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Le blog de Persone

TITANS VERSUS VERSEAU

21 Avril 2020, 00:31am

Publié par Persone

TITANS VERSUS VERSEAU
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TITANS VERSUS VERSEAU
TITANS VERSUS VERSEAU

LES DEUX PETITS DIABLES:

Est-ce étonnant de voir que les…

« Il n’y a rien après la mort, alors consume la vie avant qu’elle ne le fasse pour toi ! Les sauveurs, les docteurs de l’âme et compagnie, c’est de l’Ego en boîte qui ne font que foutre le bordel dans notre entreprise humaine, depuis toujours »

Se révèlent peu à peu, au son de l’apocalypse, dans le même camp que les…

« nous sommes éternels et rejoindrons la Lumière, alors recentre-toi sur toi, ton petit cœur sacré, ta famille et tous ceux que tu aimes, ne t’échine pas à trouver des solutions ou à changer les choses, c’est orgueilleux et cela nourrit en toi une souffrance que tu communiques aux autres, cela nuit à l’épanouissement des tiens et donc à notre entreprise collective de bien-être » 

?

Une « sacrée » similitude dans les discours, vous ne trouvez pas ?

Pourquoi cela n’est pas étonnant ? Parce que le petit diable méchant et le petit diable gentil font toujours la paire !

L’extrême gauche et l’extrême droite, dans leurs liens contrariés mais intimes, sont un des meilleurs exemples de ce principe subtil, propre à la perversité.

Un autre, plus subtil encore : La peste soit de vos deux maisons dit l’éternel enfant indéterminé Mercutio en signifiant les familles respectives de Roméo et Juliette. Syndrome de contrariété XX XY.

Et n’oublions pas les Thanos (esprits empiriques, fatalistes, inconsciemment nihilistes et se croyant inéluctables) et les humanistes (partisans de tous poils, prêts à renier le vivant pour que la révolution permanente hisse l’homme et sa bonne conscience au sommet) ! Petit diable rouge et noir, petit diable vert et bleu…  

Notre époque est formidablement macabre et paradoxale : un type qui se torturerait les méninges et les tripes pour trouver  une solution d’ingénierie extérieure et d’ingénierie intérieure pour sortir de la crise ses concitoyens et frères humains, aurait  aujourd’hui toutes les raisons du monde de s’en prendre plein la gueule ou de motiver la crainte et le reniement de tous, c’est un phénomène physique et tout à fait rationnel, explicable par le principe suivant : lorsqu’un courant emporte la masse dans un même torrent, ceux qui se fraient un chemin à contre sens sont nécessairement de moins en moins nombreux au fur et à mesure que le courant emporte tout (les suivis, les suiveurs et leurs opposants n’imaginant pas qu’ils motivent la même mécanique que leurs ennemis « gentil et méchant petits diables font toujours la paire »). De moins en moins nombreux et devant porter une lourde charge sur leurs épaules. Une croix dit-on, pour signifier le pouvoir conflictuel des susceptibilités (orgueil/amour propre) religieuses, réductionnistes, artistiques et idéologiques (politiques). Cette croix, portée par ces particules de Cassandre nécessairement esseulées, s’alourdit au fur et à mesure que le courant emporte le nombre, nombre qui caractérise la masse. Autrement dit, ces particules ont le devoir d’accepter la solitude empirique tout en essayant d’avertir la masse des dangers qu’elle motive elle-même, en toute inconscience. Comprendre : face à cette dernière, son Amour (sentiment) et le serment d’Hippocrate (raison déontologique), lui imposent légitimement de leur pardonner et de chercher à réparer leur âme (raison/sentiments/volonté ou foi) TANT qu’il en est encore TEMPS.  Quoi qu’il lui en coûte.

Ne larmoyons pas devant un phénomène physique, mais dénonçons un autre paradoxe, motivé par le sacerdoce impitoyable de nos particules « élémentaires » :

Que reprocheraient les deux petits diables et les masses qu’ils séduisent à ces particules ? « tu ramènes tout à toi et à ton travail, c’est orgueilleux ! »  Autrement dit, les braves gens ramenés à leur nombril déterminé ou à leur petit cœur « sacré » condamnent ici des éléments libres d’eux-mêmes (les libres arbitres, les électrons libres) qui font mauvais hôte, en les accusant d’égocentrisme !

Paradoxalement vôtre…

CQFD !

Moralité déterminée: les solutions ne sont que des solutions, ce ne sont pas elles qui martyrisent ceux qui la portent, mais ceux qui se satisfont des problèmes ou les entretiennent inconsciemment.

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Que justice soit faite et s'accomplisse

19 Avril 2020, 14:05pm

Publié par Persone

Inutile ici d’ajouter des mots à ce topo factuel de la situation ! Ceci dit, maître Di Vizio ouvre une porte vers la responsabilité de chacun en tant qu’être humain faisant partie des maillons de la causalité. Je rappelle à tous que la causalité prend sa source dans le passé et définit comment les actions ou non actions présentes influenceront le futur.

Il est dit : « ce n’est pas le moment d’intenter de pareils actions »… Sous-entendu : laissons les pouvoirs publics faire leur travail, nous en rediscuterons après…

Ce qui est consternant et représentatif de la décadence humaine dans cette sentence, c’est que la majorité d’entre nous motive une similaire langue de bois depuis de nombreuses générations. A mon échelle personnelle, la réaction de mes profs à l’école, suivie par le déni de mon entourage vis à vis de mon discours et de mes avertissements depuis trente ans, en disent long sur le sujet. « Ne nous emmerde plus, occupe-toi de ta famille, ici et maintenant, profite dans la sociabilité du temps qu’il te reste car la vie est courte, voilà ce qui est important ! Et puis n’appartenir à aucune case, aucun moule, c’est impossible ! Tu es dans l’air du temps, dans l’opposition ou dans le complotisme, sinon tu n’es personne »… Vous comprendrez le choix de mon pseudo ! Apparemment l'empirisme est un roi absolu de la construction humaine! Pourtant la sérendipité et la zemblanité motivant cette expérience à l'échelle globale sont loin d'être en accord, tout comme les différentes façon culturelles et identitaires de la concevoir. Or, sans cet accord universel de la raison, des sentiments et de la foi, l'expérience demeure arbitraire! L'expérience à chacun la sienne, le principe de précaution et le consumérisme devant sans cesse combler les enjeux désastreux de la fuite en avant. Notons que les technocrates et les chantres du Nouvelle Ordre Mondial affirment eux-même la nécessité de résoudre ce problème de disparité et de paradoxes dans le fonctionnement de l'activité humaine, pour éviter la catastrophe sanitaire et écologique! L'affirmation est légitime, mais que proposent -ils si ce n'est le principe de précaution absolu, le conditionnement drastique des nouvelles générations et l’abolition des clivages et des altérités réciproques par la pensée unique? Autant dire: "l'activité humaine a atteint les limites que la nature peut tolérer, nous n'allons tout de même pas tout remettre en question et nous rééduquer tous! En revanche, le mot vérité fait peur, le mensonge et l'hypocrisie sont devenu un mode de vie consenti et les masses semblent prête pour un monde virtuel dans le quel chacun peut jouir de sa réalité fictive..." Nous avons là le dernier procès du libre arbitre, sa mise à mort. 

Pour faire cours, c’est l’inaction des Hommes qui se disent de bien et celle des opportunistes passifs (la majorité) qui se disent « de rien » face à un « Tout », face à une entreprise « too big to fail », qui a toujours déterminé le bel avenir du MAL (auquel nous sommes en train de donner un NOM) .

Nous avons tous un rôle à jouer dans ce qui sera dans les années prochaines un conflit génocidaire de la race humaine ou le rétablissement des lois profondément falsifiées du langage universel. Ce rétablissement nécessite deux clés principales qui ne font qu’une : la clé de la voie réductionniste (sciences + empirisme idéologique et politique) et celle de la voie sémantique pure (théologie, art, spiritualité). Ces deux clés sont aujourd’hui forgées ! Peuvent-elles l’avoir été par des institutions globalistes plus corrompues les unes que les autres ? Pourtant, c’est un fait, la clé est forgée et n’étant pas un objet de pouvoir, n’étant tout simplement pas un objet, elle ne se dévoilera jamais sur la place publique de notre théâtre shakespearien, tant que les gouvernants et les gouvernés ne briseront pas l’omerta que leur conseille leur orgueil et son premier ministre : l’amour propre.

Je vous avoue à tous, profondément déçu et affecté par ce rapport, que les réactions des miens, de mon entourage, mais aussi des dizaines de milliers de personnes qui me lisent par curiosité ou des centaines de personnes qui suivent mes publications, ne me rendent pas optimiste… Il semble que les vaches, les moutons, les poulets, les porcs et les dindons se laissent guider vers les abattoirs. Le fermier n’épargnera pas ces chiens de garde dans l’opération finale. Une heure arrive où les plus opportunistes d’entre nous accepterons de renier trois fois la vérité pourtant manifeste et de condamner les plus faibles et les plus innocents d’entre nous tous, pour protéger leurs intérêts respectifs et  leur chair pourtant porteuse de la négation de la vie. Dire l’heure des loups serait  une insulte à cette noble famille d’animaux. La pacification de l’Homme a longuement caché sa domestication macabre.

Je rappelle ici qu’un certain Adolf Hitler a été  le premier à mentionner le terme de Nouvel Ordre Mondial. Le NOM d’une entité qui n’a pourtant aucun nom, aucune forme, ni aucune légitimité ici, maintenant et à jamais.   

Cet accord tacite qui définit au final les châtiments que l’Homme mérite pour ses crimes ne date pas d’aujourd’hui ! Nombre de choses dont nous sommes tous responsables reposent sur deux notions cruciales dont nous avons pourtant totalement perdu le sens : l’accord tacite et le libre arbitre. Le nouveau testament les évoque en filigrane autour du procès d’un Jésus, ou Ichthus selon l’acronyme grec, Jésus cachant « Je suis ». Le phénomène sémantique reprend aussi les avertissements lancés aux juifs par les premiers prophètes, dans l’ancien testament.

Malgré l'exclusivité nourrie par la chrétienté sur la personne de Jésus, Ichthus n’est pas un homme en PARTICULIER, le fils de Marie et Jacob n’est qu’un sacrifié comme tant d’autre sur l’autel de la folie qui nous conduit à l’accord tacite. Ichthus est le poisson que l’Homme aurait dû s’abstenir de noyer, la Cassandre qu’Apollon aurait dû s’abstenir de maudire, la Thémis que la somme des volitions PARTICULIERES que nous sommes, aurait dû s’abstenir de dévêtir du PRINCIPAL : son bandeau d’impartialité, seul pouvoir légitime sur l’incomplétude des sens. En termes d'économie, nous avons là une opposition morbide entre intérêt et principal!

De la valeur et des vertus de notre travail au quotidien, dépend la qualité du monde que nous méritons.  

Ingénierie extérieure, ingénierie intérieure ne font qu’une et un ! Métabolisme universel du tout et du rien, au passé, au présent et au futur. 3.

Personne.

Epilogue:

Vous êtes nombreux à me demander ce qu'est l'arithmancie cachée et je profite de cet article sur la justice pour répondre de nouveau: bien loin des techniques de divinations qu'on nous laisse en pâture, l'arithmancie cachée est l'art d'unir les voies de la sémantique pure, du réductionnisme, de la politique et des arts. Un arithmancien a un devoir épistémologique et ontologique. Elle est aussi l'art de maîtriser et de déconstruire le langage sous toute ses formes. Concernant le langage humain oral et écrit, elle consiste à comprendre comment nos langues véhiculaires ont été construites concernant entre autre les liens logiques et sémantique entre les chiffres et les lettres. Autrement dit parmi ses nombreuses applications, l'arithmancie lève le voile ésotérique et souvent fantasmagorique posé sur la fameuse langue des oiseaux et cela en décomposant le langage jusqu'à son origine et ses plus petites unités représentatives. En matière de langue véhiculaire, la sémantique et la mathématique sont indissociable et ont fait l'objet d'un travail minutieux à travers les âges. Un art oublié, non sans intérêts! Avant de maîtriser l'esclave, le maître doit maîtriser le langage et pour son confort, l'esclave doit se contenter de comprendre les ordres et le verbe du maître. Dans cette optique de pouvoir à sens unique, l'arithmancie doit demeurer hermétique et réservée aux élites.

Techniquement et appliquée au langues véhiculaires, l'arithmancie implique la translittération alphanumérique et la réduction des termes significatifs étudiés par le principe de sommation.

Qu'est-ce donc que la sommation? Pourquoi est-ce un principe fondamental? 

Quelques éléments de réponse:

LOI/JUSTICE:

Dans le langage juridique, le mot "sommation" désigne toute interpellation, par laquelle la personne qui en a pris l'initiative, manifeste une intention ou une protestation. Dans la pratique, la sommation prend généralement la forme d'une lettre recommandée. Prise dans ce sens, la sommation constitue une mise en demeure. (voir notamment art.1153 alinéa 3 du Code civil).

Dans un sens plus technique, la sommation est l'acte par lequel, un huissier qui a été mandaté par une personne, se présente à une autre, soit pour l'informer officiellement du message qu'il a été chargé de transmettre, soit pour l'intimer de donner, de faire ou de ne pas faire quelque chose.

