Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Le blog de Persone

L'EMPIRE CONTRE-ATTAQUE...

28 Mai 2019, 13:10pm

Publié par Persone

L'EMPIRE CONTRE-ATTAQUE...
L'EMPIRE CONTRE-ATTAQUE...

Royalisme, fédéralisme, nationalisme, empirisme, colonialisme, globalisme…  What the fuck is this ?

Thèse :

C’est parce que les chinois prennent  en compte le développement en Afrique et de l’Afrique qu’ils y feront ce que les occidentaux n’ont pas su faire !

Antithèse :

Oui, mais la base du développement c’est l’écriture, certes pas l’alphabétisation mécanique des peuples vassalisés, mais l’écriture ! Bref, ce qui renseigne sur la structure même des langages ! Or, le développement sans la source saine ou assainie du développement, c’est un singe qui trouve un fusil chargé et une cuillère en argent ou quelqu’un qui lui tend sciemment les deux reliques! C’est globalement, depuis des millénaires,  le sort que tout « petit maître » réserve à ses ouvriers et ses soldats.

 Synthèse :

Vous avez donc tous les deux raison, mais la seconde proposition l’emporte en élargissant le champ de la première ! Cela dit, il est affirmé ici que l’écriture est la base du développement bien qu’elle soit à double tranchant (révéler ou manipuler)… La base du développement… Veut-on dire l’origine ? En est-on certains ?    

Mais sans l’écriture comment se développer ?

La technologie sans plan, l’art et la sémantique des compteurs pour la mémoire. Pour citer non pas une « base », mais une bonne règle de trois. Plus lent, plus épanouissant et beaucoup moins dangereux que l’écriture, surtout si l’humanité en est au stade de conflit biblique et pharaonique !

C’est le langage alors l’origine du développement ?

Non, le développement est le langage lui-même ou du moins une de ses manifestations. Le langage n’est que logique et interactions. A ce propos, un programme est un langage mathématique n’est-il pas ? Alors que dire du programme qui s’est exécuté à partir du Big-Bang jusqu’à ce que des observateurs à la fois semblables et différents puissent jouir de la partie ? L’improbabilité de la création de l’atome de carbone est définissable par les statistiques, mais les résultats ont tellement surpris les chercheurs, qu’ils se sont ironiquement servis de la notion de miracle pour définir l’apparition de l’atome de vie ! Le phénomène évoque le fait que le hasard lui-même est probablement lié à la limite de précision de cette science mathématique de la même façon que le 0 demeure inatteignable, de la même façon que tout segment de temps ou d’espace peut être divisé en une infinité de fois (voir paradoxe de Zénon). Si vous préférez, le développement est un  phénomène métabolique dont le programme est écrit hors espace-temps et se décline à l’infini lorsqu’une partie commence… et finit. Après, cela devient très poétique, mais si une chose est sûre, c’est que s’obstiner à trouver une origine c’est nier l’immanence, la notion d’éternité et celle de l’infini relatif.

Le langage semble précéder l’écriture et l’écriture explique le langage… le dilemme de la poule et de l’œuf ! L’immanence répond à la question. Et pour avoir pleinement conscience de la substance des langages et des formes de l’écriture lorsque ceux-ci sont corrompus ou falsifiés, il y a la transcendance ! Pas celle d’un impossible Dieu tout puissant, simplement celle que les artistes, les hommes de foi profonde ou les mystiques pratiquent en regardant passer les vaches. En Occident, nombre d’artistes pourraient révéler des choses sans les coder, mais la tragédie de Cassandre hante toujours les coulisses de notre théâtre ! Certains préfèrent peindre sans savoir ! Nous en avons fait des intouchables, des stars de l’art abstrait contemporain, photographiées par les vaches, pixélisées et protégées comme des monuments.  

Une synthèse un peu dense, mais les faits sont les faits.  

Géométrie, arithmétique, sémantique :

Le langage est universel, les langages découlent de cette entité mathématique. Le verbe ordonne aux vaches ou les révèle à elles-mêmes! Le français et la langue de Shakespeare révèlent des choses qui ne sont discutées qu'en très haut lieu, des choses concernant le millénarisme... Des choses dont les initiés ne parlent jamais, en aucun cas, devant les vaches... bien entendu! L'écriture explique le langage oral, la mécanique et les structures (...) et l'art révèle le tout de façon abstraite. Soit dit en passant, les artistes ayant eu tendance à révéler trop clairement les choses ont vite été appelés (puis conditionnés) à coder leurs œuvres pour faire rêver les troupeaux tout en conservant l'hermétisme qui les mène à l’abattoir dans le calme.

 

L'écriture développe ou détruit, elle permet de révéler ou de manipuler... Une légende biblique raconte que la reine du royaume de Saba avait prévenu l’Égypte et Israël de ce que l'écriture et la connaissance les pousseraient à faire si elles n'étaient pas utilisées pour unir le TOUT et briser les armes! La légende devient logique historique et indique que les africains d’Éthiopie, pourtant parmi les premiers Sapiens et pères de la civilisation ont décidé après cette période de conserver une culture uniquement orale jusqu'à ce que l'humain mérite l'outil de la connaissance et les clés de la manipulation de la matière sous toutes ses formes. A méditer!

Toute science est liée à l’écriture dira-t-on…

Oui! Mais pour autant l'être humain est un livre infini muni de 5 doigts sur chaque main et d'un hard ware capable de concevoir la bible ou la théorie du tout sans pour autant qu'elle soit écrite. Le langage oral et les civilités mènent à l'écriture et l'écriture explique le langage et la structure des "choses": Immanence! La signature et le programme de l'univers que nous connaissons date du pré Big-Bang et de la fécondité de ce dernier... Du point de vue de notre temporalité donc. Au-delà, nous dépassons l'horizon des événements dans les deux sens et nous parlons de va-et-vient, de période et de notion d'éternité. La résolution sémantique du problème de la poule qui fait l’œuf est ici.

Retour au sujet qui a servi de prétexte à cette discussion :

Le péril jaune pour certains occidentaux, une nouvelle donne économique pour d’autres…

A propos du réveil des dragons, de la montée des nationalismes (la version israélienne et les autres) et de la globalisation:

Pour les peuples sémites et les occidentaux de lignée caucasienne, évoluant tous autour de la méditerranée, l'esclavagisme du peuple noir est une notion rémanente biblique! Noé a 3 fils: Sem, Japhet et Cham dont les deux premiers sont considérés comme les ancêtres respectifs des peuples sémites (juifs et arabes) et indo-européens (occidentaux).  Pour des raisons d'interprétation moraliste, les trois religions ont considéré que Cham était violeur de la pudeur du patriarche (épisode de l'ivresse et de la nudité), que sa sexualité était blasphématoire et éventuellement incestueuse, que sa peau était noircie par ses actes et que sa malédiction était légitime: ses enfants seront à jamais les esclaves de ceux de ses frères! Les musulmans ne supportant pas l’image d’un patriarche ivre et abusé sexuellement acceptent les conclusions judéo-chrétiennes, mais occultent totalement les éléments d’enquête concernant la période, les croyances, la terre promise, la vigne et la question du sexe de Noé. Or, il se trouve que dans la bible la question des femmes liées au patriarche et à ses trois fils demeure très floue, ces dernières n’apparaissant jamais dans le récit si ce n’est en référence.  Aujourd’hui, une remise en contexte et une lecture plus rationnelle de l’ensemble des textes religieux permettent de comprendre qu’un patriarche antédiluvien n'est qu'une métaphore utilisée par tous nos ancêtres afin d’évoquer notre supposée existence avant ce que nous considérions comme le premier déluge (descente et montée des eaux précédant la vie sur terre)... Note: l’évocation du déluge apparait dans la même période  chez toutes les civilisations existantes et correspond aux cataclysmes liés à la glaciation de Würm dont les derniers effets catastrophiques provoqués par la fonte des glaces se sont faits sentir jusqu’à 8 000 ans avant notre ère. Il est donc tout à fait normal, la différenciation sexuelle s'étant faite dans les eaux, que Noé n'ait pas de sexe défini (indétermination et hermaphrodisme), probablement comme son fils Cham. Les deux autres étant déterminés. Autrement dit, nous passons de la légende sémantique et écologique (l'Atlantide supposé, les hommes-poissons, les dieux venus du ciel avec le feu, etc...) à du premier degré ou à des interprétations moralistes, dogmatiques, conflictuelles et lourdes de conséquences! Le cauchemar de Critias et de Platon! Et plus tard, un océan d'hypocrisie et d'intérêts politiques dans le choc des civilisations juives, romaines et arabe... Je me Trump?

