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Le blog de Persone

crises et derives fascistes

DOCTEUR NATURE

15 Avril 2020, 19:14pm

Publié par Persone

Ce dont vous allez témoigner dans ce reportage n’est qu’un exemple parmi tant d’autres, de la négation de la médecine universelle produite par le règne végétal et animal. D’autres études et reportages existent concernant la tension, le diabète ou certains types de cancers. La nature peut tout guérir, néanmoins ce n’est pas parce que Marie fait tout qu’il ne faut rien faire. La médecine douce, la médecine de l’âme et la médecine moderne sont compatibles, au-delà de nos intérêts respectifs.  Certes, il serait réducteur d’imaginer qu’à chaque maladie correspond une plante, c’est pour cela que l’art de la médecine naturelle repose sur le mélange des substances et leur dosage en fonction des pathologies et des patients traités et observés individuellement dans leur dimension physique et psychique. Un cauchemar pour les actionnaires de notre mode de vie générique! Suite à l'anthropisation et principalement suite à l'industrialisation, la médecine conventionnelle moderne a opté pour des remèdes efficaces de façon générique, mais la méthode est à double tranchant: d'une part le progrès nous permet d'observer le domaine du micro et d'isoler les principes actifs et d'autre part il nous pousse à fragmenter la matière et à la transformer par nécessité empirique, cela provoquant de nouvelles menaces. Ce progressisme ne concerne pas que la médecine, le bâtiment (habitat), l'automobile (déplacement) ou la culture intensive (appétit) sont aussi de bons exemples. Motivé par le progrès, l'expérience technologique, et la sérendipité, qui justifient ses projets et son mode de vie compétitif, l'Homme accélère le changement et bouleverse l'équilibre de son environnement, avant d'avoir solutionné ses propres dilemmes dans un milieu donné et dans un éon encore stable. A l'inverse, la zemblanité remet en question cette course Osirienne et prophétise le bel avenir du mal, tapis derrière la réussite et la croissance rapide.

Réflexion:

Réconcilier la joie et la tristesse, revient à remettre à sa place ce mauvais ministre qu'est l'Amour propre et à guérir l'orgueil humain des affres de son expérience collective. Cela implique de clarifier la question existentielle et métabolique et cela va s'en dire, de prendre le temps nécessaire pour cette  expérience ultime d'ingénierie extérieure et intérieure. Il en va de même pour la réconciliation du maître et de l'esclave, celle du rat des villes et du rat des champs, celle de l'Homme moderne et de l'Homme des bois, etc. Mais prendre le temps, lorsque nous sommes maître ou esclave d'un empire dont la stabilité dépend de la croissance et de la conquête, n'arrange pas nos petites affaires! La voie du milieu, la réconciliation, la recherche de l'harmonie de la masse et du cas individuel, le lien entre le réductionnisme et la métaphysique...  Tout cela semble une menace pour le fatalisme "darwinien" et pour les actionnaires de la globalisation mécanisée ou Nouvelle Ordre Mondiale.   

Avant d’aller plus loin, je rappelle que le reportage parle de la chloriquine ou chloroquinine, une molécule synthétique, substitut de la quinine. Ce médicament (assez dangereux) est utilisé depuis longtemps pour traiter le paludisme et montre in vitro des capacités antivirales que l’on ne peut pour l’instant reproduire in vivo. Le docteur Raoult, tristement célèbre depuis  peu a testé l’efficacité partielle de cette molécule  sur des patients atteints du covid avec de bons résultats et a sommé les autorités de gagner du temps avec sa méthode en attendant des progrès et en permettant d’améliorer la situation sanitaire. Une idée respectable et respectant le serment d’Hippocrate qui nous aurait permis de désengorger les hôpitaux saturés et de limiter les morts en attendant mieux. Malheureusement, il se heurte à des lobbies financiers et pharmaceutiques engagés sur d’autres pistes n’aboutissant pourtant pas ! Pourquoi ? Pour la notoriété et l’argent bien entendu, mais aussi pour la piste d’enquête que cela pourrait ouvrir. Ironie du sort,  la chloroquine ou plus précisément les actionnaires des dérivés pharmaceutiques de la quinine sont eux aussi impliqués dans un scandale : par un principe de précaution frauduleux et hypocrite, ils ont caché au monde entier l’efficacité supérieure d’une plante pour guérir le paludisme (deux ou plusieurs espèces d’artemisia dont l’artemisia annua, endémique à la région chinoise). Les laboratoires (chinois) ayant quant à eux utilisé l’artémisia, l’on fait en isolant les principes dits actifs de la plante, cela laissant leur nouveau médicament toujours moins efficaces que la plante elle-même, prise en décoction simple, bien que sous prescription méthodique (et non couteuse). CQFD : isoler les éléments que l’on croit être les seuls « actifs » dans une plante alors qu’elle en contient d’innombrables et souvent variables suivant les espèces, est souvent une opération motivée par le souci de résultats rapides. Mais l'étude est donc incomplète, en l’absence de preuves formelles de l’inefficacité des autres agents contenus dans le végétal ! Les médicaments ainsi produits à la chaîne sont parfois moins efficaces que certains remèdes naturels utilisant les mêmes ingrédients d'origine (ce qui semble le cas pour l'artémisia), sans compter les effets secondaires que l’on doit aux adjuvants nécessaires à cette pharmacie synthétique. L'OMS joue sur le fait que peu de naturopathes maîtrisent véritablement les principes actifs de cette plante et que son efficacité en simple décoction demeure aléatoire. Autrement dit, la simple tisane n'engendre pas d'effets secondaires dangereux, contrairement aux ATC, mais son taux d'efficacité ne fait pas l'objet d'études validées et il se peut qu'une "mode" de la tisane magique puisse motiver des populations crédules à ne plus se soigner dans les règles, en consommant la chimie prescrite par l'Organisation.