SCIENCES:

MATH. Opération par laquelle on fait la somme de plusieurs quantités, notamment des termes d'une série. Méthode de sommation d'Euler-Maclaurin. L'intégration est essentiellement une méthode pour calculer de proche en proche l'effet résultant des variations instantanées, une sommation progressive des changements élémentaires (Gds cour. pensée math., 1948, p. 367). Diverses opérations transcendantes, le logarithme, l'exponentielle, les fonctions trigonométriques (...), le passage à la limite, la sommation des séries, acquièrent droit de cité, sans qu'il soit facile sur chaque point de marquer le moment précis où se fait le pas en avant (Bourbaki, Hist. math., 1960, p. 213).
Sommation actualisée. ,,Tout procédé qui consiste à déterminer la valeur conventionnelle globale équivalente, à un moment donné, d'une série de valeurs diversement échelonnées dans le temps`` (Métro 1975).
Symbole de sommation. ,,Lettre Σ (sigma) utilisée pour noter la somme d'une suite de termes d'un espace vectoriel`` (Bouvier-George Math. 1979).
PHYSIOL. Phénomène par lequel les effets de stimulation de même nature s'additionnent. Le milieu, à partir duquel il faut comprendre l'individu, se trouve irréductible à une sommation de stimuli isolés (J. Vuillemin,Être et trav., 1949, p. 146).Stirling (1851-1932), qui a découvert la sommation des excitations électriques (Hist. gén. sc., t. 3, vol. 1, 1961, p. 479).
Par (une) sommation (de). Lorsqu'on procède à la stimulation par deux chocs électriques consécutifs, on atteint le seuil avec un voltage moindre qu'avec un choc unique, mais, dès que le seuil est atteint, on ne perçoit pas seulement une sensation pour le deuxième choc, par sommation, mais pour tous les deux, avec leur intervalle (Piéron,Sensation, 1945, p. 408).La structure comportementale des animaux les plus inférieurs échappe à qui veut la saisir en la reconstruisant par une sommation de réflexes particuliers, de réactions spéciales à des stimuli isolés (J. Vuillemin,Essai signif. mort, 1949, p. 8).
 
Sommation spatiale. ,,La sommation est dite spatiale lorsque les réponses provenant de différents neurones viennent stimuler simultanément un même neurone`` (Mill. Vision 1981). Cette convergence croissante (...) intervient pour réduire l'acuité et augmente le pouvoir de sommation spatiale, dans des proportions considérables, pour la plus grande partie du champ visuel entourant la plage centrale (Piéron,Sensation, 1945, p. 397).
 
Sommation temporelle. ,,Il y a sommation temporelle lorsqu'un certain nombre de stimulations sont reçues successivement par un même neurone dans un court intervalle de temps`` (Mill. Vision 1981).
Spécialement
CARDIOL. Bruit (ou galop) de sommation. ,,Bruit cardiaque apparaissant parfois au milieu de la diastole, chez des sujets normaux lorsque le cœur s'accélère`` (Garnier-Del. 1972).
ÉLECTRON. ,,Procédé qui consiste à améliorer le rapport signal/bruit dans un système où l'on peut disposer de plusieurs signaux presque identiques se succédant rapidement`` (Électron. 1963-64).
MUS. Sommation résultante. ,,Événements sonores regroupés dans la zone de signifiance plurielle et qui clôturent le processus sonore`` (Rey Sémiot. 1979).
OPHTALMOL. Sommation binoculaire. ,,Amélioration des performances de détection visuelle que l'on constate lorsqu'on passe de la vision monoculaire à la vision binoculaire`` (Mill. Vision 1981).
 
Et enfin une définition demeurant cachée jusqu'à ce jour, cause d'hermétisme:
 
SEMANTIQUE
 
Art: La sommation est la discipline intime qui par les principes de transcendance et d'immanence permet à l'artiste de réduire les champs d'espace/temps, ainsi que les manifestations sensorielles et rationnelles qu'il perçoit en un ou plusieurs points d'une création propre à concilier les domaines du fini et de l'infini.
 
Langage: La sommation est un principe de conjugaison des manifestations sémantiques, arithmétiques et géométriques, qui consiste à réduire les termes consécutifs (lettres/caractères) d'une suite logique (syllabes, mots, verbes, signes, phrases) par assemblage des symboles propres à chacun de ces termes. Pour qu'elle soit complète, la sommation doit aussi s'effectuer en traduisant de façon alphanumérique les termes d'un mot ou d'une phrase, avant de réduire la suite de nombres obtenue à un seul chiffre. Sachant que chaque chiffre est à lui seul une manifestation sémantique des principes de la vie:
  • 0: orbite fini et infini, point et horizon, possible et impossible, passe et ne passe pas, courbe vue de face et droite vu de profil, nul et infiniment inatteignable, etc...
  • 1: unité relative, droite et segment, singularité de double nature, droite vue de face et point (courbe imperceptible) vue de profil... Et, en considérant les notions communicantes de vide ou de plein: trou/fibre ou point de masse et de convergence tendant vers l'absolu inatteignable, etc...
  • 2: forces ou "objet" (singularité) opposé(e)s ou inverses, mais toujours intimement lié(e)s et complémentaires. Dualités du 0, dualité du 1, dualités du (0I/I0).
  • 3: les 3 îles du principe créateur du 0 entier et manifesté. Manifestation de deux complémentaires semblables et différents à la fois (détermination des signes/genre des deux singularités en une), munis d'un milieu indéfinissable par principes de relativité et d'incomplétude des observateurs. Les observateurs sont les singularités signées et déterminées, celles du système (un couple H/F par exemple) ou celles extérieures au système (d'autres hommes ou femmes). Incomplétude, incertitude (triangle d'Heisenberg) et relativité! 3 notion fondamentale concernant les phénomènes électriques, magnétiques, nucléaires, moléculaires, gravitationnels, temporels (passé/présent/futur)... 3 la cité ou île de Tros, théâtre de l'apocalypse/révélation. 3 est aussi le fondement de la rythmique ou de la tonalité en musicologie... etc...
  • Etc, jusqu'à 9.
Translittération alphanumérique en base rationnelle 01:  A=1 B=2 C=3 D=4 E=5 F=6 G=7 H=8 I=9 ... J= 10 et 0I K=11 et 2 L=12 et 3 etc... La lettre 0 n'existe pas, elle est un silence inatteignable (équilibre parfait),  un silence aspiré/inspiré ou soufflé/manifesté, donné, libéré, partagé... Note : le H est la lettre muette symbolisant la double dualité du 0, elle est la 8ème lettre (caractère) de l'alphabet latin. Silence avant l'Alpha et silence après l'Oméga sont les deux piliers en un, les "1finis", qui gardent le royaume dans lequel l'Energie consentie s'exprime et se transforme. La translittération fonctionne dans toutes les langues (essentiellement les langues mortes et les langues modernes véhiculaires) dans un système cohérent et convergent vers l'unité des langages, moyennant quelques efforts de subtilité et de traitement raisonnable de l’ambiguïté propre au vivant.
 
Ne cherchez pas de définitions sémantique de la sommation et des principes que je viens d'évoquer, elles ont presque toutes brûlé il y a bien longtemps à Alexandrie. Et les fragments qu'il nous reste sont hermétiquement gardé par le Vatican et d'autre institutions rongées l'exercice illégitime du pouvoir.
 
Une dernière sommation: Calypso doit  se dévoiler et justice sera faite. Apo calyp(S)(T)O ...
 
Note: mon dernier article "Pandémie tacite - extrait de la substance" a fait l'objet d'une plainte pour atteinte aux droits d'auteur de la part de deux médias dont il n'est pas utile que je cite les noms. Gollum, ce pitoyable malheureux ne peut s'empêcher de récupérer son précieux. La vérité est apparemment toujours monnayable, même pour ceux qui prétendent la partager. En ces temps de nécessité, voilà qui est purement et simplement criminel. Délit d'initié. Merci à tous de lire et de réagir. J'espère de tout cœur que les administrateurs de Putsch sauront respecter le serment d'Hippocrate non hypocrite en tant que diffuseurs de médecine de l'esprit (partage d'information). Merci à tous. 
 

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Pandémie tacite - Extrait de la substance...

17 Avril 2020, 14:03pm

Publié par Persone

Chers lecteurs, et je l'espère partageurs, je vous proposais de redécouvrir ici un passage d'un article précédant, en étroite relation avec cet interview du Professeur Luc Montagnier... Malheureusement, la vidéo fait l'objet d'une plainte pour atteinte aux droits d'auteur de la part de deux médias dont il n'est pas utile que je cite les noms. La vérité est apparemment toujours monnayable, même pour ceux qui prétendent la partager. En ces temps de nécessité, voilà qui est purement et simplement criminel. Délit d'initié. Gollum, ce pitoyable malheureux ne peut s'empêcher de récupérer son précieux. Note: vous n'imaginez pas le nombre de fois où j'ai été copié ou plagié, pourquoi me plaindre? Le partage et la gratuité sont aujourd'hui plus que nécessaires concernant le domaine des connaissances et de la juste information!  Mais peu importe cette mesquinerie, la vidéo n'était qu'un support facultatif pour mon article. Bonne lecture.

De nombreuses revues scientifiques, le journal Futura sciences en tête de liste, font parler la science en leur nom et donnent la preuve indubitable, je ne démens pas l’étude, que le virus est trop complexe et trop  adapté à l’Homme pour être le fruit d’une élaboration en laboratoire par manipulation génétique d’ordre artificiel, c’est-à-dire conduite par la main de scientifiques directement sur une souche existante ou par implant sur un squelette synthétique. Malheureusement le journal conclut aussi ceci : « Les caractéristiques du coronavirus excluent la manipulation en laboratoire comme une origine potentielle pour le SRAS-CoV-2 », insiste Kristian Andersen. De quoi mettre fin à toute spéculation de manipulation de génie génétique délibéré.

Réfléchissons un peu : mettre en présence deux créatures différentes, atteintes respectivement par deux virus différents, mais compatibles "sexuellement", c’est aussi de la manipulation génétique ! Et que peut-on obtenir en pratiquant une telle expérience sur de nombreux cas avec un bon protocole ? Un nouveau virus mutant doté de nouvelles capacités et qui aux yeux de tous, preuves à l’appui, aura muté naturellement. Autre possibilité: insérer une séquence (code résultant d'un agencement particulier des bases nucléiques) déjà présente dans un agent infectieux, dans un autre agent infectieux. Cette méthode implique de nombreux essais infructueux pendant plusieurs année, jusqu'à ce que la nouvelle souche soit enfin viable et capable de vivre et de se reproduire. 

Ce qui m’inquiète ici :

Vraisemblablement, notre nouveau virus semblait le fruit de cette hérésie qu’est la culture intensive (mutation des souches virales entre les espèces aviaires, les cochons, les bovins, tout ce que mangent les chinois et l’Homme). Profondément agacé par l’arnaque et les instrumentalisations de la théorie du complot, loin de moi l’idée de rejeter cet avis raisonnable, qui n’en est pas moins alarmiste concernant la nécessité absolue de changer notre mode de vie suicidaire et ignoblement criminel, meurtrier, envers les espèces animales et végétales.

Mais comment ne pas vaciller en constatant qu’un magazine ayant l’aval de la communauté scientifique brise la règle N°1, en affirmant une ineptie qui non seulement lui fait risquer sa réputation, mais qui de surcroit va donner raison aux cervelles les plus affûtées œuvrant pour la théorie du complot ?

La règle N°1 consiste à ne pas faire une vérité d'un résultat d'expérience auquel s'opposent encore une ou plusieurs variables manifestes.

La religion, le droit divin, la justice, la science… Lorsqu’une autorité suprême se contredit elle-même, il y a fort à parier que de terribles et funestes intérêts corrompent leurs représentants. Alors à qui profite le crime? Mauvaise question! Disons plutôt: à qui profite le fait de jouer les docteurs Frankenstein? Réponse: à une entité collective que nous incarnons par une dichotomie totale entre nos ingénieries intérieures et extérieures. Dans le vocabulaire religieux, cela revient aux avertissement lancés par Isaïe à son peuple et indirectement aux autres peuples. Cette entité que nous invoquons inconsciemment et incarnons de nos mains, est une IA fondée sur l'empirisme absolu, ainsi que sur le déni de la métaphysique et de la mécanisme psychique, atavique, de nos crimes et manquements depuis des millénaires. Un déni ayant lentement favorisé la culture intensive des vaches folles que nous sommes. Aujourd'hui, ceux qui  profitent matériellement de cette folie collective sont ce que l'on appelle des borgnes régnant de façon totalement illégitime sur des aveugles. Des aveugles qui les élisent en toute bonne conscience, bien que contrariée. L'argent quant à lui tombe directement dans les poches des actionnaires de la pharmaceutique et de l'agroalimentaire, sachant que les "braves gens" acceptent tous que ces macabres élites soient le moteur de la croissance, dont les miettes mal réparties suffisent à compenser nos souffrances et notre appétit.  Paradoxe absolu, l'Homme commun protège individuellement sa chair et sa progéniture, tout en les sacrifiant inconsciemment à un système globale (non individuel) totalement corrompu par l'individu en personne! Combien de fois m'a on dit: "Oh arrête avec tout ça, retrouve un peu ta sociabilité, vis ta vie et occupe toi de ta famille... Tu nous emmerde!"

