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Le blog de Persone

Accords et désaccords nucléaires

30 Mars 2019, 23:50pm

Publié par Persone

Accords et désaccords nucléaires
Accords et désaccords nucléaires
Accords et désaccords nucléaires

Mon frère ne doit pas supporter l’image que je lui renvoie ! Mais pourquoi le dire ?

Mon meilleur ami se passionne étrangement pour les enfants ! Moi, ma femme est sexuellement dépressive ! Moi, mon fils se comporte comme un homo !  Moi, ma fille est une chaudasse… Mieux vaut éviter le sujet !

On vit plus vieux, mais depuis la désillusion des congés payés, on se fait chier à mourir ! Je dis ça mais je ne dis rien !

La découverte du monde microbien et de l’hygiène sous toutes ses formes sont les facteurs les plus déterminants de l’élévation de notre longévité, ce qui ne justifie en aucun cas l’évolution du progrès tel que nous le connaissons ! Autrement dit, les découvertes liées à  l’augmentation de notre durée de vie ne légitiment en aucun cas notre mode de vie, sachant d’autant plus que notre confort social mal acquis et notre matérialisme sont synonymes d’anthropocène ! Mais après tout, pourquoi torturer d’indolentes méninges déjà si contrariées !   

Le monde va mal, il semble que nous soyons responsables de... Responsables ? Bon stop, là il est impératif que chacun ferme sa gueule !

Ne vous fendez pas - dit l’enfant - moi mon père et ma mère ont fait de moi le soldat de leur guerre des roses, le jouet de leur échiquier, entre pion et arbitre. Et après je suis devenu vous !

Mais pour qui se prend t-il celui-là ? Ce p’tit con pisse encore du lait, il n’est pas même déterminé !

 

Dans cette courte histoire de chuchotement, que l’on entend dans les couloirs du temps, à l’orée de notre physique et allégorique caverne, cherchons la nature et la position de l’enfant.

Mieux vaut éviter de parler des choses qui fâchent dit-on sans avoir conscience que c’est ce que nous faisons depuis des millénaires d’enfance et d’adolescence humaines mal léchées ! Il va donc s’en dire que je n’évoque pas les iniquités sociales et géostratégiques puisque tout le monde en parle !

J’évoque plutôt notre intimité comme facteur refoulé et pourtant responsable de la comédie humaine et du gaspillage morbide révélés par la mécanique de la souffrance.

L’intimité n’est un tabou que pour ceux qui craignent de se connaître et de se reconnaître dans le monde qui les entoure et les constitue.

Mais le charitable hôpital de l’intimité est un domaine que l’Homme déterminé évite au maximum ! Lui qui a tant à se reprocher concernant l’intime et le cœur de la rose, lui qui bâtit des empires pour combler les vides laissés par la guerre du même nom… Celui de la rose. Lui qui invoque le déterminisme des dieux, le droit d’inquisition d’un Dieu Tout puissant ou la sainte causalité pour que le fatalisme lui serve d’excuse ! Lui qui apprécie le divan d’un psy libéral ou même conventionné ou encore quelques pilules et régimes adaptés pour améliorer son existence dépressive, cancéreuse, et mécanique.  Nous ne sommes pas responsables mes enfants, mais ne lâchons pas notre empirisme pour cause de terreur, c’est une affaire qui roule ! La révolution est permanente et la main invisible régule nos intérêts temporels comme PERSONNE ! Les Lumières, le progrès matériel et globalement le fruit de notre raison nous offriront très probablement un avenir meilleur… Think positive ! 