Questions :

L’artémisia peut-elle être efficace pour le Covid et faire la fortune de ses cultivateurs industriels, cela pouvant donner à certains l’idée de faire muter un virus usurpateur à forte capacité de mutation, en le mettant en présence du protozoaire plasmodium, parasite responsable du paludisme ?  Cela est-il seulement possible?

Ou au contraire, la redécouverte d’un remède naturel pouvant guérir le paludisme à moindre cout en portant un gros coup aux actionnaires des médicaments dérivés de la quinine, a-t-elle pu pousser les marchands de santé à engendrer une nouvelle pandémie avec les COV (composés organiques volatiles) viraux… Une souche leur aurait-elle échappé avant qu'ils aient trouvé la vaccin ou les remèdes symptomatique?

Une simple expérience d'intérêt pharmaceutique qui aurait dérapé?

Doit-on aussi suivre la piste du terrorisme bactériologique (vol de souche dans un laboratoire)?

La nature elle-même a-t-elle engendré le Covid mutant pour cause de culture agroalimentaire intensive (cas de la grippe espagnol pour citer le début de notre cauchemar darwinien moderne) ?  

Quelle que soit la réponse, force est de constater que la guerre des laboratoires et le bal macabre des hypocrites génocidaires de la race humaine est ouvert… Les vaches vont danser.  

Le père pourrit le fils et le fils tue le père… un complexe de longue date dont la puérile  humanité ne s’est pas encore extirpée.

Réflexions et données factuelles :

Nous savons que des plantes guérissent de nombreuses maladies propres à l’Homme, mais propres aussi à son mode de vie évolutif. Ce qui nous amène à comprendre que le règne végétal possède une programmation médicinal manifeste et que cette programmation évolue dans le temps en s’adaptant aux nouvelles données. Tous comme les virus et autres agents régulateurs. La plus part d’entre nous, en Occident, pensent que les maladies ou agents infectieux que nous engendrons, et essentiellement ceux produits en laboratoire, ne peuvent être pris en charge par la nature. La question n'est elle pas plutôt: combien de temps la nature prendra elle pour s'adapter? "Seul le labo peut résoudre empiriquement les problèmes du labo!"... Cela revient à croire qu’un petit homme dans une blouse blanche, considéré comme un génie parmi les siens, peut berner et surpasser la nature dont il n’est que le dernier né en tant que mammifère. Un singe endimanché tombé de la dernière averse. En parlant de façon plus factuelle, cela revient aussi à nier que la nature s’adapte parfaitement à nos produits chimiques. Ce qui est faux. La cellule, le virus, la bactérie, c’est de l’ADN et de l’ARN en capsule, de la conscience en boîte, une intelligence qui trouvera toujours un hôte. Doit on travailler contre une intelligence qui n'est pas la nôtre ou avec elle? Reste donc à définir la nature du "problème du labo" sous un angle physique et métaphysique, disons existentiel!

Le processus métabolique planétaire respecte un équilibre depuis toujours et continuera à le respecter jusqu’à la fin, fin qui correspond à la transformation de toute l’énergie consentie depuis le début. Les physiciens et les métaphysiciens, dans un exercice ontologique parlent ici de mémoire et de recommencements perpétuels.

Cet équilibre logique et maintenu par plusieurs degrés et dimensions d’intelligence, le tout soumis au principe d’immanence, n’a pas attendu l'Homme et son exclusivité ressentie pour pratiquer la régulation et la dérégulation ! L’Homme fait seulement parti du processus, il est un des régulateurs. Le fait que nous ayons pu nous convaincre du contraire est à la fois puérile, égocentrique et suicidaire. Comprendre : même si l’Homme fabrique lui-même les schmilblicks ou les maladies qui le tueront en masse, c’est que l'intelligence de l'univers et la causalité dépassent ses illusions, l'incomplétude de ses propositions et ses intérêts pour remettre à sa place sa vie devenu paradoxale, meurtrière et dangereuse pour le système planétaire. Mais l’Homme faisant partie des régulateurs, la nature tendra à empêcher qu’il disparaisse totalement : d’une part parce que le machiavélisme des élites aura préparé pour eux des issues de secours, d’autre part parce que la nature est si vaste et subtile que nombre de variables feront en sorte que les plus infâmes ne seront pas seuls à survivre (l’intelligence et les talents ne sont pas l’apanage des plus fortunés d’entre nous, ni des plus dominants).