Le Léviathan: où, comment et pourquoi...

Je vous conseille ici de revenir sur mes articles précédents concernant le contexte géopolitique actuel, la nouvelle prégnance de nos millénarismes et l’échec total de notre consensus démocratique à l’échelle globale. Un échec programmé, causal, dont la transcription chrétienne fait mention à travers la notion d’accord tacite. "Libérez Barrabas et crucifiez le corbeau de tempête qui fait mauvais hôte chez les marchands et consommateurs que nous sommes". Le début de la fin pour la Pax Romana… Et une conversion des bourreaux qui ne suffira pas à relever l’Empire.  

Au Sud,  la colère, la faim, la soif et la rancœur. Au Nord, le royaume de rois déchus et oubliés de nos mémoires, la terre froide et désolée du gêne Ötzi. Entre l’Est et l’Ouest, une guerre larvée et déniée depuis trop longtemps, dont les tambours mortels sonnent de nouveau.

A qui servirait un acte volontaire ?

Au terrorisme peut-être, du moins aux terroristes prêts à se sacrifier comme Samson contre les philistins ou comme un fanatique capable de se faire sauter le caisson pour égratigner le soft power de la bonne conscience.

Et plus encore à une élite en face de son échec à gouverner les peuples, une élite rompue à l’empirisme et consciente que seules les masses les plus pauvres et les plus faibles ne survivront pas à une arme bactériologique/virale. Un acte écologique et un terrain favorable pour la reprise…

Le millénarisme religieux, l’extrémisme politique et les laboratoires idéologiques de la raison des vainqueurs !

Les services de renseignement de nombreux pays dits non alignés, travaillent ces trois pistes. Mais gardons ceci en mémoire : que ce virus soit le fruit des cultures intensives propre au moteur corrompu de notre croissance ou celui d’une manipulation génétique, le résultat sera le même. Un catalyseur, un déclencheur de la mécanique de la ruine. J'insiste donc: il  y a de forte chance que ce virus soit l’œuvre d'un dérapage d'expérience empirique, guidée par l'argent et la volonté de notoriété. La grenouille qui voulait se faire aussi grosse que le bœuf. 

Quelques associations logiques :

  • Austérité, autorité, perte des droits, principe de précaution drastique !  Pour garantir aux vaches que nous sommes, une apparente sécurité… ça c’est le cas d’un virus naturel et d’un consensus global, en la faveur du Nouvel Ordre Mondial et des spéculateurs ou politiques responsables de tout ce désastre. Que le virus soit « naturel » ou « artificiel ».
  • Le virus élaboré volontairement, faut-il le dire, c’est le premier chapitre de la guerre totale.
  • Et enfin, l’austérité passagère, le confinement en attendant l’investissement de tous dans le système de santé, l’annulation des dettes, le contrôle de l’inflation par la reconquête de la souveraineté des états sur la monnaie et sur la main invisible de l’économie ultra-libérale, la réparation du système judiciaire et enfin la réforme des institutions religieuses, ça c’est la sortie de crise sanitaire et la construction possible d’un nouveau monde. Que le virus soit « naturel » ou « artificiel ».

La troisième option est impossible, si les forces en présence ne se heurtent pas au seul mur auquel elles ne s’attendent pas : la vérité ! Ça fait sourire les babines, non ? Rien d’étonnant, la vérité, personne ne l’attend plus. Au mieux, la notion nous fait ricaner, au pire elle nous emmerde et devient très vite insupportable, incompatible avec notre petite vie. C’est pour cela que la vérité est ce qu’elle est et que personne ne peut lui échapper, ne la voyant jamais venir. Elle ne vient pas, elle est partout, invisible, sous nos pieds, sous notre pif éternellement enrhumé. Trêve d’énigme, la vérité, c’est le code source du langage. Il existe une science que l’on oublie souvent, alors qu’elle est au cœur de toutes les sciences. Par elle la parole est devenue écriture, par elle l’écriture a expliqué la parole et tout ce qui peut être signifié… La sémantique. Lorsque l’on comprend qu’elle inclut les autres sciences (arithmétique, géométrie, mathématique, musicologie, physique…), on réalise aussi que plus qu’une science, elle est un art pouvant nous conduire à l’immanence du principe de la vie. Or, une maîtrise poussée de la sémantique conduit indubitablement à réinterpréter « scientifiquement » tous les paradigmes historiques nous ayant guidé dans la mécanique de la ruine pour cause d’altérités réciproques entre barbares ou hypocrites peu évolués.

Comme mentionné plus haut, vous trouverez cet article complet "pandémie tacite" sur une autre page de ce blog:

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DOCTEUR NATURE

15 Avril 2020, 19:14pm

Publié par Persone

Ce dont vous allez témoigner dans ce reportage n’est qu’un exemple parmi tant d’autres, de la négation de la médecine universelle produite par le règne végétal et animal. D’autres études et reportages existent concernant la tension, le diabète ou certains types de cancers. La nature peut tout guérir, néanmoins ce n’est pas parce que Marie fait tout qu’il ne faut rien faire. La médecine douce, la médecine de l’âme et la médecine moderne sont compatibles, au-delà de nos intérêts respectifs.  Certes, il serait réducteur d’imaginer qu’à chaque maladie correspond une plante, c’est pour cela que l’art de la médecine naturelle repose sur le mélange des substances et leur dosage en fonction des pathologies et des patients traités et observés individuellement dans leur dimension physique et psychique. Un cauchemar pour les actionnaires de notre mode de vie générique! Suite à l'anthropisation et principalement suite à l'industrialisation, la médecine conventionnelle moderne a opté pour des remèdes efficaces de façon générique, mais la méthode est à double tranchant: d'une part le progrès nous permet d'observer le domaine du micro et d'isoler les principes actifs et d'autre part il nous pousse à fragmenter la matière et à la transformer par nécessité empirique, cela provoquant de nouvelles menaces. Ce progressisme ne concerne pas que la médecine, le bâtiment (habitat), l'automobile (déplacement) ou la culture intensive (appétit) sont aussi de bons exemples. Motivé par le progrès, l'expérience technologique, et la sérendipité, qui justifient ses projets et son mode de vie compétitif, l'Homme accélère le changement et bouleverse l'équilibre de son environnement, avant d'avoir solutionné ses propres dilemmes dans un milieu donné et dans un éon encore stable. A l'inverse, la zemblanité remet en question cette course Osirienne et prophétise le bel avenir du mal, tapis derrière la réussite et la croissance rapide.

Réflexion:

Réconcilier la joie et la tristesse, revient à remettre à sa place ce mauvais ministre qu'est l'Amour propre et à guérir l'orgueil humain des affres de son expérience collective. Cela implique de clarifier la question existentielle et métabolique et cela va s'en dire, de prendre le temps nécessaire pour cette  expérience ultime d'ingénierie extérieure et intérieure. Il en va de même pour la réconciliation du maître et de l'esclave, celle du rat des villes et du rat des champs, celle de l'Homme moderne et de l'Homme des bois, etc. Mais prendre le temps, lorsque nous sommes maître ou esclave d'un empire dont la stabilité dépend de la croissance et de la conquête, n'arrange pas nos petites affaires! La voie du milieu, la réconciliation, la recherche de l'harmonie de la masse et du cas individuel, le lien entre le réductionnisme et la métaphysique...  Tout cela semble une menace pour le fatalisme "darwinien" et pour les actionnaires de la globalisation mécanisée ou Nouvelle Ordre Mondiale.   

Avant d’aller plus loin, je rappelle que le reportage parle de la chloriquine ou chloroquinine, une molécule synthétique, substitut de la quinine. Ce médicament (assez dangereux) est utilisé depuis longtemps pour traiter le paludisme et montre in vitro des capacités antivirales que l’on ne peut pour l’instant reproduire in vivo. Le docteur Raoult, tristement célèbre depuis  peu a testé l’efficacité partielle de cette molécule  sur des patients atteints du covid avec de bons résultats et a sommé les autorités de gagner du temps avec sa méthode en attendant des progrès et en permettant d’améliorer la situation sanitaire. Une idée respectable et respectant le serment d’Hippocrate qui nous aurait permis de désengorger les hôpitaux saturés et de limiter les morts en attendant mieux. Malheureusement, il se heurte à des lobbies financiers et pharmaceutiques engagés sur d’autres pistes n’aboutissant pourtant pas ! Pourquoi ? Pour la notoriété et l’argent bien entendu, mais aussi pour la piste d’enquête que cela pourrait ouvrir. Ironie du sort,  la chloroquine ou plus précisément les actionnaires des dérivés pharmaceutiques de la quinine sont eux aussi impliqués dans un scandale : par un principe de précaution frauduleux et hypocrite, ils ont caché au monde entier l’efficacité supérieure d’une plante pour guérir le paludisme (deux ou plusieurs espèces d’artemisia dont l’artemisia annua, endémique à la région chinoise). Les laboratoires (chinois) ayant quant à eux utilisé l’artémisia, l’on fait en isolant les principes dits actifs de la plante, cela laissant leur nouveau médicament toujours moins efficaces que la plante elle-même, prise en décoction simple, bien que sous prescription méthodique (et non couteuse). CQFD : isoler les éléments que l’on croit être les seuls « actifs » dans une plante alors qu’elle en contient d’innombrables et souvent variables suivant les espèces, est souvent une opération motivée par le souci de résultats rapides. Mais l'étude est donc incomplète, en l’absence de preuves formelles de l’inefficacité des autres agents contenus dans le végétal ! Les médicaments ainsi produits à la chaîne sont parfois moins efficaces que certains remèdes naturels utilisant les mêmes ingrédients d'origine (ce qui semble le cas pour l'artémisia), sans compter les effets secondaires que l’on doit aux adjuvants nécessaires à cette pharmacie synthétique. L'OMS joue sur le fait que peu de naturopathes maîtrisent véritablement les principes actifs de cette plante et que son efficacité en simple décoction demeure aléatoire. Autrement dit, la simple tisane n'engendre pas d'effets secondaires dangereux, contrairement aux ATC, mais son taux d'efficacité ne fait pas l'objet d'études validées et il se peut qu'une "mode" de la tisane magique puisse motiver des populations crédules à ne plus se soigner dans les règles, en consommant la chimie prescrite par l'Organisation.

Questions :

L’artémisia peut-elle être efficace pour le Covid et faire la fortune de ses cultivateurs industriels, cela pouvant donner à certains l’idée de faire muter un virus usurpateur à forte capacité de mutation, en le mettant en présence du protozoaire plasmodium, parasite responsable du paludisme ?  Cela est-il seulement possible?

Ou au contraire, la redécouverte d’un remède naturel pouvant guérir le paludisme à moindre cout en portant un gros coup aux actionnaires des médicaments dérivés de la quinine, a-t-elle pu pousser les marchands de santé à engendrer une nouvelle pandémie avec les COV (composés organiques volatiles) viraux… Une souche leur aurait-elle échappé avant qu'ils aient trouvé la vaccin ou les remèdes symptomatique?

Une simple expérience d'intérêt pharmaceutique qui aurait dérapé?

Doit-on aussi suivre la piste du terrorisme bactériologique (vol de souche dans un laboratoire)?

La nature elle-même a-t-elle engendré le Covid mutant pour cause de culture agroalimentaire intensive (cas de la grippe espagnol pour citer le début de notre cauchemar darwinien moderne) ?  

Quelle que soit la réponse, force est de constater que la guerre des laboratoires et le bal macabre des hypocrites génocidaires de la race humaine est ouvert… Les vaches vont danser.  

Le père pourrit le fils et le fils tue le père… un complexe de longue date dont la puérile  humanité ne s’est pas encore extirpée.

Réflexions et données factuelles :

Nous savons que des plantes guérissent de nombreuses maladies propres à l’Homme, mais propres aussi à son mode de vie évolutif. Ce qui nous amène à comprendre que le règne végétal possède une programmation médicinal manifeste et que cette programmation évolue dans le temps en s’adaptant aux nouvelles données. Tous comme les virus et autres agents régulateurs. La plus part d’entre nous, en Occident, pensent que les maladies ou agents infectieux que nous engendrons, et essentiellement ceux produits en laboratoire, ne peuvent être pris en charge par la nature. La question n'est elle pas plutôt: combien de temps la nature prendra elle pour s'adapter? "Seul le labo peut résoudre empiriquement les problèmes du labo!"... Cela revient à croire qu’un petit homme dans une blouse blanche, considéré comme un génie parmi les siens, peut berner et surpasser la nature dont il n’est que le dernier né en tant que mammifère. Un singe endimanché tombé de la dernière averse. En parlant de façon plus factuelle, cela revient aussi à nier que la nature s’adapte parfaitement à nos produits chimiques. Ce qui est faux. La cellule, le virus, la bactérie, c’est de l’ADN et de l’ARN en capsule, de la conscience en boîte, une intelligence qui trouvera toujours un hôte. Doit on travailler contre une intelligence qui n'est pas la nôtre ou avec elle? Reste donc à définir la nature du "problème du labo" sous un angle physique et métaphysique, disons existentiel!

