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Le blog de Persone

Contes pour enfants - Envers du décor et secret de polichinelle

23 Mai 2020, 17:12pm

Publié par Persone

Contes pour enfants - Envers du décor et secret de polichinelle

Fragment d’une lettre adressée à la maîtresse de mon enfant, faisant suite à un dialogue motivé par les complications scolaires relatives à propagation du Covid 19 et au confinement qui s’en est suivi :

En dehors des causes et des conséquences de phénomènes pandémiques relatifs aux agents infectieux, votre statut de membre de l’éducation national et votre position de maîtresse de mon enfant me pousse à vous décrire une détresse à la fois plus intime et directement liée à notre collectif aujourd’hui globalisé. Dans l’anonymat le plus total, après trente années de travail concernant le lien conscience/matière, j’ai finis par faire une découverte importante  concernant le langage et l’unification des connaissances attestée à ce jour. Après quelques recherches, je me suis aperçu que depuis quelques décennies, les pôles d’enseignement les plus réputés mettaient discrètement l’accent sur des recherches  semblables aux miennes. Sémantique, philologie, épistémologie, relecture analytique des écritures anciennes (…), sont de nouveau au goût du jour, par simple nécessité. Ayant vérifié la concordance de mes conclusions avec les principales disciplines de la science, cette découverte m’est apparu comme une des clés indispensables au désamorçage des altérités réciproques qui sont silencieusement le nerf de la guerre économique suicidaire dont nous sommes tous les acteurs et les victimes. Une compétition impitoyable entretenue par empirisme, qui est aussi le nerf du consumérisme et du Nouvel Ordre Mondial dont le bras funeste s’abat sur nous tous. Cette clé est entre autres l’unification raisonnable et sensible de tous nos langages, de toutes nos pensées et idéologies conflictuelles, qui caractérisent la matière susceptible qui nous entoure et nous constitue. Elle concerne autant les réductionnistes (sciences), que les théologiens et spiritualistes, autant les logisticiens (politique, idéologies et philosophies matérialistes) que les artistes. Sans vous emporter dans des considérations ou démonstrations trop longues, je peux néanmoins vous décrire sommairement ce que sont les fragments de cette clé, propre à ouvrir notre boîte de pandore et à réparer ce qu’elle contient. Une simple énumération des principaux principes relatifs à sa nature et une évocation des disciplines principales que je questionne dans mes recherches, devraient suffire :

Concernant les principes :

Les propriétés primordiales des chiffres, les singularités mathématiques et géométriques, les phénomènes thermodynamiques, climatologiques ou biologiques. Mais aussi la gravitation, l’électromagnétisme, l’interaction nucléaire forte, la faible et les champs quantiques, concernant les forces et les fluctuations.

L’immanence au sens large et plus précisément l’immanence du langage et la sommation concernant les principes et leurs manifestations caractérisée (langage gestuel, oral et écrit, mots, phrases, conjugaison, lettres, chiffres, nombres, signes…)

Concernant les disciplines :

L’étude comparée de la linguistique et de l’écriture, l’étude des rapports manifestes entre la sémantique, l’arithmétique, la géométrie et  l’analytique, mais aussi l’épistémologie des sciences, la philologie et la sémiologie.

A ce stade de description, j’ai bien conscience que le sujet fait le même effet qu’un cours de math corsé donné à une section littéraire ou qu’un cours de philo dispensé devant une section éco ! Mais je vous confie cela pour deux raisons :

La première vient du fait que l’anonymat dont je vous parle se cumule à l’épreuve physique, mentale et intellectuelle d’un tel travail. Autrement dit, j’ai puisé dans toutes mes ressources pour avoir mené à bien cette tâche tout en m’occupant de mes enfants comme un papa dynamique et aimant. Je regrette amèrement de n’avoir pas pu faire plus pour ces deux petits anges, mais j’ai bien conscience que réparer l’entité collective, qui détermine dès aujourd’hui leur avenir, est essentiel. Trop d’entre nous se contentent de s’occuper de leur propre cercle de préoccupation, sans vouloir admettre qu’en se contentant de cela, ils reportent leurs dettes sur les épaules de leurs enfants. Vous êtes très bien placée pour le savoir, en première ligne même dirais-je, avec ceux qui soignent, ceux qui représentent la loi et ceux qui sauvent (les pompiers par exemple). Voilà qui me permet de passer à la seconde raison…

Vous êtes enseignante. Comme le sang, vous êtes passeur d’information. Et je pense que vous êtes consciente du poison qui se distille peu à peu dans les veines et les artères de l’entité humaine. En tant que mère et prof, vous ne pouvez qu’être inquiète de la vague qui approche et de la main de fer qui se tend vers nous, et surtout désireuse non pas d’un espoir, mais d’une solution. Cette solution, preuves à l’appui, commence par  la déconstruction du langage évoqué dans cette lettre.

Je me confie donc, pour vous apporter meilleure vision de ce qui entoure notre enfant et pour vous signifier toute ma considération, ainsi que toute ma solidarité envers votre travail. Et au-delà, si les nouveaux actionnaires de notre temps vous en laissent un peu, je demeure disposé à répondre à toutes vos questions à propos de cette belle découverte nous concernant tous. N’ayant que faire de la notoriété que pourrait m’apporter cette « redécouverte », j’ai en revanche bien conscience de l’hermétisme que je dois affronter pour qu’elle atteigne la sphère publique. Pour le dire avec humour, avec ces clés, le fils d’un riche et célèbre personnage nous aurait déjà évité le pire depuis ces dernières années tout en passant pour un saint homme ! En d’autres termes, je pense que le partage avec tous, avec le plus grand nombre, avec le commun des mortels dit-on, est un facteur inattendu, GRATUIT et peut-être seul à pouvoir briser un hermétisme plurimillénaire, pour déconstruire et réparer l’Homme et sa machine en toute équité, avant qu’il ne soit trop tard.

J’attire votre attention sur un phénomène subtil, mais manifeste : parmi  les bons samaritains, mais aussi parmi les Hommes  de connaissance et de bonne volonté, chacun, dans son stéréotype, se contente de son domaine de prédilection. Tout comme chacun imagine que la somme de toutes nos petites actions spécifiques et sans cohésion devrait suffire. Pourtant, l’Histoire, l’actualité et quelques principes mathématiques nous démontrent sans cesse le contraire ! La sectorisation des connaissances et le carriérisme sont des facteurs de productivité intensive, qui se déterminent dangereusement au détriment de l’épanouissement du vivant et de la maîtrise des lois de transformation de l’énergie. Vous êtes enseignante, voilà qui tombe encore à pic, vous connaissez certaines réticences de gymnastique de l’orgueil et de l’amour propre  humain : ce qui manque le plus à tous, c’est un dénominateur commun. Le plus petit d’entre eux permet entre autres de résoudre des divisions. Entendons « division » dans les 2 sens du terme!

Il me semble judicieux de vous décrire ici un lien étroit entre mon travail et un des éléments du programme éducatif pour les élèves de CE2. Le sujet vous tiendra probablement à cœur :

Nous avions discuté ensemble des messages cryptés contenus dans nos célèbres contes pour enfants et bien légitimement vous m’aviez rassuré sur le fait que l’école n’envahissait pas nos petits avec ces épouvantables détails pour adultes. Malheureusement, nous n’avions pas eu le temps de finir la discussion lorsque je tentais de vous parler des révélations sémantiques et arithmétiques, elles aussi contenues dans ces contes, mais merveilleusement subtiles et totalement adaptées à la gymnastique cérébrale propre à l’enfant. Jusqu’ici que du bon, du positif dirons-nous, mais j’aimerais attirer votre attention sur un plus sombre détail : depuis quelques mois,  j’ai pris connaissance de toutes les nouvelles moutures de contes réalisées par les nouvelles et glorieuses recrues de l’académie des arts. Impatient dans un premier temps, j’imaginais que nos académiciens avaient enfin décidé de briser un hermétisme de longue date en acceptant de partager les secrets du langage et de l’unité mathématique des langues avec l’Homme ordinaire. Sans réelle surprise, je fus néanmoins attristé de constater que non ! Pour en revenir à notre discussion, il se trouve que ces nouveaux contes distillent un peu plus les horreurs que nous avions évoquées, les banalisant de surcroit, sans pour autant révéler les véritables trésors de logique et de spiritualité cryptés par ces légendes anciennes. Force est de constater que nous ne vivons pas une période de fatalité virale, mais de volonté virale.  Concernant la conscience et non le corps qui l’abrite, autrement dit pour parler des contes et non des capsides armées des virus, le langage utilisé par les auteurs est plus pernicieux que je ne voulais bien l’admettre : les héros ne valent pas mieux que les tyrans, les extrêmes et la cruauté en moins, et seule une magie inexpliquée les sauve d’eux-mêmes pour les réinsérer dans ce qui semble un moule de bonne conscience, nécessaire par défaut. En toile de fond, on coupe des têtes à tour de bras, on désosse, on fouille dans les carcasses, on arrache des cœurs, on les mange, etc…  Et tandis que des professeurs, pour un maigre salaire, portent sur leurs épaules le marasme global qui agite et avilit nos enfants, les nouvelles célébrités de l’académie des arts sont anoblies en grande pompe et assurés d’une coquette retraite. Notons aussi que leur activité est aux antipodes de la pénibilité des tâches réservées à la majorité des citoyens. Je note au passage que les dessins modernes accompagnant les nouvelles moutures sont aussi vulgaires et laids que ceux de leurs prédécesseurs étaient subtils et propres à retranscrire la beauté de ce monde que nous avons bien meurtrie.

L’urgence n’est plus dans le vain traitement des symptômes d’une maladie que nous entretenons. A ce jeu, même les plus fervents militants se fourvoient ! L’urgence est à comprendre (prendre ensemble) l’origine, la nature et la mécanique de la maladie. La déconstruction du langage sous toutes ses formes est la seule clé qui puisse nous apporter cette compréhension partagée. Déconstruire n’est pas détruire, ni jeter et reconstruire sans cesse au prix que l’on connait, mais réparer.     

En vous remerciant chaleureusement d’avoir bien voulu boucler cette lecture,

Je vous adresse mes plus sincères salutations,

 

Je vous propose maintenant une analyse d’une nouvelle mouture de « Boucle d’or », une analyse faite par ma fillette avec mon aide. Cette version est l’œuvre de Roald Dahl (un conte peut en cacher un autre - illustrations de Quentin Blake) et le programme scolaire concerné est celui des CM2 (8-10 ans). Note : je conseille au lecteur de se procurer l’ouvrage et de relire les anciennes versions des contes ciblés.

 

Lundi 11 mai 2020

Chapitre 1 – Boucle d’or

1 Comment l’auteur qualifie-t-il ce conte ?

Il le qualifie de bête et méchant.

2 Que fait Boucle d’or lorsqu’elle découvre les 3 bols de bouilli ?

Elle mange la bouillie du plus petit bol appartenant au plus petit ours.

3 Que se passe-t-il lorsqu’elle s’assoie sur la chaise de l’enfant (le plus petit ours) ?

La petite chaise d’enfant se brise.

4 Quel est le dernier crime de Boucle d’or ?

Le dernier crime de Boucle d’or est de salir des draps immaculés avec les cochonneries qu’elle a sous les pieds.

5 Pourquoi salit-elle les draps ?

Parce qu’elle n’enlève pas ses souliers.

6 Boucle d’or est-elle punie pour ses crimes ?

 Oui, elle subit la peine de mort.

7 Réussit-elle à s’échapper et y a-t-il une absence de mauvais sentiments, comme dans le conte original ?

Non, puisqu’elle est tuée froidement par le grand ours qui demande à son petit de dévorer Boucle d’or pour pouvoir récupérer sa bouillie qui est à l’intérieur.

Je vous épargne les questions les moins pertinentes…

10 Quelle fin aurait-tu préféré et pourquoi ?

 J’aurais préféré que Boucle d’or s’enfuit comme dans l’ancien conte. Parce qu’elle ressemble à la vie, elle est malicieuse mais innocente et elle ne veut pas de mal aux 3 ours. Dans le premier conte, les ours non plus ne lui en veulent pas. Mon papa m’a appris que Boucle d’or symbolise la molécule de vie, la lumière et la couleur or (jaune soleil, argent poussière d’étoile et une goutte de rouge sang). Les trois ours symbolisant quant à eux les 3 ordres de grandeurs. La bouillie, les chaises et les lits évoquent les notions de température, de structure, de taille et d’état de la matière/substance.

L’ancien conte ne montrait pas directement ces grandes questions liées à la magie qui  permet la vie, pour nous inciter à réfléchir dans des recueils composés de nombreux autres contes. L’auteur du nouveau conte nous fait oublier tous cela et voudrait nous convaincre que la vie et les principes qui la constitue, qui l’anime et sur lesquels elle agît, sont de nature à se voler, se tromper et se venger cruellement.

Épilogue...

Après cette petite analyse, accessible à un enfant de 9 ans, je vous propose de méditer sur ce que j’appelle l’autodafé des temps modernes. En d’autre terme, la nécessité de lobotomie des masse pour créer une unité malheureusement illégitime, forcée et dangereuse, mais propre à l’instauration du nouvelle ordre mondiale. Complotisme ? Non ! Empirisme. L’empirisme d’une expérience faussée depuis son origine et  ses fondations. Maîtres et esclaves sont interdépendants dans une mécanique qui ne peut que les mener à la souffrance et aux sacrifices de masse, de façon ponctuelle. Il s’agit là d’un nihilisme darwinien dénié, mais consenti par accord tacite.

A la source de cette maladie globalisée : l’instrumentalisation du langage, le nivèlement par le bas des masses ou des peuples vassalisés (dénaturation et orientation du langage), la sectorisation des connaissances et un hermétisme aujourd’hui plurimillénaire.     