Concernant les notions de domination et de condescendance raciale, la raison asiatique est toute autre!

Comme nous le savons, jouer le jeu du marchand de tapis et surtout perdre la face, contrairement à nous autres, n'est pas acceptable pour un asiatique « digne de son nom »... Un samouraï japonais préservant son honneur en se faisant Séppuku est une quintessence de ce caractère.

Revenons à des temps plus bibliques: le dogme œcuménique des chrétiens concernant l'exclusivité absolue de Jésus en tant que fils de Dieu (100% homme 100% Dieu et seul doté du pouvoir de résurrection) est un sujet de conflit fratricide entre juifs, chrétiens et musulmans. Or, les seuls qui auraient pu lever le voile des croyances respectives avec le principe universel de réincarnation et le 100% créateur 100% créature (ou encore 100% yin 100% yang avec l'immanence en principe de vase communicant)... sont les asiatiques! Malheureusement, le progrès, le libre-échange et l'ouverture des frontières culturelles se sont faits dans un contexte de terreur révolutionnaire, de matérialisme compensatoire, d'intérêts politiques globalisés et de colonialisme (...) Les matérialistes confondent ici la liberté, la liberté relative (il leur manquait Einstein à défaut d'un cœur) et le libre arbitre auquel ils intentent un procès: bref nous ne sommes plus responsables de nos actes, tout est déterminé par la causalité! En un siècle, les forêts tombent, la bureaucratie s'installe, l'Occident domine et ces petits asiatiques qui auraient bien des principes à lui inculquer deviennent des "coolies" un peu trop malins à ses yeux! Les chinois ne veulent pas de l'opium qu'on a braqué chez leurs voisins, déclarons-leur une guerre! Ou plus tard: Les Japs ne sont pas contents, testons donc nos nouveaux atouts nucléaires! La réponse est ici! Le péril jaune comme disent les occidentaux est un phénomène qu'ils ont eux-mêmes programmé! La colonisation, la bureaucratie, ainsi que les épouvantails du libéralisme américain et du communisme soviétique ont humilié toute l'Asie et provoqué des millions de morts dans les conditions les plus atroces! Quelles excuses pour tout cela? Le profit partagé, la nostalgie franco-vietnamienne, la grande fête du slip mondialisé?

Autre chose, un détail du quotidien cette fois:

J'ai vécu 20 ans en famille avec des chinois et vietnamiens et nous rigolions souvent sur le fait que les blancs (par effet de culpabilité) se croient à tort les êtres les plus racistes et condescendants de la planète! Pour un asiatique digne représentant de son histoire, les autres peuples, par leur vulgarité, leur odeur, leur manque de dignité et leur sauvagerie barbare (...), sont par définition inférieurs à leur civilisation. Et je ne vous dis pas ce qu'il se dit en aparté sur les noirs et les arabes! Mes compagnons du soleil levant me disaient souvent "si nous te haïssons un jour, tu ne le sauras pas, jusqu'à ce qu'il soit trop tard!" Juste un détail humoristique passé de mode, mais très intéressant pour quiconque partage l'intimité des asiatiques.

Les confucianistes et de nombreux bouddhistes étaient réputés comme logiquement réticents à faire du mal à une mouche, mais la force s’est aveuglée dit-on dans la guerre des étoiles ! Aujourd’hui, l’hypocrisie de la grande compétition collectivo-libérale (paradoxe volontaire) a fait son bonhomme de chemin et lorsqu’on parle d’écologie ou de philosophie à un compétiteur asiatique, il répond à coup sûr : vous n’avez rien à nous apprendre sur ces questions, mais depuis qu’elles sont un luxe chez vous, elles sont un fardeau pour nous. Marche ou crève… A qui la faute ? 

Dois-je aussi faire un topo sur les descendants des mongols et sur la position de la Russie vis-à-vis de l’hypocrisie européenne ? 

Moralité et au-delà du moralisme, nous sommes tous d'ignorants progressistes ayant oublié leur Histoire ou faisant fi de ses conséquences, des idiots tournés sur le futur de leur nombril alors qu'un millénarisme plus obscur que jamais les ronge encore.

Epilogue :

Qu’est-ce qu’un patriarche ? Une personnalité ayant vécu fort longtemps, ayant engendré de nombreuses lignées descendantes et ayant connu une longue postérité. Tout comme pour Zeus, mis à part la métaphore, le premier degré populaire et les tendances artistiques, rien ne dit que c’est un homme avec des mains, des bras, des jambes et muni d’un pagne ou d’une étoffe tissée.

En décomposant le mot, nous obtenons patri et arche. Dans l’antiquité, la patrie était la terre où les ancêtres étaient enterrés. Plus tard, on affina la signification du mot pour signifier la terre sur laquelle un groupe composé de lignées, de familles, s’est installé par affinité. Et ce n’est que plus tard que le mot prit un sens masculin protecteur et militaire : la patrie est la terre des pères que l’on doit préserver au prix du sacrifice. Autrement dit, le premier sens du terme patriarche est : l’arche de la terre promise dans le sens sensible et métabolique du mot « promise ». Celui qui attiré par la terre (ferme) finira par la trouver, par s’y adapter et s’y reproduire différemment (que dans le voyage et les flots).

L’arche est la voûte étoilée ou ensoleillée, mais aussi le symbole de la continuité du toit et des colonnes de la demeure du vivant, le symbole de la structure invisible. L’arche est aussi l’archer errant qui parcourt l’Eternité. Une force qui bande le moment venu et décoche sa flèche à travers sa propre et immanente substance pour que naisse un espace-temps. 

Deux natures, deux états relatifs à la fois semblables et différents et donc, nécessairement, un milieu : 0 I et 2… 3 éléments ! Divisibles et indivisibles, finis et infinis, entiers ou décimaux, paires et impaires, simples et complexes… la diversité.  

Un patriarche est celui qui garde le secret de l’alliance ! Seule l’innocence raisonnable peut le questionner…

Enfoirés que nous sommes !

L'éon anagramme de Noé.
L'éon anagramme de Noé.
L'éon anagramme de Noé.
L'éon anagramme de Noé.
L'éon anagramme de Noé.

L'éon anagramme de Noé.

Voir les commentaires

Conscience (a)vide cherche corps d(e-a)nse et vice-versa…

27 Mai 2019, 16:58pm

Publié par Persone

Conscience (a)vide cherche corps d(e-a)nse et vice-versa…

Pour faire quelques pas … Et plus si affinité.

L’information est un hôte dans les deux sens du terme ! Immanence.

Il faut mourir pour adapter l’information temporelle aux caprices de la vie ! Nos ancêtres, les virus et bactéries ne l’ont jamais oublié… L’oubli n’est donc pas la mort, mais l’inconscience impossible et pourtant dévorante du dernier prototype du vivant ! Une erreur probablement capitale (capitus), à corriger. De notre vivant de préférence !  