 

Histoire intime de la causalité et du libre arbitre :

La causalité qui sert d’excuse à notre déterminisme consumériste est un principe très clair, or elle est intimement liée à la notion de conditionnement et c’est ici que les choses se compliquent y compris lorsque l’on raisonne avec la forme la plus simple de cette notion de « condition » ! Le conditionnement apparait raisonnablement comme métabolique : logique et mémoire du couple action/réaction. Notons que face à la notion d’éternité, celle de logique (dualité par exemple) persiste, mais celle de mémoire s’efface par inutilité : mémoire de quoi, de quelle origine, lorsqu’il n’y a ni début ni fin ? Néanmoins, il serait très réducteur d’imaginer que l’éternité, qui demeure indéterminable, ne possède pas une forme de mémoire ! Disons que la mémoire telle que nous l’imaginons, c’est-à-dire prisonnière de notre condition physique, de nos individualités ou au mieux de nos écritures, n’a plus de sens hors de l’espace-temps. Le trou noir ! L’animal ne se pose aucunement la question, mais l’être humain sécurisé par son orgueil, ses sens, sa raison, ses 4 volontés et ses facultés peine à admettre ce qu’il ne peut comprendre et refuse encore d’admettre qu’une information peut exister par différence de potentiel et par quanta d’énergie, sans corps, sans véhicule ! Obsédé par le voyage que nous sommes ! Des fous du volant, cela va s’en dire, pourtant possédés par la crainte de perdre ce qu’ils ont possédé et vécu ! Et si l’instant présent et l’éternité était deux infinis inatteignables mais indissociables, réunis en un seul et même 0 ? Notre mémoire existe, mais l’éternel où tout n’est qu’un peut bien s’en passer ! L’Homme peut se passer de Dieu pour prouver qu’il existe dit-on, dans ce cas pourquoi Dieu ou un principe créateur auraient-ils besoin de nous ? Nés de la dernière pluie, pour appréhender son existence ? Pour revenir au temporel et plus particulièrement au vivant, nous avons donc une structure métabolique, une information « virale » qui a trouvé hôte et qui évolue. Nous pouvons parler ici d’appétit (besoin et transformation d’énergie) et de ce qui se greffe autour d’un intestin intelligent : un centre nerveux, de la chair sensible, de quoi respirer, filtrer, digérer, liquéfier, transporter, redistribuer… Et l’œil allant souvent par deux !

Concernant la conscience de l’être qualifié d’évolué : les cinq sens reconnus, le microprocesseur, la mémoire et autres composants cérébraux, les sentiments et enfin, cette pulsion qui agit du premier au dernier souffle : le désir de vivre et la reconnaissance de ce corps réfléchissant (dans les deux sens du terme), témoins du milieu indéterminable qui l’entoure et le constitue. Autrement dit, un corps physique est le lien conscience/matière, une image mathématique de cette conscience qui se passe de corps et donc de temporalité correspond à notre rêverie de la matrice ! Nous pouvons imaginer un potentiel de possibilités logiques « information » qui attend un niveau d’énergie et des conditions requises pour que quelque chose s’incarne… Quelques pistes scientifiques parlent de mémoire et d’ondes gravitationnelles concernant la possibilité d’enchaînements consécutifs d’univers en expansion (après Big-Bang) et contraction (après Big-freeze) et le champ de Higgs propose également une ouverture sur la question concernant la période d’équilibre (énergie 0 inatteignable) entre la mort d’un univers (fin du Big-freeze) et la contraction qui recréera les conditions d’un Big-Bang. Une hypothèse intéressante consiste à imaginer que le passé (métaphysique) se contracte tandis que l’univers « matériel » que l’on observe dans notre voyage « temporel » vers le futur est en expansion ! Lorsque toute l’énergie du système a été transformée, c’est l’inverse qui se passe ! 

Le conditionnement serait une affaire de reconnaissance et de réaction d’un état par rapport à un autre ? L’immanence, la dualité non conflictuelle ! Mais le conditionnement et le métabolisme nous ramènent au déterminisme… Oui, mais pas absolu ! Tout est déterminé? Pourquoi TOUT ? Qu’est-ce que TOUT ? Peut-on le définir, le déterminer ? Dans une pièce de théâtre, vous êtes limité par les capacités des acteurs et tout le matériel dont vous disposez pour la mise en scène, tout cela est déterminable et les capacités des acteurs relativement déterminées, mais tous les scénarios sont en revanche possibles !