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Règle de 3

21 Mai 2020, 14:19pm

Publié par Persone

Règle de 3
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Règle de 3
Règle de 3
Règle de 3
Règle de 3
Règle de 3
Règle de 3

Dix années plus tôt, je déclinais mes premiers articles, animé par une quête de vérité et de réparation collective. Mais surtout par le sentiment profond que notre Orgueil, victime de son ministre "l'amour propre", déplaçait ses pions à son propre insu… Que cela soit parmi les gagnants ou parmi les perdants, vivant réciproquement, perpétuellement, dans l’angoisse du complot. Vérité de vainqueur VS terreur révolutionnaire : la sérendipité des dominants et des dominés qui les suivent, face à la zemblanité des "déviants" vaincus, dont les prophéties font mauvais hôte. 2 semblables privilégiés et 1 différent dont le manque de privilège semble une nécessité naturelle pour les deux premiers. "S’il n’y avait pas de pauvreté, il n’y aurait pas de richesse". Notons ici le rôle important de l’opportuniste, neutre : il peut changer de camp (signe) comme de chemise en fonction du sens du courant général (charge, masse, valeur, nombre) ! Un piètre et démagogique accord de trois, totalement dénaturé et auquel on sacrifie le lien nucléaire de la famille humaine. Un désaccord plus vieux qu’Hérode, n’attendant que prétextes pour perpétuer la tragédie d’Homère.

Le choix de Troie pour définir le lieu du drame "shakespearien" d’Homère est-il fortuit ? Y-a-t-il un rapport crypté entre TROIS(9) et TROIE(4) ? Un rapport conservé par la forme latine ? Brisons l’hermétisme…

Depuis l’Antiquité, il existe bel et bien un rapport arithmétique et sémantique entre les chiffres et les lettres. En grec ancien, trois (lié à gamma dans la numération, gamma étant aussi la troisième lettre de l’alphabet grec) s’écrivait Τρεῖς (treîs) et Troie (lié à Tros et Ilion dans la construction sémantique cosmogonique) s’écrivait Τροία (Troîa). Note : ς possède une variante notée σ.

On remarque les permutations suivantes :

  • La première entre ε (epsilon, 5ème lettre, dont la translittération latine correspond au e, également placé au 5ème rang) et ο (omicron, 15ème lettre, liée à 6 par la SOMMATION de 15 dont la translittération correspond au ô latin placé au même rang. Notons que le O latin non accentué est la translittération de omega dont le 24ème et dernier rang correspond encore à 6).

Epsilon symbolisait la médiation dans les ordres de grandeur sur la base 10 et la notion complexe d’énergie non mesurable, mais nous reviendrons sur la lettre et son expression sémantique dans le paragraphe suivant concernant la seconde permutation… Omicron symbolise quant à lui le petit et sa relation avec le 6 (concentrique) exprimait l’inverse du 9 (excentrique). Symbolisme : ratio entre l'Énergie en tant que tout (notion de globalité et d’ensemble entier mais infini) et sa manifestation physique en un point concentrique (convergence). Le plus grand contient le plus petit et vice versa.

  • Et la seconde entre ς (sigma, 18ème lettre, liée à 9, dont la translittération correspond à notre S latin) et α (alpha, 1ère lettre dont la translittération est notre A).

Sigma symbolisait l’énergie primordiale fondée sur le principe de trois suivant : deux inverses ou opposés et un milieu. Elle était l’équivalent de la lettre C de l’alphabet cyrillique, qui deviendra la troisième lettre latine, différenciée du S. Sa lettre capitale Σ ainsi que sa forme minuscule σ sont toujours utilisées en sciences pour symboliser les notions de sommation (notion liée à la réduction additionnelle des nombres en chiffres), de conductivité électrique, de coordonnées sphériques (très utiles en matière de calcul de position, de vitesse ou de force en fonction de référentiels) ou d’écart type (notons que les grecs s’intéressaient particulièrement au mystère des écarts entre les nombres premiers, mystère dont relève la fameuse fonction Zêta). Sigma était lié au chiffre 9, le triple 3, autrement dit 3 au cube, cube indiquant le volume, la 3D. La calligraphie de Sigma est un 3 anguleux et inversé. Derrière ce détail, se cache la notion sémantique des 3 îles (deux antipodes et l’île centrale mystérieuse, qui deviendra le 0 dont les voies impénétrables nous seront intelligibles grâce aux indiens bien plus tardivement. 0 que l’on retrouve au cœur de l’énigme de la fonction Zêta. Cette calligraphie était volontairement proche de E (epsilon), liée à la notion de porte à claire-voie et de quintessence (sujet abordé aussi par les hébreux concernant la lettre He). E demeure le symbole de l’énergie totale. A savoir que les grecs étaient eux aussi en quête du 5ème élément et de la 5ème force (à ne pas confondre). Leurs intellectuels suivaient déjà quelques pistes concernant les forces d’interaction : force électrique, force gravitationnelle et son inverse (celle qui maintient en orbite), force de transformation (feu destructeur) et force de vie (feu créateur capable de souder la matière, feu dont témoigne la température du vivant et les manifestations physiologiques de l’ardeur de ses sentiments). Mais revenons vers notre permutation concernant Trois et Troie : la terminaison Sigma devient Alpha. 9 devient 1. Alpha quant à lui symbolisait le premier, le plus avant, le bœuf et l’unité, le plus petit, le plus petit dénominateur commun.  

Le grand, le petit et le rapport d’immanence… Troie le siège, Troie le théâtre de l’apocalypse programmée d’Homère, à défaut des révélations portées par la grâce d’un zéro encore inaccessible. Troie le petit qui contiendra le grand jusqu’à la chute de tous, Troie la petite cité du juste, face à la fureur du grand Empire, tous deux emportés dans la discorde par des forces si complexes qu’elles ne pouvaient être que l’œuvre des dieux et d’un Amour éternel, mais contrarié.  

Les premiers seront les derniers et les derniers les premiers : une énigme qui se serait bien passée du premier degré ! L’ère judéo-chrétienne bouleversera donc la donne, sans toutefois maîtriser ces notions, faisant de Dieu désarmé un Dieu des armées. Au prix que l’on connait. Le Léviathan matérialiste, après avoir décapité le père, renier son héritage et perdu la maîtrise de son langage, ne fera qu’accélérer le processus morbide ; un troisième acte dont les enjeux font ressurgir toute la pertinence des prophéties. Homo-falsus viral et le monde qu’il mérite. Une première vague, suivie d’un principe de précaution qui, dans une seconde phase de grandes mutations, fragilise la bête en mal de langage, puis un dernier acte, la seconde vague, ravageuse… Ainsi fonctionnent les virus, ainsi fonctionne la nature avec laquelle nous avons cessé de communiquer en mélangeant les volatiles et les cochons domestiques ou en les cloisonnant vainement dans le processus de la culture intensive. En deux temps l’humanité fait 3 mouvements, en 5 sec (ou set) plus un poil de sec, elle remet ses baskets ! Petit jeu sémantique : sec indique dans l’expression ce qui se fait en un coup, ce qui n’est pas divisible, il deviendra set en relation avec le tennis, dérivé du jeu de paume : un set est composé de 6 jeux de 3 points et d’un septième pour départager en cas d’égalité, d’où l’utilisation du terme set qui évoque à la fois le chiffre 7 et le set, en tant qu’élément entier quels que soient les éléments qui le composent. Pourquoi ce détail concernant 2 temps, 3 mouvements et 5/7 ? Reprenons nos termes : Τ(2)ρ(8)ε(5)ῖ(9)ς(9) dont la sommation ou addition réduite donne 5, le chiffre de la réalisation, de la médiation entre les ordres de grandeur et 3ème chiffre premier. Τ(2)ρ(8)ο(6)ί(9)α(1) dont la sommation donne 7, chiffre de la dissolution, mais aussi de la réunion des pairs et des impairs ; "7" lié à "3" comme "5" l’est à "2" par des voies qui nous semblent impénétrables, à tort. Seth "démembreur" d’Osiris qui arrachera son œil à Horus avant que Thot (9) ne le recompose en offrant au nouvel observateur une chance de retrouver l’unité. Seth troisième fils d’Adam et Eve, "7" dernier chiffre premier. Une table précieuse de compréhension qui nous aurait probablement évité le pire dans les tribulations des NOMBRES barbares que nous incarnons.   

Intéressons à la forme latine : 3 se dit tres/tria concernant la valeur cardinale et tertius/tertia/tertium concernant l’ordinale. Il existe aussi les formes distributives et les adverbes numéraux. Le mot utilisé pour désigner la cité de Troie s’écrivait Trŏĭa. Apparemment mû par les obligations de résultat d’un système dominant extrême et complexe, les romains n’ont pas conservé ce jeu sémantique subtile dont la Grèce avait hérité. Un héritage dont un Alexandre prit probablement conscience peu avant sa fin, lors de sa consultation d’un mystérieux oracle en Egypte ; un héritage qui manqua aussi à la dynastie des Ptolémée. Bien que l’incendie de la bibliothèque d’Alexandrie ne soit pas avéré, rappelons ici que les romains, lors de la prise de la ville, n’avaient pas pour prérogative d’épargner les trésors écrits.

La forme  française en revanche indique que nos linguistes ont cherché à reprendre le cours de cette énigme millénaire:  

Une seule permutation, le S de trois devenant le E de Troie. S(01) dans le nouvel Alphabet que nous devons à Pierre de La Ramée, la lettre étant dorénavant placée au 19ème rang. Le rang de E est inchangé, la lettre demeure liée à 5. La notion de suite (N+1) dépend du caractère ordinal et de la valeur cardinale des nombres croissants dont les 10 premiers chiffres sont l’archétype. Rappelons que 5 est le médiateur de la première décade. S quant à lui est lié au 1  l’unité relative de toute chose, son symbole est le serpent concernant la courbe ou la tranche d’une pièce à double face concernant le linéaire. S, serpent, sinus et sinusoïde… S le serpent qui avale et recrache le monde, S qui s’auto-dévore ou –féconde, S le tube qui transforme l’énergie, S le siège du langage, S le serpent qui par sa propre nature, au-delà du bien et du mal, offre l’arbre de la connaissance. Le SE qui tente le ME. E5 + S1 = O6, ou vav6 "réversibilité, inversion, articulation", selon les correspondances gématriques latines et hébraïques. Un exercice sémantique intéressant, mais qui ne vaut pas celui de la maison mère !

Intéressons-nous de nouveau au modèle grec : la 6ème lettre de cet alphabet est zêta, symbole d’énergie contrariée, de beauté, et d’hystérèse lié à la fécondation de la vie par l’utérus féminin. 6 exprime aussi, un rapport entre la mesure de l’espace par les radians et celle du temps (système décimal/système sexagésimal). La lettre est aujourd’hui utilisée pour noter la fonction Zêta. Dans la numération du grec ancien, 6 est digamma (double trois) ou stigma, ce signe ouvrant la voie à zêta ou Dzêta qui ici est le 7. Nous retrouvons la grande question des pairs, des impairs et des premiers ! Ce mystérieux rapport immanent entre la matière, les évènements et les nombres, est lié à l’"Energie" subtile et aux propriétés illimitées du 0 et des infinis soustraits de sa double nature. Le zéro était jadis assimilé au néant, on ne le comptait pas parmi les chiffres. En revanche, cinq étant le médiateur de la décade, 6 et 9 indiquaient la présence des boucles inverses. Bref, jadis nous ne comptions pas le 0, mais tout un chacun le cherche depuis toujours. Dépistons donc d’autres chiffres 6 dans l’alphabet grec : le suivant est 15 (1+5), il s’agit de la lettre Omicron, que l’on retrouve dans l’ancienne numération pour noter 70. Et le dernier est 24 (2+4), il s’agit de la lettre Omega (son signe est 800 et symbolise la double boucle infinie). Le fait que la lettre soit placée au 24ème rang est à conjuguer avec le découpage tardif du temps journalier en 24h afin de comprendre le choix d’Oméga pour caractériser la fin des temps, la mort de notre univers. Immanence du langage !   

Y aurait-il un monde à l’endroit et un monde à l’envers ?  Une belle  énigme entre ombres et lumière.    

Si certains pensent qu’Homère, dans son œuvre ne faisait aucune relation entre l’arithmétique, la géométrie et la sémantique, je leur conseille vivement de relire les textes après quelques cours de philologie.  

Epilogue :

Après cette longue parenthèse, reprenons l’introduction de l’article :

Les vainqueurs donc et ceux qui consentent ou profitent de leur victoire : les déterminés qui déterminent, deux semblables bien que différents qui font la paire ! Et ceux qui s’adaptent, comme on dit. Les enfants par exemple, ces petits êtres indéterminés et indéterminables. Les enfants, du point de vue des parents, le peuple du point de vue des gouvernants : un facteur variable, imprévisible, qui contrarie l’expérience…

Mais nous pouvons voir les choses autrement sans contredire la règle : les deux semblables peuvent être les vainqueurs et les vaincus, semblables parce que déterminés (signes)! Les enfants peuvent eux-mêmes entrer dans ce dernier schéma dès qu’ils sont conditionnés par les parents ou la gouvernance suprême. Ici, le différent est le neutre qui change de signe comme de chemise : l’opportuniste. Je rappelle ici un principe de physique nucléaire : le neutron, en enterrant sa vie de jeune fille ou de jeune garçon, se désintègre et participe au grand changement par les lois de la transformation ! Il s’agit de l’activité de la force faible. Au cours de ce processus d’échange de niveau d’énergie, les protons tendent à devenir électrons et les électrons tendent à devenir proton. "Les premiers seront les derniers et les derniers seront les premiers" ou encore "le plus petit contient le plus grand et vice versa". Note : concernant les atomes, ceci n’a rien d’une fatalité darwiniste RELATIVE à la destruction et la souffrance inéluctable. Il n’y a là aucune guerre, aucun conflit, mais de simples lois régissant les interactions en faisant apparaître le ratio, la dualité multiforme. Dualité qui n’est pas dualisme ! Les atomes ne souffrent pas, les atomes ne torturent pas. Concernant l’Homme, la compréhension de ses lois universelles lui permettrait de fonctionner en roue libre en maîtrisant son libre arbitre responsable pour témoigner d’une empathie envers son prochain et d’une capacité à changer de signe, non pas pour trahir ou se trahir, mais pour rester neutre du point de vue du jugement, tout en prenant position pour la vie en embrassant la compréhension de chacun des signes déterminés.   

