterminé de notre univers. Cette pensée ouvre la porte à toutes les théories futuristes de la colonisation de l’espace et de l’intelligence artificielle, capables de survivre à l’humanité organique, fondée sur la fragilité de l’atome de carbone. Côté religion : les trois croyances principales des terres du milieu ne s’entendent pas sur la résurrection et aucune d’entre elles ne semble prête à entendre les arguments de la réincarnation et du Nirvana pour tenter de résoudre le plus grand complexe de l’humanité ! Comme je l’ai souligné dans ce livre les peuples des terres du milieu se sont comportés comme des marchands de tapis barbares ayant soumis à la colonisation l’Afrique, l’Amérique et l’Asie, ruinant au passage le business des routes de la soie [un des rares exemples que nous connaissions à travers l’Histoire, de prospérité diplomatique et de stabilité économique durable] et transformant les civilisations tenantes du berceau de la connaissance en vulgaire Léviathan économique. « L’honneur, la réincarnation et l’âme du guerrier ??? L’Empire du Soleil Levant! Mais pour qui se prennent-ils ces japos ? Après Nagasaki, ils f’ront moins les malins ! » Le génie se reconnait souvent au fait que les ignorants sont tous ligués contre lui… On sacrifie souvent celui qui est notre miroir et s’il cherche à nous guérir, on tente de le mordre. Si la pitié nous prend, il faut appeler la haine ! Avec un peu de chance, le côté obscur envahira l’autre et le chaos pourra s’abattre ! Ne soyons pas dupes, les asiatiques ne sont pas les derniers en matière d’amour propre, de machisme, de guerre ou de violence, mais avouons tout de même que leurs méthodes de conquête et leurs façons de labourer (dans tous les sens auxquels ces termes peuvent renvoyer) ont souvent été plus raffinés que les nôtres. Aujourd’hui, promenez-vous en Chine, au Vietnam ou dans le Japon futuriste et demandez  à un jeune actif si la question sémantique posée par la comparaison du principe d’incertitude et des croyances liées à la résurrection et à la réincarnation, pourrait apporter une pierre à la construction d’un monde plus décent… Dans la majorité des cas, ce quidam, bien que descendant des traditions védiques, bouddhistes ou taoïstes vous répondra que de prendre le temps de philosopher à tout cela est un luxe occidental !!!

Ah l’Orgueil !

Je vous renvoie à la phrase précédant cet épilogue interminable :

Que nous soyons athées, syncrétistes ou fidèles à Moïse, à Jésus, à Muhammad ou à Bouddha (…), la science ne guérira pas nos dilemmes antiques, ni la fureur de nos Léviathans (orgueils collectifs) tant que les hommes n’auront pas balancé toutes leurs cartes sur la table entre eux bien entendu, mais aussi avec leurs femmes. Et une fois le  cœur guéri, qu'ils se tiennent enfin face à eux-même dans ces miroirs que sont les yeux des enfants!

DIEU EST JUIF, JUIF EST DIEU...
DIEU EST JUIF, JUIF EST DIEU...
DIEU EST JUIF, JUIF EST DIEU...

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