Comme un hypocrite inconscient, l’Homme avance vers ce rééquilibrage. Autrement dit, il incarne les sociétés qu’il mérite et chacun cherche vainement un coupable. Détruire ou révéler est, sera et a toujours été une question de choix pour toute intelligence capable de se poser la question ! Sans cette complexité liée à la raison, à la volonté et aux sentiments de la vie organique évolutive, tout est déterminé, au-delà même de toute notion de temporalité : les règles définies, mais aussi les scénarios pourtant infinis. L’humain a donc toujours eu le choix entre ses propres apocalypses ou révélations et il l’a encore ! Mais s’il ne saisit pas son opportunité, la nature choisira à sa place le remède. La fin arrive en son temps, quelles que soient les façons dont l’observateur a pourri la qualité de son voyage ! 

Et nous, nés de la dernière pluie, nous fantasmons encore d’être le meilleur observateur… 

Qui a vu est vu ! Dans la vie, aucun masturbateur ne s’accomplit seul dans le noir !

Tout comme dans la jungle, vous avez beau être silencieux, elle est suffisamment aveugle, sourde et muette pour connaître précisément votre nature, votre vitesse et votre position.   

Epilogue

Aucun masturbateur ne s’accomplit seul dans le noir ! Si ce n’est ce tout et rien que l’on appelle à tort Dieu le père animé par le Saint-Esprit. De l’humour black and white ? Non, une vision Égyptienne de notre sujet, concernant Râ, le démiurge.   

Avec l’expérience de la vie et de la différenciation sexuelle, finie la masturbation !

Parlerais-je de « Dieu » ou de l’Homme ? Un principe innocent chez l’enfant ne l’est pas forcément chez l’adulte et vice-versa cela concerne donc l’œuf et la  poule.

Cependant, lorsque l’observateur vieillit sagement (la créature donc et non le principe créateur), le complexe s’envole et le va-et-vient n’est plus une notion limitée par l’hormone et la morale. Parlerais-je de pratiques honteuses du troisième âge ? Non, le maître de l’art n’a plus besoin de peindre ou de tailler la pierre ! J’indique simplement que s’il était possible à ce dernier de « voir » un principe créateur à la fois sexué et non, dans ce que la morale appelle une mauvaise posture, il ne pourrait que le comprendre dans les deux sens possibles du mot. Comprendre : « Il ne pourrait que compatir et même admirer l’extraordinaire » ou « il ne pourrait que conscientiser, pas voir dans le sens où nous l’entendons et encore moins prendre une saloperie de  photo ».  

Pour de nombreuses raisons pas toutes pieuses, les institutions religieuses respectives ont conditionné en l’Homme l’image d’un Dieu tout puissant, prenant le risque qu’un jour, les fils tuent le Père ne serait-ce que pour prouver le contraire. Pourtant Isaïe, un des 4 grands prophètes hébreux, avertit chacun, juif ou non, que l’Eternel est désarmé, ce qui n’empêchera pas le jugement dernier (sous-entendu le jugement d’Israël comme celui de ses envahisseurs). À méditer.   

 

Qu’on en ait conscience ou pas, nous rachetons tous les fautes de nos ancêtres.

Comment ?

Par notre souffrance.

Le Christ est en chacun et chacune de nous dit-on encore. Mais ce n’est qu’un Saint bol. Un zéro, un œuf qui a consenti à s’ouvrir pour que nous puissions nous nourrir de ce qui est à l’intérieur l’image de ce qui est à l’extérieur. Immanence et unité des infinis en 0.

Image ? Projection ? Faut-il avoir de « l’imagine à Sion » pour langagiser chose pareil ! 

Une logique, des règles, des chiffres, des formes, des nombres (…) et bien plus si affinité.

Arithmantiquement vôtre.  

Conscience (a)vide cherche corps d(e-a)nse et vice-versa…
Conscience (a)vide cherche corps d(e-a)nse et vice-versa…
Conscience (a)vide cherche corps d(e-a)nse et vice-versa…
Conscience (a)vide cherche corps d(e-a)nse et vice-versa…
Conscience (a)vide cherche corps d(e-a)nse et vice-versa…

Voir les commentaires

Je t'aime! Moi non plus. Silence on nous observe...

25 Mai 2019, 00:08am

Publié par Persone

Samson et la force nucléaire contrariée

Samson et la force nucléaire contrariée

Concernant les nombres, l'ensemble le plus inclusif est celui qui admet logiquement tous les autres, il est nécessairement infini: les nombres. Et le plus exclusif, celui qui n'admet que le plus petit dénominateur commun avec les autres ensembles: le fait d'être UN nombre. Mais comme le terme l'indique, celui-ci exclut aussi tous les autres ; autrement signifié tous les autres sortent de lui: 0! Or Zéro est à la fois point et infini, il est donc un chiffre unique et l'infinité des nombres. Autrement dit, il est un miroir exclusif inclusif... Immanence oblige!

D'un point de vue mathématique, posons-nous la question des rapports et des ratios entre les ensembles inclusifs et exclusifs.

D'un point de vue chimique ou mécanique, interrogeons-nous sur le développement comparé des systèmes relativement inclusifs (masse, stabilité, souplesse, complémentarité et interactions fusionnels entre les éléments...) et relativement exclusifs (matière, milieu ou mécanique instable,  susceptible, précise, subtile...) Ne forment-ils pas un magnifique "tout" métabolique?

D'un point de vue théologique, considérons l'influence de la tendance inclusive du christianisme hérité de nos ancêtres païens par l'Empire romano-germanique. Attardons-nous  aussi sans perdre de temps au caractère totalement inclusif de la laïcité et de cette entité économique qu'est la globalisation. Enfin, comparons ces forces aux caractères exclusifs contextuels propres au judaïsme et au nationalisme sous toutes ses formes.

D'un point de vue anthropologique, que pourraient nous dire l'étude comportementale d'ensembles soumis à des critères sexuels inclusifs (métissage ethnique et culturel) et celle d'ensembles pratiquant la sexualité officielle exclusive (sortie du patrimoine inévitable et entrée difficile). Comment les interactions  risquent-elles d’évoluer si  ces ensembles sont emmenés à partager le quotidien pour des obligations de croissance et d’économie positive.

D'un point de vue démographie, posons-nous la question de l'évolution des populations inclusives et exclusives en matière de génétique, mais aussi de politique et de millénarisme, interrogeons-nous sur la préservation de la lignée.

D'un point de vue physique, comparons ce qui est une mécanique inclusive (échanges d'informations et inversion des natures représentées par le neutron et les propriétés de l'électron: force nucléaire faible) et une mécanique exclusive (détermination du proton "la mère arrachée de son inertie").

D'un point de vue psychologique, comparons les tribulations d'un système humain inclusif fondé pour XX et XY raisons sur l'occultation des altérités réciproques par le voile du profit, des intérêts et de la croissance et celles d'un système exclusif totalement protectionniste, contrôlant pourtant la monnaie d'échange entre les systèmes.

Voilà qui d'un point de vue sémantique évoque la victoire de David sur Goliath ou la parabole du petit coq!

Mais à l'heure du nucléaire, considérons ce que le petit coq endurerait, seul sur une terre dévastée que ni lui ni ses ennemis ne méritaient, condamné à finir face à l’éternité une infernale partie d'échecs dont il fut l'initiateur.

L’un domine, l’autre attend son heure…

« L’Éternel désarmé ou l’Éternel des armées ? That’s the question! » - Une énigme Shakespearienne dont notre avenir dépend toujours.

La guerre des roses, les enfants qui trinquent et toujours un Mercitio dont le sacrifice entraînera la chute de la cité.

L’empire des sens, l’Empire de l’ordre et du chaos,  l’empirisme des excuses… Et décadence si affinité.

« Inclusivité VS exclusivité » est avant tout une dramatique comédie humaine, une histoire d’amour déçu. Un mauvais pas dans la danse cosmique des amants éternels et de nombreux et terribles cauchemars.   