Dans ce drame shakespearien qu’est la comédie humaine, le principe de 3 est la magie qui permet au petit de contenir le grand, contre toute attente, lorsque chacun semble s’être résolu au pire, avec ou sans bonne conscience. Mais au-delà de ce macabre théâtre tragi-comique, l’accord de 3 est avant tout le principe d’immanence : de par sa propre nature, la partie est aussi dans la partie.

Comme nous l’avons déjà  évoqué dans un article précédent, le principe se manifeste dans des domaines bien plus "terre à terre" :

En géométrie : segments et milieux (angle plat), puis triangles. Notons aussi le triangle équilatéral formé par les trois tris(s)ectrices d’un triangle ordinaire, puis le principe de symétrie : deux éléments "images" et un axe ou centre de symétrie. Etc…

En physique nucléaire : les 3 quarks des baryons les  plus communs, quarks qui se déterminent aussi comme deux semblables et un différent)….

En électricité : plus, moins et neutre… Ou les trois bases utilitaires du courant alternatif dit monophasé, biphasé ou triphasé.

 

En biologie : principalement 3 éléments de base pour constituer la molécule d'ADN ou l'ARN messager (un sucre "ose ou désoxyribose" et deux paires de bases azotées qui s’accouplent pour former la base nucléique. On retrouve ici le schéma des deux natures semblables en relation et d’un composant différent qui les soutient). Lorsqu’on regarde de plus près ce miracle de vie qu’est l’ADN, on observe encore 3 type d’éléments : le sucre, la base nucléique et les groupements phosphate (de 1 à 3).

 

En matière de sexualité : Roméo, Juliette et Mercutio… Ou, sans impliquer la métaphysique shakespearienne: les parents (les deux semblables déterminés qui s’accouplent) et l’enfant (l’indéterminable qui se détermine)…

 

En matière d’accord spectral : 3 couleurs de base

 

En matière de relation entre l’observable manifesté et son observateur : la 3D, première dimension sortant de l’informe (0) et du plan (1 et 2 pour droites et segments parallèles ou sécants en passant par la perpendicularité), pour manifester une singularité témoignant de la hauteur, de la largeur et de la profondeur de ce qui devrait faire le bonheur de l’observateur humain.  La troisième dimension impliquant transformation et déplacement des points et du milieu, il est normal que la suivante soit celle du temps, précédant elle-même celle de la quintessence d’énergie caractérisant tout le processus : gravité (incomprise), électromagnétisme, interaction forte, interaction faible et champs de Higgs.

 

En matière de jeu de la vie. Qu’est-ce que le jeu de la vie ? Une petite expérience informatique démontrant qu’aucune forme n’est possible et que rien ne peut se développer si un "point" n’est pas entouré par deux autres.

Les lois de l'attraction et de la séparation, de la fusion et de la transformation… Nucléaires, électromagnétiques, physiques ou sentimentales, le tout ne faisant qu’un ! Elles sont présentes dans l'arbre de vie, mais aussi dans la mécanique de la souffrance : l’accord tacite, la fracture consentie d’une unité à la fois toute puissante, fragile et désarmée, la culture inconsciente du néant ou encore, selon la Kabbale, l'arbre de la petite mort.

L’île inaccessible de 3 ! Un principe métaphysique enfantin mais subtil, une pierre de magie cachée par la nécessité de sa nature, faisant de l’indéterminable un lien éternel et osons le dire : un domaine de liberté relative de la raison, des sentiments et de la foi, soumis à conditions. Le destin des Hommes n’appartient pas aux "anges", si déterminées soient les lois et les constantes que ces derniers imposent ! Osons la métaphore : en tant que conseiller scientifique, "Dieu 3" maîtrise les causes et les conséquences… En tant que réalisateur, il sait qu’une autre fin est toujours possible et pour que la partie ait un sens, il ne peut être spectateur et acteur à la fois, dans un même état, dans un même espace-temps.

La pierre est cachée par la nécessité de sa propre nature, la trouver c’est la comprendre et la sentir en son cœur. La trouver c’est réparer l’Homme, le temps d’un sauvetage et d’un acte d’Amour. Réunir ce qui a été brisé, le temps d’un espace de valeur éternelle. Réunir cette créature incomplète, avec les dieux et les forces qu’il renie de toute son âme, ou au nom desquelles il imagine se délester du poids de ses crimes.

Nul vainqueur, nul perdant dans l'arbre de vie! Nul esclave, nul opportuniste! Mais des hommes, des femmes et des enfants. Deux semblables donc, Roméo et Juliette (les futurs maîtres de maison) et un différent, indéterminé, proche de la création, proche du 0. Mercutio l’androgyne, Mercutio l'enfant, l'élève aventurier, raisonnablement initié. Appliqué dans un collectif, l’État et la Foi (la reine du château) peuvent se contenter d’avoir le rôle des parents qui guident et départagent sans conditionner ! Mais les institutions politiques et religieuses ont semble-t-il choisi la voie de la souffrance et l’illusion de l’ordre, dans un chaos entretenu.

Comprendre : une relation saine est totalement désintéressée, l'un est l'égal et le reflet de l'autre, seul l'Amour (amours, passion et constante du détachement sans indifférence) définit les rapports et les échanges. Par-delà le bien et le mal disait Nietzsche.

Comprendre… Prendre ensemble. Bien malheureusement, dans la voie morbide règne l'hermétisme le plus absolu ! 

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The silence par Manchester Orchestra

14 Mai 2020, 14:34pm

Publié par Persone

Traduction de la chanson The Silence interprétée par Manchester Orchestra.

J’ai été poussé à bien prêter attention aux paroles de cette chanson par l’intensité qui semblait se dégager de la voie du chanteur et de la composition des musiciens, alors que je ne suis pas un as en anglais ! J’ai été surpris par l’intensité proportionnelle du texte d'Andy Hull ! Et à moitié surpris du fait que les traductions faites à ce jour soient largement à côté de la plaque…

Pour commencer, rendre hommage à la performance mérite que l’on pose et/ou réponde à une question  (QU E S/T ION ou encore QUEST ION en anglais lorsqu'on s'intéresse à la construction, à la généalogie et à l'immanence du langage):

A qui s’adresse ce chant ?

L’auteur lui-même confie qu’il s’agit d’un hymne à l’amour et d’une prière pour « Dieu ». Mais au-delà de l’humble regard de l’"inspiré" sur lui-même et la nature de son oeuvre "souffle", nous pouvons remarquer assez rapidement qu’il s’agit d’un dialogue avec soi-même en « Dieu » et inversement d’un dialogue avec Dieu en soi. Il s’agit aussi et surtout d’un dialogue entre l’orgueil et la vie ! Et par la magie de l’immanence et des multiples formes de la dualité, d’un dialogue entre le masculin et le féminin.

Le texte est aussi une méditation sur la nature de la terre promise, non pas pour les uns ou les autres, mais pour tous. Une arche d’alliance pour le vivant, enfin réconcilié avec la vie et la mort concernant l’Homme.

Une plongée au coeur de la nature de la pensée, une réponse apocalyptique à la question existencielle... 

 

The Silence :

Why do I deserve the science?                                                Pourquoi devrais-je mériter la science

To feel better about you                                                          pour me sentir mieux à ton propos ?

At a loss I lost my cool                                                             A perte je perdais mon sang froid,

I denied that I found you                                                          je déniais t’avoir trouvé,

I tried to be a basket case                                                         j’essayais d’être un cas désespéré,

I did not surprise you                                                               Je ne te surprenais pas.

I’m trying to find a signal of fire                                               J’essaie de trouver un signal (un feu),

Let me know when I should move                                            fais-moi savoir quand je devrais agir/partir.

But you, amplified in the silence,                                              Mais toi amplifié(e) dans le silence,

Justified in the way you make me bruise                               justifié(e) dans la façon dont tu me meurtris,

Magnified in the science                                                           attesté(e )par la science,

Anatomically prouved                                                               prouvé(e) anatomiquement

That you dont need me                                                            comme n'ayant nul besoin de moi.

 

… Crescendo

 

Why do I desire the space ?                                                      Pourquoi est-ce que je désire l’espace ?

I was nourning after you                                                            J’étais en deuil après toi,

I was lost and lost my shape                                                      j’étais perdu et sans forme,

There was nothing I could do                                                    il n’y avait rien que je pusse faire.

I don’t want to waste away                                                       Je ne veux pas dépérir…

It was all I give to you                                                     C’était tout ce que j’avais à donner pour toi.

Take me back and take my place                                              Reprends-moi et prends ma place,

I will rise right up for you                                                          Je m’élèverais/me soulèverais pour toi.

But you,  amplified in the silence                                         Mais toi, amplifié(e) dans le silence

Justified in the way you make me bruise                            Justifié(e) dans la façon dont tu me meurtris,

Magnified in the science                                                           attesté(e) par la science,

Anatomically prouved                                                                prouvé(e) anatomiquement

That you dont need me                                                             comme n'ayant nul besoin de moi.

 

… Crescendo

 

All the while you waste away                                                   Tandis que tu dépéris

You’re asking                                                                             tu demandes:

Did I really need a another one to take me done?                   Avais-je besoin d’un autre pour m’abattre?

Everybody knows it’s something that you                                Tout le monde sais que c’est une chose

Had to live with darling                                                     avec laquelle tu avais à vivre, chéri (assumer)

Nobody’s gonna tear you down now                                        Personne ne t’abattra plus maintenant…

There is nothing you keep                                                         Il n’y a rien que tu gardes

There is only your reflexion                                              Il n’y a que ton reflet/tes pensées/ta réflexion

… Crescendo

There is nothing you keep                                                         Il n’y a rien que tu gardes

There is only your reflexion                                              Il n’y a que ton reflet/tes pensées/ta réflexion

… Crescendo

There was nothing but quiet retraction                                     Il n’y avait rien qu’un retrait silencieux

And families pleading                                                                Et des familles implorant

Dont look in that cabinet                                                   Ne regarde pas dans cette "boîte de Pandore"

There’s far morebad than there’s good                                Il y a là beaucoup plus de mal que de bien

I don’t now how it got there                                                      Je ne sais pas comment il y est entré

That was something your father                                                 Ce fut quelque chose que ton père

had burn in me                                                                           brûla en moi

Twenty hours out of Homestake eternity                              Vingt heures*1  hors de l’usine à perpétuité*2

You can go anywhere but you are                                         Tu peux aller où tu veux mais tu reviendras

Where you came from.                                                           à la maison dont tu viens *3.

Little girl                                                                                             Fillette

You are cursed by my ancestry                                                Tu es Maudite par mon ascendance

There is nothing but darkness and agony                               Il n’y a rien qu’obscurité et agonie

I can not only see                                                                     Je peux non seulement voir

But you stop me from blinking                                                 Mais toi tu m'empêche de cligner des yeux

Let me watch you as closed                                                      Laisse-moi te voir aussi inaccessible

As a memory                                                                             Qu’un souvenir ,

Let me old you above the misery                                              Laisse-moi te tenir au-dessus de la misère

Let me open my eyes                                                                 Laisse-moi ouvrir les yeux

And be glad that I got there                                                      Et être heureux d’être là / arrivé là

 

… Silence et reprise du chanteur seul:

                                                                                                             

Little girl                                                                                             Fillette

You are cursed by my ancestry                                                Tu es Maudite par mon ascendance

There is nothing but darkness and agony                                Il n’y a rien qu’obscurité et agonie

I can not only see                                                                      Je peux non seulement voir

But you stop me from blinking                                                 Mais tu m'empêches aussi cligner des paupières

Let me watch you as closed                                                      Laisse-moi te voir aussi inaccessible

As a memory                                                                             Qu’un souvenir

Let me old you above the misery                                              Laisse-moi te tenir au-dessus de la misère

Let me open my eyes                                                                 Laisse-moi ouvrir les yeux

And be glad that I got she/you/Sion                                         Et être heureux "de l’être et de l’avoir".

                                                                                       OU : " d’être arrivé à EL/LE" ou "... à toi".

                                                                                       OU : "de l'avoir eue".

                                   

Si vous êtes intéressés par le décryptages des paroles, des écritures et des images qui "commentent et font" l'Histoire autant que l'actualité, disons si vous souhaitez en savoir plus à propos du langage et de son instrumentalisation par l'Homme, ou apprendre à décrypter les codes et messages dissimulés dans les langues véhiculaires, je vous invite après lecture à visiter les plus récents articles. Notamment ceux concernant la "génétique du langage ": La magie pour les nuls (parie 1,2 et 3). Mais je me permet surtout d'interrompre votre lecture parce que ce blog pollué par les pubs (je n'y peut rien et ne le monétise pas)  a enfin un site en bonne et due forme et donc un blog sans publicité!!!! J'y incorpore peu à peu les meilleurs articles de celui-ci, entre autres choses croustillantes et instructives. 

https://www.deconstruire-et-reparer.com/         (lien direct en bas de page)

Quelques détails à propos du texte de "The silence":

En écoutant attentivement vous remarquerez que Andy Hull exprime une ambiguïté en terminant la chanson par "and be glad I got there" sans prononcer exactement "there", mais plutôt "she" ou un "you"torturé. Avant de lancer un Inna de yard à la foule, qui signifie "dans la cour"... A cour donc (périmètre relatif à l'école liée à la cité, à la gouvernance, à l'esprit...), complémentaire d'à jardin (le monde extérieur). La cour reflète ce siège de la pensée auquel Andy Hull se heurte gracieusement au fil des couplets, avec toute la violence que la comédie humaine mérite.  