Le processus métabolique planétaire respecte un équilibre depuis toujours et continuera à le respecter jusqu’à la fin, fin qui correspond à la transformation de toute l’énergie consentie depuis le début. Les physiciens et les métaphysiciens, dans un exercice ontologique parlent ici de mémoire et de recommencements perpétuels.

Cet équilibre logique et maintenu par plusieurs degrés et dimensions d’intelligence, le tout soumis au principe d’immanence, n’a pas attendu l'Homme et son exclusivité ressentie pour pratiquer la régulation et la dérégulation ! L’Homme fait seulement parti du processus, il est un des régulateurs. Le fait que nous ayons pu nous convaincre du contraire est à la fois puérile, égocentrique et suicidaire. Comprendre : même si l’Homme fabrique lui-même les schmilblicks ou les maladies qui le tueront en masse, c’est que l'intelligence de l'univers et la causalité dépassent ses illusions, l'incomplétude de ses propositions et ses intérêts pour remettre à sa place sa vie devenu paradoxale, meurtrière et dangereuse pour le système planétaire. Mais l’Homme faisant partie des régulateurs, la nature tendra à empêcher qu’il disparaisse totalement : d’une part parce que le machiavélisme des élites aura préparé pour eux des issues de secours, d’autre part parce que la nature est si vaste et subtile que nombre de variables feront en sorte que les plus infâmes ne seront pas seuls à survivre (l’intelligence et les talents ne sont pas l’apanage des plus fortunés d’entre nous, ni des plus dominants).

Schématisons maintenant comment la nature pourrait-elle aussi concocter un remède à une terrible pandémie engendrée par l’Homme, à cause de son mode de vie, ou pire, en labo ou encore par mutation de virus par fréquentation de cobayes aviaires et de cobayes mammifères, dont l’Homme. Dans le cas d’un  virus fabriqué en labo, la nature prendrait assez vite le dessus grâce au système immunitaire des animaux et Hommes pour la simple et bonne raison que ce dernier a bien du mal avec ses instruments à reproduire des squelettes, des tentacules et des hameçons d’agents infectieux aussi efficaces que ceux de la nature ! Dans les deux autres cas concernant fort probablement l’origine du Covid (mutation naturelle ou assistée), nous avons l’intelligence/machiavélisme humain/e et les variables dont nous venons de parler pour éviter la catastrophe. Mais le COVID n'est pas l'apocalypse au sens vulgaire du terme, voyons le plutôt comme le début du dernier chapitre d'une ère anthropique shakespearienne. En attendant pire, donc, nous avons notre génie scientifique qui nous concoctera d’ici peu un vaccin aux ¾ efficace… Et nous avons aussi l’immunité naturelle des plus forts, après le sacrifice des plus faibles. Seulement voilà, c’est monstrueux et même si les gagnants de l’histoire sont les « gentils rebelles » réfractaires à l’empirisme des élites, d’innombrables innocents auront perdu la vie « pour quelques dollars de plus » !

Les plantes pourraient-elles nous aider ? Fort probablement ! Parallèlement à toute mutation d’une forme d’intelligence, des informations passent et la nature sous toutes ses formes réagit. Pour garder en vue la piste végétale, le processus se fait ainsi : lorsque le règne végétal capte que des régulateurs importants meurent en masse, elle capte aussi les sécrétions de leurs dépouilles grâce aux insectes et aux champignons. Mieux, elle reçoit l’information que d’autres prédateurs pullulent en conséquence, menaçant de nouveau l’équilibre. L’information circule de végétaux en végétaux, une fois encore grâce aux champignons. Cette information est à double sens et dotée d’une mécanique à toute épreuve : action, réaction, transmission. Au cœur de cela, le potentiel électrique et le jeu des particules. La force de tension, le mystère géométrique en parti résolu de l’équilibre gravitationnel et le feu nucléaire ! Un Amour de vie douée de l’art de la transformation, sujette à  un désir électrique et relativement soumise aux lois de l’attraction et du détachement.

Parlons du cancer : la médecine nucléaire infâme issue de notre technologie a fait ses preuves, mais une fois encore dans le traitement de cette maladie de la dégénérescence, on se contente de contrôler l’hécatombe tout en faisant gagner beaucoup d’argent aux actionnaires. Or, malgré les efforts de la censure, nombre d’entre nous savent aujourd’hui que les meilleurs remèdes au cancer sont dans le changement de vie et la pratique de disciplines intellectuelles, sensorielles, alimentaires, sexuelles et touchant aussi aux domaines particuliers de la connaissance de l’infiniment petit et des langages à pratiquer pour communier avec. Ce domaine concerne aussi l’inconscient et les rêves. Autrement dit, il existe aussi une autre façon de se protéger des risques de cancer, même dans l’enfer des fourmilières qui ont pris possession des villes et des campagnes : la juste conduite du cœur intelligent et un équilibre physiologique qui ne s'obtient pas par la culture intensive de la zen attitude, ni par le "life coaching à la carte" ! Pas donné à toutes les vaches après des générations de conditionnement dans le stress et la compétitivité. Reste quelques catalyseurs, une fois encore issu du règne végétal : les champignons, champignons toujours (!) et autres plantes contenant des alcaloïdes aux divers effets psychotropes. Le hic, c’est qu’il ne s’agit pas de les consommer par dépendance et pour le seul intérêt de planer. Chacune de ses drogues naturelles ont une fonction précise et entrainent des états de conscience qui doivent être maîtrisés par l’expérimentateur. Nos gouvernements ont toujours eu une attitude très hypocrite concernant les drogues. On raffine de l'opium pour les hôpitaux, mais on partage aussi les bénéfices du deal de rue avec la maffia. Ne parlons pas des vertus stratégiques du tabac et de l’alcool! Concernant les drogues popularisées par le contexte des années 70, il s’agissait de mettre l’accent sur l’incontournable THC, qui ne confère que peu de modification de l’état de conscience, contrairement aux acides et autres réjouissances. La grande expérience psychédélique et l'âge d'or du show-business! Sexe, drogue et rock’n’roll. Depuis ce dérapage et cette révolution instrumentalisée des mœurs, que l'on doit à nos laboratoires idéologiques, la drogue est un secret de polichinelle et une nécessité dans le milieu des soins palliatifs, mais en aucun cas un sujet d'étude concernant "la médecine de l'âme" (terme animiste). D’une main je fais passer la drogue et de l’autre, je verbalise le consommateur en donnant l’illusion d’une ferme, mais bienveillante sécurité aux parents. Du point de vue animiste, certaines plantes dîtes hallucinogènes, confèrent aux initiés les plus aboutis la faculté de suivre le cheminement d’une des voies menant au langage conscience/matière, ou Homme/nature, si vous préférez. Cette voie n’est évidemment pas le réductionnisme, nous pouvons la définir comme liée à la voie sémantique pure, non « retranscriptible » en terme matérialistes. Des artistes ont tenté d’exprimer ce langage et ses expériences, mais le résultat est nécessairement très insuffisant, disons incomplet. Certains de ces états de conscience peuvent être atteints par méditation, néanmoins l’homme a encore fort à  faire pour reproduire en lui tout ce que la nature peut lui dire depuis toujours.      

L’orgueil des nations et leurs actionnaires craignent plus que tout le retour de l’intelligence humaine, de Peter Pan et des variables imprévisibles de la nature sauvage ! Ce sont des déterministes absolus dont le déterminisme n’est qu’une excuse aux monstruosités qu’ils engendrent. Mais leur « croyance » matérialiste possède aussi un autre atout, une arme absolue contre l’épanouissement biologique et mentale de l’Homme : tout est déterminé, tout n’est que causalité mesurable et nous n’avons donc aucune liberté réelle, aucun libre arbitre et donc aucune responsabilité ! Un prétexte idéal pour soumettre les vaches à une IA par défaut, démocratique ou non. Un système d’exploitation dont la justice nécessairement corrompue fonctionne pourtant à merveille, par compensation et principe de précaution. Le nouvel accord tacite dont nous avons hérité en suivant les ampoules et les promesses du siècle des Lumières.               

Avant de conclure, parlons de nouveau de docteur nature :

Tout être vivant est naturellement conduit vers les remèdes qui le concernent, dont il a déjà manqué et dont il aura encore besoin. Ce phénomène est motivé par différent canaux : les 5 sens, l’instinct, la mémoire, le rêve, la passerelle entre le conscient et le non conscient et enfin le microprocesseur (la raison métabolique et analytique pourrait-on schématiser). Au-delà encore, existe un autre sens et non-sens à la fois : la faculté de lecture des signes qui s’offrent à nous, comme des messages codés dans l’espace-temps et manifestés en filigrane derrière la barrière grossière de la causalité mesurable (dans le sens matérialiste du terme mesurable). J’insiste, tout être vivant est conduit par son horloge biologique vers les remèdes naturels qui le concernent !

Mais pour cela il ne faut pas que cet être soit un animal domestiqué et avili par un quelconque système d’exploitation. Ce genre d’animal de ferme est conditionné à attendre sagement que le fermier lui administre sa médecine de troupeau, dans le cas contraire, sans son maître, il se laisse mourir. N’ayant plus le moindre intérêt compatible avec le serment d’Hippocrate, nos exploitants de masse produisent donc des médicaments de plus en plus génériques, provoquant nombres d’effets secondaires, entrainant le bétail dans la consommation d’autres médicaments et affaiblissant leur système de défense naturel. Ce dernier phénomène d’affection physiologique à long terme se cumule au fait que les médicaments vendus atténuent souvent les pathologies, mais sans en guérir totalement le patient/client. Autrement dit le sujet se soumet de lui-même, indolemment, à une dépendance totale vis-à-vis du système d’exploitation et jusqu’à la fin de ces jours. Aujourd’hui, rares sont les morts qui n’ont pas été lentement tué par un ou plusieurs médicaments. Les autres faisant partie des victimes de l’alcool, des drogues, du tabac industriel, du réseau fructueux de l’automobile ou de la maladie propre à la dégénérescence de l’horloge biologique humaine : le cancer. Rappelons que le cancer, outre la dégénérescence mentionnée, est aussi provoqué par toutes les consommations compensatoires relatives à notre mode de vie morbide : la malbouffe, la sur bouffe, la toxicomanie et toute forme d’addiction aux substances passant par les orifices donnant accès à notre ingénierie intérieure. Sans parler du cancer, notons ici que le consentement contrarié à un lent suicide par les drogues, est le cauchemar relatif au mal être qui ronge nos nouvelles générations.

Fait divers, fait quotidien : la respiration d’un air pollué n’est pas une addiction, mais une intoxication à la fois involontaire et pourtant consentie communément par accord tacite. Un facteur de mort programmée, légué à nos enfants avec notre accord… TACITE (4)! 

Bon documentaire !     

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L’instinct de mort en goguette

11 Avril 2020, 16:45pm

Publié par Persone

L’instinct de mort en goguette
L’instinct de mort en goguette

Le gouvernement a signé le contrat tacite de l’austérité modérée, le seul que les gaulois romanisés, puis endimanchés à grands coups de rituels avant d’être tacitement émancipés, étaient en mesure de respecter. Le troupeau joue le jeu, on évite le pire.

Seulement voilà l’été qui s’annonce, derrière un printemps du solde de tous comptes…

Les saintes glaces passent, le soleil brille, les braves gens sortent, s’enhardissent, revêtissent leurs bermudas, leurs sunglasses. Les mâles exhibent le biceps et les femelles sortent la mini… Enveloppe tatouée, enveloppe immaculée, enveloppe charcutière. Hormis la police, honte à ceux qui oseraient les remettre en question. Le positivisme est de mise ! Le ministre est bien embarrassé. On ne cultive pas des individualistes pendant plusieurs générations sans conséquences. Souffrez, mais aidez-vous comme vous le pourrez nous susurre l’Orgueil des nations en pleine déchéance… Toutes les formes de catharsis sont invitées à participer à l’effort funeste.

Rien d’étonnant à ce que le New Age ait de nouveau le vent en poupe, malgré la désillusion manifeste des seventies et toutes les preuves ayant révélé cette fumisterie intéressée, pour ne pas dire pyramide de Ponzi, version charlatanisme spirituel. L’Eglise profite aussi du moment, tout autant que son ennemi de longue date, celui qui coupa les têtes : l’empire et son grand come-back. La république cultive dorénavant un individualisme patenté, pragmatique et motivé par le déterminisme expérimental (empirisme et fatalisme). Notons aussi l’arrivée d’un nouveau challenger incontournable : le nihilisme. Ce dernier semble appuyé par le grand savoir de l’Homme moderne, dit amélioré, moyennant quelques entorses à la logique et au protocole scientifique. Nous connaissons la célèbre chanson : « les dernières découvertes le prouve, le hasard est roi, la vie n’a aucun sens et nous ne sommes rien, n’ayez donc crainte, la mort nous va si bien ». Nous retrouvons ici tout l’échec de la théorie karmique fondée sur une mauvaise interprétation de la causalité : la voie sous le ciel est impénétrable et vous avez suffisamment de vie pour comprendre qu’il faut accepter la vôtre sans résister. Un point pour les dominants, zéro pour les dominés. Les bouddhistes, et en particulier le Tibet, payent très cher cet aveuglement de la force tranquille.