Schématisons maintenant comment la nature pourrait-elle aussi concocter un remède à une terrible pandémie engendrée par l’Homme, à cause de son mode de vie, ou pire, en labo ou encore par mutation de virus par fréquentation de cobayes aviaires et de cobayes mammifères, dont l’Homme. Dans le cas d’un  virus fabriqué en labo, la nature prendrait assez vite le dessus grâce au système immunitaire des animaux et Hommes pour la simple et bonne raison que ce dernier a bien du mal avec ses instruments à reproduire des squelettes, des tentacules et des hameçons d’agents infectieux aussi efficaces que ceux de la nature ! Dans les deux autres cas concernant fort probablement l’origine du Covid (mutation naturelle ou assistée), nous avons l’intelligence/machiavélisme humain/e et les variables dont nous venons de parler pour éviter la catastrophe. Mais le COVID n'est pas l'apocalypse au sens vulgaire du terme, voyons le plutôt comme le début du dernier chapitre d'une ère anthropique shakespearienne. En attendant pire, donc, nous avons notre génie scientifique qui nous concoctera d’ici peu un vaccin aux ¾ efficace… Et nous avons aussi l’immunité naturelle des plus forts, après le sacrifice des plus faibles. Seulement voilà, c’est monstrueux et même si les gagnants de l’histoire sont les « gentils rebelles » réfractaires à l’empirisme des élites, d’innombrables innocents auront perdu la vie « pour quelques dollars de plus » !

Les plantes pourraient-elles nous aider ? Fort probablement ! Parallèlement à toute mutation d’une forme d’intelligence, des informations passent et la nature sous toutes ses formes réagit. Pour garder en vue la piste végétale, le processus se fait ainsi : lorsque le règne végétal capte que des régulateurs importants meurent en masse, elle capte aussi les sécrétions de leurs dépouilles grâce aux insectes et aux champignons. Mieux, elle reçoit l’information que d’autres prédateurs pullulent en conséquence, menaçant de nouveau l’équilibre. L’information circule de végétaux en végétaux, une fois encore grâce aux champignons. Cette information est à double sens et dotée d’une mécanique à toute épreuve : action, réaction, transmission. Au cœur de cela, le potentiel électrique et le jeu des particules. La force de tension, le mystère géométrique en parti résolu de l’équilibre gravitationnel et le feu nucléaire ! Un Amour de vie douée de l’art de la transformation, sujette à  un désir électrique et relativement soumise aux lois de l’attraction et du détachement.

Parlons du cancer : la médecine nucléaire infâme issue de notre technologie a fait ses preuves, mais une fois encore dans le traitement de cette maladie de la dégénérescence, on se contente de contrôler l’hécatombe tout en faisant gagner beaucoup d’argent aux actionnaires. Or, malgré les efforts de la censure, nombre d’entre nous savent aujourd’hui que les meilleurs remèdes au cancer sont dans le changement de vie et la pratique de disciplines intellectuelles, sensorielles, alimentaires, sexuelles et touchant aussi aux domaines particuliers de la connaissance de l’infiniment petit et des langages à pratiquer pour communier avec. Ce domaine concerne aussi l’inconscient et les rêves. Autrement dit, il existe aussi une autre façon de se protéger des risques de cancer, même dans l’enfer des fourmilières qui ont pris possession des villes et des campagnes : la juste conduite du cœur intelligent et un équilibre physiologique qui ne s'obtient pas par la culture intensive de la zen attitude, ni par le "life coaching à la carte" ! Pas donné à toutes les vaches après des générations de conditionnement dans le stress et la compétitivité. Reste quelques catalyseurs, une fois encore issu du règne végétal : les champignons, champignons toujours (!) et autres plantes contenant des alcaloïdes aux divers effets psychotropes. Le hic, c’est qu’il ne s’agit pas de les consommer par dépendance et pour le seul intérêt de planer. Chacune de ses drogues naturelles ont une fonction précise et entrainent des états de conscience qui doivent être maîtrisés par l’expérimentateur. Nos gouvernements ont toujours eu une attitude très hypocrite concernant les drogues. On raffine de l'opium pour les hôpitaux, mais on partage aussi les bénéfices du deal de rue avec la maffia. Ne parlons pas des vertus stratégiques du tabac et de l’alcool! Concernant les drogues popularisées par le contexte des années 70, il s’agissait de mettre l’accent sur l’incontournable THC, qui ne confère que peu de modification de l’état de conscience, contrairement aux acides et autres réjouissances. La grande expérience psychédélique et l'âge d'or du show-business! Sexe, drogue et rock’n’roll. Depuis ce dérapage et cette révolution instrumentalisée des mœurs, que l'on doit à nos laboratoires idéologiques, la drogue est un secret de polichinelle et une nécessité dans le milieu des soins palliatifs, mais en aucun cas un sujet d'étude concernant "la médecine de l'âme" (terme animiste). D’une main je fais passer la drogue et de l’autre, je verbalise le consommateur en donnant l’illusion d’une ferme, mais bienveillante sécurité aux parents. Du point de vue animiste, certaines plantes dîtes hallucinogènes, confèrent aux initiés les plus aboutis la faculté de suivre le cheminement d’une des voies menant au langage conscience/matière, ou Homme/nature, si vous préférez. Cette voie n’est évidemment pas le réductionnisme, nous pouvons la définir comme liée à la voie sémantique pure, non « retranscriptible » en terme matérialistes. Des artistes ont tenté d’exprimer ce langage et ses expériences, mais le résultat est nécessairement très insuffisant, disons incomplet. Certains de ces états de conscience peuvent être atteints par méditation, néanmoins l’homme a encore fort à  faire pour reproduire en lui tout ce que la nature peut lui dire depuis toujours.      