Alors... Qui se cache derrière ce "She" / "You" remplaçant le there? You est ce l'autre? Hymne à l'amour shakespearien? Amour de l'autre? Amour de la vie? Notons entre autre: "little girl, you are cursed by my ancestry". Quelle élue d'un cœur pourrait avoir été maudite par une ligné d'ancêtres? Le cœur est il amoureux d'un autre maudit par sa maison, comme c'est le cas pour un Roméo et une Juliette? Manifeste-t-il son amour pour une vie maudite par le cycle d'Abel (le nomade) et Caïn (le sédentaire), en d'autre termes par la marque du fratricide, la guerre et le consumérisme? Maudite par les intérêts irrationnels de la somme des éléments composant nos différentes "Maison" en compétition? Maudite par un complexe maladif entre l'amour de soi, l'amour propre, les passions, la foi, la raison?  En y ré/fléchissant à 2 fois, hymne à notre amour pour l'autre et hymne à notre amour de la vie ne font qu'un... Alchimiquement vôtre! Amour pour "l'autre" dans le sens globale du terme (amour et haine de soi, de l'être aimé, de la vie, de la nature, de Dieu), c'est l'amour que l'on écrit avec un A majuscule. Et c'est la dualité qui s'exprime ici, sous le principe d'immanence! Rencontre du yin et du yang, du noir et du blanc, des ténèbres et de la lumière, de celui qui se croit maître de celui qui se croit esclave, du temps et de l'espace, de l'archer et de sa cible... Notons que "nature" renvoie à plusieurs notions ouvrant de nouvelles portes sémantiques: le féminin créateur (incluant le masculin), la matrice et son incarnation (incarne à Sion): la terre promise et l'espoir couvé sous l'arche d'alliance. 

Difficile de dire précisément à quel point l'auteur souhaite utiliser tout ou partie de ces codes et métaphores sans le lui demander, pour la simple et bonne raison qu'il suffit de rédiger un texte de construction alchimique (on ne sait précisément si l'autre est humain, abstrait ou divin) pour que le public puisse se poser toutes ces questions posées par les règles de l'art depuis l'antiquité.

Des codes, encore des codes... lol!  Mais rien de bien sorcier dans ce symbolisme qui date de l'âge d'or des alchimistes (durant la Renaissance des arts et des sciences) car le subtil aurait beau s'offrir nu au grossier, que ce dernier l'ignorerait ou le dévorerait sans la moindre considération. Les alchimistes de cet époque comprenaient que la science percerait peu à peu les mystères du nom de la rose au profit de l'orgueil humain et de l'abus de pouvoir. Ils ont donc pertpétué l'art du symbolisme et utilisé des codes, non seulement pour se protéger de la persecution des forces politiques en compétition et communiquer entre eux, mais aussi pour transmettre aux générations futures en apportant de rationnelles mises à jour à nos bases sémantiques et réductionnistes. Des chevaliers de la rose donc, rendant hommage à la vie, à l'Amour et à un Télos moins obscurantiste que celui dont notre eugénisme expérimental a hérité.  

Conservons le prisme alchimique, qui suppose que l'amoureux s'adresse à la vie, disons à Dieu, au mystère de l'existence, autant qu'à l'être aimé(e):

"... anatomiquement prouvée comme n'ayant nul besoin de moi" (moi et ma conscience propre dotée de sentiments): phrase forte, marquée par les musiciens et rappelant la MARQUE de fabrique des temps modernes. Lorsque la tendance est au consumérisme roi, disons au nihilisme post-libéral, la vie n'a pas de sens, la conscience ne précède pas le vivant et n'est que le fruit accidentel de l'évolution d'un univers improbable dû à un phénomène paradoxal relatif au hasard. L'amour lui-même n'est que l'évolution déterminée d'un système neurologique propre à  certains métabolismes, une transcription illusoire d'un phénomène que nous devons entre autres à la reproduction et à l'éducation dans le cadre de l'adaptationnisme. Un éteignoir, un monde désenchanté, mais une parfaite excuse pour un collectif dont le mode de vie repose sur le sacrifice de cette dernière! Pas de sens, pas de libre arbitre, pas de responsabilité en nom propre! De quoi justifier la formule "marche ou crève" (autocraties, dictatutures) autant que les mots doux des eugénistes de tous poils, grands amateurs de démocraties à deux vitesses et de soft-power! Démocraties dont la mécanique ne repose pas moins sur une tyrannie nombriliste: celle de l'individualisme, de l'orgueil, des intérêts particuliers, de la liberté mal acquise, de la fraternité morbide et de l'égalité impossible... En d'autres termes sur le consumérisme.

Une question se pose ici : cette sacrosainte excuse pseudo darwinienne, qui justifie les intérêts de la masse sans âme et les choix de sa gouvernance, que représente-t-elle à l'échelle des nouvelles générations? A l'échelle de cette jeunesse à la tête à la fois vide et trop remplie, née comme un poisson dans un bocal néo ou post-libéral? Confronté au "je pense donc je suis" et à la question du nihilisme (le temps d'une interrogation de bachelier et avant de marcher dans les pas et la dette de nos braves Pères) un ado peut-il encore se dire

"Tout ce bonheur laborieux, toute cette impitoyable mais généreuse nature pour rien? Reste au moins le sens de nos actes pour mériter la qualité du voyage jusqu'à la fin!"

Mise en contexte, la formule semble ridicule! Citons en une plus réaliste:

"Toute cette merde, toutes ces guerres et toutes ces dettes sur notre jeune dos... Tout cela un nom de Dieu ou parce qu'on a voulu donner un sens à l'existence? Autant s'abandonner à une IA et à son monde virtuel pour ne PLUS PENSER."

N'oublions pas que depuis le divorce d'intérêt de l’Église et de l'état, l'idée des alchimistes d'un versant divin "zéro" impénétrable, dont la raison libérée des croyances peut utiliser les signes, nombres et formes pour expliquer notre existence et ses mécanismes, n'a pas fait long feu devant la théophobie du matérialisme "tout puissant". Et puis soyons honnêtes, si l'équation Dieu = 0 a fait couler beaucoup de sang durant deux millénaires, de nos jours, plus personne n'en a quoi que ce soit à "foutre". En d'autres termes, depuis môme, notre adolescent s'est vu répéter "après la mort, il n'y a rien, arrache la vie avec fracas s'il faut, avant qu'elle ne t'arrache la tienne. "Boucle d'Or est une garce maudite par nos ancêtres, au nom d'Apollon mon fils, ne la laisse pas bouffer ta soupe et coucher dans ton lit avant de s'enfuir par la fenêtre..."

Dans un monde cannibale, l'école (la vie...inna de yard) n'est plus qu'un éteignoir (darkness and agony). Pour ma part, je crains que le suicide ait bel avenir parmi les non prédateurs inaptes à la domestication... A la réification consentante qui nous guète en tant que soin palliatif au symptôme de l'Amour, faute d'un remède à notre folie.     

 

 Notes :

*1 - « Vingt heures hors de l’usine à perpétuité »: Le temps d'un dimanche de fiançailles (20 et 4 heures)? Le temps d'une jeunesse (20 ans)? Le temps d'une parenthèse de deux millénaires avant la contre attaque des Empires? Les codes "arithmantiques" se dissimulent autant dans nos textes de référence que dans les dernières œuvres des magiciens de la sémantique... Des codes qui comme à Poudlard (Hogwarts) attendent depuis longtemps d'être déchiffrés par ceux qui les méritent!  Jubilons-nous pour les bonnes affaires et pour le bon roi en Sion ? QU’ EST (S)ION ? Quel est la nature de l'état et de la personnalité morale? Et qui est le roi? Qu'est-ce qu'être élu? A noter : l’album du groupe dont « The silence » est la dernière et 11ème et dernière chanson (renouveau après la première décade), dure 49 minutes et des poussières… 49 minutes intenses où les minutes sont des jours et des "jours d'années" (voir la notion de Jubilé et les chiffres correspondants). Tout cela est fort probablement une coïncidence, mais compte tenu du fait que l’œuvre est alchimique, du moins construite dans les règles de l'art, faisons comme si et entrons dans le domaine de l'arithmancie en tant que rapport sémantique entre chiffres et lettres, ayant permit de construire les bases des langues véhiculaires : Le L de « silence » est une lettre qui porte le chiffre 3 (elle est la 12ème lettre de l’alphabet latin, 12 dont la sommation donne 3). L capitale de Lumière et de Lévitique, L12 comme les 12 fils/signes/tribus. 12 comme le nombre atomique du premier isotope d’Oxygène qui a permis la respiration des créatures sorties des eaux. Précédant le L et première lettre liée au 3, le C symbolise la vitesse de la lumière dans le jargon scientifique et est aussi la capitale première de la notion CHRISTUS (singularité qui porte le langage caché en apportant la lumière). Derrière ce jeux de chiffres et de lettres se cachent depuis l'antiquité la quête du découpage du temps et de l'espace par la cohérence entre le système sexagésimal (12/24/360) et le système décimal. Un enjeux de taille pour tout empire souhaitant rayonner sur le monde depuis le centre 0 de son repère trigonométrique tout puissant! Par un jeu sémantique simple, en remplaçant L par C, SILENCE devient SCIENCE. La science sous ses formes réductionnistes ou spirituelles est-elle manifestée physiquement, visible et audible par tous ? Non, elle est contenue dans le silence, elle se découvre peu à peu et elle se transmet. Cependant l’Homme est libre de falsifier son propre langage, libre de faire ce qu’il veut avec la Lumière ! Pour le meilleur et pour le pire. La science se mérite, elle est à double tranchant, elle attend la conscience du cœur vaillant et intelligent, innocent ou repenti (thème des légendes arthuriennes) ! Elle se partage et comme la musique, elle donne le pire et le meilleur…  La sommation de SILENCE ou SCIENCE donne 4, ce nombre figuré étant celui de la quadrature du cercle. 4 moitié aspirée (inspirée) ou moitié expirée (transformée) d’un H silencieux évoquant la lettre zéro qui n’existe pas de façon "caractérisée". H est la 8ème lettre de l’alphabet latin, une lettre silencieuse et un graphe numérique symbolisant l’infini... Disons les infinis et la substance généreusement mystérieuse du double 0.

*2 - La homestake est une compagnie minière filiale de la société aurifère Barrik Gold. A elles deux ces entreprises exploitent l’un des plus rentables gisements d’or de l’histoire du consumérisme ! La Homestake est à l’origine de la création de la « National bank » des « Black Hills » et de la fortune du milliardaire John Hearst, le père du magnat de la presse William Randolph Hearst. En pleine phase d’extermination des indigènes, la croissance des sociétés minières était parallèle à celle d’une autre entreprise liée au crime, à l’exploitation de la crédulité des expatriés et au sang versé autant par les coupables que par les innocents, bien qu’en des proportions très différentes : les chemins de fer (Hell on wheels). Autre sombre détail : l’extraction de l’or par cyanuration, procédé à l’origine de la fortune consumériste de cette vaste entreprise humaine, est à la fois une indispensable activité motrice de la croissance de notre « Babel » et un facteur morbide pour le vivant et la nature élémentaire qui l’entoure et le constitue. Terre/AIR/EAU/FEU. Comment le feu peut-il être atteint par la pollution ? Par le désordre atomique engendré par la folie humaine, assoiffée de poussière d’étoile (métal). Depuis bien longtemps, avant même la fusion et la fission nucléaires, nous avons violé les lois de l’atome, de son neutron, de son proton et de son électron. Depuis bien longtemps nous avons contrarié la force forte et la force faible. Au prix que Roméo (électron et lune chargée), Juliette (proton et terre féconde) et Mercutio (neutron et enfant encore indéterminé en phase de transformation) connaissent bien ! Les résidus métalliques et les acides utilisés par les entreprises aurifères polluent la terre et les eaux, et lorsqu’on arrive à ioniser par décantation tous ces résidus (ce dont les industriels se préoccupent moins que de leurs bénéfices), la composition de l’air se trouve modifiée et subit un déséquilibre entre anions et cations. Lors de fréquentes erreurs de dosage du cyanure, on parle d’incident et les entreprises doivent impérativement dépolluer pour éviter le pire, OR, cela s’accomplit avec un traitement au chlore, qui est un autre polluant lourd, mais dont les conséquences sont moins perceptibles par le commun des mortels puisqu’elle n’entraîne qu’une désolation progressive de l’environnement (stérilisation/aseptisation) à laquelle nous sommes habitués.  Pour finir, toute cette entreprise multiforme est liée à la pétrochimie… There will be blood ! Les conservateurs et les souverainistes imaginent que le fait de ré-indexer la croissance sur la valeur sûre de l’or est une alternative à la folie de l’instrumentalisation de la valeur virtuelle de l’argent immatériel… Soit ils ont enfin compris ce que le langage du jeu de la vie et de la mort révèle, soit ils se  « Trump"ent" » ! La poussière d’étoile sacrée, nous l’avons maudite pour fabriquer des cuillères, des fourchettes et des couteaux pour toutes les bourses, ainsi que des armes. A la seconde guerre mondiale, les familles juives les plus enrichies en ont payé le prix fort en tant qu’ultimes boucs émissaires de notre folie à tous ! Et qu’avons-nous symboliquement récupéré de leur magot, comme des vautours armés de bonne conscience ? Leurs cuillères, leurs fourchettes et leurs couteaux d’or et d’argent. L’or d’airain (les poêles et les casseroles de métaux moins purs) a quant à lui été réquisitionné pour fabriquer les armes du premier/dernier profanateur et invocateur du Nouvel Ordre Mondial : Adolf Hitler.  