Observons de près et de loin notre métabolique expérience : les mêmes particules dedans et dehors, un intestin animé par la pulsion de vie et doté d’une raison et de sentiments. L’impulsion de vie se confond facilement avec l’humeur, la volonté, le désir, la conviction, la foi. Elle est un même principe, mais vécu de façon bien différente par chacun. Les sentiments, si l’on considère les 5 piliers que sont l’amour de l’autre et l’amour de soi (première étape) puis l’amour de la vie (expérience), l’amour des autres (reconnaissance de la diversité, de la grande famille, de la fraternité, de la sociabilité) et enfin l’amour propre (le ministre faible), forment un complexe extrêmement subtil et sensible sur lequel il demeure impossible de spéculer sans marge d’erreur ! Un complexe que l’on peut tenter de corrompre ou de conditionner, mais au risque de voir tout l’édifice humain s’écrouler un jour ! Quant à la raison, elle progresse et admet aujourd’hui les phénomènes classiques observables ou quantifiables, la relativité et  la mécanique quantique ! Or depuis ces progrès, elle reconnait aussi l’immanence mystérieuse des choses de l’existence et la nécessité de son incomplétude ! Tout reste donc prévisible jusqu’à une certaine précision, rien n’empêche les constantes, les lois universelles et la causalité de s’exprimer, mais comment affirmer encore que TOUT est déterminé, du moins sans persévérer dans la folie des grandeurs avec deux poids et deux mesures à la hauteur de nos petits intérêts ?

Nos choix ne sont prévisibles qu’en deçà d’une certaine limite de précision, au-delà ils demeurent indéterminables, sans quoi nous n’aurions pas même la moindre responsabilité de nos actes. C’est ce que l’on peut appeler l’embrayage de ce véhicule et pilote qu’est la double nature de la conscience. Autrement dit, un état de roue libre permettant à l’avoir immanent de ne plus être en  prise et à l’être immanent de ne plus avoir de prise.

Le libre arbitre, tant décrié depuis des millénaires de déterminisme religieux ou matérialiste !

L’être et l’avoir répondent ici au principe d’immanence, l’être est la nature indéterminable de la conscience, relativement transcendante, mais aucunement toute puissante et l’avoir est sa nature temporelle, dotée d’un corps métabolique réfléchissant, sensible, susceptible, subtil et relativement déterminé. La lumière nous aveugle, nos flammes nous consument et les ténèbres, ainsi que la mort et l’éternel nous effraient… Ils sont probablement plus désarmés que l’on ne l’imagine.  Associer la toute-puissance à un principe créateur (dont la création sera nécessairement soumise à des lois logiques) est aussi erratique et paradoxal que de nier le libre arbitre relatif et l’influence d’une création vivante sur le milieu qui l’entoure et le constitue. Création/créature dont l’existence manifeste peut établir un ratio logique (raison) entre les lois et les constantes déterminées qu’il subit, le principe d’incertitude qui caractérise sa capacité de résolution limitée face à l’infini et les sentiments déterminés et indéterminables qui l’animent).

Erratique à moins, dans un ultime effort de cohérence, de nier toute forme de conscience universellement ou humainement parlant ! A moins de croire en un hasard suivi d’un déterminisme et d’une finalité absolus, laissant à l’observateur l’illusion des sentiments et de la conscience... Ni pour le tromper, ni pour l’aider à supporter le poids d’une existence vaine, puisque la conscience n’existe pas. Une précision infinie, la singularité plurielle de la vie, de la beauté à en mourir et des horreurs dont les décombres rappellent la vie (…), mais au final, beaucoup de bruit pour rien ! Un simple hasard, un non-lieu ! Circulez, il n’y a rien à voir, reprenez vos activités, l’argent ne dort jamais ! Dans cette optique, les mathématiques eux-mêmes ne seraient qu’une invention erratique de l’Homme puisque tout serait rationnel, naturel et relatif, entier et décimal (l’infini est ici un paradoxe), premier et divisible et enfin complexe ! Pas d’irrationnel, pas d’imaginaire malgré que toutes ces propriétés composant les chiffres et les nombres soient indissociables et déterminées par la suite logique du principe mathématique ! Toute la suite logique s’effondre donc ici et avec elle le rationnel, le naturel et le relatif, l’entier et le décimal… Mais si nous ne savons plus rien, alors comment nier un autre point de vue ? Comment avoir le moindre avis sur quoi que ce soit ? C’est ici que la pertinence ultime du déterminisme absolu s’effondre.