La logique est ainsi faite que le plus petit peut contenir le plus grand, entendons-là le plus petit contient l'information du plus grand et ce qui soutient la voûte de notre demeure est aussi ce qui la relie à l'infini. Cela évoque par ailleurs le fait que l'infiniment petit et l'infiniment grand sont des révélateurs pour l'observateur qui accepte de concevoir sans ses yeux. Ainsi que le fait qu'un microbe puisse tuer un empire ou un coq innocent sorti indemne d'un combat de dominants. J'ai bien dit un coq innocent, pas son propriétaire, trop à l'image de ces humains cruels qui organisent les combats. Dans la bible, la lumière de Dieu descend sur le malheureux agneau, pas sur l'abruti qui l'a sacrifié pour se départager d’un frère qui finira par le tuer.

Autrement dit, le plus petit qui contient le plus grand est un simple mais universel principe qui indique que la dualité n'est que complémentarité entre de multiples repères. Complémentarité, pas conflit! La pensée lourianique tend vers l'intégration, mais toute bonne chose en ce bas monde vénal est souvent possédé par un opposant caché: intégrer pour comprendre, déconstruire ensemble et réparer? Ou pour détruire de l'intérieur de nombreux, puissants, mais hypocrites et coupables empires?

Si la proposition d'Isaac Louria était résolument humaniste et sans ambiguïté, le malheureux doit se retourner dans sa tombe à chaque fois qu'on l'honore!

« Je suis exclusif, mais grand Dieu j’aimerais tant qu’on me traite comme tout le monde » VS « Je suis inclusif, mais grand Dieu que les autres sont cons, dis-moi que je suis le meilleur et fais le reconnaitre par les autres » …, de mauvais observateurs, de machiavéliques entendeurs, de beaux parleurs et au final, De tristes farceurs, de pathétiques destructeurs… TOUS autant que nous SOMMES !

L’ironie du sort de la sérendipité et la pathétique prophétie de la zemblanité sont les révélateurs inconscients d’une humanité qui n’accepte ses quatre vérités que lorsqu’elle se retrouve face à la catastrophe accomplie. Apocalypse. Une humanité dont la crise de la quarantaine sera toujours relative à celle de l’adolescence. Une humanité adulte et expérimentée dit-on, une humanité déterminée qui soumet l’enfance à l’éteignoir et condamne la vieillesse au mouroir.

Il est enfin temps de faire tomber NOMBRE de paradigmes, temps de nous libérer des rituels, temps de briser l’hermétisme en comprenant ensemble la formule du sortilège qui annule les sortilèges !

La conscience de l’un se règle par rapport à la conscience de l’autre en tant que substance ou entité qu’elle soit identifiable ou non. Cela concerne les états et les natures et l’un et l’autre sont à la fois uniques et pluriels. Cette complémentarité c’est le principe de la monade de Leibnitz, compatible avec la double nature de la substance selon Descartes ou Spinoza, compatible avec l’arithmancie révélée par les langages, compatible avec la notion de trinité et compatible encore avec le théorème d’incomplétude et le fameux triangle d’Heisenberg… La monade et les monades, la vérité et les vérités, la vertu et les vertus… Le 0, les chiffres et les nombres…  

Spin, interférence et discontinuité révélatrice :

Il existe une distorsion de l’espace-temps entre les petites et les grandes perceptions, une distorsion qui paraît encore vertigineuse aux yeux de l’Homme ordinaire soucieux d’en avoir pour son pognon lorsqu’il profite du son et des images en couleur avec les nouveaux moyens titanesques qu’il a mis en œuvre pour un résultat plus « parfait » que le naturel… A son image (?)

A vos langages… Secouez les lances !   

 

Epilogue:

A propos des armées et du cerbère qui fait venir la mort par la terre, le ciel et les eaux...

 

L'option Samson inquiète, à juste titre. Mais elle révèle aussi, par les signes et les symboles utilisés pour la définir. Révéler avec ou sans apocalypse, nous avons toujours eu le choix.

Voir les commentaires

Freud VS Rousseau… Mais encore ?

19 Mai 2019, 16:55pm

Publié par Persone

Freud VS Rousseau… Mais encore ?
Freud VS Rousseau… Mais encore ?

« Notre conscience, loin d’être le juge implacable dont parlent les moralistes, est, par ses origines, de « l’angoisse » sociale et rien de plus. » - S Freud.

ET RIEN DE PLUS… ( ? ) Tout professionnel qu’il est dans un monde rationaliste qui s’appuie sur la raison en condamnant le libre arbitre, Freud ne précise pas ici que son propre raisonnement est soumis à l’incomplétude et à l’incertitude, ni qu’il est assurément conditionné par des forces qui déterminent son raisonnement. Causalité et déterminisme obligent, non ? L’absolutisme religieux ou l’idéalisme obsessionnel des romantiques ont donné bien du fil à retordre aux matérialistes « éclairés » ! Et comme souvent, nos idéologies passent d’un excès à un autre… Le désir ou le besoin de reconnaissance sociale est une force métabolique de la créature pensante (esprit dans le corps). Il en existe un grand nombre interagissant avec nos sentiments, notre raison et notre volonté. L’angoisse sociale est quant à elle motivée par la décadence qui ronge proportionnellement l’individu et le collectif qu’il incarne, autrement dit, à la difficulté croissante de s’épanouir dans la cité dévorante !  Il convient donc de distinguer ces deux notions pour mieux les comprendre et les réunir, ce que Freud ne fait pas, comme un collégien motivé par sa popularité.    

En affirmant la mauvaise nature de l’Homme, Freud se fait l'emblème du fatalisme des macabres farceurs que nous sommes! Monsieur Toulmonde dégénéré, par essence mauvais mais contrôlable par les intérêts… Voilà qui rapporte de l’oseille à plein tube aux plus malins et garantie un bel avenir à la démagogie! De la même façon cet opportuniste de Voltaire instrumentalisait la célèbre métaphore de Hobbes (à propos de la supposée cruauté des loups dont le Sapiens aurait hérité) pour se faire une place de choix parmi les "précurseurs » d'un nouveau monde dont la paix serait garantie par l'esprit de compétition et les promesses du profit.

Facile de définir comme un dogme le fait que l'Homme est et naît mauvais! Nul maître, nul esclave ne vous contredira… La foule et les hommes d’affaires vous applaudiront même pour l’avoir dit tout fort ! Notre cruauté légendaire est très opportune pour tous ceux qui profitent de l'hermétisme multiforme derrière lequel moisissent nos plus honteuses et simples vérités! Dans son cachot, Cassandre ne doit plus ressembler à grand-chose, Apollon lui-même n’en voudrait plus !

Hermétisme au nom duquel tant de mal ne cesse d'être fait, hermétisme global et dramatiquement réciproque qui scelle notre vulgaire boîte de pandore et le sacré cœur qu'elle contient.

Plus le temps passe, plus les rares initiés à la connaissance la portent comme un incommensurable fardeau ! Parmi eux des séniles, de jeunes orgueilleux, des lâches, des opportunistes, des protectionnistes… Et comme toujours une poignée d’humains encore nobles de cœur et d’esprit à deux doigts d’être anéantis par le jugement des autres !  Comment dire à tous ce que personne ne veut plus entendre ?

Comment se retrouver face à l'innocence, lorsque tous l’ont violée, humiliée, dénaturée et ignorée? Comment affronter son regard sans être médusé, alors que témoins de tous ces outrages, nous l’avons trahie, abandonnée et reniée ? Comment assumer la comparaison entre les médiocres raisons de notre déni collectif et la hauteur des préjudices vécus?