*3 - « Tu reviendras toujours à la maison "mère" dont tu viens » (tu es là d’où tu viens dans le texte en anglais littéralement traduit), évoque le fait qu’un électron libre pensant échapper à l’usine dans l’exotisme du voyage, finira un jour par devoir végéter sans abris ou prendre à quelqu’un d’autre pour subsister, sinon retourner au travail où qu’il soit. Et travailler dans les pays exotiques est dur et beaucoup plus mal payé que dans les pays qui ont fait leur fortune en les exploitant. Un expatrié travaillant pour une quelconque « Homestake compagny » est mieux payé, mais vit comme un bourgeois au milieu de ceux qui crèvent la faim en payant de son âme le prix du PERE SEVERE (un perce Eve errant) "there was something your father had burn in me"... There will be blood in the District of Colombus!  Un prix maudit que l’on connait. Le retour perpétuel à l’usine évoque aussi le fait qu’après un week-end ou des vacances, l’usine nous attend… Jusqu’à la retraite, l’hôpital et les soins palliatifs.

Et dans un sens plus large, nous avons vu precedemment qu'après une quelconque apogée ou parenthèse enchantée, on reviens toujours à la maison mère, sans que rien nous appartienne hormis nos réflexions, nos pensées et ce qu'il reste de nos souvenirs... Reste à savoir si notre contrat est signée au nom du déterminisme naturel ou au nom de la grande prostitué maudite qui alaite les peuples et les intendants élus qui les gouvernent: la Homestake, la grande cité des science, des arts et des industrie au service de l'Homme s'estimant au centre de l'univers.

Je vous laisse ici et ailleurs, avec une autre chanson alchimique, entre ténèbres et Lumière, entre yin et yang, entre black and white (...), brillamment interprétée par Kaleo!

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QUESTION, QU/EST/ION, QUEST/ION ou QU'E S(T)ION...

13 Mai 2020, 17:51pm

Publié par Persone

QUESTION, QU/EST/ION, QUEST/ION ou QU'E S(T)ION...

L'éon  est l'unité d'une subdivision du temps, l'ion est le voyageur dans un courant à double sens. Sion est la terre qui doit rester une promesse. Elle est l'accord d'alliance du vivant et le royaume d'un merveilleux mariage.

Une sommation est une réduction sous toutes ses multiples formes. Une de celles-ci est la synthèse des grandes questions existentielles en peu de mots. Évoquons ensemble quelques sommations…

La première est une suite logique de trois questions :

Si tu n’es pas pour toi qui le sera ?

Si tu n’es que pour toi, qui es-tu ?

Sinon maintenant, quand ?

Hillel le philosophe.

Les premières sommations humaines les plus justes, les plus imparfaitement parfaites venant des enfants et plus particulièrement des nouveau-nés, répondons donc à ces questions avec les signifiés d’un enfant en les développant avec le vocabulaire et la grammaire d’un adulte :

 Je ne mets pas mon Amour et encore moins celui de moi, en otage des autres pour accomplir ma tâche et mon désir, mais dans ce qui m'a toujours semblé être la miséricorde et l'implacabilité du principe de vie (première question). Aussi, je pense ne pas confondre dans un vain conflit mon Amour et mon devoir avec l'amour de moi (seconde question). Je n'ai pas encore résolu la troisième, du moins de façon à réunir sentiments, raison et foi (ou volonté).

Au fil du temps l’enfant grandit… il fait un rêve et Hillel (il/elle ou encore H IL L3 El : la lumière dans les ténèbres, issue du principe prenant son élan de la fondation H) repose sa question ! Alors il s’adresse à lui-même en ce qu’on appelle Dieu et à Dieu, en lui-même. Et il répond de son versant toujours et à jamais innocent, désarmé :

Toi mon Amour, toi mon rien et mon tout, toi mon D4I9E5U3 et mon ombre… Comment ne pas avoir répondu à la troisième question, du moins en partie, lorsqu'on a répondu aux deux premières? Sommes-nous en train de nous confondre (dans le bon sens du terme) mon bon ami, dans un bien sympathique jeu sémantique ? Si oui, je répondrais alors : demain ! ... 2 mains. Deux mains qui ne se fourvoient pas dans une mauvaise interprétation de ce que pourrait être la roue relativement libre de la loi du 49/3! Deux mains qui savent pousser leur chariot vers la voie 9 ¾ … Demain est notre passé, notre présent (cadeau) et notre avenir !

Tout ici n’est qu’Amour, bien que trahi, et tout ce qui n’est pas ici ne fait que l’attendre en se jouant de l’éternité. Une brillante composition dans les ténèbres n’est IL/EIIE pas ? Entre soupir et inspiration H.

DES QUESTIONS donc, entre ténèbres et lumière... A l'ainsi sois-je, l'1si sois-tu, l'ainsi soit-il/eIIe et pluriels.

Personne.

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Déconfinement Day1

11 Mai 2020, 18:52pm

Publié par Persone

Déconfinement Day1
Déconfinement Day1
Déconfinement Day1
Déconfinement Day1
Déconfinement Day1
Déconfinement Day1
Déconfinement Day1
Déconfinement Day1
Déconfinement Day1
Déconfinement Day1
Déconfinement Day1
Déconfinement Day1
Déconfinement Day1

Les voitures font vroum, les motos pétaradent fièrement, le vacarme revient, l’air renifle de nouveau la petite mort chimique… D’ici peu, les eaux ayant retrouvé leur clarté seront de nouveau dégueulasses. Mais qu’elle bonheur d’être des confits nés ! Quelle bonheur de refoutre les mômes à l’école désinfectée et de quitter bobonne pour aller de nouveau exprimer notre virilité sur les collègues et sous la caresse bienveillante du patron. Ou d’aller revivifier ses ovaires en écrasant une plus conne, prouvant ainsi au patron que de toutes les blondes, on est la brune la plus capable ! Les sexe-toys extra conjugaux sont en promo dans les sex-shops, les enfants n’encombrent plus les maisons, les vieux sont morts à l’hospice… Le grand complot mondial de Marc Dorcel était presque parfait…   

Dans un article précédent, j’écrivais :

Déconfinement... On dirait le nom d'une nouvelle recette de chez Marmiton! Des cons finement abusés avant les quelques lieux les séparant encore des abattoirs. Le déconfinement est un plat qui se mange froid.

Pas de vulgarité complotiste ici, juste un petit jeu sémantique, en toute coïncidence bien entendu... Immanence peut-être?

Essayons avec une autre appellation© tristement célèbre :

Utilisons la langue du commonwealth, la langue internationale dit-on, pas celle de Shakespeare ! La langue des serpents rompus au matérialisme, le langage des corps rompus gouvernés et gouvernant le monde par une illégitime couronne (ou autre anneau de pouvoir viral)…

 COVID 19 : en français un COV est un Composé Organique Volatile, mais selon les sources officielles, l'OMS aurait choisi l'acronyme anglais, abréviation de coronavirus disease. Coïncidence, en Anglais encore, nous pouvons obtenir la source sémantique suivante: Certificate Of Vaccination ID (ID pour identity? Selon le principe de translittération alphanumérique de base 1: 1=A et 9=I. Nous obtenons donc "certificat of vaccination identity" et "Artificial intelligence". Il existe une autre combinaison assez amusante si fortuite: le principe de sommation et encore la translittération alphanumérique nous indiquent que 19 est lié à 10 à 1 et à la lettre A. Ici nous obtenons "certificat of vaccination IDA". L'IDA étant le principal fournisseur de "prêts concessionnelles" destinés au développement des pays pauvres ou en difficulté. L'IDA est lié à la banque mondiale et à d'autres organismes "faiseurs de croissance".   Passe pour la fortuité du jeu de lettre "COV" qui nous fait penser aux projets suggérés par nos politiques en matière de traçage à des fins sanitaires et d'identité numérique. Mais la suite est tout de même assez surprenante. Depuis quelques années, pour contrer nos réticences, les cocktails de vaccins sont imposés à la population par l’intermédiaire de leurs enfants, qui ne peuvent plus être inscrits à l’école sans carnet de vaccination à jour. Les vaccins étant non seulement des traceurs repérables grâce au numérique, mais aussi des molécules à inoculer qui ouvrent la voie aux implants microscopiques de toutes sortes. Un pas à franchir... Je tente de me dire qu'il n'y a ici que coïncidence et rien de plus, mais en parcourant l'histoire de l'hermétisme, placé en premier lieu sur l'arithmancie cachée et sur la passerelle entre la sémantique et le réductionnisme, j'ai appris à quel point nos élites les plus initiés maîtrisaient ce langage, tout en s'assurant que ce phénomène plus rationnel qu'on ne l'imagine reste pour le petit peuple un hasardeux et poétique langage d'oiseau. Note: le phénomène est du à l'immanence du langage. 

Essayons encore avec une coïncidence moins fortuite :

The GATE’(S) BILL of HARD/WARE and MICRO/SOFT – Traductions : la facture de la porte du lourd matériel marchand et du tout petit logiciel. Ou encore : la facture de la porte de l’objet dur et de la souplesse de son porte-parole (le micro). Objet dur = matière/densité/trou noir/Orgueil concentrique et logiciel = animation/dissipation/cercle lumineux/Orgueil excentrique.

Essayons maintenant la sommation de la translitération alphanumérique de BILL GATES SOFT HARDWARE (Bill Gates le doux matériel dur, autrement dit, encore la main de fer dans le gant de velours). BILL GATES donne 6, SOFT donne 6 et HARDWARE donne 6. Encore un pur hasard !

Je me dois de rappeler ici que le « mystère » du 666 n’a jamais été autant galvaudé que depuis les nouvelles théories satanistes et les délires des numérologues, « Madame soleil » et autres amateurs de divination pour les foules endormies en mal d’amour, de fortune ou de gloire !  Le symbole est l’un des plus hermétiques qui soit, tout comme l’acronyme grec Ichtus, gravé dans un Alpha en forme de poisson, il demeure une des plus grandes énigmes de notre histoire. Autrement dit, le nombre de la bête, qui s’oppose à « Jesu/i/s sauvé/sauveur », correspond à la marque qu’elle porte dans la vallée mortelle dans laquelle elle pourra marcher sans crainte, parce que de toutes les créatures, elle est bien la pire (A l’origine, il s’agit de la marque portée par Caïn le fratricide, marque dont sa descendance héritera inconsciemment une fois que le meurtrier sera sorti de la vallée pour fonder société prospère).  Rien de sataniste ici. Et c’est la science qui apporte la résolution de cette énigme concernant les chiffres et la causalité du moins en partie ; la sémantique et l’arithmancie (la vraie) faisant le reste en tant que clés manquantes à la théorie du Tout et à la résolution de l’énigme posée par la fonction Zêta. Pour plus de précision sur cette solution inattendue, mais on ne peut plus réelle, je vous renvoie à l’article: http://lettres-a-monsieur-toulmonde.over-blog.com/2020/05/qui-exprime-vraiment-qui-ou-quoi-compte-pour-qui-pourquoi-quand-ou-et-comment.html

Traduisons maintenant 19. IA ou AI en anglais, mais pas seulement ! Pour tous les politicards, financiers, intellectuels « canonisés », artistes iconisés (…) et autres anoblis, autrement dit pour tous ceux qui boivent des cocktails sous leurs cocotiers privés tandis que vous êtes CONFINES entre votre métro, votre boulot et votre dodo maison, 19 est la 19ème année du second millénaire. Tout ce petit gratin étant parfaitement initié à l’art et à la falsification du langage, attendait cette année 2019 pour que leur chiffre de prédilection mystérieuse (le 3), apparaisse de nouveau. 2001 (3) était aussi un rendez-vous pour eux, mais 2010 (3) a été manqué pour cause de maladresse et d’empressement dans l’effroyable imposture. Pour eux 2019 est également le 230ème anniversaire de la révolution de leur ère d’avènement (1789 qui donne 7). 230 donnant 5. Ici apparait la suite 3-5-7 qui évoque la suite des nombres premiers sans celui qui représente la dualité : le 2. 2, premier chiffre et nombre premier. Non par imposture ! Or pour ces initiés, la fonction Zêta, dont ils imaginent qu’elle leur révèlera le mystère des écarts entre ces nombres, est un véritable Graal et une mine d’OR! Tous ces gens qui s’imaginent souverains sur ce monde ont encore un problème pour que leur Nouvel Ordre Mondial dans la pacification des peuples et le lissage de l’économie reine, soit enfin effectif : les désaccords entre les nations et les altérités réciproques persistantes malgré leurs efforts d’unification perverse par le profit, le matériel et la croissance ! Je pourrais citer les paroles du tristement célèbre Zbignew Brzezinski, entre autres… Leur machiavélique erreur est ici : on n’unit pas les peuples par le profit, l’illusion du bien-être, l’hypocrisie et la pacification des altérités réciproques par l’intérêt commun ! N’en déplaise à Voltaire. Le tout en lissant les niveaux spirituels et intellectuels par le bas ! Le tout en consolidant l’hermétisme plurimillénaire que les élites ont jadis construit autour de la question du langage. Les pouvoirs du chef, du gourou et du voleur dépendent les uns des autres, eux-mêmes dépendent de cette masse susceptible qu’est le peuple, mais ces derniers imaginent encore dépendre de ce triumvirat, ils sont en allégeance et se foutent totalement des secrets du langage. Par extension, ils n’ont pas conscience d’un langage falsifié avec lequel on les asservit. Les vaches et autres animaux domestiques sont bien gardés, ils se gardent même entre eux ! Mais le dilemme de la pacification requise pour le Nouvel Ordre Mondial demeure… Pire, La Russie et tous les nationalismes de nos anciennes colonies, si hypocrites soient-ils, ne sont pas d’accord avec l’avènement d’un N.O.M dont Bruxelles, Israël et Washington (DC) auraient la gouverne et l’apanage.