Quelle charmante basse-cour, quelle jolie ferme en foire, quel puissant système d’exploitation !

Revenons à nos moutons :

Le soleil brille, Osiris est votre guide, oubliez Seth et ses sombres prophéties (humour noir égyptien). Depuis les premières chaleurs, l’air est de nouveau moins pure, les passants passent, les voitures font de nouveau vroum-vroum, les motards se lâchent, les trottinettes électriques tètent de nouveau les mamelles de la grande putain nucléaire.

Donnons-nous enfin les moyens d’accorder cœur, tripes et raison : Rendre hommage à la joie et au désir de vivre, qui nous immunisent contre le désespoir (psyché/métaphysique) et la maladie (métabolisme/physique), ne veut pas dire positiver aveuglement. Aveuglément, comme des premiers de la classe ayant bien retenu leurs leçons, ou comme des singes brandissant les objets de bonheur synthétiques qui les ont poussés au pire.    

Il n’y a ni bible, ni paradigme matérialiste de la bonne santé qui puisse annuler toute la subtilité et l’ambiguïté de la vie ! Croire l’inverse revient à accepter d’être une machine gouvernée par des machins. Être une intelligence artificielle soumise à un système d’exploitation incarné par l’orgueil humain.  

Il serait temps de comprendre toute l’indécence de la croissance mal acquise des grands vainqueurs d’une histoire écrite… par les vainqueurs ! Toute l’indécence d’une sérendipité occidentale qui a acquis ses droits sociaux en pompant les richesses et la sueur de ses colonies. Non pas seulement la sueur, mais le sang aussi. Celui des africains par exemple, que l’on fouettait jusqu’aux os pour que ces êtres, jugés inférieurs, comprennent le sens de leurs responsabilités envers les maîtres. Des hommes auxquels nous faisions porter autour du coup de sombres colliers garnis de petites mains coupées, celles de leurs enfants lorsque la famille était soupçonnée de fainéantise. Parlons du progrès, qui se caractérise par moins de barbarie manifeste, mais plus de morts, plus de bénéfices et le consentement tacite d’un continent ravagé par la dégénérescence entretenue. La néo colonisation est un terme qui sonne creux pour des blancs becs galvanisés par le sexe, la drogue et le rock’n roll. Des dépigmentés, comme je le suis, fiers de leur univers d’ombre et de béton qui fantasment sur la guerre des étoiles en pleine guerre froide. Nous avons été plus cléments avec l’Asie, elle a su montrer patte blanche jusqu’au retour de bâton ! « Qu’ils sont polis et croquignolets ces bridés, il paraît que leurs femmes ont un vagin étroit et maîtrisent des techniques sexuelles à faire pâlir un Héliogabale ». Les japonais ont voulu jouer les durs à cuire, mais ils ont compris la leçon en appréciant notre virilité nucléaire !... Une petite pensée vers la Russie s’impose : cette grande Russie qui nous a libérés en payant le plus lourd tribut de guerre (8 à 11 millions de pertes militaires), avant que nos alliances s’accordent hypocritement sur les modalités du démantèlement de son Empire impitoyable. Dois-je parler du sort et de la réputation que l’on réserve aux juifs depuis quelques millénaires ? Ces juifs dont on parle comme s’ils étaient tous les mêmes. Dois-je parler de l’Algérie et de nos nouvelles guerres « propres » menées au Moyen-Orient ? Dois-je parler de l’Amazonie et de ce bassin expérimental qu’est devenue l’Amérique du Sud depuis la seconde guerre ? Dois-je évoquer le cimetière sur lequel repose l’Australie ? Dois-je rappeler ce que les règnes animal et végétal endurent depuis que nous suivons les toutes puissantes Lumières ? Est-ce assez ? Trop peut-être pour votre tête déjà si fatiguée, si malmenée par le flot d’informations infâmes et stériles délivrées par la sainte télévision ? Ou par ces petits écrans qui depuis quelques décennies justifient à eux seuls la raison de votre esclavagisme social ?

Toute cette bonne conscience plus misérable que la misère, nous la retrouvons aujourd’hui dans la rue : on pense à l’économie, on s’inquiète pour les INTERETS, on pense à la relance et à la fin du confinement, on pense été, on pense mode, on sort les jupes, les bermudas et les sunglasses, les voitures font vroum-vroum bravant le confinement… Tout ce cortège de légèreté se dévoilant sans scrupule devant les familles des bientôt 14 mille morts qui ont et auront succombé à un fléau 3.0 dont nous sommes tous responsables.

Je les sens venir les positivistes et autres coachs de la santé individualiste à 70 dollars la séance… « Quel neurasthénique celui-là ! Il faut bien que… » N’osez même pas finir ici votre misérable sentence ! Nombre d’entre vous ne sont plus que les piètres bouffons, les bonimenteurs ou les harangueurs de foule d’un roi déchu qui nous ronge de l’intérieur. Respecter un deuil à l’échelle planétaire et avoir l’honnêteté intellectuelle et emphatique de se repentir pour nos manquements, n’est pas se morfondre ! La bonne conscience tissée autour de nos crimes les plus infâmes, souvent commis par procuration, nous a fait perdre notre latin, notre raison et notre cœur. Avilissement tacite.

Comment l’Homme pourrait-il demeurer un être de raison ou jouir encore d’un quelconque accord harmonieux entre ses sentiments après avoir consenti hypocritement à tant de monstruosité ?

Sans le retour de Cassandre, Thémis, déjà mise en lambeaux, quittera bientôt la cité… Le pire est à craindre.

Le principe de précaution tacite qui mine nos empires, fussent-ils romain, chrétien ou un puissant cocktail des deux, fussent-ils autoritaristes, obscurantistes ou démocratiques, nous pousse lentement vers les affres de l’isolationnisme et de la fermeture des frontières entre états à la fois compétitifs, conflictuels, mais interdépendants.

Alors apocalypse et révélation ou apocalypse avant révélation ?

Affrontez-vous enfin vous-même.

Déconstruire et réparer.   

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Pandémie tacite

7 Avril 2020, 16:26pm

Publié par Persone

Pandémie tacite
Pandémie tacite

Bonjour à tous,

La science ne trompe pas dit-on. Pour la simple et bonne raison que son protocole de base, sa règle N°1 est de ne rien affirmer, ne rien déclarer comme juste, tant que l’ombre d’un doute subsiste. Mais la science n’est ni le scientifique, ni l’Homme, et encore moins les lignes éditoriales qui la font parler. Que se passerait-il si des journaux scientifiques passant pour des sources sûres aux yeux de tous dérogeaient à cette règle N°1 ? La même chose que lorsque les médias et les autorités gouvernementales les contrôlant, autrement dit des institutions jugées comme fiables par les peuples, ont délibérément menti pour endormir les masses et pour retarder la prise de conscience collective de leur échec… Jusqu’à ce qu’une catastrophe majeure bouleverse la donne. La relance et la grande métaphore après l’horreur suffisant largement pour que les survivants, d’un commun accord, se jurent de ne pas regarder en arrière et d’aller de l’avant. Pour les irréductibles et les intellectuels les plus affutés, l’empire a prévu le verrouillage des archives pendant 2 générations (chiffre moyen concernant les pays démocratiques depuis la seconde guerre mondiale).

Pour citer deux exemples  typiques :

  • L’Espagne a été la première à déclarer publiquement la pandémie de grippe espagnole due à la mutation d’un virus classique pour cause d’élevage intensif d’espèces aviaires. Ne pas mélanger les poules, les vaches et les cochons dit-on ! Pourquoi les journaux et les autorités des pays voisins n’ont-elles pas réagi alors que les observateurs sanitaires y faisaient le même constat ? Parce que ces pays voisins étaient impliqués en tant que belligérants ou alliés actifs dans la première guerre mondiale. En clair : secret militaire, secret défense, secret d’alliance et fardeau du mensonge sur lequel repose le pouvoir, partagé tant par les attaquants que par les attaqués.
  • A l’aube de la seconde guerre mondiale, le gouvernement français n’osait imaginer que l’allié américain  jouait un double jeu en acceptant de ruiner l’Allemagne par un crédit toxique pour nous satisfaire et s’enrichir au passage, tandis que nombre de ses lobbies sympathisaient avec le futur Reich, spéculant sur l’industrie et la machine de guerre Allemande. De nombreux opposants et des intellectuels de bonne renommée s’affairaient pourtant à sonner l’alarme, mais le poids des alliances outre-Atlantique les fit passer pour des épouvantails de mauvais augure. Une majeure partie de notre échec militaire et de notre défaite repose sur ce point. Or, pour revenir à nos moutons et à nos bergers assermentés, il se trouve qu’à l’époque, nous pouvions lire dans la première de couverture du journal « Le Monde », que la guerre ne durerait pas, si tant était que les allemands ne se rendissent pas dès le départ. Dans les détails, le journal stipulait aussi que les munitions et les canons allemands étaient de telle mauvaise facture, que notre armée ne craindrait pas grand-chose !

La science, c’est comme « Dieu », elle n’est pas l’Homme et encore moins l’institution qui le gouverne par défaut, par accord tacite.

Pourquoi une telle introduction ? Parce que quelque chose m’inquiète profondément dans les médias… Honnêtement, accablé par des épreuves personnelles lourdes à porter, je dois constater que des forces impitoyables se dressent entre l’individu que je suis et son devoir collectif. A ce jour, je pensais stopper l’écriture et le partage, devant me concentrer sur mes propres épreuves en me contentant, au mieux, de corriger un ouvrage important en attente d’édition. Une simple lecture m’a rappelé à l’ordre : je viens de découvrir un article de Futura-sciences censé démystifier les théories de d’élaboration volontaire du virus Covid 19 en laboratoire. Après lecture et relecture, pas un doute ; ne pas écrire, ne pas réagir, ne pas dénoncer l’imposture aurait été criminel ! Alors je partage, dussé-je y sacrifier une énième nuit supplémentaire et me ronger encore un peu plus les os.

Il y a peu, un ami militaire, ayant travaillé dans les Renseignements Généraux, m’a confié : tu t’échines à expliquer des choses volontairement complexifiées et codées à des abrutis qui préfèrent rester aveugles ou profiter de la situation en demeurant borgnes. « Trop bon, trop con ». Je lui ai répondu, même les pires des cons et les chefs d’escadrille parmi les salopards ont des enfants en bas âge, de malheureux animaux et des plantes vertes… Je travaille  pour eux. Sauf notre respect mutuel, je te dirais « trop malin, trop malin, celui qui comme Ulysse… L’information est un courant de faible tension qui ne s’arrête pas aux bêtes, elle ne fait que passer par elles ». Son œil de légionnaire n’a pas compris, son œil de génie militaire si !  Voilà qui m’a évité un bourre pif.

Le journal en question, Futura sciences donc, fait parler la science en son nom et donne la preuve indubitable, je ne démens pas l’étude, que le virus est trop complexe et trop  adapté à l’Homme pour être le fruit d’une élaboration en laboratoire par manipulation génétique d’ordre artificiel, c’est-à-dire conduite par la main de scientifiques directement sur une souche existante ou par implant sur un squelette synthétique. Malheureusement le journal conclut aussi ceci : « Les caractéristiques du coronavirus excluent la manipulation en laboratoire comme une origine potentielle pour le SRAS-CoV-2 », insiste Kristian Andersen. De quoi mettre fin à toute spéculation de manipulation de génie génétique délibéré.

Réfléchissons un peu : mettre en présence deux créatures différentes, atteintes respectivement par deux virus différents, mais compatibles "sexuellement", c’est aussi de la manipulation génétique ! Et que peut-on obtenir en pratiquant une telle expérience sur de nombreux cas avec un bon protocole ? Un nouveau virus mutant doté de nouvelles capacités et qui aux yeux de tous, preuves à l’appui, aura muté naturellement.

Ce qui m’inquiète ici :

Vraisemblablement, notre nouveau virus semblait le fruit de cette hérésie qu’est la culture intensive (mutation des souches virales entre les espèces aviaires, les cochons, les bovins, tout ce que mangent les chinois et l’Homme). Profondément agacé par l’arnaque et les instrumentalisations de la théorie du complot, loin de moi l’idée de rejeter cet avis raisonnable, qui n’en est pas moins alarmiste concernant la nécessité absolue de changer notre mode de vie suicidaire et ignoblement criminel, meurtrier, envers les espèces animales et végétales.

Mais comment ne pas vaciller en constatant qu’un magazine ayant l’aval de la communauté scientifique brise la règle N°1, en affirmant une ineptie qui non seulement lui fait risquer sa réputation, mais qui de surcroit va donner raison aux cervelles les plus affûtées œuvrant pour la théorie du complot ?

La religion, le droit divin, la justice, la science… Lorsqu’une autorité suprême se contredit elle-même, il y a fort à parier que de terribles et funestes intérêts corrompent leurs représentants.

Je vous conseille ici de revenir sur mes articles précédents concernant le contexte géopolitique actuel, la nouvelle prégnance de nos millénarismes et l’échec total de notre consensus démocratique à l’échelle globale. Un échec programmé, causal, dont la transcription chrétienne fait mention à travers la notion d’accord tacite. "Libérez Barrabas et crucifiez le corbeau de tempête qui fait mauvais hôte chez les marchands et consommateurs que nous sommes". Le début de la fin pour la Pax Romana… Et une conversion des bourreaux qui ne suffira pas à relever l’Empire.  

