Encore un Jésus albinos! Je n'ai pas trouvé mieux, flûte!
Jésus était l’ami des femmes. Un fait admis depuis le berceau de l’humanité post antique.
Certains intellectuels ayant le vent en poupe profitent aujourd’hui du sujet et des récentes découvertes faites sur le prophète pour créer une nouvelle métaphore médiatique et présenter le personnage comme un chaud de la braguette ! Calmons le jeu ! En l’absence de preuves, inutile de s’immiscer dans les détails sensationnalistes pour créer le buzz !
La version chrétienne : Jésus a dit « Que celui qui n’a jamais pêché lui jette la première pierre ». Le problème c’est que l’étude rigoureuse du nouveau testament et de ses multiples traductions prouvent que notre Homme n’a jamais prononcé ces mots !
Pourtant, dans le colportage de bouche à oreille, dans les rares documents juifs ou romains retrouvés datant de cette époque et enfin dans tous les profils imaginés sur Jésus, y compris dans les représentations artistiques, le Christ était l’ami des femmes, certaines le suivaient en désertant le foyer.
Pourquoi ?
Pour le définir chaud lapin et donc enclin à séduire les femmes, il faudrait des preuves ! Ne disposant pas de suffisamment de sources pour attester des faits concernant son intimité, cherchons une explication à l’aide de l’outil psychanalytique :
Jésus prophétisait une nouvelle ère où les premiers seraient les derniers et les derniers les premiers. L’Histoire nous laisse imaginer l’impact de la bonne nouvelle sur les réactionnaires et les démunis, mais on nous parle rarement de son impact sur les femmes ! Les femmes de l’époque n’avaient pas besoin que Jésus leur promette d’abroger spécifiquement la lapidation, il leur offrait directement un monde dans lequel elles pouvaient imaginer le glaive et le phallus outrageux mordre la poussière.
Jésus, au-delà de ses promesses et de sa passion, avait une politique qu’il exerçait au quotidien : L’identitarisme ! En bref : « Les romains dehors !!! Et dépêchez-vous de convaincre vos frères Juifs de stopper l’hypocrisie et la soumission sinon les grenouilles et les scorpions du Père vont vous tomber sur la tronche ! »
Autrement dit, Jésus promettait un monde où les femmes et tous les laissés pour compte seraient les premiers et il remettait en question le phallus et le glaive romain, autant que les patriarches juifs acceptant de vendre leurs talents, leurs efforts, leur culture, l’objet de leurs rites religieux et évidemment leur femmes, à l’envahisseur !
Si l’on va plus loin et qu’on se place du point de vue d’une femme sensible et intelligente de l’époque, on ressent immédiatement Jésus comme le défenseur d’un monde plus décent, selon la volonté du divin ! Bref un homme visionnaire et révolté qui se sacrifie pour les faibles et les futures générations… Un homme, un vrai, radical, zélé et précédé d’une sacrée réputation ! Un homme qui protège l’enfant d’aujourd’hui et de demain.
Ainsi, nul besoin d’aller chercher chez Jésus le complexe de l’érection permanente pour expliquer ce vieux dilemme historique.
Pourquoi cette réflexion sur le Christ ?
Pour introduire un élément important dans le questionnement très actuel et raisonnablement bouillant :
Jésus était le genre de juif à remettre les juifs à leur place et à renvoyer les romains brouter l’edelweiss à grands coups de feu de Dieu !
Si nous lui rendions enfin ce vrai visage, à quel type de femme plairait-il ? Toutes, je suis d’accord, une fois que les bigotes les plus cruches se seront remises de leurs émotions !
Mais j’attire votre attention sur un détail : il renvoyait les juifs et les romains à leurs places ! Autrement dit, les juifs et les envahisseurs sédentaires et corrompus… Les juifs et les occidentaux… Les juifs et les futurs chrétiens.
A quel type de femme plairait-il particulièrement ?
Aux femmes arabes ! Et à toutes les femmes musulmanes qui éprouvent une rage ou une antipathie légitime envers les juifs et les occidentaux, tout en ne supportant plus le voile et la régression barbare de leurs semblables masculins.