Des virus partiellement tueurs et des traqueurs invisibles représentent en toute logique une arme « absolue » et un avantage dans cette course à la mondialisation, pour le premier qui osera franchir ce pas.

Croyons-nous que de pareilles élites hésiteraient à sacrifier des vies pour arriver à leurs fins ? Avons-nous oublié TOUTE notre Histoire ?

Lorsqu’un « puissant » millénariste initié s’exprimant en Anglais vous dit « in the yard » ou « in the yards » ou « in the year » ou encore « in the years », il évoque en filigrane le fait que sa prophétie est en train de s’accomplir. Yard ou yards renvoient à « cours et jardin » (chantier pour le signifié global, le bordel quoi ! Le CHAOS qu’ils veulent ORDOnner). Or, Cour et Jardin cachent JC (Jésus Christ) et sa double nature et dualité (haut-bas/gauche-droite). Un symbole que les tenants des hiérarchies verticales et des hiérarchies horizontales se sont appropriés ! On utilise le même symbole dans le milieu des nouveaux jeux de la nouvelle Pax Romana : dans le spectacle, on dit à cour pour définir la droite de la scène (Christ à droite du J pour Je) et à jardin pour définir la gauche de la scène. Bien entendu, les nouveaux acteurs et gladiateurs de cette scène ne sont pas tous au courant de cette subtilité deux fois millénaire, toujours plus néanmoins, que les malheureux ouvriers qui s’abiment à monter et démonter ces décors illusoires au quotidien, pour un maigre salaire. Nombre d’artistes inspirés et plus ou moins initiés utilisent innocemment ces codes pour lancer des appels au secours ou pour invoquer l’Amour du Dieu sauveur ou la voie d’un éventuel libérateur. Chacun d’entre eux a bien compris dans quelle prison dorée ils sont grassement nourris et pris en otage entre l’autorité et ce que le public, enfermé avec eux dans les basses cellules, attend de leur performance. Show (business) must go on dit-on ! Un innommable cauchemar Shakespearien en réalité. Le cauchemar de ce malheureux Jésus aussi, qui n’en finit plus de se retourner dans son tombeau rouvert depuis peu par l’Orgueil et l’amour propre profanateurs. In the year(s) ou in the yard(s) sont donc un symbole 2 en 1 invoquant les pouvoirs de l’espace et du temps. Etymologiquement dans les langues dérivées de l’indo-européen et du latin, cela vient de Yared, grand-père de Mathusalem et an/c/être de Noé. Un espace oublié et un temps où les patriarches vivaient de longues années qui étaient des siècles. Eon ! Ou L’éon après Noé, lorsque l’être aquatique découvre la Lumière (Lux) en sortant des eaux. L comme C porte le chiffre 3. L’éon (anagramme de Noé) est l’intervalle de temps chronostratigraphique correspondant à la plus grande subdivision géochronologique de l’échelle des temps géologiques. Le 1er éon des 4 est l’éonothème hadéen (de Hadès), il va jusqu’à la formation du milieu aquatique et les constitutions isotopiques de l’Oxygène 18 (8 protons et 10 neutrons). Le Yard est une mesure de longueur, il indique donc une limite, un segment « fini ». Lorsqu’il signifie « cour », cela indique une opposition au mot « cours », qui indique quant à lui le cours du temps ou le cours de la rivière. Autant dire une singularité infinie tant qu’il  y aura des univers, une singularité correspondant au changement d’état : gazeux, solide, liquide et plasmique. Par extension de cour, qui indique une construction déterminée (pour le théâtre) ou une unité convenue (pour les mesures), nous avons en français le terme courT. Un morceau de corde qui se réduit… J’ose une expression que les colons utilisaient souvent en évoquant les esclaves : confinez-les, encerclez-les, fouettez-les, enchainez-les… et s’il s’en/fuient, pendez-les haut et court. DC© District of Colombus… et Distinguée Concurrence des Détectives Comics en goguette.     

Les millénaristes au pouvoir (je ne parle pas des gouvernés !!!), ont pensé s’unir et unir les peuples autour de la croissance, du matérialisme et de l’hypocrisie de l’échange des denrées, ils se sont « Trumpés » ! Et force est de constater que dans leur dernier effort pour la guerre de l’anneau unique, vous allez perdre tous vos droits pour être définitivement ROMPUS à vos devoirs envers eux, envers l’Orgueil malade qui vous anime. Tous polis, tous pacifiés et errant sous la loi du père sévère (perce/Eve/erre), en toute hypocrisie. Une ambi/ance collective que vous connaissez bien. Ambi/ance : une AMBIvalente, temporaire alliANCE, illusoire et de mauvais augure. 

Portez vos masques braves gens ! Et vaccinez-vous… les uns pour les autres, les uns contre les autres.

Une réflexion :

La JEUNE Humanité se réconforte beaucoup de ses acquis, de ses certitudes individuelles, de ses paradigmes communs, de ses schémas stéréotypés réconfortants... Elle souffre aussi beaucoup d'acédie, de gourmandise pour ne pas dire d'insatiabilité, d'avarice (concernant même le partage d'information et de connaissance), de luxure, etc. Dans ce contexte chacun exerce en effet une logorrhée "pour soi", logorrhée que l'on constate néanmoins très stéréotypée, j’insiste ! Dans ces groupes multiples de convaincus, groupes en conflit ne partageant que la démagogie de la bonne conscience, nous avons les opportunistes bons à tout, les religieux, les amateurs de New Age et autres syncrétismes, les amateurs de chamanisme, les pros du mantra, mais aussi les matérialistes, les rationalistes, les progressistes, les conservateurs, les collectivistes, les libéraux, etc... Les conflits de langage éclatent aussi au sein de chaque stéréotype! Dans ce marasme entropique où règne le confusionnisme et où sévit l’instrumentalisation des altérités réciproques, l’homme a besoin de retrouver les clés de son langage ! Les clés de la nécessité, du pardon, de la COM/PREHENSION, de la réconciliation des Hommes, mais aussi de la réunion de joie et tristesse (...) ne peuvent être trouvées que par la déconstruction du langage et la réparation qui s'en suivra, de nos consciences manifestes, manifestées et manifestement désunies. Or cette déconstruction passe nécessairement par une expression aussi complexe que la complexité que nous avons tous incarnée en fuyant de l'avant! Cette clé 0 appartiendra à tout le monde lorsqu'elle sera comprise et elle réunira les penchants spirituels avec ceux plus rationnels... Elle résout également ce que l'on croyait être un conflit entre bruit et silence.

« En décrivant alors que je croyais être je ne suis plus… » Ce « Je » est le silence. Inversons : « En éteignant la lumière, en condamnant la porte des sens (en n'exprimant pas), alors que je croyais être, je ne suis plus… »  Ce « Je » est le bruit.

La déconstruction du langage est une clé qui semble peser trop lourd pour des esprits et des corps rompus au travail mécanisé et aux habitudes de la consommation, un effort cérébral trop emmerdant pour chacun, tous se réfugiant dans la raison du quotidien ou dans toutes les formes de spiritualités positives ayant le vent en poupe… Certains imaginent même que l’hermétisme est le propre du langage lui-même, peut-être pour protéger un certain Graal et pour se révéler en son TEMPS ! Ils se « trumpent » aussi, plus innocemment que les « premiers ». Le principe d’immanence veut que celui de la création (manifestation et animation sous les ténèbres et la lumière) ne soit que logique, intelligence et conscience désarmée. Autant dire, Dieu tout puissant est un paradoxe entretenu pervers. Et autant dire que sans le mérite et l’accord entre raison, sentiments et volonté (ou foi), la révélation ne sera pas et l’apocalypse ne sera caractérisée que par la destruction que l’on connait. Tout n’est pas écrit, tout n’est pas défini et la causalité elle-même et donc notre avenir, dépendent de notre libre arbitre, libéré du sortilège d’Hermétisme. Dans l’univers, il y a des constantes et des variables. C’est ainsi (1 si…) ! Cert1 sont troublés par le bruit et les autres par le silence, mais à ce jeu les uns deviennent vite les autres et les autres les uns ! Ni le bruit, ni le silence ne sont AB/SOLU. Ils sont complémentaires et COMMUNICANTS, tout comme les ténèbres et la lumière. La plénitude est l’harmonie de ce qui se remplit (plein) et de ce qui se vide (itude : l’île paisible d’Ithaque qui a perdu sa quiétude depuis l’issue de la guerre de Troie 3). La lettre L (12 ou 3) symbolise la lumière et le bruit de ce qui est manifesté pour qu’elle émane. La lettre C est aussi le symbole de la lumière… Par un jeu sémantique de lettres, SILENCE devient SCIENCE. La science est-elle visible ou audible ? Oui et non ! Question de langage.

Les plantes et les animaux savent ce qu’ils ont à faire ! Ils sont relativement libres dans un univers relativement déterminé. L'Homme et ses merveilleuses facultés, nourrit quant à lui un complexe de Libre Arbitre. L.A. Lumière et singularités PARTICULières des origines.

Ce n’est pas parce que Marie et ses hôtes font tout qu’il ne faut rien faire.  

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Discours de Vincent Lindon sur médiapart

6 Mai 2020, 15:20pm

Publié par Persone

Chapeau l'artiste! Et merci à médiapart pour ce partage en ligne!

Ceux qui partagent ce discours, seront certainement motivés par les découvertes récentes faites en matière de déconstruction du langage et d'unification des connaissances (la théorie du tout certes, mais aussi l'étude des rapports manifestes entre la sémantique, l'arithmétique, la géométrie et l'analytique). Ceux d'entre nous qui maitrisent cet "art" vont dans le même sens que cette pertinente participation tout en répondant à un certain nombre de lacunes dans ce discours que l'auteur qualifie lui-même d'insuffisant. Ayant pour ma part participé à cette découverte majeure, je suis bien placé pour affirmer cela.

Lorsque la machine va dans le décor après une course folle, plus généralement consentie qu'on ne veut bien se l'avouer, le passage au stand n'est plus que secondaire! Juste, mais secondaire. Ce qu'il faut réparer, c'est le pilote et par extension immédiate, la foule qui consent à cette course. Aujourd'hui, force est de constater que même les plus démunis ne consentent pas au partage, ne serait-ce qu'au partage d'informations cruciales. Concernant l'information, on pourra dire que les masses n'ont plus les moyens de faire le tri dans toutes les infos (début du discours de Vincent Lindon), mais il n'en est rien! Je n'ai que trop testé les réactions de ceux qui ont encore assez de cervelle pour comprendre ce qui est juste, généreux et intelligent, ceux qui ont les moyens donc! Or quelle est leur réaction? Tout, sauf l'investissement et le partage! Pourquoi? La peur, la honte de n'avoir pas réalisé plus tôt ce qui était pourtant évident et sous nos yeux, l'orgueil donc! Mais aussi l'acédie, la mémoire sélective, les intérêts, la volonté de trouver des boucs émissaires et autres chiens de paille...L'autosuffisance aussi, la crainte de mettre en danger le peu ou le beaucoup que chacun a su mettre de côté tandis que chaque jour, depuis des siècles et des siècles, l'innocence et la nature sous toutes ses formes se font violer sous nos yeux, etc, etc... Derrière une découverte majeure concernant autant la science que l'art de la sémantique et du langage, une sommation révélatrice nous attend. Bien que très peu parmi les spécialistes osent la divulguer, certains commencent à le faire quitte à tout risquer! Mais chacun se conforte en regardant ailleurs!

Merci à la solidarité d'être là, au rendez-vous, mais allons plus loin!

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Qui exprime vraiment? Qui ou quoi compte pour qui? Pourquoi? Quand? Où? Et comment?

5 Mai 2020, 15:54pm

Publié par Persone

Qui exprime vraiment? Qui ou quoi compte pour qui? Pourquoi? Quand? Où? Et comment?
Qui exprime vraiment? Qui ou quoi compte pour qui? Pourquoi? Quand? Où? Et comment?
Qui exprime vraiment? Qui ou quoi compte pour qui? Pourquoi? Quand? Où? Et comment?
Qui exprime vraiment? Qui ou quoi compte pour qui? Pourquoi? Quand? Où? Et comment?

Dans un article précédant, dont le lien figure en bas de page, j'introduisais mes  propos par la question sémantique suivante:

The GATE’(S) BILL of HARD/WARE and MICRO/SOFT - Traductions: la facture de la porte du lourd matériel marchand et du tout petit logiciel. Ou encore : la facture de la porte de l’objet dur et de la souplesse de son porte-parole (le micro).

Ceux qui débarquent ici se demanderont probablement si l’introduction de ce texte (concernant le nom de Bill Gates et l’équation sémantique qu’elle forme avec les fonctions du personnage) est un surprenant hasard venant égayer une triste démonstration et une expression sans concession au regard de la partialité de nos consciences endormies. Il n’en est rien !

Au-delà de ce que l’école nous enseigne à tous dans une optique de croissance matérielle aveugle, le langage sous toutes ses formes est un principe immanent qui révèle ses secrets à qui sait encore poser correctement une question, à qui sait encore réunir les voies de la sémantique, des sciences, de la logistique et des arts. Autrement dit, au-dessus et en deçà du plancher des vaches, les initiés qui nous manipulent dans l’ombre et influencent ceux qui nous gouvernent, jouent de cette connaissance hermétiquement verrouillée depuis deux millénaires, mais comme des adolescents borgnes jouent avec le feu lorsque leur expérience de manipulations des enfants aveugles dérape. Un criminel finit toujours par semer des traces en faveur de la vérité ou par retourner sur les lieux de son premier crime pour y ressentir le souffle de vie qu’il a perdu depuis ! Cela se nomme le démon de la perversité, démon pour le criminel, mais  ange de la vérité.