L’orgueil des nations et leurs actionnaires craignent plus que tout le retour de l’intelligence humaine, de Peter Pan et des variables imprévisibles de la nature sauvage ! Ce sont des déterministes absolus dont le déterminisme n’est qu’une excuse aux monstruosités qu’ils engendrent. Mais leur « croyance » matérialiste possède aussi un autre atout, une arme absolue contre l’épanouissement biologique et mentale de l’Homme : tout est déterminé, tout n’est que causalité mesurable et nous n’avons donc aucune liberté réelle, aucun libre arbitre et donc aucune responsabilité ! Un prétexte idéal pour soumettre les vaches à une IA par défaut, démocratique ou non. Un système d’exploitation dont la justice nécessairement corrompue fonctionne pourtant à merveille, par compensation et principe de précaution. Le nouvel accord tacite dont nous avons hérité en suivant les ampoules et les promesses du siècle des Lumières.               

Avant de conclure, parlons de nouveau de docteur nature :

Tout être vivant est naturellement conduit vers les remèdes qui le concernent, dont il a déjà manqué et dont il aura encore besoin. Ce phénomène est motivé par différent canaux : les 5 sens, l’instinct, la mémoire, le rêve, la passerelle entre le conscient et le non conscient et enfin le microprocesseur (la raison métabolique et analytique pourrait-on schématiser). Au-delà encore, existe un autre sens et non-sens à la fois : la faculté de lecture des signes qui s’offrent à nous, comme des messages codés dans l’espace-temps et manifestés en filigrane derrière la barrière grossière de la causalité mesurable (dans le sens matérialiste du terme mesurable). J’insiste, tout être vivant est conduit par son horloge biologique vers les remèdes naturels qui le concernent !

Mais pour cela il ne faut pas que cet être soit un animal domestiqué et avili par un quelconque système d’exploitation. Ce genre d’animal de ferme est conditionné à attendre sagement que le fermier lui administre sa médecine de troupeau, dans le cas contraire, sans son maître, il se laisse mourir. N’ayant plus le moindre intérêt compatible avec le serment d’Hippocrate, nos exploitants de masse produisent donc des médicaments de plus en plus génériques, provoquant nombres d’effets secondaires, entrainant le bétail dans la consommation d’autres médicaments et affaiblissant leur système de défense naturel. Ce dernier phénomène d’affection physiologique à long terme se cumule au fait que les médicaments vendus atténuent souvent les pathologies, mais sans en guérir totalement le patient/client. Autrement dit le sujet se soumet de lui-même, indolemment, à une dépendance totale vis-à-vis du système d’exploitation et jusqu’à la fin de ces jours. Aujourd’hui, rares sont les morts qui n’ont pas été lentement tué par un ou plusieurs médicaments. Les autres faisant partie des victimes de l’alcool, des drogues, du tabac industriel, du réseau fructueux de l’automobile ou de la maladie propre à la dégénérescence de l’horloge biologique humaine : le cancer. Rappelons que le cancer, outre la dégénérescence mentionnée, est aussi provoqué par toutes les consommations compensatoires relatives à notre mode de vie morbide : la malbouffe, la sur bouffe, la toxicomanie et toute forme d’addiction aux substances passant par les orifices donnant accès à notre ingénierie intérieure. Sans parler du cancer, notons ici que le consentement contrarié à un lent suicide par les drogues, est le cauchemar relatif au mal être qui ronge nos nouvelles générations.

Fait divers, fait quotidien : la respiration d’un air pollué n’est pas une addiction, mais une intoxication à la fois involontaire et pourtant consentie communément par accord tacite. Un facteur de mort programmée, légué à nos enfants avec notre accord… TACITE (4)! 

Bon documentaire !     

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L’instinct de mort en goguette

11 Avril 2020, 16:45pm

Publié par Persone

L’instinct de mort en goguette
L’instinct de mort en goguette

Le gouvernement a signé le contrat tacite de l’austérité modérée, le seul que les gaulois romanisés, puis endimanchés à grands coups de rituels avant d’être tacitement émancipés, étaient en mesure de respecter. Le troupeau joue le jeu, on évite le pire.