Bien malheureusement, dans un monde où l’absence de libre arbitre et donc de responsabilité est devenue un paradigme empirique, chacun essaie d’y croire !

Occulter notre intimité et nos complexes nucléaires en vouant un culte et en allouant une personnalité morale à notre empirisme, c’est nier les souffrances réciproques qu’endurent l’ensemble et les sous-ensembles ! Un pour tous et tous pour un, emportés par défaut, dans la mécanique du déni, de la souffrance et de la destruction.

La peste soit sur vos deux maisons lance l’éternel enfant Mercutio…

Alors… C’est la poule qui fait l’œuf ou (…) l’enfant qui fait l’adulte ? Et dans quel sens emploie-t-on le verbe faire ?

Cette énigme est un clin d’œil alchimique à l’immanence ! Est-ce l’état adulte qui engendre l’enfant et participe à l’éducation de l’enfance ou l’état d’enfance qui fait l’adulte que nous serons et influe sur les adultes qui nous entourent ? Les deux ! L’état d’incarnation ou la naissance précède-t-il l’état de non vie ou l’inverse ? Les deux encore !

Le grand contient-il le petit ou l’inverse ?…

Bon voyage !

 

Epilogue :

Dans un monde gouverné par le déterminisme et l’empirisme  dans sa forme la plus hypocrite, l’ontologie et la vulgaire pratique ont un dangereux train-train d’avance sur l’épistémologie et la déconstruction de nos empires, comprenant ceux de nos sens et de nos langages.

Bien qu’il nous en coûte de l’admettre, le déterminisme contemporain est le fruit d’un empirisme politico-religieux qui a légué son bâton à une main invisible gouvernant le marché ! Dans un univers où il est dorénavant admis que la vie n’a pas d’autre sens que celui du hasard et de la finalité… Ah les farceurs que nous sommes !

L’Homme se croit un empire dans l’empire, il est une bête perce/Eve/errante sur les chemins de la conquête, de la gloire et de l’échec… De tout son cœur maudit, il lance un appel au Léviathan ! Une invocation de l’esprit mécanique tout puissant de l’état industriel !

Un monde impitoyable dans lequel l’innocence souffre du complexe de Cassandre.

Ces mains qui nous empêchent...

Ces mains qui nous empêchent...

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Le principal, les intérêts et le poids de la dette :

30 Mars 2019, 22:09pm

Publié par Persone

Le principal, les intérêts et le poids de la dette :

Sérendipité et zemblanité dans une brume électrique de force faible instable… Seth et Osiris en fin de croisière! Gare aux icebergs et gaffe aux réacteurs nucléaires…

La joie a gouté la colère lorsqu’elle est appelée par tristesse… Et l’épouvantable haine ! La tristesse connait l’ingratitude, l’oppression et l’inconscience cruelle de la joie ! Et la prudence, lorsqu’elle est innocente, se méfie autant de l’une que de l’autre ! Lorsqu’elle est intéressée, corrompue ou avilie d’une quelconque façon, elle les manipule au profit de l’amour propre, du pouvoir et des richesses.