Comprenons le bien, Jésus souhaitait un retour à la parole originelle des patriarches de l’humanité, il était fondamentaliste et condamnait les juifs véreux et les occidentaux, occidentaux qu’il n’envisageait pas lui-même de convertir.
Voilà donc le sujet bouillant !
Je sais, vous êtes déjà surpris par ce que j’avance ! Mais remettez-vous vite de ce premier choc, parce qu’en vérifiant, vous constaterez que les preuves scientifiques existent et surtout parce que la suite est bien plus croustillante :
Si Jésus pensait juste de revenir aux fondements, s’il se dressait contre l’hypocrisie et s’il s’estimait en guerre contre les envahisseurs païens mangeurs de cochon, à qui ressemblait-il le plus ?
Au prophète tant attendu par le genre de juif qui prie pour gagner au loto sans acheter de ticket ? Certainement pas !
Au Christ aux yeux bleus décrit par les fantasmes chrétiens ? Jésus peace and love ? Quelle farce de mauvais goût ! Un albinos psychédélique peut-être ?
Bref! Le personnage, dans sa façon de considérer la politique des juifs et des romains ressemblait plus au futur Muhammad, guerrier philosophe de son état, qu’au petit Jésus peace and love ou ’au machia’h « idéalissime » des pharisiens et des saducéens.
Mahomet, qui avait été témoin des persécutions des Juifs et des chrétiens par les romains (et qui n’avait pas deux millénaires de retard sur les archives et les colportages datant du premier siècle) n’a jamais rejeté Jésus, et pour cause ! Mieux, il a affirmé lui-même vouloir réformer les écritures juives et chrétienne pour en actualiser la pertinence, pour fonder une unité parmi les siens et pour apporter au monde les lumières d’un Islam juste! En vulgaire, un Jésus rebeu version 0.5 ! Jésus marchait avec Dieu et sa foudre, Muhammad était un chef militaire et un politicien, il marchait avec la guerre! L'un voyait la mondialisation selon le Dieu des juifs, par le Dieu des juifs, l'autre la concevait au nom de Allah par la main du guide et de ses armées. Jésus n'avait pas d'armée, il n'était pas impérialiste et se rendait à Dieu. Mais il ne s'adressait qu'aux juifs et il semble légitime de se demander si il n'imaginait pas le jugement du divin n'épargner que les "bons juifs" qui l'auraient suivi! Quant à Muhammad, la pression de l'Empire et l'affirmation des Eglises à l'ouest et les barbares à l'est, lui imposaient son statu militaire. Un guerrier philosophe qu'il faut replacer dans son contexte, sans parti pris, ni excuses.
Mesurons nous l’importance du point commun entre ces deux personnages?
Je ne crois pas !
Cette hypothèse est peut-être la clé de la réconciliation entre les peuples ! Il ne s’agit pas ici de donner raison à la religion et d’imaginer le monde se convertir à l’Islam, mais simplement de rendre à César, Jésus, Juda ou Muhammad, ce qui leur appartient ! Notre foi ne nous oblige pas à faire la guerre, ce sont les affaires politiques et l’hypocrisie d’une paix reposant sur les profits du commerce qui nous poussent à nous mentir, à nous entretuer discrètement, puis à nous faire sombrer dans la guerre totale ! Soyons enfin honnêtes ! Ce qui apporte la paix, c’est la laïcité, quand elle ne tend pas à briser la symbiose unissant les Hommes et leurs environnements respectifs. Quand elle ne tend pas à dénaturer le vivant et à consumer tous les patrimoines pour instaurer un mode de consommation et de pensée Unique. Ce qui apporte la paix, c'est que chacun garde sa foi en lui s'il n'est pas capable d'échanger dans la paix et la sincérité. Ce qui apporte la paix c'est de comprendre ce qui peut pousser une créature à faire la guerre pour le NOM de Dieu! Et qui peut l'y inciter... Ce qui apporte la paix c'est le double pardon. Un soulagement pour la justice! Ce qui apporte la paix c'est l’échange de connaissances, le métissage par l’Amour, pas par la force des choses! Le brassage de population doit rester un phénomène réglé sur le biologique, en accélérer le processus au NOMS de l'impérialisme, de l'économie de marché et de la globalisation toute puissante, revient à affaiblir le corps et l'esprit de humains! Cela revient aussi à transformer nos écoles en usines de guerre, où sont conçus des orcs et des urukai, pour faire allusion à l'univers de M. Tolkien.