Seulement voilà l’été qui s’annonce, derrière un printemps du solde de tous comptes…

Les saintes glaces passent, le soleil brille, les braves gens sortent, s’enhardissent, revêtissent leurs bermudas, leurs sunglasses. Les mâles exhibent le biceps et les femelles sortent la mini… Enveloppe tatouée, enveloppe immaculée, enveloppe charcutière. Hormis la police, honte à ceux qui oseraient les remettre en question. Le positivisme est de mise ! Le ministre est bien embarrassé. On ne cultive pas des individualistes pendant plusieurs générations sans conséquences. Souffrez, mais aidez-vous comme vous le pourrez nous susurre l’Orgueil des nations en pleine déchéance… Toutes les formes de catharsis sont invitées à participer à l’effort funeste.

Rien d’étonnant à ce que le New Age ait de nouveau le vent en poupe, malgré la désillusion manifeste des seventies et toutes les preuves ayant révélé cette fumisterie intéressée, pour ne pas dire pyramide de Ponzi, version charlatanisme spirituel. L’Eglise profite aussi du moment, tout autant que son ennemi de longue date, celui qui coupa les têtes : l’empire et son grand come-back. La république cultive dorénavant un individualisme patenté, pragmatique et motivé par le déterminisme expérimental (empirisme et fatalisme). Notons aussi l’arrivée d’un nouveau challenger incontournable : le nihilisme. Ce dernier semble appuyé par le grand savoir de l’Homme moderne, dit amélioré, moyennant quelques entorses à la logique et au protocole scientifique. Nous connaissons la célèbre chanson : « les dernières découvertes le prouve, le hasard est roi, la vie n’a aucun sens et nous ne sommes rien, n’ayez donc crainte, la mort nous va si bien ». Nous retrouvons ici tout l’échec de la théorie karmique fondée sur une mauvaise interprétation de la causalité : la voie sous le ciel est impénétrable et vous avez suffisamment de vie pour comprendre qu’il faut accepter la vôtre sans résister. Un point pour les dominants, zéro pour les dominés. Les bouddhistes, et en particulier le Tibet, payent très cher cet aveuglement de la force tranquille.

Quelle charmante basse-cour, quelle jolie ferme en foire, quel puissant système d’exploitation !

Revenons à nos moutons :

Le soleil brille, Osiris est votre guide, oubliez Seth et ses sombres prophéties (humour noir égyptien). Depuis les premières chaleurs, l’air est de nouveau moins pure, les passants passent, les voitures font de nouveau vroum-vroum, les motards se lâchent, les trottinettes électriques tètent de nouveau les mamelles de la grande putain nucléaire.

Donnons-nous enfin les moyens d’accorder cœur, tripes et raison : Rendre hommage à la joie et au désir de vivre, qui nous immunisent contre le désespoir (psyché/métaphysique) et la maladie (métabolisme/physique), ne veut pas dire positiver aveuglement. Aveuglément, comme des premiers de la classe ayant bien retenu leurs leçons, ou comme des singes brandissant les objets de bonheur synthétiques qui les ont poussés au pire.    

Il n’y a ni bible, ni paradigme matérialiste de la bonne santé qui puisse annuler toute la subtilité et l’ambiguïté de la vie ! Croire l’inverse revient à accepter d’être une machine gouvernée par des machins. Être une intelligence artificielle soumise à un système d’exploitation incarné par l’orgueil humain.  

Il serait temps de comprendre toute l’indécence de la croissance mal acquise des grands vainqueurs d’une histoire écrite… par les vainqueurs ! Toute l’indécence d’une sérendipité occidentale qui a acquis ses droits sociaux en pompant les richesses et la sueur de ses colonies. Non pas seulement la sueur, mais le sang aussi. Celui des africains par exemple, que l’on fouettait jusqu’aux os pour que ces êtres, jugés inférieurs, comprennent le sens de leurs responsabilités envers les maîtres. Des hommes auxquels nous faisions porter autour du coup de sombres colliers garnis de petites mains coupées, celles de leurs enfants lorsque la famille était soupçonnée de fainéantise. Parlons du progrès, qui se caractérise par moins de barbarie manifeste, mais plus de morts, plus de bénéfices et le consentement tacite d’un continent ravagé par la dégénérescence entretenue. La néo colonisation est un terme qui sonne creux pour des blancs becs galvanisés par le sexe, la drogue et le rock’n roll. Des dépigmentés, comme je le suis, fiers de leur univers d’ombre et de béton qui fantasment sur la guerre des étoiles en pleine guerre froide. Nous avons été plus cléments avec l’Asie, elle a su montrer patte blanche jusqu’au retour de bâton ! « Qu’ils sont polis et croquignolets ces bridés, il paraît que leurs femmes ont un vagin étroit et maîtrisent des techniques sexuelles à faire pâlir un Héliogabale ». Les japonais ont voulu jouer les durs à cuire, mais ils ont compris la leçon en appréciant notre virilité nucléaire !... Une petite pensée vers la Russie s’impose : cette grande Russie qui nous a libérés en payant le plus lourd tribut de guerre (8 à 11 millions de pertes militaires), avant que nos alliances s’accordent hypocritement sur les modalités du démantèlement de son Empire impitoyable. Dois-je parler du sort et de la réputation que l’on réserve aux juifs depuis quelques millénaires ? Ces juifs dont on parle comme s’ils étaient tous les mêmes. Dois-je parler de l’Algérie et de nos nouvelles guerres « propres » menées au Moyen-Orient ? Dois-je parler de l’Amazonie et de ce bassin expérimental qu’est devenue l’Amérique du Sud depuis la seconde guerre ? Dois-je évoquer le cimetière sur lequel repose l’Australie ? Dois-je rappeler ce que les règnes animal et végétal endurent depuis que nous suivons les toutes puissantes Lumières ? Est-ce assez ? Trop peut-être pour votre tête déjà si fatiguée, si malmenée par le flot d’informations infâmes et stériles délivrées par la sainte télévision ? Ou par ces petits écrans qui depuis quelques décennies justifient à eux seuls la raison de votre esclavagisme social ?