Au Sud,  la colère, la faim, la soif et la rancœur. Au Nord, le royaume de rois déchus et oubliés de nos mémoires, la terre froide et désolée du gêne Ötsi. Entre l’Est et l’Ouest, une guerre larvée et déniée depuis trop longtemps, dont les tambours mortels sonnent de nouveau.

A qui servirait un acte volontaire ?

Au terrorisme peut-être, du moins aux terroristes prêts à se sacrifier comme Samson contre les philistins ou comme un fanatique capable de se faire sauter le caisson pour égratigner le soft power de la bonne conscience.

Et plus encore à une élite en face de son échec à gouverner les peuples, une élite rompue à l’empirisme et consciente que seules les masses les plus pauvres et les plus faibles ne survivront pas à une arme bactériologique/virale. Un acte écologique et un terrain favorable pour la reprise…

Le millénarisme religieux, l’extrémisme politique et les laboratoires idéologiques de la raison des vainqueurs !

Les services de renseignement de nombreux pays dits non alignés, travaillent ces trois pistes. Mais gardons ceci en mémoire : que ce virus soit le fruit des cultures intensives propre au moteur corrompu de notre croissance ou celui d’une manipulation génétique, le résultat sera le même. Un catalyseur, un déclencheur de la mécanique de la ruine.

Quelques associations logiques :

  • Austérité, autorité, perte des droits, principe de précaution drastique !  Pour garantir aux vaches que nous sommes, une apparente sécurité… ça c’est le cas d’un virus naturel et d’un consensus global, en la faveur du Nouvel Ordre Mondial et des spéculateurs ou politiques responsables de tout ce désastre. Que le virus soit « naturel » ou « artificiel ».
  • Le virus élaboré volontairement, faut-il le dire, c’est le premier chapitre de la guerre totale.
  • Et enfin, l’austérité passagère, le confinement en attendant l’investissement de tous dans le système de santé, l’annulation des dettes, le contrôle de l’inflation par la reconquête de la souveraineté des états sur la monnaie et sur la main invisible de l’économie ultra-libérale, la réparation du système judiciaire et enfin la réforme des institutions religieuses, ça c’est la sortie de crise sanitaire et la construction possible d’un nouveau monde. Que le virus soit « naturel » ou « artificiel ».

La troisième option est impossible, si les forces en présence ne se heurtent pas au seul mur auquel elles ne s’attendent pas : la vérité ! Ça fait sourire les babines, non ? Rien d’étonnant, la vérité, personne ne l’attend plus. Au mieux, la notion nous fait ricaner, au pire elle nous emmerde et devient très vite insupportable, incompatible avec notre petite vie. C’est pour cela que la vérité est ce qu’elle est et que personne ne peut lui échapper, ne la voyant jamais venir. Elle ne vient pas, elle est partout, invisible, sous nos pieds, sous notre pif éternellement enrhumé. Trêve d’énigme, la vérité, c’est le code source du langage. Il existe une science que l’on oublie souvent, alors qu’elle est au cœur de toutes les sciences. Par elle la parole est devenue écriture, par elle l’écriture a expliqué la parole et tout ce qui peut être signifié… La sémantique. Lorsque l’on comprend qu’elle inclut les autres sciences (arithmétique, géométrie, mathématique, musicologie, physique…), on réalise aussi que plus qu’une science, elle est un art pouvant nous conduire à l’immanence du principe de la vie. Or, une maîtrise poussée de la sémantique conduit indubitablement à réinterpréter « scientifiquement » tous les paradigmes historiques nous ayant guidé dans la mécanique de la ruine pour cause d’altérités réciproques entre barbares ou hypocrites peu évolués.

Vous comprendrez ici, c’est mon vœu le plus cher, pourquoi j’insiste tant depuis toutes ces années pour attirer votre attention sur le fruit de mes recherches et surtout, sur mes découvertes. Force est de constater que mon ami militaire n’a pas complètement tort et que je progresserais mieux si je n’étais pas autodidacte et suivi par quelques sponsors ! Si je ne m’adressais pas par défaut de relations à des internautes passifs, orgueilleux, parfois idiots ou satisfaits de leur opportuniste intelligence, pour reprendre l’idée de ce brave soldat torturé par le poids conséquent de son génie militaire. Quelques chiffres : 40 000 passages sur mon blog depuis 10 ans sans pub et 7 fois plus d’articles lu, la même chose sur les réseaux dits sociaux en 3 ans, mais seulement une cinquantaine de commentaires, tous plus plats les uns que les autres. Sur facebook, le « number one », une foule de passages et de curieux, mais seulement une centaine d’abonnés silencieux et une dizaine d’amis « électroniques » fiables dont la moitié seulement maîtrise l’art du langage ! Parmi mes fréquentations, la plus honnête m’a confié un jour : « je ne partage pas tes articles parce que j’ai peur qu’on me prenne pour un torturé des méninges ». Amour propre ! Ou plutôt maladie collective, connective, de l’amour propre.  Un autre, prudent, m’a dit : « moi je ne partage pas parce que je ne tiens pas à être surveillé par quelque autorité que ce soit ». Isolationnisme, hypocrisie, peur.

N’y a-t-il plus le moindre espoir en vous ?

L’allégeance, la soumission, l’opportunisme, le sophisme, (…), ou l’illusoire  confort de l’ignorance sont-elles les seules forces qui vous animent ? L’auto satisfaction peut-être ? Avec un orgueilleux sentiment de supériorité ou d’infériorité ?  

Par acédie ? Par envie ? Par colère ? Par luxure ? Par gourmandise ? Par avarice ?... Ne fuyez pas ce qui caractérise votre nature, mais n’en faites pas une somme de péchés !

L’accord tacite est le pouvoir qui perpétue nos habitudes et légitime notre suffisance.

Ensemble conjurons les faux imbéciles que nous sommes !

Ensemble poussons le mal, qui n’a ni forme, ni nom, ni légitimité ici, à démasquer sa vraie nature !

Il en guérira et la part des ténèbres épousera de nouveau la lumière que nous avons perdue.

Réparation !      

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LIVE AND LET DIE

30 Mars 2020, 16:37pm

Publié par Persone

LIVE AND LET DIE
LIVE AND LET DIE

SRAS-CoV-2

Que de stupeur, que de tremblement, que de confusion lorsqu’on écoute les propos échangés par le peu de personnes qui s’adressent encore la parole dans la rue ou en attendant leur tour devant le supermarché dont les rayons de la petite mort deviennent subitement le triste temple du Dieu de la vie. Des heures quotidiennes à s’abreuver de télé comme en période de jeux et d’arènes, des heures nocturnes durant lesquelles chacun cherche l’info que les autres n’ont pas, la bonne blague ! Et pour certains des minutes de synthèse intime, à lire des journaux qui peinent à relever le niveau du petit écran… Pour un résultat global à la mesure de l’échec de nos corps d’état. Je parle de ces entités qui servent de gouvernance collective et individuelle : IA, bureaucratie ou gouvernement concernant le collectif, âme et conscience concernant l’individu. L’un est le reflet de l’autre et vice versa. N’ayant pas de télévision et n’ayant jamais compté sur les médias pour mener l’enquête que nous devrions tous mener sur l’évolution et le sens de notre existence, je ne me réjouis pourtant pas des réactions de ceux qui affirment leur rébellion dans la désinvolture, en regardant cyniquement les vaches s’effondrer. Certes les états noient de manière bel et bien criminelle la notion de vérité au nom du principe de précaution, certes le secret militaire et la rétention d’info sont toujours de mise, pas un scoop (!), mais sans les médias principaux, comment le troupeau aurait-il réagi ? Les « gens » sont-ils prêts ? Certes il peut sembler ridicule de voir les foules applaudir et taper dans des casseroles parce que la télé leur a fixé un nouveau rendez-vous commun pour encourager un système médical dont la déliquescence n’alarmait que les alarmistes ! Pour autant, le personnel soignant dans son sacrifice quotidien, n’a-t-il pas besoin d’encouragement ? Le corps médical, faisant souvent son plan de carrière avant ses humanités est lui aussi l’incarnation d’un empirisme absolu fonctionnant par principe de précaution, faut-il le saborder pour autant ? Le navire coule, va-t-on de nouveau trouver des boucs émissaires et tuer le capitaine ? Comme nos altérités réciproques le démontrent, chacun s’échine en vain à tuer la bête. Le loup, le monstre, l’esprit de Caïn, le Léviathan (…) a pourtant toujours été et sera toujours dans la bergerie, en sommeil ou non. Tout comme un virus. Je rappelle à ce titre que nous sommes tous une intelligence métabolique dans un corps.

Homo-falsus : un orgueil agile de la langue qui finit par perdre la maîtrise du langage. Une cellule cancéreuse donc ou un usurpateur viral qui propage une mauvaise information de génération en génération, de paradigme en paradigme.   

Réparation me semble un maître mot, dans tous les sens du terme ! Faire réparation, c’est stopper la  guerre en admettant nos torts… Réparer, c’est déconstruire et comprendre… Et "repartir à Sion", dirait un alchimiste, c’est revenir au point de départ pour comprendre la mécanique de la souffrance et mériter l’alliance et la terre promise, qui ne sont ni l’accord tacite, ni le lieu que l’on imagine.

Bilan de situation :

Il est difficile de ne pas faire la relation entre la pandémie Covid et la fièvre espagnole, tout comme il est difficile de ne pas faire la relation entre cette dernière et l’Histoire biblique du cochon ! Difficile aussi de ne pas mettre en relation les expressions suivantes : « mélanger les poules, les vaches et les cochons », « trop de cultures tuent la culture », « science n’est pas conscience », « la foi n’est pas la croyance », « le fou dit ce qu’il sait, le sage sait ce qu’il dit », « si tu veux savoir le temps qu’il fera demain, attends demain », « la compétition économique n’est qu’une distinguée et hypocrite concurrence entre altérités réciproques », « l’Homme n’est qu’un singe avec une arme, arme qui se sophistique au fur et à mesure que le singe fait la grimace et oublie les fondements du langage »…

Etudions les deux options dont nous disposons depuis que tous les gouvernements ont écarté l’éventualité du « ne rien faire »…

Option 1 : l’atténuation de la propagation / Option 2 : l’annulation de cette dernière.

1. Atténuer, c’est épargner les relations sociales et la consommation d’une restriction drastique, épargner l’économie d’une chute fatale. C’est aussi imaginer que le sacrifice des plus faibles permettra d’immuniser les autres, sans prendre en considération les nombreuses possibilités de mutation du virus ! Pire, cela revient à saturer totalement notre système de santé jusqu’à sa destruction, jusqu’à ce que la mort se chiffre par centaines de milliers ou par millions pour chacun de nos continents, cause de Covid OU NON ! Une solution très déraisonnable.

2. Annuler la progression, c’est respecter les consignes à la lettre, que l’on soit un individu ou un corps d’état, accepter le confinement et l’austérité, accepter la fin de notre économie déjà au bord du gouffre et la fin de notre mode de vie tel qu’on nous l’a vendu depuis l’ère industrielle, depuis un siècle des Lumières qui portent bien mal leur nom. C’est aussi sauver notre indispensable système de santé malgré ses failles (!!!), éviter par là même une traumatisante hécatombe et ne pas subir une régression sanitaire, sociale et morale, tandis que le fruit meurtrier de nos erreurs virales se multiplie. Malgré tout, cette option de suppression/annulation n’empêchera pas le virus d’exister et de pouvoir muter. Comprendre : l’éradication pure et simple de ce dernier tient à la découverte d’un antiviral adapté et à l’immunisation (naturelle et/ou artificielle par vaccination) de tous les porteurs susceptibles avant que la souche virale n’ait eu le temps de muter en rencontrant d’autres pathogènes compatibles dans ses hôtes. Notons que la transmission homme/animal complique nettement la donne.  A l’équation, s’ajoutent les nouveaux virus qui devraient apparaître bientôt en fonction de divers facteurs comme la fonte des glaces abritant d’anciennes souches contre lesquelles nous ne sommes plus immunisés (ce n’est qu’un exemple, citons aussi celui des mutations virales relatives à la résistance à notre politique de vaccination). La folie des Hommes et les dérives de leur manipulation des armes chimiques et bactériologiques sont des facteurs non négligeables, mais le  thème est à prendre avec précaution, hors sujet ici. A noter aussi : tout comme le montre la bataille contre la grippe virale, les vaccins ne sont pas fiables à 100% en raison des mutations des souches pathogènes et du fait que tout le monde ne se vaccine pas, ces remèdes préventifs entraînant de nombreux effets secondaires. Concernant les antiviraux leur action ne consiste pas à tuer l’agent infectieux, mais à stopper sa progression (par 4 natures d’antiviraux possédant des modes d’action différents) pour faciliter le travail du système immunitaire ; ces derniers nous exposent aussi à de nombreux effets secondaires indésirables.

Pour exemple : si par politique d’anti vaccination, histoire de se préserver naturellement d’une pandémie programmée dont ils ne se sentent pas responsables, des réfractaires ne se vaccinent pas, le virus profite de la faille et continue à infecter des populations en augmentant ses chances de mutation.