Ainsi vont les choses dans la cité de Hommes où l'on donne un nom et un corps à l'orgueil: l'Empire, l’État, le nouvel ordre mondial... Incapables de gouverner nos vies, nous avons donné procuration à un système d'exploitation chargé de défendre nos intérêts, un Léviathan sans âme qui ne nous rendra jamais que ce que l'on mérite! Or cet Orgueil des nations, la nature étant logiquement bien faite fonctionne comme celui des citoyens dont il est la projection: lorsqu'il est en faillite et contredit sa propre nature à chaque mouvement, il laisse la mort s'inviter! Les plus braves iront trouver leur fin au combat, beaucoup espèrent qu'elle arrive discrètement en essayant de se nicher dans un petit trou confortable, de plus nombreux encore devront affronter un cancer. Cela n'a pas l'air si terrible pour des esprits conditionnés à la souffrance et à la délégation des pouvoirs depuis tant de générations... Mais une question persiste, comme dans le cauchemar final d'un sacrifié volontaire qui sur l'autel réalise l'inutilité, la laideur et l'inéluctabilité de son dernier acte: ce n'est pas l'issue qui comptait, la mort vient toujours, mais la façon de l'atteindre et ce que l'on aura accompli de juste lors du voyage, ne serait-ce que pour la mériter! Toute une vie dans un dernier cauchemar: "N'ai-je pas complexifié une dégénérescence morbide en me prenant pour un créateur, pour un pion du créateur ou pour un empire dans l'empire? N'ai-je pas tué ou accepté que l'on tue ailleurs pour augmenter ma longévité? Qu'ai-je transmis à mes enfants, quel exemple suis-je en train de leur laisser ici? La mécanique de la souffrance! Toutes ces questions que j'ai fui toute ma vie, me rattrapent ici en un éclair et en toute innocence alors que je les imaginais terribles, complexes et invincibles... Ici, à la fin de tout, elles sont ma raison, ma volonté et mon Amour de vivre! Mes enfants, rien n'est aussi déterminé que je vous l'ai fait croire... Jusqu'à un certain seuil qui ne m'appartient plus... Il est trop tard dorénavant.

Qu’elle soit convoitée ou prise en charge par les adeptes d’Apollon, par les adorateurs d’un Dieu unique ou par les Lotophages matérialistes de la raison aveugle, l’innocence est toujours en face d’un déterminisme absolu ou d’une hypocrisie sans nom ! Victime du complexe de Cassandre la vérité ne s’épanouit pas, elle se cache et laisse place au domaine du déni, du mensonge, de l’hermétisme et de la raison du crime ! Empirisme vulgaire de la bête humaine face à l’entropie d’une mécanique savamment choisie : celle de la souffrance et des compensations addictives !

Libérer Cassandre, c’est briser le mur de l’hermétisme ! Autrement dit, mériter et trouver le sortilège qui annule les sortilèges !

Juste une rêverie...

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Eve, Adam, Caïn, Abel et Seth...

27 Mars 2019, 22:07pm

Publié par Persone

Pi r²
Pi r²
Pi r²
Pi r²
Pi r²
Pi r²
Pi r²

Pi r²

Mon frère ne doit pas supporter l’image que je lui renvoie ! Mais pourquoi le dire ?

Mon meilleur ami se passionne étrangement pour les enfants ! Moi, ma femme est sexuellement dépressive ! Bah moi, mon mec est éjaculateur précoce! Moi, mon fils se comporte comme un homo !  Moi, ma fille est une chaudasse! Le mien est suicidaire!!!… Mieux vaut éviter le sujet !

On vit plus vieux, mais depuis la désillusion des congés payés, on se fait chier à mourir ! Je dis ça mais je ne dis rien !

La découverte du monde microbien et de l’hygiène sous toutes ses formes sont les facteurs les plus déterminants de l’élévation de notre longévité, ce qui ne justifie en aucun cas l’évolution du progrès tel que nous le connaissons ! Autrement dit l’augmentation de notre durée de vie ne légitime en aucun cas notre mode de vie, sachant depuis peu que notre confort social mal acquis et notre matérialisme sont synonymes d’anthropocène ! Mais après tout, pourquoi torturer d’indolentes méninges déjà si contrariées !   

Le monde va mal, il semble que nous soyons responsables de... Bon stop, là il est impératif que chacun ferme sa gueule !

Ne vous fendez pas - dit l’enfant - moi mon père et ma mère ont fait de moi le soldat de leur guerre des roses, le jouet de leur échiquier, entre pion et arbitre. Et après je suis devenu vous !

Mais pour qui se prend-il celui-là ? Ce p’tit con pisse encore du lait, il n’est pas même déterminé !

Dans cette courte histoire de chuchotement, cherchons la nature et la position de l’enfant.