Toute cette bonne conscience plus misérable que la misère, nous la retrouvons aujourd’hui dans la rue : on pense à l’économie, on s’inquiète pour les INTERETS, on pense à la relance et à la fin du confinement, on pense été, on pense mode, on sort les jupes, les bermudas et les sunglasses, les voitures font vroum-vroum bravant le confinement… Tout ce cortège de légèreté se dévoilant sans scrupule devant les familles des bientôt 14 mille morts qui ont et auront succombé à un fléau 3.0 dont nous sommes tous responsables.

Je les sens venir les positivistes et autres coachs de la santé individualiste à 70 dollars la séance… « Quel neurasthénique celui-là ! Il faut bien que… » N’osez même pas finir ici votre misérable sentence ! Nombre d’entre vous ne sont plus que les piètres bouffons, les bonimenteurs ou les harangueurs de foule d’un roi déchu qui nous ronge de l’intérieur. Respecter un deuil à l’échelle planétaire et avoir l’honnêteté intellectuelle et emphatique de se repentir pour nos manquements, n’est pas se morfondre ! La bonne conscience tissée autour de nos crimes les plus infâmes, souvent commis par procuration, nous a fait perdre notre latin, notre raison et notre cœur. Avilissement tacite.

Comment l’Homme pourrait-il demeurer un être de raison ou jouir encore d’un quelconque accord harmonieux entre ses sentiments après avoir consenti hypocritement à tant de monstruosité ?

Sans le retour de Cassandre, Thémis, déjà mise en lambeaux, quittera bientôt la cité… Le pire est à craindre.

Le principe de précaution tacite qui mine nos empires, fussent-ils romain, chrétien ou un puissant cocktail des deux, fussent-ils autoritaristes, obscurantistes ou démocratiques, nous pousse lentement vers les affres de l’isolationnisme et de la fermeture des frontières entre états à la fois compétitifs, conflictuels, mais interdépendants.

Alors apocalypse et révélation ou apocalypse avant révélation ?

Affrontez-vous enfin vous-même.

Déconstruire et réparer.   

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Pandémie tacite

7 Avril 2020, 16:26pm

Publié par Persone

Pandémie tacite
Pandémie tacite

Bonjour à tous,

La science ne trompe pas dit-on. Pour la simple et bonne raison que son protocole de base, sa règle N°1 est de ne rien affirmer, ne rien déclarer comme juste, tant que l’ombre d’un doute subsiste. Mais la science n’est ni le scientifique, ni l’Homme, et encore moins les lignes éditoriales qui la font parler. Que se passerait-il si des journaux scientifiques passant pour des sources sûres aux yeux de tous dérogeaient à cette règle N°1 ? La même chose que lorsque les médias et les autorités gouvernementales les contrôlant, autrement dit des institutions jugées comme fiables par les peuples, ont délibérément menti pour endormir les masses et pour retarder la prise de conscience collective de leur échec… Jusqu’à ce qu’une catastrophe majeure bouleverse la donne. La relance et la grande métaphore après l’horreur suffisant largement pour que les survivants, d’un commun accord, se jurent de ne pas regarder en arrière et d’aller de l’avant. Pour les irréductibles et les intellectuels les plus affutés, l’empire a prévu le verrouillage des archives pendant 2 générations (chiffre moyen concernant les pays démocratiques depuis la seconde guerre mondiale).