Qu’est-ce  à dire ? L’illustre famille Gates tiendrait-elle son patronyme d’un ancien jeu sémantique fondé sur la connaissance du langage et du pouvoir qu’elle procure sur les « moldus »? William Henry Gates III aurait-il lui-même choisi son prénom de substitution pour satisfaire un héritage qui se perd dans les méandres des millénarismes ? Il suffit de demander à un statisticien si de telles coïncidences sémantiques peuvent être le fruit du hasard ou d’une logique subtile, pour avoir votre réponse. À elle toute seule, l’histoire des Gates résume le côté obscur de l’humanisme matérialiste et ses conséquences sur le monde ! Une histoire qui en dit long sur les schismes religieux, sur la face cachée des Lumières, sur le choc des civilisations, sur les jeux de pouvoir et sur l’influence des Etats-Unis sur la politique mondiale. Depuis l’Antiquité, les personnages célèbres ont des noms dévoilant le même jeu sémantique ! Un exemple : un des mathématiciens réputés pour avoir ouvert la voie à toutes les sciences modernes s’appelait Leonhard Euler. Depuis le Moyen-Age, le prénom Leonhard ainsi orthographié correspondait à la notion d’éon et de dur (hard). En déplaçant les lettres pour former un anagramme, nous obtenons l’expression suivante : Hadron réel El, soit : Hadron réel Dieu. À l’époque El était utilisé pour signifier Dieu en raison des correspondances sémantiques cachées (hermétiques) unissant toutes les langues pratiquées dans la sphère judéo-chrétienne et au-delà. En intercalant le symbole mathématique U (union) nous obtenons Leonhard Union Euler, ceci correspondant à l’anagramme Hadron réelle union. Or, le Hadron, bien que soupçonné depuis  l’antiquité, n’a été identifié et nommé ainsi que deux cent ans après l’existence physique de ce charmant monsieur, fils d'un Pasteur qui attendait une belle promotion à la naissance de sa progéniture. Le patronyme Euler est quant à lui relatif à la notion El Eru, issue d'un codage sémantique de la mythologie indo-européenne. Pour les grecs, Eon est une divinité liée au temps, pour les gnostiques, c’est une puissance éternelle émanant de l’être suprême et par laquelle s’exerce sa puissance sur le monde, etc… Pour la science, l’éon est l’intervalle de temps géochronologique correspondant à la plus grande subdivision chronostratigraphique de l’échelle des temps géologiques. L’éon dur (Leonhard, noyau de particule complexe) U Le versant caché du divin ! La particule de Dieu. Thème que l’on retrouve dans certains jeux de piste laissés par Albert Einstein. Une énigme qui a fait courir les services secrets des alliés et de leurs opposants, dans le contexte de la seconde guerre mondiale et de son bilan. Je vous évite de longues démonstrations concernant la  plupart des grands hommes retenus par l’Histoire, toutes mènent au même point : la falsification des données, le langage et son instrumentalisation à des fins diverses.

Qu'est-ce à dire, le langage lui-même nous tromperait-il? Certes non! L'immanence du langage fait que peu à peu nous le découvrons, alors qu'à l'origine de l'humanité interactive, les sons, les mots et les expressions simples utilisés pour communiquer étaient les mêmes d'un bout à l'autre de la terre. Pas une langue adamique comme l'ont dit certains, cela serait un paradoxe au regard de la logique, un paradoxe qui arrangerait bien les institutions religieuses! Mais plutôt un point commun issu de notre métabolisme physiologique, comme le prouve le langage gestuel et les sons émis par les nouveaux nés. Ce langage se diversifiant en fonction du facteur d'influence culturel. Cependant, quelles que soient les langues véhiculaires étudiées, les linguistes et les sémanticiens ont fini par découvrir que des correspondances sémantiques, arithmétiques et géométriques les unissaient toutes, au delà des translitérations utilisées pour constituer le socle commun et les divergences logiques des langues mortes. Nous pouvons alors nous demander si l'étonnante signification du nom Bill Gates mis en équation avec les fonctions du personnage pourrait en sus nous révéler quelques subtilités concernant les chiffres et leur valeur sémantique. De quoi motiver notre statisticien à nous répondre : aucun hasard ici! Vérifions : Bill Gates est donc le roi du matériel dur et du soft, pour aller plus loin dans ce qu'il représente globalement et politiquement, nous pourrions dire qu'il est le prince du doux matériel dur (la main de fer dans le gant de velours, mais aussi la douceur illusoire et virtuelle des logiciels dont nous dépendons tous en acceptant d'être dépendant du matériel, de la machine et de la bureaucratie qu'elle incarne (IA 3.0)... Or BILL GATES SOFT HARDWARE d'après la loi de la sommation redécouverte par Leonhard Euler (redécouverte aussi par Pythagore bien avant lui), donne ceci : B(2)I(9)L(12 et donc 3)L(3) G(7)A(1)T(20 et donc 2)E(5)S(19 et donc 1) = 24 et donc 6 / S(1)O(6)F(6)T(2) = 15 et donc 6 / H(8)A(1)R(9)D(4)W(23 et donc 5)A(1)R(9)E(5) = 24 et donc 6. Mince alors, encore un 666! Histoire de ne pas alimenter les moulins des amateurs de numérologie galvaudée et de complots satanistes bidons, je rappelle que le chiffre 6 est le symbole réduit de l'angle à 60° qui caractérise le triangle parfait dit équilatéral. Cette valeur d'angle est aussi la base de la calligraphie des chiffres 4 et 7  pour des raisons de compréhension des relations entre la mesure du temps et des espaces. Les 666 talons d'or du roi Salomon ne symbolisent pas le satanisme, mais la dualité concernant ce que l'on peut faire de bien ou de mal avec la matière, le matériel et la fortune. Fortune étant lui-même un terme à double sens! Pas de superstition ici, juste de la logique, de la sémantique et une analyse approfondie des liens de causalité unissant la conscience et la matière. Soit dit en passant, O n'a pas pris le 15ème rang de notre alphabet latin par hasard, après l'intervention d'un certain Pierre de La Ramée! À cette époque, la grande énigme du pendule de Foucault concernant la mesure du temps et la relation espace-temps était au cœur de toutes les convoitises et des jeux de pouvoir entre les nations. La base angulaire 360° (trois fois la valeur de l'angle du triangle équilatéral) concerne avant tout la mesure des espaces, mais aussi celle du temps par l'intermédiaire du calcul de coordonnées, nécessaires à mesurer les vitesses angulaires ou la position d'objets mouvants par rapport à un point de repère fixe.  Or en divisant 360° par 15 (6 encore), on obtient 24. L'unité horaire journalière que nous connaissons tous.

Autrement dit, les liens subtils unissant tous nos langages et caractérisant leur intime relation avec le signifié manifeste de la vie, avec le symbolisme, avec les sciences, avec la politique temporelle et avec les arts, constituent une chasse gardée que les élites se réservent jalousement. Pour nous manipuler? Question mal posée, bien que la réponse soit positive! Comprenons bien que le pouvoir dont ils ont hérité est mal acquis, que leur savoir n'est pas la réunion des connaissances et que le langage et ses révélations les plus hautes ne sont pas mérités par leur cœur corrompu. Mais surtout, comprenons ensemble qu'après avoir une nouvelle fois désigné des boucs émissaires et décapité les têtes pensantes, la révolution permanente nous éloignera d'autant plus de ce secret innocent concernant la nature de notre existence, le Graal que nous cherchons tous en nous en détournant. Lorsque l'empirisme pousse les hommes à vénérer un progrès comme un dieu qui leur permet d'enfouir leurs péchés les plus intimes, les rois et les empereurs perdent un œil et les peuples sombrent dans l'obscurité la plus totale. Dans cet accord contrarié global, dans ce royaume tacitement consenti entre borgnes (rois et voleurs) et aveugles (la masse ouvrière), tout gouvernement gouverne comme les gouvernés gouverneraient s'ils étaient à leur place à l'exercice du pouvoir.  

Les lecteurs aux cœurs les plus intelligents et ouverts se demanderont ici ce que le langage peut bien révéler lorsqu'il est mis en équation avec toutes nos connaissances! Mais force est de constater que cet article est déjà suffisamment long et fourni pour des organes réfléchissants habitués à des saillies ordinaires et vulgaires depuis plusieurs générations. L'humour utilisé ici n'est pas moqueur! Il est à la mesure de la comédie dramatique à laquelle nous avons tous consenti, FORCE de VIOL COLLECTIF à RE/PETI/TION. Ce que le langage révèle ne mérite d'être dit qu'en prenant le temps nécessaire pour le dire afin d'être conscientisé par tous. Or force est de constater que depuis 5 ans, je propose GRATUITEMENT les clés indispensables à comprendre ces révélations à un public aussi large qu'hermétiquement fermé. Devant mon désarroi, les plus compatissants, comme les plus critiques, me proposent de généraliser ou au contraire d'entrer plus profondément dans les détails, de romancer pour séduire ou au contraire de vulgariser plus pour m'adresser aux esprits pragmatiques, de faire plus court ou de faire plus long, etc, etc... Un psychanalyste m'a dit il y a peu que je devrais faire payer mes écrits parce que les gens font plus d'effort lorsqu'il en va de leur bourse! Apparemment Freud, cet hypocrite, n'a pas dit son dernier mot...  Nous retrouvons ici la fable du meunier, de l'enfant et de l'âne. Les révélations contenues dans le langage lui-même sont libres de droit, contrairement aux erreurs et délits intellectuels qui font la richesse de leurs auteurs, de leurs familles ou des maisons qui en ont récupéré l'usufruit et la rente! Elles s'adressent autant aux peuples qu'à ceux qui les gouvernent, sachant que pour en comprendre vraiment la portée, les premiers devront se libérer de leur acédie maladive et les seconds de leur péché d'orgueil. À bien réfléchir, chacun d'entre eux devrait au final se libérer, le temps d'une lecture, de tous les péchés capitaux qui les gouvernent. On ne peut pas dire que l’on respecte la logique ou la raison du vivant et de l’humain, tout en perpétuant empiriquement une expérience faussée et manifestement morbide ! Tout comme on ne peut se réfugier derrière la prière ou l’invocation des anges et autres énergies cosmiques, alors que l’on participe indolemment à une mécanique globale dont l’ignominie foudroierait le cœur endurci de Zeus en personne ! Il n’y a rien de pire que de se réfugier dans les principes, les prières, les mantras, la splendeur du Zohar, ou je ne sais quoi d'autre, en invoquant la bonne conscience et en prenant ainsi en otage l’Amour d’une innocence que l’on regarde subir le viol au quotidien, sans jamais se mettre en danger pour stopper l’innommable. J’ai essayé se disent certains, mais le danger est immense et le mal  global invincible ! Voilà bien ce que ce mal a envie d’entendre. Lorsqu’il n’en restera plus un pour sacrifier ce qu’il a de plus cher s’il faut, tous connaîtrons enfin la grande victoire de la souffrance et de l’esclavagisme tacite.      

Pour répondre néanmoins aux cœurs vaillants les plus sages parmi mes lecteurs, je les renvoie à tous mes textes concernant l'art du langage et de l'arithmancie cachée et je leur rappelle que cet art est la clé qui brisera l'hermétisme plurimillénaire, le sortilège qui annulera tous les sortilèges, et l'accord nécessaire à effacer les altérités réciproques millénaristes qui sont le moteur de la guerre économique et du consumérisme qui augmentent exponentiellement les effectifs de nos tombes amères. Et des fossoyeurs qui en font leur maudit gagne-pain, et autre coupe ostentatoire percée à mauvais vin.

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THE GATES OF THE HARDWARE AND MICROSOFT

2 Mai 2020, 15:38pm

Publié par Persone

THE GATES OF THE HARDWARE AND MICROSOFT
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The GATE’(S) BILL of HARD/WARE and MICRO/SOFT - Traductions: la facture de la porte du lourd matériel marchand et du tout petit logiciel. Ou encore : la facture de la porte de l’objet dur et de la souplesse de son porte-parole (le micro).

Une question intrigue beaucoup les braves gens en ces temps de « microbie© » :

Pourquoi les plus grands actionnaires des lobbies pharmaceutiques faisant campagne pour la vaccination obligatoire, ne vaccinent pas leurs enfants ?

La question alimente le moulin du « complotisme », mais agite aussi la marre de tous leurs opposants en mal, non pas de vérité, mais de reconnaissance, voire de notoriété.

Leur réponse est la suivante : parce que les vaccins sont une histoire d’argent, parce qu’ils perturbent notre système immunitaire et ouvre la voie de la dépendance, parce qu’ils nous exposent à de nombreux effets secondaires et favorisent la dégénérescence de notre physiologie. Jusqu’ici, rien à redire, l’accusation est juste et légitime. Mais l’opposition va plus loin en imprégnant dans le mental du collectif qui les suit, la tendance dérivée suivante : ne vous laissez pas arnaquer par l’effroyable imposture de ces gens qui se croient au-dessus de vous, leur pouvoir n’est qu’une illusion, vous êtes souverains et la nature fait très bien les choses, ne vous vaccinez pas et ne respectez pas ce confinement qui vous paralyse inutilement.

Bien malheureusement, la réalité est plus complexe et justement parce que nos oppositions et altérités réciproques l’ont complexifiée, ne serait-ce que par défaut de maîtrise du langage.