Ce qui expliquerait la paix, c'est la science au service de l’homme, pas à son détriment. Mais pour que la science ait une conscience, encore faudrait-il qu’elle retrouve la foi !
Tentez d’expliquer à un scientifique lambda la différence entre la simple foi en ce qui est et celle qui se réfugie derrière un Dieu pratique et il vous répondra que vous ne parlez pas de foi, mais de déterminisme, celui de l’univers et de son intelligence que l’homme ne peut que constater, comme un simple observateur limité par son incomplétude. S’il est remonté, il vous avouera : « déjà moi avec ma « topissitude » je n’arriverai pas à réduire suffisamment cette équation de la vie, alors avec les trois neurones qu’un type comme toi utilise, il est tout à fait normal que tu ramènes cette complexité à ce fourre-tout qu’est la foi ! » Bref, il parlera de la même chose que vous, il exprimera inconsciemment qu’il n’en sait pas plus que vous sur la finalité des choses, mais en employant la négation. S’il est honnête, il vous dira quand même qu’il y a probablement quelque chose qui cloche dans le fait d’avoir dominé la nature avec la technologie pour arriver à la conclusion qu’on ne comprend toujours pas mais que nos petites modifications futuristes favorisent notre suicide collectif ! Au final, un bon psychanalyste, qui est pourtant un scientifique, nous dirait sûrement, non sans effort, que ses collègues matheux, physiciens, chimistes (…) et même psychanalystes ont tous gardé un souvenir inconscient de l’inquisition et du bûché ! Il vous dirait aussi qu’il y a un état de dissociation dans l’homme qui ne ressent plus le déterminé et l’indéterminable comme une complémentarité mais comme un paradoxe. Durant 600 ans, depuis les croisades, le pouvoir religieux avait le même complexe, mais à l’envers : les lois de Dieu sont déterminées, mais impénétrables, jusque-là le discours ne diffère pas trop, mais pour eux, se fier à la seule raison s’obstiner dans le réductionnisme pour percer le secret de ces lois était une hérésie ! Remarquons ici que les croyants voyaient la nature comme mauvaise, mais ne cherchaient pas à la dominer, alors que les scientifiques sont fascinés par elle et la détruisent au fur et à mesure qu’ils livrent leurs découvertes à leurs semblables économistes et politiques, sans la moindre considération éthique et systémique. Les scientifiques souffrant de dissociation et de déterminisme infectieux se reposent à leur tour dans un fourre-tout, dans leur cas il s’agit essentiellement du théorème d’incomplétude. En somme, tout reste déterminé mais l’homme, de par son statut d’observateur incomplet ne peux expliquer certains paradoxes dépassant son expérience. Tout reste déterminé ! Voilà qui ressemble à du déterminisme, conclu par défaut ! Question : en s’adonnant au puits de la science depuis les deux derniers siècles, l’Eglise aurait-elle fait un effort de réconciliation que leur refuse aujourd’hui l’académie des sciences, non sans un certain « fondamentalisme » ? Le comble de l’orgueil, berné par la subtilité et la double réalité des choses ! A ce jeu, l’Eglise n’est pas en reste, malgré ses efforts arithmétiques ! De son côté, elle doit toujours porter le poids incommensurable de certains mensonges, dont la persistance détruit toute sa crédibilité. Oh fallacem hominum.
Chers lecteurs ceci devrait suffire à nous démontrer toute l’ironie de notre actualité !
Si la raison et l’empirisme qu’elle forge pour justifier ses erreurs scientifiques et son hypocrisie politique prouvent leur échec, aussi bien que les croyances et leur dogmatisme… C’est qu’il faut enfin réconcilier les deux !