Aujourd'hui les techniques de base des psys se libéralisent comme le fervex ou les anti-bio pour la médecine générale! Nous vivons une époque hygiénique, les vaches doivent être heureuses et propres avant l’abattoir…

Prenez n'importe quel type dans l’air du temps, fier de s'improviser votre coach de vie d’un instant et avouez lui que votre cœur peine à supporter le poids de ce monde, qu’il perd son énergie de Saint-bernard... Il vous persuadera que des choses qu'il vaut mieux ne pas remuer vous ont probablement castré mentalement depuis le passage du col ! Et que la crise s’est probablement déclarée lors de l’affaissement mammaire de l’épouse !!! Force de démonstration il envahira ensuite volontairement votre espace… Physiquement pour être plus convainquant et sans que vous réagissiez, Saint-bernard préoccupé que vous êtes ! Moralité, vous êtes de ceux qui ont le syndrome du trop bon trop con et vous lui devez 70 crédits! Enfin, en quelques séances de positivisme pour vous prouver que vous le valez bien, il vous fera retrouver le bon sens de la marche ou le sens de la grande liesse collective, ou mieux encore, il vous fera repousser les dents et les couilles!

Être gentil, c’est souffrir ! … Une pathologie qu’on ne peut plus laisser faire !

Le comble de l'absurdité de notre époque et l’échec de la psychanalyse sont ici.

Voir les commentaires

Seriez-vous partant pour une aventure?

16 Mai 2019, 16:49pm

Publié par Persone

Pi r² et plus ou moins si affinité...

Pi r² et plus ou moins si affinité...

Bonjour à tous,

Ce qui suit n’est pas un article et s’adresse en premier lieu à ceux qui suivent et interagissent avec mes recherches et propositions. Il s’agit d’une invitation à fonder un groupe de discussion sur l’incontournable Facebook. Pourquoi la poster ici ? Parce que je ne me vois pas demander leurs adresses mail à des personnes qui ont toutes les raisons du monde de se méfier de ce type de demande sur les réseaux et parce que je ne pouvais pas non plus leur expliquer ma démarche en postant 3 pages en MP.  Les modalités de la création d’un groupe de discussion propose d’appeler les premiers membres dits fondateurs avant l’enregistrement du groupe, ce qui est plutôt sympathique et chaleureux, mais pose ce petit problème de « bons usages » lorsqu’on ne connait pas directement les personnes !

Je précise à ceux qui ne suivent que mon blog de nous rejoindre aussi sur Facebook en découvrant cette lettre ouverte à mes compagnons de réseau.

Je remercie au passage ceux qui ont répondu à l’invitation !

Je viens vers vous, ou plutôt vous ai invités ici pour vous informer que je me suis enfin décidé concernant la création d’un groupe de discussion… mieux vaut tard que jamais J J’ai longtemps pensé que partager en public le fruit d’une recherche même ambitieuse suffirait à mettre au goût du jour un domaine dont l’occultation nous fait  douloureusement défaut : la face cachée de l’arithmancie et sa valeur épistémologique. Les gens ont peur de tout ce qui se vend et nous ne pouvons que les comprendre ! Mais leur offrir quelque chose qui fonctionne… Comment pourraient-ils passer à côté ? Seulement j’étais naïf et sous-estimait la prégnance de l’hermétisme général : la gratuité ne peut rien contre le scepticisme… Et que peut-elle devant des rituels, des sophismes ou des intérêts qui affirment justement leur puissance parce qu’ils se vendent au-delà du prix raisonnable de la résilience ? Pourquoi l’orgueil accepterait-il de perdre les acquis qui lui ont coûté si cher en termes de choix, de vie, de temps et d’argent ?

Le résultat de mes partages dans d’autres groupes : certains m’imaginent en bourgeois ayant les moyens de sa philosophie, d’autres me prennent pour un initié franc-maçon ou un Kabbaliste qui s’amuse sur le net…  Cruelles ironies du sort ! Aussi, je reçois régulièrement des insultes ou des menaces de la part de laïcs (dont je fais pourtant partie) qui me reprochent de trahir le militantisme et la révolution permanente en osant évoquer une réconciliation possible entre science et théologie. Pour être honnête, tant que je ne m’aventure pas trop loin et trop rapidement, les gens de foi sont moins vulgaires, moins belliqueux et souvent plus ouverts que les laïcards ! Bien qu’au-delà d’une certaine limite, le sophisme liturgique de celui qui s’accroche à son canon biblique vaut bien la violence de celui qui vous promet une coupe de cheveux définitive …    Du côté des philosophes, les amoureux de Spinoza ne supportent pas que j’allonge le mentor sacré sur le divan de Nietzche et les amateurs de Nietzsche n’apprécient pas plus le divan de Spinoza ! Et d’une manière plus générale, malheur à celui qui appelle à un nouvel examen du procès du libre arbitre en ouvrant la voie à celui des « Lumières » !  

Les millénaristes ont la rage au ventre, les nouveaux sophistes du bien-être attendent de nouveau l’abduction des Lotophages et les Hommes pressés ne comptent plus que par rapport à l’avenir, dussent-ils manger leur père et violer leur mère ! Vorace est notre époque !

Autrement dit, trop longtemps j’ai cru que les Hommes seraient « en aparté » à la hauteur de leurs rêves inachevés…  Entendons par « en aparté », la sphère privée plongée dans les affaires publiques par la sorcellerie du net! Trop longtemps j’ai cru que la raison accepterait ses échecs pour composer de nouveau avec la foi et les sentiments ! Trop longtemps j’ai sous-estimé la fracture de joie et tristesse. La fracture des sentiments, de la raison et de la volonté humaine. L’empirisme aveugle, les intérêts et la notoriété de ceux qui les défendent conditionnent d’une main de fer ces deux maisons corrompues qui prétendent déterminer l’avenir de Roméo, Juliette et Mercutio.   

Concernant les groupes dans lesquels je publie, je me suis notamment heurté en dernier ressort aux ego de ceux qui les administrent ! Jusqu’à ce que Facebook commence à me censurer, puis à vérifier mes contenus. En discussion avec l’administration, j’ai réussi à défendre le caractère réconciliateur de mes recherches en les comparant aux violences habituelles, racistes ou non, que le réseau laisse passer ! Et le fait d’être surveillé me va tout à fait ! Au bout du compte, à qui mes propos s’adressent si ce n’est à la tour de contrôle ? « En dehors de tes dénonciations concernant la politique contemporaine, tu n’as pas peur des fanatiques et autres millénaristes ? » - Me demandent quelques amis inquiets ! Mais les extrêmes ne font-ils pas partie de la tour de contrôle eux aussi ? J’y mettrais ma main au feu ! Au fond, c’est aux plus coupables d’entre nous que je m’adresse en premier lieu. Voilà qui est dit, il n’y a rien à cacher ici ! Ni à coder, ni à enrober d’un joli packaging !   

Mais c’est le signifié de cet ingratitude qui m’inquiète le plus, en raison de l’urgence de la réparation d’un monde en voie d’éclatement !

Voilà donc la raison de ma décision et de mon appel à votre endroit ! J’utilise la transmission, je change de braquet et vous invite à être les premiers membres du groupe de discussion « Déconstruire et réparer ». J’en profite pour remercier chacun de vous de m’avoir suivi jusqu’ici et aussi de m’avoir souvent remonté le moral quand il était au plus bas ! Même un « like » est parfois une lumière dans le noir… Merci du fond du cœur.

Note : vous recevrez une invitation sous peu, lorsque j’aurais enfin décidé d’affronter la touche « enter » pour finaliser la création du groupe.

Compte tenu de mon emploi du temps, il est fort possible que je n’interagisse pas avec toutes les publications, ceci est une des raisons pour lesquelles j’invite à respecter des règles assez « strictes ». Néanmoins, je suis conscient des probables dérapages et inviterai les plus motivés d’entre vous à participer à l’administration du groupe. En supposant que les membres observeront les règles, je ne pense pas filtrer leurs publications ne serait-ce que dans un but expérimental : si un sujet concernant un questionnement, une dénonciation ou un fait divers marquant n’est pas en relation avec notre propos ou semble bien trop « ordinaire », cela me permettra de voir si l’arithmancie, puisque c’est ce que je prétends, peut solutionner un problème apparemment très éloigné de son domaine !  Bien entendu, le groupe sera public, donc visible par tous. Il faudra en être membre pour interagir ou publier. 

Voilà pour les bases, le reste, c’est l’aventure !