Certes les vaccins sont à la fois des remèdes peu efficaces, vecteurs de morbidité, et des traceurs permettant à la science de pouvoir faire apparaître tous les vaccinés sur une simple carte électronique. La technologie permet même d’agir à distance sur les molécules ou les implants que l’on nous pousse à accepter ! « Votre enfant n’est pas vacciné madame ? Vous êtes inconsciente ! Et sachez qu’il ne peut plus entrer à l’école sans son carnet de vaccination à jour, nouveaux vaccins y compris ! » Autrement dit, ne vous méprenez pas sur ma position, nous atteignons en ce moment même le sommet de l’horreur, la quintessence du piège de l’humanité ! Mais imaginer que la simplicité et la bonne conscience résoudra un problème vertigineux sans entrer dans les complexités de cette tour en réflexion permanente COLLECTIVEMENT bâtie est non seulement prétentieux, mais absurde !  

Pour reprendre la question de la non vaccination des enfants des actionnaires de la vaccination : si nous la posions aux Hommes de pouvoir (qui admettons-le, avec leurs nombreux ministres, mystiques et capitaines, instrumentalisent les connaissances bien mieux que leurs opposants tous divisés et stéréotypés), ils répondraient assurément ceci :

 Mes enfants vivent séparés des autres, qui vivent tous à proximité dans des cages à lapins. Et si nous étions contraints par l’effraction d’un agent infectieux dans notre vaste domaine, ou motivés par la volonté de travailler notre système immunitaire, nous disposons des meilleurs soins et des meilleurs médecins connus à ce jour. La vaccination et ses dommages collatéraux ne sont donc d’aucune utilité chez nous et la pratiquer relève tout simplement du paradoxe. En revanche, les masses vivant dans de déplorables conditions de proximité et d’agitation mécanique, toute propagation microbienne incontrôlée et donc pandémique risque de les sacrifier en masse, bien avant que le système immunitaire humain n’ait eu le temps de faire son travail. Autrement dit, une mauvaise passe pour les plus forts, une tombe pour les plus faibles. En somme, si nous devions nous sentir coupables, c’est d’avoir perpétué ces conditions de vie ! Mais qui l’a fait ? Qui a commencé ? De quand date la source de ce mode de vie auquel tous ont consenti par accord tacite ? Rappelons que depuis un siècle environ, les braves gens ont voté pour la gauche, la droite, le centre, les oppositions professionnelles ou encore la monarchie, qui tous participent à la l’empirisme d’un mode de vie consenti par tous depuis les âges anciens. Que celui qui n’a jamais péché jette la première pierre ! Que celui qui de raison n’a jamais trahi la nature et son langage, tire le premier Octet !

Cela vous choque? Il en va pourtant de même pour la malbouffe et les sodas issus de la pétrochimie, boissons qui compensent la souffrance des masses, au même titre que le mauvais pinard compensait l'absence d'eau des légionnaires d'un Alexandre en campagne. Il en va de même pour le tabac ou toute autre substance qui ont fait la MAUVAISE (MAUX V AISE) fortune des élites qui en dispensent leurs propres enfants.  

Ce que les chantres de la désobéissance oublient encore, complotistes ou non, c’est le nombre de faibles et d’innocents qui meurent aujourd’hui parce que notre système de santé n’était pas prêt pour une telle pandémie et que le commun des individualistes ne pense qu’à la relance, qu’à la nouvelle donne, qu’à retourner à leurs habitudes, qu’à faire vroum-vroum avec la voiture (…), sans se soucier des familles endeuillées. Sans se soucier d’éventuelles mutations plus funestes de ce Super virus dont la malignité semble plus l’œuvre de l’Homme que celle de la nature. Oui notre système immunitaire fait son travail et doit être mis à l’épreuve, mais pas au détriment des plus faibles ! On ne peut pas à la fois critiquer le darwinisme sélectif affiché par nos élites et nous comporter comme eux entre nous!!! Ces joyeux harangueurs de foule en délire, oublient aussi que les Hommes de pouvoir, dont ils disent que leur infériorité numéraire n’en fait que de petits bonshommes sans réel puissance, sont tout de même capables, si nécessaire, de nous sacrifier en masse ! Par des moyens colossaux, TITANESQUES, que nos mains bonnes à tout ont mis à leur disposition. Alors, pourquoi "caillasser" ainsi les grands responsables, sans savoir qui ils sont, ce que nous SOMMES et ce qu’est une Pi r ? Celui qui achèvera la bête, deviendra la nouvelle bête! Il en est ainsi dans le cycle morbide de la souffrance, motivé par notre accord tacite.

Je reprends ici le discours des nombreux opposants qui ont le vent en poupe :

« Ne vous laissez pas arnaquer par l’effroyable imposture de ces gens qui se croient au-dessus de vous, leur pouvoir n’est qu’une illusion, vous êtes souverain et la nature fait très  bien les choses, ne vous vaccinez pas et ne respectez pas ce confinement qui vous paralyse inutilement… »

Je pose ici une autre question, une double question, double de par sa propre nature : qui est souverain aujourd’hui ? Et qu’est-ce qu’un être souverain ?

 

Quelques réponses aux énigmes dans le noir:

Force est de constater que nos interactions sont depuis bien longtemps devenues de l’interdépendance morbide ! Et ceux qui ont la chance ou suffisamment d’argent pour s’être  isolés des masses dans un petit havre de verdure « permacultivée », comment ont-ils obtenu cet argent ou de quoi ont-ils hérités ? Prenons le cas de ceux qui sont partis de rien : bravo, vous êtes forts et maîtres en votre demeure justement acquise ! Mais que faites-vous des milliards d’autres ? Votre bonne conscience et votre exemple isolé sont-ils souverains ? Ont-ils un quelconque pouvoir sur le langage falsifié qui emporte le reste du monde à sa perte ? Ou êtes-vous un petit souverain solitaire sur son île privée dont l’orgueil est parfois chatouillé par quelques médias en quête de nouvelles catharsis pour oxygéner les masses de la fourmilière par écran interposé ? Un souverain ne tourne jamais le dos aux autres. Sa raison d’être le pousse à briser l’accord tacite et l’hermétisme qui caractérisent l’orgueil des nations, à conjurer l’innommable objet qui lie les peuples, les gouverne tous et les mène vers les abattoirs de l’empire artificiel. Sa raison d’être lui interdit donc de garder pour lui le bénéfice d’une vérité en regardant sombrer les innombrables qui n’auront pas su ou pu se faire une petite place dans son arche. Les menteurs, les manipulateurs, les opportunistes, les moqueurs, mais aussi les simples d’esprit, les faibles et tous les innocents attachés malgré eux à la masse infâme. Un roi accepte de tout perdre s’il le faut, y compris la vie, pour rendre à tous et devant tous la vérité que chacun mérite. Un roi accepte de tout perdre pour sauver, jusqu’au dernier instant, ce qui peut l’être. Au-delà de ce délai indéterminable, qui n’appartient pas au roi lui-même, si les Hommes choisissent le néant et la petite mort, l’Arche apparaît de lui-même et le souverain y a sa place, mort ou vif. L’Arche n’est pas un navire, si simple ou ostentatoire puissions-nous l’imaginer, une entreprise qui serait un autre Titanic pour les générations à venir. L’Ache est une alliance. Elle est le non anneau. Et un roi n’a d’allégeance que pour l’innocence dont témoigne la nature et nos enfants. Les relations de la gouvernance et de ce qui est gouverné n’est qu’une question de maîtrise de l’état et de ses transformations dans le temps et par les interactions. Elles ne sont l’apanage d’aucun NOM, car la vérité appartient à tous, quel que soit le corps, le lieu et le temps où  elle s’incarne. La vérité est nécessaire de par sa propre nature, elle n’est pas le pouvoir, elle n’en manifeste aucun bien qu’elle les possède tous, nue et désarmée. Elle est le rendez-vous merveilleux des sentiments, de la raison et de la foi (ou volonté).

1 Les sentiments sont la SOMME et la SOMMATION des amours en l’Amour :

  • Amour de soi et de l’autre : ratio ! Reconnaissance de l’être vis-à-vis de sa nature inconnue (divine), reconnaissance de soi vis-à-vis de l’autre (les eaux de la mère, premier baptême, puis la mère et le père en temps qu’êtres physiques et aériens, second baptême après 9 mois). Amour de soi et Amour de l’autre sont les 2 premiers représentants de la magie de la vie, les deux ne faisant qu’un en 0. 2 est le premier nombre premier bien qu’il soit pair ! Il est le maître des doubles et des moitiés, il suit 1 et revient à l’unité lorsqu’on le divise par lui-même pour trouver sa moitié.
  •  Amour de la vie (premier témoignage de la terre promise à celui qui sort des eaux et du déluge caractérisant le passage du col ! Troisième baptême). Nous avons tous trois frères en nous : deux semblables et un différent. Abel/Caïn et Seth ou encore Sem/Japhet et Cham.
  • Amour des autres, semblables ou différents : la fraternité et l’impulsion du langage sous toutes ses formes ! Concernant l’enfant, les trois premières années sont décisives concernant l’épanouissement ou la contrariété de cet amour. Il est celui qu’Abel et Caïn ou Sem et Japhet ne connaissent pas ou ne méritent pas. En SOMME, il fait souvent mauvais hôte dans la grande cité humaine dont la dite démocratie ne repose que sur la démagogie des plus mauvais sentiments.
  • Amour propre. Premier ministre de l’orgueil, par défaut, dans l’entreprise humaine et ses communautés empiriques. Comprendre : en l’absence de la maîtrise du langage et de l’innocence requise pour être Juge, l’expérience de l’Homme (EM/PIR/ISME) le conduit à la mécanique de la souffrance et implique que les tribus soient liées par et pour le PIRE, vers la gouvernance funeste de l’Orgueil corrompu des nations. Cette entreprise humaine globale date de l’Antiquité et nous rejouons sans cesse le même scénario (nous "oblivions" inconsciemment), avec des moyens de plus en plus meurtriers et cataclysmiques. Dans cette folie apathique collective, l’amour propre est bien entendu le ministre qui compose hypocritement en fonction du regard des autres, tout en nourrissant ses intérêts. Dans sa décadence, l’Amour propre imagine que l’Orgueil malade qu’il sert partagera avec lui son pouvoir. Ce triste Sir s’accroche encore à son bâton de magicien illusionniste, mais ne tardera pas à devoir retourner à la maison mère pour demander son pardon !

 

2 La raison est la SOMME et la SOMMATION des opérations qui relient toutes les connaissances acquises :

Elle est le mental opérateur qui peut traiter les quatre formes de langages : théologique/spirituel, réductionniste, logistique (la contextuelle ou l’intemporelle, ceci concernant donc les idéologies, la politique et leurs applications ou théories) et enfin artistique. Ces 4 formes, par effet de double dualité, découlent des deux voies primordiales que sont la sémantique pure (le signifié transcendantal) et la réduction intelligente (le signifiant). Chacun des 4 langages emprunte à ces deux voies qui ne font qu’une.

3 La foi ou volonté est la SOMME et la SOMMATION des volitions :

Métaboliquement, elle est la sommation des nobles INTERETS unifiés propres à l’accomplissement de l’appétit et du désir d’être dans leur forme la plus innocente et systémique (endémique et universelle à la FOIS). Si l’arbre de la vie et de la mort est cultivé par l’appel du néant qui ronge l’Orgueil des nations et son premier ministre (l’amour propre), ces intérêts deviennent une somme d’intérêts particuliers vénaux et véniels qui conduisent à l’impardonnable : le sacrifice mécanisé de la vie, avant même qu’elle ne naisse. La dette ! Une DETTE dont la nature et les INTERETS nous ont tous conduits à renier trois fois le PRINCIPAL.

Je lance ici une nouvelle SOMMATION :

Le mérite, le pardon, le repentir, la compassion (...) et la notion de révélation, concernent aussi bien nos élites que chacun d'entre nous. Cette révélation se cache depuis toujours dans l'innocence que l'Homme a violé, dans la nature qu'il a cru contrôler et dans le langage qu'il croit maîtriser. Cela fait maintenant dix ans que je SOMME tout un chacun de bien vouloir comprendre ce qu'est l'arithmancie, au-delà des clichés galvaudés que la grande académie des sciences, des arts et des industries, veut bien nous laisser voir! Pourtant, personne n'a jamais réalisé l'importance salutaire et majeur/mineur que porte cet art conjugué de la sémantique, de l'arithmétique et de la géométrie classique et cachée. Comme un nez au milieu d'une figure qui ne cherche plus à savoir comment et pourquoi il respire! Comme ces deux pieds qui ne font qu'un et nous portent chaque jour, conscients d'un but inatteignable que notre glorieux cerveau croit pourtant atteindre, sans ménager ses troupes.

Inutile ici de vous décrire à nouveau l'art complexe et simple de la Sommation et de l'arithmancie, l'article est déjà très/trop fourni pour les têtes endormies je présume. Faites simplement l'effort de revisiter les nombreux articles que je publie en la MATIERE! En mon âme et CONSCIENCE, qui n'est pas différente de la vôtre. Familiarisez-vous avec le langage, dont vous avez oublié la nature et qui vous guide pourtant, au même titre que sa falsification vous ordonne de suivre les mauvais chemins. Vous croyez tous que vos plantes d'appartement, vos animaux et vos enfants sont vos familiers domestiqués, conditionnés et rééduqués, n'est-ce pas? Mais c'est vous qui devez dès aujourd'hui comprendre que vous n'êtes que leurs obligés. Quant à la nature, vous êtes son Hôte, dans les deux (DEUS) SenS du terme.    

Merci de votre com/pré/h/en/sion, merci de bien vouloir motiver réciproquement votre com/passion.

Déconstruire et réparer ensemble !

Personne

PS: prenez plaisir à regarder le défilement des images en début d'article et prenez connaissance de cette vidéo:

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