Pour citer deux exemples  typiques :

  • L’Espagne a été la première à déclarer publiquement la pandémie de grippe espagnole due à la mutation d’un virus classique pour cause d’élevage intensif d’espèces aviaires. Ne pas mélanger les poules, les vaches et les cochons dit-on ! Pourquoi les journaux et les autorités des pays voisins n’ont-elles pas réagi alors que les observateurs sanitaires y faisaient le même constat ? Parce que ces pays voisins étaient impliqués en tant que belligérants ou alliés actifs dans la première guerre mondiale. En clair : secret militaire, secret défense, secret d’alliance et fardeau du mensonge sur lequel repose le pouvoir, partagé tant par les attaquants que par les attaqués.
  • A l’aube de la seconde guerre mondiale, le gouvernement français n’osait imaginer que l’allié américain  jouait un double jeu en acceptant de ruiner l’Allemagne par un crédit toxique pour nous satisfaire et s’enrichir au passage, tandis que nombre de ses lobbies sympathisaient avec le futur Reich, spéculant sur l’industrie et la machine de guerre Allemande. De nombreux opposants et des intellectuels de bonne renommée s’affairaient pourtant à sonner l’alarme, mais le poids des alliances outre-Atlantique les fit passer pour des épouvantails de mauvais augure. Une majeure partie de notre échec militaire et de notre défaite repose sur ce point. Or, pour revenir à nos moutons et à nos bergers assermentés, il se trouve qu’à l’époque, nous pouvions lire dans la première de couverture du journal « Le Monde », que la guerre ne durerait pas, si tant était que les allemands ne se rendissent pas dès le départ. Dans les détails, le journal stipulait aussi que les munitions et les canons allemands étaient de telle mauvaise facture, que notre armée ne craindrait pas grand-chose !

La science, c’est comme « Dieu », elle n’est pas l’Homme et encore moins l’institution qui le gouverne par défaut, par accord tacite.

Pourquoi une telle introduction ? Parce que quelque chose m’inquiète profondément dans les médias… Honnêtement, accablé par des épreuves personnelles lourdes à porter, je dois constater que des forces impitoyables se dressent entre l’individu que je suis et son devoir collectif. A ce jour, je pensais stopper l’écriture et le partage, devant me concentrer sur mes propres épreuves en me contentant, au mieux, de corriger un ouvrage important en attente d’édition. Une simple lecture m’a rappelé à l’ordre : je viens de découvrir un article de Futura-sciences censé démystifier les théories de d’élaboration volontaire du virus Covid 19 en laboratoire. Après lecture et relecture, pas un doute ; ne pas écrire, ne pas réagir, ne pas dénoncer l’imposture aurait été criminel ! Alors je partage, dussé-je y sacrifier une énième nuit supplémentaire et me ronger encore un peu plus les os.

Il y a peu, un ami militaire, ayant travaillé dans les Renseignements Généraux, m’a confié : tu t’échines à expliquer des choses volontairement complexifiées et codées à des abrutis qui préfèrent rester aveugles ou profiter de la situation en demeurant borgnes. « Trop bon, trop con ». Je lui ai répondu, même les pires des cons et les chefs d’escadrille parmi les salopards ont des enfants en bas âge, de malheureux animaux et des plantes vertes… Je travaille  pour eux. Sauf notre respect mutuel, je te dirais « trop malin, trop malin, celui qui comme Ulysse… L’information est un courant de faible tension qui ne s’arrête pas aux bêtes, elle ne fait que passer par elles ». Son œil de légionnaire n’a pas compris, son œil de génie militaire si !  Voilà qui m’a évité un bourre pif.

Le journal en question, Futura sciences donc, fait parler la science en son nom et donne la preuve indubitable, je ne démens pas l’étude, que le virus est trop complexe et trop  adapté à l’Homme pour être le fruit d’une élaboration en laboratoire par manipulation génétique d’ordre artificiel, c’est-à-dire conduite par la main de scientifiques directement sur une souche existante ou par implant sur un squelette synthétique. Malheureusement le journal conclut aussi ceci : « Les caractéristiques du coronavirus excluent la manipulation en laboratoire comme une origine potentielle pour le SRAS-CoV-2 », insiste Kristian Andersen. De quoi mettre fin à toute spéculation de manipulation de génie génétique délibéré.

Réfléchissons un peu : mettre en présence deux créatures différentes, atteintes respectivement par deux virus différents, mais compatibles "sexuellement", c’est aussi de la manipulation génétique ! Et que peut-on obtenir en pratiquant une telle expérience sur de nombreux cas avec un bon protocole ? Un nouveau virus mutant doté de nouvelles capacités et qui aux yeux de tous, preuves à l’appui, aura muté naturellement.

Ce qui m’inquiète ici :

Vraisemblablement, notre nouveau virus semblait le fruit de cette hérésie qu’est la culture intensive (mutation des souches virales entre les espèces aviaires, les cochons, les bovins, tout ce que mangent les chinois et l’Homme). Profondément agacé par l’arnaque et les instrumentalisations de la théorie du complot, loin de moi l’idée de rejeter cet avis raisonnable, qui n’en est pas moins alarmiste concernant la nécessité absolue de changer notre mode de vie suicidaire et ignoblement criminel, meurtrier, envers les espèces animales et végétales.

Mais comment ne pas vaciller en constatant qu’un magazine ayant l’aval de la communauté scientifique brise la règle N°1, en affirmant une ineptie qui non seulement lui fait risquer sa réputation, mais qui de surcroit va donner raison aux cervelles les plus affûtées œuvrant pour la théorie du complot ?