Pour conclure, j’avoue avoir réservé quelques surprises à ceux qui me lisent déjà et donc aux membres fondateurs qui risqueront un sentiment de déjà-vu lorsque je publierai sur nos pages… Jusqu’ici, mes vulgarisations évoquent mes recherches à travers des sujets de tous les jours, mais je ne me suis pas encore permis d’expliquer précisément le fonctionnement de l’arithmancie en tant qu’outil révélateur de nos langages. Pourquoi ? Me suis-je souvent demandé ! Par précaution ? Peur de me voir voler la vedette et l’éventuel brevet ?  Alors pourquoi semer des miettes en espérant que quelqu’un comprenne le jeu de piste ? En laissant la possibilité aux autres de découvrir le pot aux roses sans l’avoir moi-même posté et donc daté ? Une seule réponse : la pierre se mérite ! Et on ne dessine pas un mouton à un petit curieux qui doit apprendre par lui-même. Après cela, rien ne m’empêche de protéger les ouvrages ! Et j’insiste encore, quitte à ce que vous me croyiez fou, le principal est que le contenu soit disséqué sur la place publique. Alors si un opportuniste doit accomplir cette chose avant que je n’ai su le faire, le malheureux servira ma cause plus qu’il ne l’imagine. Je ne suis qu’un piètre écriveur qui défend une cause méritant les meilleurs écrivains.

Quelques surprises donc et une belle aventure je l’espère !  Au plaisir de vous lire ou de découvrir vos posts…

Note : je pense ouvrir le groupe de discussion dans les jours prochains, ce qui devrait vous laisser le temps de réfléchir à la présente invitation.    

C.B

Voir les commentaires

Le nouveau procès des trois singes viendra par un hiver torride…

13 Mai 2019, 16:15pm

Publié par Persone

Le nouveau procès des trois singes viendra par un hiver torride…

Au crépuscule de la grande révolution, un progressiste et un homme d’Eglise discutent sur le parvis de Notre Dame :

Le progressiste annonce : « Au fond tu ne cesses de te demander si la magie existe malgré l’impossible toute puissance de Dieu ! Pour moi peu importe que la magie existe ou fonctionne, ce qui compte c’est de dénombrer, de développer et d’ordonner ceux qui y croient et ceux qui n’y croient pas ! »

« Mais c’est terrible ça ! » Répond l’homme d’Eglise surpris.

« Pas plus que le bûcher et le "process" inquisitoire dont les frères ont tant souffert ! Et avouez que vous avez caché trop de choses derrière votre Dieu ! » … « Ce qui compte pour toi, c’est de faire tourner la petite entreprise néanmoins colossale qu’il vous reste, autrement dit combien de types croient encore et à quel point pour vous permettre de manœuvrer ! » … « Tu auras toujours  une histoire à raconter aux fidèles et moi j’en ai deux totalement alternatives pour ceux qui ne croient pas ou plus ! A nous deux, nous sommes invincibles ! »

« Deux histoires ? » - Questionne l’homme de foi.

« Feu vert, feu rouge ! »

« Tu veux dire le bien et le mal ? »

« C’est plus fort que toi ! Non ! Si le manichéisme est de mode : feu vert ! S’il est obsolète : feu rouge ! Feu vert/feu rouge alternatifs, ça répond à tout, ça englobe tout ! On vous laisse le lien vertical, nous on gère l’horizontal dans un nuancier de gauches et de droites, borné par deux épouvantails aux extrêmes… le rouge et le noir ! Et puisque la dualité et la trinité s’instrumentalisent à merveille, un petit diable caméléon sera le gentil démagogue et deux petits diables tout désignés, le rouge et le noir, seront la voie du totalitarisme… Comment mieux garder  les vaches qu’en les comprenant ? » 

« C’est terrible ! »

« On vous a pas mis la terreur pour rien ! »

Caricature mise à part :

Nos prédécesseurs en ces temps de trouble étaient-ils si avancés pour pouvoir spéculer d’une telle façon ? Une erreur contextuelle, voilà qui arrangerait bien la vanité que les « Lumières » nous ont portée en héritage ! Mais c’est oublier que depuis la Rome antique, les pouvoirs démagogiques fondent leur contrôle des populations par une alternance entre la diplomatie de la plèbe et celle des patriciens d’une part et par l’option très efficace du triumvirat en temps de crise. On retrouve le nuancier, les extrêmes et les petits diables complémentaires ! Ce n’est pas aux vieux singes que l’on apprend à faire la grimace… 

De vieux singes en délit d’initiés !

L’hermétisme est la grande maladie qui dévore nos orgueils respectifs ! Il serait temps d’abattre toutes nos cartes et de déconstruire nos langages pour commencer enfin la réparation de notre monde.  

Pour reprendre mon titre :

Le prochain procès des trois singes viendra par un hiver torride, lorsque l’Homme  aura inventé des lunettes qui lui permettront de voir ce qu’il aurait dû se contenter de comprendre !

Voir les commentaires

Je souffre! Ta gueule, ce n'est qu'une illusion!

4 Mai 2019, 16:28pm

Publié par Persone

Je l'avoue, mes articles ne constituent pas toujours un bol d'air frais et de détente :) Mais je remarque avec espoir que certains administrateurs de groupe de discussion concernant les sciences, la politique et la philosophie, acceptent avec bienveillance nombre de mes bouteilles à la mer, du moins lorsque je ne titille pas certaines limites. Pour ceux qui n'en ont jamais ouvert, elles contiennent en général un SOS, une carte de pirate et des indices concernant une mystérieuse "Pi r" et un certain "saint bol". Autrement dit, si je me suis éloigné de mon havre et que je partage au gré des éléments à partir de chaque "île" que je visite, c'est pour mieux protéger la source de notre air frais et la quiétude que notre folie collective réduit à peau de chagrin. J'évoque Tolkien: "Rentrons à la maison" lance un Hobbit (un enfant aux yeux des Hommes) à un autre ayant approché de très près l’œil de la dévastation... "Rentrons dans la Conté!" ... Mais l'enfant qui a d'ores et déjà entrevu sa mort lui répond: "si personne ne fait ce voyage, il n'y aura plus de Conté"... La grande question de Jésus dirait un chrétien! Tout comme celle d'Ulysse répondrait un païen! Etc... Et plus si affinité :) Comme l'évoquait Shakespeare, dès que l'on considère l'immanence dans le domaine de la conscience/inconscience, nous incarnons tous les personnages, le bon, la brute ou le truand... 🙃

L'Homme n'est encore qu'un épouvantable amateur d'échecs qui se prend très au sérieux... Les termes "amateur" et "échecs" possèdent chacun un double sens ne faisant que renforcer la pertinence de l'affirmation 🤪

Bref, bonsoir à tous, merci aux meilleurs d'entre nous et même aux autres d'avoir bien voulu s'ouvrir un peu ici... Merci aux admins! Et un petit exercice de logique à propos d'un aphorisme dans l'air du temps (après le discours de Camus):

Il n’y a ni de haut ni de bas… ni de blanc ni de noir, ni de bien ni de mal, il y a juste du conditionnement et de l’interprétation…

Un type d’aphorisme très en vogue de nos jours, ironiquement susceptible de motiver de fâcheuses interprétations 😅...

Que la notion d’interprétation engendre celle de  la relativité des constats, y compris les plus manifestes comme le haut et le bas ou encore la vitesse et la position d’un corps, est un fait ! Mais nier que ces phénomènes existent est un contre sens, une proposition qui affirme sa propre illégitimité par absence de repère !