Les utopies on en a marre, diront les hordes qui profitent encore d’une fausse démocratie en ignorant tant les questions scientifiques que religieuses ! Sans prendre conscience de l’utopie agonisante dans laquelle ils survivent !
Pourtant, dans cette utopie morbide, se dessine la réalité inéluctable de leur pire cauchemar : le retour de bâton de l’histoire, le mélange sanglant des premiers et des derniers, le péril jaune, le retour non pas de l’âge d’or de l’Islam, mais de sa version la plus obscurantiste, celle que nous avons réveillée ! Imaginez un peu la tronche de nos hypsters, de nos teufeurs et même celle de nos intégristes catholiques armés d’une batte et d’un sauciflard devant des hooligans russes, des enfants soldats de l’Afrique sanguinolente, des djihadistes endurcis par un siècle de guerre ininterrompue (…) et des hordes de chinois et de juifs injectant des dollars dans l’affaire ! Le retour de la route de la soie, version synthétique, et des mille et une nuits, version « votre pire cauchemar » ! « Soumission » (le dernier Houellebecq) et « Akira » pour les prochaines années avec les amours chiennes de Trump et Poutine en trame de fond et au final la dernière guerre de l’anneau unique.
Qu’est-ce que Tolkien vient encore foutre ici ? Dans ce scénario, les USA sont Saruman et l’ex URSS est le Rohan (La Russie, Edoras...). Et l’Europe ? Elle fait partie du bassin méditerranéen, les terres du milieu. La Grèce et l’Angleterre sont représentées par les 2 chutes d’Osgiliath ! L’anneau unique est l’argent et le pouvoir au service de l’orgueil : Sauron. Les anneaux distribués aux « races » sont les dettes, les principaux sont les mensonges divisant les Juifs, les arabes et les occidentaux ! Les orques sont les nouvelles générations, nées dans la médiocrité, la corruption et l’arrivisme, dans la violence et la laideur urbaines, dans la haine hypocrite et la violence tempérée. Des générations capables de concilier la fête et l’instinct de mort. Nos enfants, mesdames et messieurs, que vous poussez vers les MBA et les écoles SUP de ci et SUP de ça sans savoir ce que sont devenus le droit, le commerce et les fantasmes scientifiques !
Chers lecteurs,
Qui représente l’utopie ? Celui qui envisage un monde meilleur avec des ingrédients que l’on boude parce que nous ne les avons pas encore gouttés, comme un enfant capricieux ? Ou ceux qui persistent à maintenir en place une réalité moribonde dont l’empirisme nous mène à la souffrance, à la haine et à la destruction ?
Je vais être plus cru : La révolution de l’Est et du Sud, le péril jaune et le vrai printemps arabe… Comment souhaitez-vous vous les prendre ?
Avec ou sans accords ?
La clé est ici, je vous l’assure ! Alors ? En avant la musique ? Ou le dernier vacarme de la guerre ?
Merci de votre aimable compréhension.
Epilogue :
On dit souvent que toute vérité est à double sens, toute bonne nouvelle à double facette et tout pouvoir à double tranchant… La dualité éternelle des choses… et non choses, donc ! Eternelle qui, ne serait-ce que parce qu’elle est dualité, ne peut qu’engendrer de la vie et de la mort. La dualité et son chiffre le deux.
JESUS en alphanumérique : J10+E5+S19+U21+S19 = 74 qui réduit donne 11 et donc 2.