Mieux vaut éviter de parler des choses qui fâchent dit-on sans avoir conscience que c’est ce que nous faisons depuis des millénaires d’enfance et d’adolescence humaines mal léchées ! Il va donc s’en dire que je n’évoque pas les iniquités sociales et géostratégiques puisque tout le monde parle !

J’évoque plutôt notre intimité comme facteur refoulé et pourtant responsable de la comédie humaine et du gaspillage morbide révélés par la mécanique de la souffrance.

L’intimité n’est un tabou que pour ceux qui craignent de se connaître ainsi que le monde qui les entoure et les souffrances réciproques qu’endurent ensemble et sous-ensemble.

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POSER… Additionner, multiplier, diviser… ET METTRE UN TERME...

24 Mars 2019, 14:16pm

Publié par Persone

Ferre entre Nietzscheoze et spinozite légitimes, mais toujours plus Beethoven que Wagner!

Bonjour à tous et merci encore pour toutes vos interactions sur ma page et les groupes de discussion !!! J’ai récemment adressé de tels et sincères remerciements sur une communauté concernant l’œuvre de Michel Onfray, au nom de tous nos enfants, que j’ose appeler les victimes indéterminés de notre déterminisme plurimillénaire. J’ai reçu en réponse de nombreux commentaires du même type : « la souffrance des enfants est intolérable ! »

J’aimerais ici développer le sujet dans une inspiration shakespearienne, avec une fin alternative nous amenant à méditer sur la notion relative de l’acte final… Apocalypse/révélation.

Le mot intolérance n'a donc pas qu'un signifié "négatif", il est à double sens! Tout comme négatif qui indique un mauvais ressentiment ou une charge complémentaire à la phase positive, etc... Et c'est précisément en occultant la découverte du double sens des TERMES fondamentaux affectés à son langage, que la bête humaine s'est octroyé le monopole déterminé de l'ordre et de la morale, fusse-t-elle religieuse ou raisonnable! Le monopole déterministe du contrôle, le complexe d'incomplétude et d'incertitude... Qui, ironie du sort, déterminent la mécanique de sa souffrance. Causalité oblige! Ce contrôle, cela va sans dire est le monopole du mâle dominant qui possède et est possédé par le pouvoir sur la viande (appétit), le feu (technologie) et le vagin (désir et sacralité). Avec le temps, le progrès, le matérialisme, le déni, l'ignorance et l'hypocrisie (...), les dominés deviennent des dominants comme les autres, les femmes deviennent des Hommes comme les autres, la nature recule... Et les enfants, ils s'adaptent comme on dit pour se rassurer. Terme: élément entrant en relation avec d'autres (mot, lettre, chiffre, organe, engrenage...). Ensemble clé et serrure, physiquement et métaphysiquement parlant !!! Terme indique aussi la fin d'une période ou d'un voyage pour faire le lien avec l'espace, mais à l'origine l’étymologie du terme vient du Dieu Terminus qui représente les bornes. Nous en avons fait du voyage, dans un véhicule de plus en plus sophistiqué... Mais le pilote semble atteint d'un problème de sentiments, de foi et de raison... le malheureux souffre aussi d'une tolérance dépressive au néant qu'il incarne à toute berzingue! Perso, je pense que quelques découvertes récentes concernant les sciences et surtout quelques passerelles sémantiques, vont d'ici peu mettre une grande gifle à notre amour propre, qui ne mérite plus le moindre titre de noblesse!

La déconstruction va faire mal, dans le bon sens du terme!

Le désordre, c'est l'ordre moins le pouvoir...

Le désordre, c'est l'ordre moins le pouvoir... par conséquent l'ordre, c'est le désordre plus le pouvoir et le pouvoir, c'est l'ordre moins le désordre. Mais l'ordre moins le désordre n'a pas de sens... Incomplétude! Et le moment de fermer nos grandes gueules, dirait l'artiste!

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L'oppression... en milieu tempéré.