Le haut et le bas, le noir et le blanc, le bien et le mal sont relatifs et se déclinent (les couleurs par exemple concernant le noir « corps absorbant » et le blanc « source de la Lumière ou corps réfléchissant »)… Tout comme la vérité ou la vertu qui se déclinent en les vérités et les vertus. La vérité évoquant la source inatteignable 0, dont l’observateur peut se rapprocher dans les limites de l’infinie précision. Dans le cas de vérités déterminés, la source correspond à la compréhension du pourquoi et du comment concernant l’origine, la nature et le fonctionnement de la mécanique d’un système donné. Dans le cas de « La vérité », approximative du point de vue de l’observateur, nous parlons du système immanent global : le 0, dans tous ses états, de toutes les natures ! La vérité évoque aussi la recherche de toutes les causes et conséquences de la mécanique de la souffrance, autrement dit une enquête qui nous guide vers l’origine de nos manquements et la déclinaison des conséquences !    

Lorsque nous affirmerons tous que la vérité n’existe pas, il y a de fortes chances pour que notre démocratie globalisante soit devenue une vaste prison n’abritant que des coupables !   

 Méfiance donc, il y a donc plusieurs degrés de lecture possibles avec ce type d'affirmation incomplète !

Conditionnement et interprétations :

Ce qui est soumis à condition et donc à la logique et à la causalité, existe sous la forme que l'on ressent matérielle, tout comme existe l’irrationnel, l'imaginaire, le transcendant, l'immanent... Tout comme existe la logique ayant pris location du corps (ce corps que l'on définit matériel) et manifestée par la volonté indissociable à la reconnaissance de l'être, la raison et les sentiments. La nature de ces derniers (V, R, S) est la conscience. Elle est non matérielle, mais elle permet pourtant de vivre et de découvrir peu à peu les mystères et la détermination de cet univers immanent. Elle permet aussi de partager nos expériences avec le logos et nos capacités créatrices. Nous sommes en effet soumis au conditionnement des lois physiques et aux conséquences de nos actes, c'est un principe métabolique sans lequel l'être et le devenir n'auraient pas de sens. Mais ce conditionnement n'empêche en rien le libre arbitre, les interprétations, la comparaison, la recherche de preuves, la réduction... Mécanisme sans lequel nous ne serions que des machines organiques. En revanche, tout cela ne veut pas dire que le haut et le bas ou le bien et le mal n'existent pas! Cela indique simplement qu'ils sont relatifs! Le haut et le bas ne s'appliquent pas dans les dimensions du macro, du micro et de la conscience, mais la gravité est une des forces qui unit la terre du milieu (la dimension que nous foulons). Notons que la conscience peut quant à elle modéliser logiquement, géométriquement la notion de haut et de bas, de droite et de gauche, de devant et de derrière, lorsqu'elle sait dénombrer 6 chiffres et visualiser une pyramide inversée de l’extérieur et de l’intérieur. La notion de bien et de mal n'est pas moins relative. Relative à la nature ou à l'état des choses les unes par rapport aux autres. Le "mal" provoqué par la douleur par exemple, est une information très utile pour évoluer de l'amibe à la créature sensible. Certaines forces provoquées par l'erreur humaine et la faiblesse contribuent à développer un monde de souffrance, malgré les avertissements de la douleur, c'est ce qu'on appelle le mal à juste titre. C'est le mal en tant qu'entité absolue qui n'existe pas! Pas plus que ce Dieu Tout Puissant dont l'ombre est encore et toujours instrumentalisée.

En affirmant qu'il n'y a pas de bien et pas de mal, on justifie inconsciemment ce que désirent les actionnaires de la philosophie matérialiste héritée des "Lumières": Pas de bien, pas de mal, pas de victime, pas de bourreau, pas d'amour, pas de viol...! Juste des illusions dans un monde où le libre arbitre et donc la responsabilité de nos actes n'existent pas! Tout n'est qu'illusion et nous devrions tous accepter notre sort comme des intouchables... Et que cela ne vous empêche pas de payer la TVA!

En des temps de confusion, restons attentifs à l'ambivalence des aphorismes...

Voir les commentaires

La poule fait l’œuf et l’œuf fait la poule

2 Mai 2019, 20:15pm

Publié par Persone

La poule fait l’œuf et l’œuf fait la poule
La poule fait l’œuf et l’œuf fait la poule
La poule fait l’œuf et l’œuf fait la poule
La poule fait l’œuf et l’œuf fait la poule
La poule fait l’œuf et l’œuf fait la poule
La poule fait l’œuf et l’œuf fait la poule
La poule fait l’œuf et l’œuf fait la poule
La poule fait l’œuf et l’œuf fait la poule
La poule fait l’œuf et l’œuf fait la poule
La poule fait l’œuf et l’œuf fait la poule

Avant de présenter mon ouvrage "Homo-falsus" au poste de douane, devant la muraille éditoriale qui sépare le  cœur de la plume de ses lecteurs, toutes les considérations métaphysiques dont  il témoigne ont été soumises au jugement de divers interlocuteurs spécialisés dans les domaines scientifiques et philosophiques. L’article suivant retrace une de ces confrontations, parmi les plus pertinentes :

Mon interlocuteur :

Ces théories, pourtant bien ficelées me rappellent la notion aristotélicienne de génération spontanée ! Mais c’est de la foutaise, ce concept est arrivé à sa date de péremption depuis Pasteur !

Ma réponse, osée, a pourtant été acceptée par l’adversaire :

Avec sa brillante expérience des ballons à col de cygne, Pasteur a remis à leur place Liebig et surtout Felix Fouchet, deux défenseurs de la théorie de la génération spontanée (indémontrable en travaux pratique), qui tentaient malheureusement des expériences de charlatans pour décrédibiliser leur concurrent ! Son expérience le prouve, l’air contient des agents infectieux qui permettent à la vie de se développer sur de la matière inerte, mais si ces agents sont bloqués ou le ballon hermétique (matériel stérilisé), pas de fermentation, la matière reste inerte.

Nous pouvons donc en déduire que Pasteur est le grand vainqueur, que les spectateurs du match Pasteur/Fouchet sont des con/vaincus et que sur une courte période, dans un milieu expérimental simple stérilisé (eau+ nutriments), aucune fermentation spontanée ne se fait… Mais notons que les expériences en laboratoire ne durent pas des milliards d’années et que la terre après la venue des eaux, terre que l’atmosphère n’isole pas du cosmos, n’est pas un milieu expérimental simple !!! 

Pasteur partait du principe que dans un milieu stérile, aucune vie ne peut se former, il en déduisait que la conception aristotélicienne de la génération spontanée était fausse. Pour ceci il s’appuie sur la théorie cellulaire, qui indique que toute cellule provient d’une autre cellule par biogénèse. C’est ici que le bât blesse ! La théorie cellulaire, bien que juste, demeure incomplète pour une simple raison sémantique.  Une des propositions est mal formulée : TOUTE cellule provient d’une autre cellule est une affirmation impossible ! D’où provient donc la première cellule ? La seule théorie ayant tenté de résoudre ce dilemme est celle de la vie apportée par une comète… Malheureusement elle ne répond toujours pas à la question ! D’où provient cette cellule qui était sur la comète ? Plus pertinent encore : quel est la nature de l’information contenue dans cette supposée première cellule ? Nous nous rapprochons de ce jeu sémantique de dupe qu’est celui de l’œuf et de la poule ! Supercherie inventée, soit dit en passant, pour nous faire comprendre une notion importante : l’enfant devient adulte et l’adulte engendre un enfant ! Sur le même raisonnement : la vie archaïque et primordiale (l’enfance de l’univers) se complexifie et finit par créer des systèmes où se rencontrent eau et minéraux, les phénomènes d’oxydoréduction faisant le reste ! Le reste : des créatures qui se multiplient (les adultes qui vont engendrer des enfants) : procaryotes, puis eucaryote… Mais qui a fait l’enfance de l’humanité, qui a fait ce bébé grandissant qu’est notre univers ? Si nous partons du principe que la logique archaïque n’est que ratio de deux états différents et communiquant, le bébé dont nous parlons n’est que force de logique et de désir d’être dans un champ d’énergie mouvant dû à l’impossibilité du vide ou du plein absolus.