Notons que j’utilise ici le terme français ! Jésus en hébreux : Yéhoshua (forme originale de Josué), puis Yeshua. Jésus en grec : Iêsoûs. Ce terme vient donc des linguistes européens (Jésus, Jesùs ou Jésus…), il est dérivé du latin Iesus. Autrement dit, ce terme a du être adopté en France au Moyen-âge, en pleine lecture symbolique des saintes écritures et validé plus tard au XVème siècle par les linguistes auxquels on n’avait commandé de faire du Français une langue royale et véhiculaire. D’une période à l’autre, deux points communs : Jérusalem, la terre trois fois sainte ! Et le statut de Jésus ! Autre détail, aux deux époques la France de Clovis est confrontée à la constitution de l’empire romano-germanique et, déjà, à l’humour tranchant des anglo-saxons… Le tout en affrontant les arabes en territoire ibérique jusqu’en 1492. En ce XVème siècle, bien avant que la couronne espagnole ne nous concurrence sur la question des Amériques, elle nous a plutôt rapporté tout un lot d’outil et de savoir romano- judéo-chrétien, importé chez les ibères par les arabes. Dès la victoire de la Reconquista, avant même de durcir le régime envers les arabes restés dans le pays, on expulse les juifs. Restons donc dans cette période allant du moyen âge au prémisses de l’obscurantisme, période durant laquelle le prénom Jésus a été retenu, utilisé et validé, au lieu de Iesus (latin) ou Jéshua, jéhoshua (dérivé de l’hébreux) ou Josué pour faire moins juif mais respecter l’étymologie !!! Période pendant laquelle les gaulois que nous sommes avaient joyeusement perdu leur latin et oublié le prestige hérétique de la Grèce antique, période durant laquelle nous avons pourtant choisi la traduction grecque de ce nom araméen, en évitant les accents comme les latins et en remplaçant le I par un J comme les ibères. Il faut bien avouer que moins Jésus sonne juif, mieux on se porte ! Le XIIIème siècle importe aussi dans cet intervalle où l’on ne peut dater précisément le passage de Iesus à Jésus. Après l’année 1314 le scandale lié à la mort programmée du dernier maître de l’ordre du Temple, Jacques de Molay, ainsi que la persécution des chevaliers templiers, firent vaciller la foi des chrétiens d’Europe, essentiellement en France. Je rappelle ici encore que les templiers en savaient long sur les petits secrets entre Juifs, Arabes et fidèles de Jésus. Je rappelle aussi que les chevaliers de l’époque, torturés entre la noblesse de leur serment se confiaient plus aux intellectuels et aux moines de bonne érudition, qu’aux prostituées ou au sauvageonnes qu’ils engrossaient. Et, comme je l’ai déjà souligné, à la façon de M. Umberto Eco, les moines de l’époque craignant le bûché ont truffé le français et les écritures monastiques de codes reflétant leur inavouable actualité !
A propos de Jésus et de la dualité :
Jésus est appelé Yehowshua ou Yehoshua (l’Eternel et salut), puis Yeshua (salut), par les juifs qui le reconnaissent (comme un simple prophète ou prédicateur) et enfin Yeshu par ceux qui le renient, ce terme étant péjoratif et signifiant « Que son nom soit effacé ». Dualité.
Jésus est devenue Dieu et le fils de Dieu (dualité), mais aussi un symbole de paix et de condamnation du crime et des pêchés, pour les descendants de ceux qui l’ont cloué sur une croix et achevé à coup de lance. Dualité.
Les enfants de César deviennent des grenouilles de bénitier… Dualité.
Les juifs non laïques qui aujourd’hui renie Jésus, le font parce qu’ils sont intégristes ou radicaux et qu’ils ne supportent plus l’idée de chrétiens maîtres du monde, chrétiens ayant trafiqué l’identité d’un juif pour en faire leur enseigne religieuse, chrétiens leur ayant fait vivre les pires misères de l’Histoire en les accusant d’être les assassins de Dieu ! Certains le savent, d’autres non, mais le fait est que Yeshua était lui aussi un intégriste, un radical, un zélote zélé, un apocalyptique même ! Le comble de la dualité ! A un tel point que cette histoire court toujours et qu’elle est à deux doigts de nous consumer tous sans que le commun des mortel n’y comprenne quoi que ce soit, y compris les juifs laïques et les juifs pratiquant de peu d’esprit, intégristes ou non… Un vague meurtrière, un monstre, mais qu’on ne voit pas et qui arrive en pantoufle… Dualité encore, pour le meilleur et pour le pire.
Dualité subtile, dualité incomprise… Oh saeva mundi.
Voilà pour ceux qui avaient un doute sur Jésus et la dualité.