24 Mars 2019, 13:56pm

Publié par Persone

N’est-il pas douloureux de voir l’humanité déchirée entre la misère des mains sales qui se dressent dans la rue munies de gilets jaunes ou de machettes, les mains bonnes à tout qui font ce qu’on leur demande et enfin les mains propres qui tentent de convaincre les autres que chaque chose est à sa place ? Convaincre surtout les mains sales, les ongles noirs et les poings dressés que les voies du seigneur sont impénétrables ou que la causalité dépasse la responsabilité de nos actes et de nos choix, qu’il devient nécessaire de confier aux institutions dont les mains les mieux récompensées et l’amour propre sont les bénéficiaires ! Le comble ? C’est que toutes ces mains sont les mêmes ! Elles sont l’humanité qui se flagelle et se masturbe et bien souvent les raisins de la colère, l’opportunisme et le fatalisme (rationnel ou religieux) sont réunis en chacun de nous. Quels mensonges et quels crimes sont-ils déniés entre la nuit et la journée pour que l’on mérite encore d’être de pitoyables victimes des autres et bourreaux de nous-mêmes ?

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Le samedi, les vaches regardent passer les gilets jaunes, le dimanche aussi...

22 Mars 2019, 20:17pm

Publié par Persone

Le samedi, les vaches regardent passer les gilets jaunes, le dimanche aussi...
Le samedi, les vaches regardent passer les gilets jaunes, le dimanche aussi...
Le samedi, les vaches regardent passer les gilets jaunes, le dimanche aussi...
Le samedi, les vaches regardent passer les gilets jaunes, le dimanche aussi...
Le samedi, les vaches regardent passer les gilets jaunes, le dimanche aussi...
Le samedi, les vaches regardent passer les gilets jaunes, le dimanche aussi...

Après un dimanche matin à l’Eglise, après un samedi soir au cinéma, après une élection, après la manifestation ou la victoire de l’équipe nationale... Le train-train nous rattrape toujours, dit-on non sans raison. Hell on wheels disaient les gardiens de vaches avant que celles-ci ne regardent indolemment passer notre insensé déterminisme sans lendemain. 

Qu’est la métaphore ? Une logique manifeste de par la nécessité de sa propre nature, une forme dans un nuage, une mise en relation, un chiffre, une lettre, un mot, une expression... Un acte manqué, une réalisation pas si consciente qu’elle n’en a l’air, une machine ?

Mais alors, qui regarde passer les vaches ?

Le samedi, les vaches regardent passer les gilets jaunes, le dimanche aussi...

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L’Hermétisme illusoire et le désenchantement déterminé du monde en quelques mots…

14 Mars 2019, 16:33pm

Publié par Persone

L’Homme empoisonne son espace, gaspille son énergie et perd son temps à creuser ou à bâtir pour recouvrir ses péchés nucléaires de monstrueuses bien qu’insuffisantes chapes de béton.

Je remercie Shakespeare de m’avoir soufflé ces quelques mots, lui qui n’avait que son cœur, sa foi et la mathématique pour comprendre la physique et au-delà…  

L’Hermétisme  illusoire et le désenchantement déterminé du monde en quelques mots…
L’Hermétisme  illusoire et le désenchantement déterminé du monde en quelques mots…
L’Hermétisme  illusoire et le désenchantement déterminé du monde en quelques mots…
L’Hermétisme  illusoire et le désenchantement déterminé du monde en quelques mots…
L’Hermétisme  illusoire et le désenchantement déterminé du monde en quelques mots…

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Du mauvais procès des trois singes et de l'apocalypse...

4 Mars 2019, 16:14pm

Publié par Persone

Du mauvais procès des trois singes et de l'apocalypse...
Du mauvais procès des trois singes et de l'apocalypse...
Du mauvais procès des trois singes et de l'apocalypse...

Anthropocène dit-on aujourd'hui... Le bilan du Sapiens sur l’État de la fosse septique qui témoigne de son empirisme!

Triomphants les uns sur les autres, les sentiments, la foi ou la raison sont aussi aveugles, muets et sourds que les trois singes en un seul.   

Le grand échec de notre temps, c’est le maintien de nos illusions malgré le désenchantement du monde accompli pour les dissiper.

 

 

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