La mémoire elle-même n’a plus de sens ici dans un potentiel absolu où le temps et l’espace ne sont plus en prise ! Une partie avec une infinité de scénarios possibles qui se joue en un œuf abstrait et indéterminable, à la fois vierge comme l’enfant, pris dans sa propre expérience comme l’adulte et sage comme un vieillard qui sait qu’il est déjà mort. Les énergies du « vide » contiennent un potentiel indéterminable où toute expérience semble possible ! Entendons là une substance infinie de double nature (physique/métaphysique), un bassin d’essai en construction et destruction permanente qui finira fatalement par engendrer un œil pour voir, un second pour la profondeur. Et d’humaines créatures pour retrouver le reflet de la double nature oubliée sous la forme charnelle.  

La science a donc fait des progrès depuis Pasteur, des progrès qui ne remettent aucunement ses travaux en question, mais confère à la « reine mère des cellules » une notoriété plus anecdotique que pertinente. Cela n’est pas sans me rappeler une croyance pseudo scientifique issue du contexte de la guerre froide, de la conquête spatiale, de la révolution des mœurs et du complexe du 0.0: « il faut avoir une intelligence supérieur à la nôtre pour avoir cultiver la vie sur terre, les extra-terrestres sont ou possèdent donc la clé de notre origine ! »…  Les théories du gentil et du méchant Alien étaient nées, avec toute la culture hollywoodienne  et New-Age que nous connaissons ! Les gentils sont censés avoir semé la vie sur terre avant de repartir humblement, mais certains d’entre eux se sont attardés avec nos femmes, engendrant une guerre spatiale invisible à notre échelle. Dans le scénario inverse, les méchants sont aussi consuméristes que nous et se servent de la terre comme lieu de villégiature peuplé de créatures travailleuses et consommables ! Dans ces deux théories devenues un immense fonds de commerce depuis les 70’s, nous retrouvons linfluence des découvertes archéologiques concernant la culture sumérienne.   

Tout génie peut un jour sortir une ânerie ! Sinon, le monde n’aurait plus de saveur ! Pasteur était un spécialiste de la cellule, mais il s’est planté sur un simple problème de logique et de sémantique !

Les cellules se multiplient par biogénèse, c’est un fait, mais d’après des études plus récentes, la première cellule proviendrait soit des réactions d’oxydation de la matière minérale dans l’eau (sur notre planète ou sur une autre), soit de l’évolution d’un polymère que nous connaissons encore assez mal : le virus ! La capside de protéines qui protège l’acide nucléique du virus lui permet notamment de voyager sans trop de difficulté à travers le temps et l’espace… Ceci intéresse fortement ceux pensent que la vie vient d’une comète et qu’elle était ailleurs avant, mais cela intéresse autant ceux qui pense que l’appareil génétique du virus et de la bactérie sont des complémentaires issues de la propre nécessité de leur nature ! Le premier serait le transcripteur universel issu de la dualité, celle-ci faisant de la matière et de l’intelligence un même ensemble. Le second une cellule capable de se reproduire à l’identique, un métabolisme en puissance, issus de l’oxydation de la matière solide dans la matière liquide, peu importe la planète sur la quelle cela arrive.

Bref, la notion de génération spontanée a été remise au gout du jour et probablement pour la logique que je viens d’évoquer ! Mais la conception aristotélicienne ayant bien vieilli, nous parlons aujourd’hui d’abiogenèse. 

Les deux suppositions les plus pertinentes concernant l’origine de la vie :

  • l’une part du principe de l’information (évolution de la logique archaïque : unité et dualité du vide et du plein inatteignables et plus si affinité…) et s’axe sur les problématiques de la complexification du codage de l’information qui aboutirait à la nécessité d’un appareil génétique… lire l’hypothèse du monde ARN. Nous nous rapprochons ici de la théorie « virus cherche hôte ».
  • Et l’autre s’appuie sur les équilibres, la susceptibilité de la matière et l’adaptation avant tout : des systèmes non vivant s’éloignent de leur équilibre thermodynamique et doivent fournir (pour se maintenir) l’effort de déclencher des processus qui deviennent progressivement métaboliques… De nombreux échecs, de merveilleuses réussites ! Dans les mêmes proportions que la quête « spermatozoïdienne » : les chances sont infimes, mais l’affaire doit bien se faire… Qui aura le mérite, l’innocence et l’expérience ? L’éternelle quête d’un Perceval pour le salue du royaume ! 

 

A propos du transcripteur universel cherchant hôte :

L’imaginer comme un virus observable revient à le voir muni d’une capside, donc déjà formé et lancé à travers le temps et l’espace pour trouver un corps acceptable ! Nous revenons donc à la case départ : d’où vient le premier virus ? Mais lorsque l’on appréhende la complémentarité de l’éternel et du temporel, ainsi que les nouvelles propositions quantiques concernant l’illusion de la matière et de la masse, la capside s’envole, autant que notre représentation matérielle du virus.  Autrement dit la matière dite vivante n’a probablement pas le monopole de la logique et de l’intelligence ! Autrement dit le vivant et l’inerte font partie d’un même ensemble et cela qu’un univers soit  à l’état de potentiel en attendant la manifestation du champ de Higgs (état entre la mort et la renaissance), ou incarné dans l’avalanche d’évènements que nous connaissons.

 Nous nous rapprochons en effet de ce jeu sémantique de dupe qu’est celui de l’œuf et de la poule, mais sans la supercherie !

La dualité en tant qu’essence de la logique fondamentale est définie comme nécessaire de par sa propre nature, elle est conséquemment liée à l’éternité autant qu’à la durabilité et donc aux phénomènes temporels.  Suis-je en train de parler de ... - Big Bang - Big Freeze - Big Crunch - Big Bang - Big Freeze - Big Crunch - .... Et de la nuit des temps? Un doux rêve que l’humanité caresse dorénavant lorsqu’elle est éveillée... Reste le problème de la mémoire et celui du caractère ordinal des contractions/expansions qui semble indiquer un début et une fin ou au moins le fait qu’il est un tic avant un tac ou l’inverse… Le dilemme de la poule qui fait l’œuf ! A moins qu’au-delà d’une certaine limite les inverses se rejoignent et les opposés alternent leurs signes. Infiniment grand et petit, passé et futur, moins tourne autour de plus et plus tourne autour de moins, le grand contient le petit et le petit contient le grand… le tout en un.  

…..

 Alors que nous nous cognions la tête sur le mur de Planck, que nous imaginions pourtant dans notre dos, les ondes gravitationnelles viennent de nous ouvrir de nouveaux horizons, sans pour autant contredire l'incertitude! Mais elles ne divulguent pas leur secret facilement... La mémoire est une piste, mais la nôtre est chargée d'histoires sanglantes, embrouillée par les chantiers illusoires du vivant, falsifiée par notre hermétisme... Profonde semble la blessure de nos cœurs intelligents, déchirés entre l'indicible et frénétique légèreté de l'être (inconstance, vitesse) et la gravité invincible (masse, inertie)!

Je reste intimement confiant en le fait que l'Amour est le meilleur pilote semi-automatique qui soit! Mais l'amour propre est "Perce Eve errant" et semble dénier la responsabilité de nos crashs, empruntant l'excuse de l'empirisme et des dommages collatéraux "acceptables"...

La manifestation de la logique (ensemble « vide/matière », son unité, sa dualité et plus si affinité) ne semble plus à démontrer. Et le désir, pour reprendre Spinoza, ou encore le ratio être/ne pas être, selon Shakespeare, pourrait être à l’origine de l’union miraculeuse de notre espace-temps, le temps faisant l’ouverture et la clôture de l’histoire de notre espace !  Mais peut-on parler de mémoire gravitationnelle et de l’expansion d’une vie en perpétuelle quête de devenir ?

Une énigme plus intéressante que notre fuite en avant consumériste !

Réparation, me semble un juste mot.     

Voir les commentaires