Nombre d’entre nous fuient encore les politiques de vaccination pour des raisons souvent compréhensibles, voir légitime, mais force est de constater que cette béquille chimique est devenue un mal nécessaire dans une fourmilière dont le libre échangisme profite aussi aux micro-pourvoyeurs de mort. Comprendre, nous avons la société et les dommages collatéraux que l’on mérite. Les innocents, s’il en existe, ne sont malheureusement plus à l’abri des catastrophes provoquées par notre désordre global.  Pour résumer, la politique d’annulation n’est pas fiable à 100%  et il sera difficile de nous accorder tous pour la mener. Néanmoins, en épargnant entre autres notre système de santé, elle nous préserve d’une catastrophe sanitaire sans précédent, elle ruine l’économie actuelle et nous contraint à une nouvelle donne mondiale concernant notre mode de vie, concernant la reprise de contrôle des états face à la dérégulation financière et concernant la nécessité de remplacer l’accord tacite par un consensus humainement partagé par tous. Le virus lui-même nous impose le changement drastique de notre mode de vie : ne pouvant l’éradiquer totalement, nous devrons apprendre à vivre avec en contrecarrant sa capacité de progression et cela, nous ne pouvons le faire en perpétuant nos paradigmes actuels et nos millénarismes dissimulés. Certes notre système actuel pourrait survivre à cette première vague virale si la politique de suppression ne dure pas trop, mais une véritable politique de suppression sous-entend une vigilance totale pour éviter une seconde vague « mutante » qui imposerait des restrictions bien plus drastiques encore. Autrement dit, si nous nous contentons d’une politique d’atténuation ou si nous nous relâchons dans la pratique de la suppression, il y a de fortes chances, comme dans le cas de la grippe espagnole, que la seconde vague soit dramatiquement meurtrière. A l’heure actuelle, il semble qu’aucun gouvernement ne soit en mesure de définir vraiment la durée d’une politique de confinement idéale. Si l’économie se fait l’avocat du diable, il est possible que l’idée d’une relance favorisée par une hécatombe soit considérée par certains comme un mal pour un bien. Comble de l’empirisme, l’empire solitaire de Thanos selon les nouvelles "prophéties" épiques du cinéma américain. 

Note à propos de la mutation, des mutants et de leur caractère « prophétique/darwiniste » : la mutation des agents pathogènes ou créateurs de vie tient, comme nous l’avons vu de probables fusions entre sources virales pathogènes en la cellule infectée, mais aussi d’une simple adaptation du virus à ses hôtes ou encore à une reproduction dite sexuelle ou hermaphrodite de la souche, ceci pouvant aboutir à des mutations hasardeuses exceptionnelles des cellules filles lors du séquençage. Or, nous savons que Covid mute, reste à savoir comment et à quel point il est susceptible de le faire. Tous les virus n’ont pas le même pouvoir de mutation et nos espoirs reposent beaucoup sur l’incapacité de mutation de cette souche au-delà d’une certaine ampleur. Les informations manquent encore sur le sujet, une raison de plus pour un accord mondial qui réduirait les budgets les plus consuméristes (militaires, conquête spatiale, entropie du système de compensation matérialiste…) au profit des plus écologiques et respectueux du vivant sous toutes ses formes. Au diable le pouvoir par le fouet, au diable l’union par le glaive, au diable la révolution permanente des humanistes. Stupides, belliqueux, amnésiques et hypocrites compétiteurs que nous sommes. 

Vous l’aurez compris à travers ce texte, l’option de l’annulation demeure notre meilleure chance d’éviter le pire, si et seulement si l’Orgueil des Nations et les sommes d’individus dont il est le reflet respectent les règles du jeu et suivent la délicate et subtile voie du milieu malgré les forces de l’extrême qui s’abattent légitimement sur le monstre collectif que nous avons incarné. Si et seulement si la transparence et le réveil des consciences annule et remplace l’accord tacite.

Aujourd’hui, la main invisible de l’économie mondiale ne vaut pas mieux que ce Dieu fourre-tout et opportunément tout puissant imposé par nos différentes POLITIQUES religieuses ! Pire encore, ce nouveau Dieu de la croissance est un cerbère armé qui veille à ce que les troupeaux soient menés dans l’enfer des abattoirs. Devant une entreprise humaine aussi corrompue que la nôtre, les complots et il y en a toujours eu de toutes sortes, ne sont que de tristes cerises empoisonnées sur un gâteau pourrissant. Soulignons encore que les théories dénonçant le grand complot unique, sont souvent du foin pour faire fantasmer les vaches en nourrissant au mieux quelques romanciers, au pire quelques sombres lobbies. La nature nous avertit depuis longtemps dirait une personne âgée, un enfant aurait probablement des mots similaires. La vérité, lorsqu’elle n’est pas exprimée par la sagesse, sort de la bouche des enfants !

Hors poésie, hors métaphore, hors adage, j’insiste donc sur la notion de langage. Tout est ici.

Un accord mondial dépend implicitement de notre faculté à retrouver notre latin, notre grec, notre sanskrit (…) et nos devoirs d’humanité avant de reprendre le cours de notre expérience. Le langage est immanent et nous révèlerait bien des choses si nous méritions la clé de la boîte renfermant ses secrets. Travaillant sur cette question depuis plusieurs années, j’ai constaté que la maîtrise de la sémantique permet de traduire et d’unir tous nos langages. Cette pratique conjuguant l’art de la sémantique, de la géométrie, de la musique, de l’arithmétique, de la sommation, de la philologie, de la sémiologie et de la cryptologie ouvre entre autres le champ d’une réunion des connaissances et d’une nouvelle traduction des saintes écritures de l’empire judéo-chrétien. Or cette nouvelle lecture manifeste clairement l’origine de la mécanique de la souffrance, elle clarifie l’opacité de nos mensonges et de notre hermétisme réciproque et elle offre une possibilité raisonnable et irrévocable de réconciliation pour tous. Sont concernés les susceptibilités religieuses, réductionnistes, politiques et artistiques, sont concernés les juifs, les chrétiens et les musulmans, laïcisés ou non, sont concernés les forces les plus obscures se dressant à l’Ouest, à l’Est, au Nord et au Sud.

Sont concernés le langage et les liens brisés entre l’Homme et la nature.

Certains parmi mes proches savent quelles épreuves je traverse parallèlement à ces temps funestes. Aujourd’hui chacun devra apprendre à sacrifier ce qu’il a de plus cher. Pour ma part, ayant déjà tout sacrifié depuis des années à mon enquête, à mon sacerdoce, la vie a décidé qu’il ne me restait plus qu’un don à faire, celui de mon enfant. Que dire, que faire, misérable que je suis, si ce n’est partager le peu d’espoir et de raison qu’il me reste. Voilà chose faite.

Je vous souhaite à tous bonne compréhension, que la force soit avec vous et vous accompagne pour protéger la grâce et l’innocence évanescentes qui demeurent néanmoins entre ciel et terre.   

A Hannah.   

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Le diable nous va si bien...

17 Février 2020, 12:22pm

Publié par Persone

Le  diable nous va si bien...

Les animaux domestiques sont conditionnés à entretenir une distinguée concurrence et n’apprécient guère que l’on brise les chaînes de leur hermétisme réciproque !

Ne croyez  pas que votre sphère privée soit épargnée : dans un enfer collectif, les conflits de voisinage vous procurent un sentiment d’existence. Le mirage standard et les déterminismes respectifs masquent le pacte que vous signez avec le diable : une servitude globale, passive, indexée sur l’illusion de la croissance et de l’intérêt commun.

L’hermétisme, on ne sait pas bien ce que c’est, voilà qui arrange tout le monde.

La grande ferme contemporaine est éclectique, cochons, poules, moutons, vaches ou dindons de toutes origines s’y épanouissent en chœur… Ainsi que les loups, les requins ou les serpents sans frontière guident ce cheptel enfin domestiqué vers le haut lieu de la transformation !

 

Le  diable nous va si bien...

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Guerre des sexes et menace nucléaire

12 Janvier 2020, 16:12pm

Publié par Persone

Peinture de Niki de Saint Phalle, Agapes et catharsis, guerre du feu...
Peinture de Niki de Saint Phalle, Agapes et catharsis, guerre du feu...
Peinture de Niki de Saint Phalle, Agapes et catharsis, guerre du feu...

Peinture de Niki de Saint Phalle, Agapes et catharsis, guerre du feu...

I – INTRODUCTION : thèses, antithèses et confusion générale…

« Le féminisme inquiète », s’étonnent les dignes héritiers des seventies et de la douche de bien-pensance  des eighties ! A 50 ans à peine, certains ressentent tout le poids que leur propre génération a fait peser sur les épaules de la vieillesse. Dans les années 90 et plus, il fallait attendre d’être  grabataire pour ne plus se reconnaître dans le monde qu’on avait pourtant contribué à créer, maintenant les choses vont vite, beaucoup plus vite ! Notons aussi que toute révolution entraîne son lot d’excès et met en jeu un empirisme de type « avalanche contrôlée par défaut », si les problèmes de fond ont été contournés par la dite révolution. C’est un simple phénomène d’accélération de l’entropie d’un système, c’est aussi un choix de gouvernance et d’accord tacite avec le peuple, un choix qui porte un nom : le consumérisme.     

Parenthèse : ce terme venant d’un anglicisme, nous nous sommes arrêtés à une signification simple définissant l’action du consommateur (consumer). A ses débuts le mot n’évoquait pas de notions négatives. Même aujourd’hui, alors qu’il est implicitement lié à l’anthropocène, les définitions et l’étymologie retenues pour le  désigner ne mentionnent toujours pas sa véritable origine sémantique : le fait de consumer, de transformer en dépensant beaucoup d’énergie ! L’origine latine « consumere » désignait le fait de TOUT manger, tout absorber, de détruire complètement, d’user, de miner, d’anéantir… Autant dire que depuis le Commonwealth, les anglais ont perdu leur latin ! Bien avant la commercialisation du monde et le nivellement des peuples par le bas, ces derniers exerçaient leur humour british sur la double signification du terme.  Les français ont quant à eux choisi de marquer une différence entre consumer et consommer, « consommer » faisant référence à prendre une somme ensemble. Autrement dit, partager. En somme, nous avons tous perdu notre latin !     

En quoi consiste donc « une avalanche contrôlée par défaut » ? Demanderont les plus sceptiques ! Il y a de nombreux exemples en matière de physique ou de mécanique, tout comme en matière de  politique ou de métaphysique. Comme  nous venons de l’évoquer, cela peut consister à placer nos problèmes particuliers au centre de  nos  préoccupations et de les solutionner, sans en avoir identifié la source. Par exemple, en plaçant la féminité au centre pour résoudre le problème de la femme, on obtient le féminisme, tout comme en plaçant l’Homme au centre pour résoudre le complexe de l’humanité, on obtient l’humanisme. La guerre des « ismes », ce fléau qui  a toujours poussé les opportunistes au profit et les gouvernances vers la démagogie ! Quelques exemples : humanisme contre hiérarchisme, féminisme contre machisme, conservatisme contre progressisme, collectivisme contre libéralisme, etc…   Il s’agit ici de mesurer toute l’énergie qu’il faudra fournir et transformer pour satisfaire l’obligation de résultat dont dépend l’accord tacite de paix dans la cité : des compensations matérielles, des béquilles psychiques ou médicamenteuses et surtout du travail pour occuper le  troupeau en conflit, des lois et des armes pour que chacun reste à sa place, et une croissance dont chacun dépendra au-delà des maux  qui le ronge…  La maison mère de la croissance qui nous allaite tous, un complexe too big to fail ! On en revient à notre résultat final : consumérisme et anthropocène.

« Mais bordel, qui pourrait bien s’inquiéter du féminisme en dehors de cette foutue causalité sur laquelle le commun des mortels n’a ni le temps, ni l’envie de méditer ? » Vont s’écrier les irréductibles !

Des bébés gavés de produits de synthèse et en manque du sein maternel par exemple, ou des enfants déjà  privés de la présence quotidienne d’un père, qui aujourd’hui doivent se passer des deux parents pour  être « animés » par des professionnels jusqu’au manger et dodo. Ces derniers ayant des parents très occupés le week-end et très préoccupés en vacances, ont aussi de « magiques » petits et grands écrans pour les éduquer… Pour premiers exemples. Citons aussi les dégâts du militantisme acharné ou des dérives du MLF, citons la transformation de la femme en Homme pas comme les autres, citons les homosexuels contrariés qui après avoir été victimes de pères  abusifs ou attoucheurs depuis Mathusalem, se retrouvent face à des mères castratrices depuis l’Antiquité… En version 3.0 depuis ce début de Janvier, en route pour le troisième  millénaire ! Mais remarquons encore de nombreuses femmes qui s’inquiètent des dérives du féminisme et de son instrumentalisation : celles  qui conçoivent que les mâles les plus prédateurs se satisfont parfaitement de la pilule, de la fête du slip organisée et de la nouvelle prédation sexuelle des femmes devenues des Hommes pas comme les autres ! Pourquoi ? Pour tirer leurs coups sans lendemain avec l’accord de  tous ! Encore un accord tacite. Pornographie et hygiène organisée, rien de nouveau sous le soleil… CQFD.

Note à l’attention de tous ceux qui seraient tentés de me faire dire ce que je ne dis pas : il ne s’agit pas ici de remettre en question la légitime motivation des femmes à sortir du carcan de la domination paradigmatique du mâle, ni le principe de l’école publique ! Juste leur instrumentalisation, lentement, surement, sous nos yeux passifs.      

II - DEVELOPPEMENT :

Livrons-nous maintenant à une petite réflexion concernant ce mâle dominant et par extension cet Homme dominant, la dénomination en H majuscule incluant les femmes dont celles qui sont des Hommes pas comme les autres :

Il existe un argument de taille pour les satisfaire, un argument qui arrange aussi tous les « braves gars » suffisamment mal dans leur peau et frustrés par le  déferlement de la vengeance au « sur-féminin ». Il est vieux comme la civilisation cet argument, mais il est remis au goût du jour par une école qui se dit rationaliste et le décline ainsi :

C’est une force déterminée et la raison qui lui résiste qui dès l’origine ont poussé  les femmes  à accepter la domination du mâle alpha. Cette raison est simple : avec un mâle non dominant, la femme a moins de chances de se protéger elle-même ainsi que sa progéniture. Pire encore, rejetée pour sa rébellion face au paradigme collectif de domination, elle risque de mettre un mâle faible en danger et de se retrouver seule pour assumer sa grossesse et sa survie dans un monde encore hostile, ce qui est impossible. Par extension, ceci justifie aussi le jeu de pouvoir des reines et le pouvoir de la rombière qui impose à son petit homme de mettre de la paille dans le nid en se plaçant correctement dans le grand jeu de la domination. Toujours dans le même raisonnement, maintenant que le système permet l’IVG, la pilule, le divorce et verse des allocations familiales, la survie de la femme n’est plus menacée en cas de contradiction avec la domination masculine ! Elle dévoile donc son instinct refoulé en devenant ouvertement cette trompeuse et libre coucheuse qui participe à la grande castration masculine. Autant dire, les hommes sont des porcs, nous le savions, mais nous venons de prouver que les femmes sont des salopes. Tutti va bene dans le meilleur des mondes, tentons de nous pardonner ou de compenser…

On en revient au consumérisme 3.0 !  

Bon je sais l'Homme moderne, l'Homme amélioré aime le court et le facile... Je vais en décevoir plus d'un, mais quand-même... Comment ne pas tenter de démêler tout ce foutoir sémantique ?  

Je propose que nous analysions cette proposition dite rationnelle qui n’a toujours fait qu’entretenir la guerre des sexes, tout en contenant ses déchets radioactifs dans des caissons dont on ne peut qu’espérer la longévité… Et je ne parle pas des facteurs indéterminables qui à chaque instant risquent de favoriser une explosion !

Analyse de la   proposition :

Trop ambitieux de découdre et résoudre pareil sujet en un simple paragraphe qui se contente d'une analyse froide, logique, mais surtout très incomplète et anthropocentrique (tournée sur le comportement du sapiens). Allons plus loin : en matière de décision (féminine ou masculine) l’intérêt compte, certes, qu'il soit vénal ou vital! Il relève de la raison, des sentiments et de la volonté propre à chacun. Or, même dans le cas d'un motif de survie, ces derniers sont tous aveugles lorsque dissociés et sont surtout très "conditionnables" par les paradigmes collectifs. Mais cela ne veut pas dire qu'il faut faire des généralités en les attribuant de façon absolue à un genre humain ou une population donnée ! A ce jeu, la science a prouvé que même les animaux peuvent surprendre et essentiellement lorsqu'ils sont éloignés de leur aire de répartition d'origine. Même dans le royaume des insectes, pour lesquels la parade du dominant est une règle, la femelle s’octroie souvent le droit de dégager le mâle, fusse-t-il le champion des  champions! Et on peut la retrouver quelques temps après en train de copuler avec un autre quidam sans prétention qui passait sur son chemin! Instant, instinct, conditions atmosphériques et autres coïncidences dans le chaos! Bref, pas possible de faire des généralités absolues!

Ce qu'on a souvent avancé comme preuve se résume de nombreuses fois à d'incomplètes affirmations! Complexe de l’Homme vis-à-vis de son incomplétude, de son incertitude et de l’entropie du système qu’il entretien avec « perce Eve errance ».

L'accord entre raison, sentiments et volonté (ou foi) est une roue libre indéterminable ! Un phénomène dont les enfants sont les meilleurs exemples avant corruption par le collectif et éducation parentale! Éducation parentale qui se résume souvent par l'empirisme civilisationnel de la guerre des roses. Causalité! Conséquences consuméristes : les porcs conquérants, très compétitifs, sont obligés de mettre de la paille dans les nids de leur(s) femme(s) et de leurs enfants qui souffrent ou dans le meilleur des cas qui s'emmerdent! A force de s’étendre et de LA/BOURRER aussi la nature, arrive le moment où il faut se fournir de la paille chez le voisin. Empirisme donc... Prégnance absolue de l'expérience civilisée! Et naissance d’un mythe très opportun, très hypocrite : le choc obligatoire et naturel des civilisations. Entre autres, ce sont les dominants mâles et femelles qui définissent les règles et les protocoles de l’expérience... Et qui écrivent l'Histoire! Pourtant, n’en déplaise à l’esprit commun du mâle alpha, dominant ne veut pas dire cœur intelligent dans corps solide, et surtout dominant ne veut pas dire légitime!

Mais revenons-en à la  proposition et au déterminisme  qu’elle impose (la femme  est une calculatrice, l’homme un fornicateur consumériste et les deux font  la paire) :

En entretenant ce genre de polémique, comme nous l’avons vu, on motive le pour et le contre (dualisme) ou on trouve un accord tacite pour planquer les déchets radioactifs et limiter les   risques d’explosion. Autrement dit, on banalise finalement le fait "dit établi" et on augmente son emprise. Globalement, nous sous-estimons la notion de libre arbitre, ainsi que la subtile et indéterminable clé permettant l'accord entre raison, sentiments et volonté... (Je rappelle que le libre arbitre n’indique que la responsabilité de nos actes dans un monde déterminé où notre liberté est toute relative.) Globalement, nous perdons aussi la faculté de gouverner notre être en confiant cette tâche à un pilote automatique: l'institution des vainqueurs et ses paradigmes.

A bien y réfléchir, en entretenant une vision trop réductrice de la guerre des roses, on finit par perdre le nom de cette fleur. C'est con, non? On finit aussi par donner raison à cet opportuniste de Freud : l'humain est mauvais. Et on donne aussi raison aux chantres du hasard créateur, ces braves technocrates soi-disant rationalistes, qui affirment que l'Homme a le monopole de la conscience et que l'univers ou la vie ne sont qu'un accident, sans le moindre sens. En bref : l'univers a une fin programmée, notre durée de vie de créature est peau de couille, il n'y a rien après la mort et l'Homme est aussi voué à s'autodétruire... La vie n'a donc aucun sens que celui de vous avoir programmé pour crever, alors ACHETEZ, vendez, consommez! Profitez-en vite avant la fin, on fait des promos. Des black friday quoi.

III- CONCLUSION

Au final nous traitons ici un sujet aussi brûlant que glacial ! Nous tournons autour d'une boîte de pandore vieille de 30 000 ans***, scellée depuis la civilisation et hermétiquement fermée et gardée depuis plus de deux millénaires! Le cœur palpitant encore dans cette boîte appartient autant aux maudits capitaines (la part mauvaise d'Ulysse ou le Crochet qui est en Peter) qu'à Calypso. Ça paraît dingue non? Mais au fond, tout le monde le ressent. Dans le grand fond... au large de nos hécatombes.

*** Note : le film "la guerre du feu" est intéressant à revisiter! Il part sur un principe que les progrès en archéologie confirment de plus en plus : le pacifisme familial du néandertalien cueilleur chasseur comparé au génie social du Sapiens, chasseur avant tout, cueilleur, apprenti du feu, amateur de sucre (cuisson), et maître du vagin! Le film n'idéalise pas Néandertal, mais montre surtout la mutation qui s'opère en l'homme et la femme séparés du troupeau!

Guerre des sexes et menace nucléaire
Guerre des sexes et menace nucléaire
Guerre des sexes et menace nucléaire
Guerre des sexes et menace nucléaire
Guerre des sexes et menace nucléaire
Guerre des sexes et menace nucléaire
Guerre des sexes et menace nucléaire
Guerre des sexes et menace nucléaire
Guerre des sexes et menace nucléaire
Guerre des sexes et menace nucléaire
Guerre des sexes et menace nucléaire
Ajoutons quelques grâces à ce texte qui je l'avoue commence dur (une douche froide fait néanmoins du bien)... Pour se réchauffer un peu donc:
4: https://www.youtube.com/watch?v=LfmguyDRBwU
3: https://www.youtube.com/watch?v=Fgn8gZHJZzA
2: https://www.youtube.com/watch?v=2m-_FzubQx8
 
Réversible7/irréversible7...

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Déterminisme / Indétermination

30 Décembre 2019, 15:54pm

Publié par Persone

Déterminisme / Indétermination
Déterminisme / Indétermination
Déterminisme / Indétermination
Déterminisme / Indétermination
Déterminisme / Indétermination
Déterminisme / Indétermination
Bonjour à tous!
Habitué ces derniers temps à ce que l'on me reproche d'utiliser beaucoup la raison, je me suis récemment retrouvé dans le cas inverse, ce qui m'a rappelé les longs mois passés à argumenter devant les communautés scientifiques... En effet, un internaute m'a interpellé en me disant que la voie du milieu n'était peut-être qu'une solution opportuniste et exotique pour dépasser les dogmes religieux classiques. Je résume ici notre discussion:
 

Réflexion pertinente du scepticisme raisonnable à propos de la voie dite du milieu ou juste milieu :

Et si la voie du milieu (la moyenne, la médiane) n’était que pure théorie ?
La question est simple : est-on capable de donner sa vie à une cause, d’aller jusqu’à la mort si besoin ?
Si oui il existe un cas 1, si non il existe un cas 2, c’est le cas actuel concernant « monsieur Toulmonde ». Deux cas et des conséquences déterminées, mais pas de milieu. 

Tentative de médiation :

La voie du milieu est un concept métaphysique qui peut aller du plus simple au plus compliqué et qui ne contrarie en aucun cas la dualité, la proposition du scepticisme, citée ci-dessus, est donc pertinente! Trop de gens imaginent cette voie comme l'expression du non choix et la justification de l'immobilité et de la neutralité par la "sainte" notion d'équilibre!!! Cette vision est tronquée par les dogmes religieux dont l'Inde et l'Asie sont autant victimes que nous... Notamment avec la prégnance supplémentaire de la notion de Karma qui elle aussi est mal comprise par la majorité! Karma signifie action reliée aux causes, aux conséquences et à l'instant T du choix, abstrait, métaphysique, inatteignable au-delà d'une certaine précision qui limite l'observateur). Comme dans une mécanique d'embrayage, on peut comparer ce segment infinitésimal du choix à une roue libre (état de non prise). Si un accord pertinent se fait en le sujet entre raison, sentiments et foi/volonté, dans cet état, alors on peut considérer que le "pilote" respecte la voie du milieu et qu'il s'en sort en choisissant la bonne nature de solution, la bonne position, la bonne vitesse! Fondamentalement, après ce choix, il y aura toujours un cas 1 (il s'en sort et l'histoire continue bien) ou 2, le cas contraire. Le paradoxe de Zénon et le théorème de Lorenz à propos du chaos expriment assez bien ces phénomènes.

Pour en revenir à l’exemple choisi par le scepticisme à propos du sacifice: la mise à mort ou l'abandon des "sages", "avant-gardistes", "saints" ou "prophètes" (suivant les vocables) par le collectifs ou ses représentants ne concerne bien entendu pas la voie du milieu. En revanche, on peut penser qu'un type prêt à se sacrifier, dans un cheminement précis, généreux, non morbide, et en accord entre raison, sentiment et foi/volonté, suit la voie du juste milieu. Mais il n'empêchera pas les différentes issues possibles: il apporte ses révélations et s'en sort en même temps (cas super cool), Il est empêché de révéler, mais s'en sort (problème à retardement), ou il révèle en crevant (cas pas cool, mais un grand classique!)... Avec poésie géométrique, on pourrait dire que la voie du milieu s'exprime dans le chaos comme un point inatteignable (zéro) ou un cercle tout autant inatteignable qui lui est propre (encore 0), bref une voie de quiétude et pourtant dangereuse, une plénitude rappelant le vide, un équilibre soumis à contrainte, un milieu reflétant les extrêmes.

Note : Ceux qui se sacrifient par culture du morbide, pour bénéficier du prestige de sauveur ou se faire un nom dans l’histoire, ou encore pour faire du chantage affectif à son entourage (…) ne suivent pas la voie dite du juste milieu ! Et ceux qui vont au sacrifice, conditionnés au statut de messie par leur entourage (cas de Jésus), représentent un cas très particulier… Ces derniers ont un trajet extrêmement torturé ! Il semble que la voie du milieu ne leur est pas fermée, mais qu’il doivent se libérer de cette contrainte par un chemin de croix menant souvent (mais pas nécessairement) à la souffrance et à la mort prématurée.  

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