La religion, le droit divin, la justice, la science… Lorsqu’une autorité suprême se contredit elle-même, il y a fort à parier que de terribles et funestes intérêts corrompent leurs représentants.

Je vous conseille ici de revenir sur mes articles précédents concernant le contexte géopolitique actuel, la nouvelle prégnance de nos millénarismes et l’échec total de notre consensus démocratique à l’échelle globale. Un échec programmé, causal, dont la transcription chrétienne fait mention à travers la notion d’accord tacite. "Libérez Barrabas et crucifiez le corbeau de tempête qui fait mauvais hôte chez les marchands et consommateurs que nous sommes". Le début de la fin pour la Pax Romana… Et une conversion des bourreaux qui ne suffira pas à relever l’Empire.  

Au Sud,  la colère, la faim, la soif et la rancœur. Au Nord, le royaume de rois déchus et oubliés de nos mémoires, la terre froide et désolée du gêne Ötsi. Entre l’Est et l’Ouest, une guerre larvée et déniée depuis trop longtemps, dont les tambours mortels sonnent de nouveau.

A qui servirait un acte volontaire ?

Au terrorisme peut-être, du moins aux terroristes prêts à se sacrifier comme Samson contre les philistins ou comme un fanatique capable de se faire sauter le caisson pour égratigner le soft power de la bonne conscience.

Et plus encore à une élite en face de son échec à gouverner les peuples, une élite rompue à l’empirisme et consciente que seules les masses les plus pauvres et les plus faibles ne survivront pas à une arme bactériologique/virale. Un acte écologique et un terrain favorable pour la reprise…

Le millénarisme religieux, l’extrémisme politique et les laboratoires idéologiques de la raison des vainqueurs !

Les services de renseignement de nombreux pays dits non alignés, travaillent ces trois pistes. Mais gardons ceci en mémoire : que ce virus soit le fruit des cultures intensives propre au moteur corrompu de notre croissance ou celui d’une manipulation génétique, le résultat sera le même. Un catalyseur, un déclencheur de la mécanique de la ruine.

Quelques associations logiques :

  • Austérité, autorité, perte des droits, principe de précaution drastique !  Pour garantir aux vaches que nous sommes, une apparente sécurité… ça c’est le cas d’un virus naturel et d’un consensus global, en la faveur du Nouvel Ordre Mondial et des spéculateurs ou politiques responsables de tout ce désastre. Que le virus soit « naturel » ou « artificiel ».
  • Le virus élaboré volontairement, faut-il le dire, c’est le premier chapitre de la guerre totale.
  • Et enfin, l’austérité passagère, le confinement en attendant l’investissement de tous dans le système de santé, l’annulation des dettes, le contrôle de l’inflation par la reconquête de la souveraineté des états sur la monnaie et sur la main invisible de l’économie ultra-libérale, la réparation du système judiciaire et enfin la réforme des institutions religieuses, ça c’est la sortie de crise sanitaire et la construction possible d’un nouveau monde. Que le virus soit « naturel » ou « artificiel ».

La troisième option est impossible, si les forces en présence ne se heurtent pas au seul mur auquel elles ne s’attendent pas : la vérité ! Ça fait sourire les babines, non ? Rien d’étonnant, la vérité, personne ne l’attend plus. Au mieux, la notion nous fait ricaner, au pire elle nous emmerde et devient très vite insupportable, incompatible avec notre petite vie. C’est pour cela que la vérité est ce qu’elle est et que personne ne peut lui échapper, ne la voyant jamais venir. Elle ne vient pas, elle est partout, invisible, sous nos pieds, sous notre pif éternellement enrhumé. Trêve d’énigme, la vérité, c’est le code source du langage. Il existe une science que l’on oublie souvent, alors qu’elle est au cœur de toutes les sciences. Par elle la parole est devenue écriture, par elle l’écriture a expliqué la parole et tout ce qui peut être signifié… La sémantique. Lorsque l’on comprend qu’elle inclut les autres sciences (arithmétique, géométrie, mathématique, musicologie, physique…), on réalise aussi que plus qu’une science, elle est un art pouvant nous conduire à l’immanence du principe de la vie. Or, une maîtrise poussée de la sémantique conduit indubitablement à réinterpréter « scientifiquement » tous les paradigmes historiques nous ayant guidé dans la mécanique de la ruine pour cause d’altérités réciproques entre barbares ou hypocrites peu évolués.

Vous comprendrez ici, c’est mon vœu le plus cher, pourquoi j’insiste tant depuis toutes ces années pour attirer votre attention sur le fruit de mes recherches et surtout, sur mes découvertes. Force est de constater que mon ami militaire n’a pas complètement tort et que je progresserais mieux si je n’étais pas autodidacte et suivi par quelques sponsors ! Si je ne m’adressais pas par défaut de relations à des internautes passifs, orgueilleux, parfois idiots ou satisfaits de leur opportuniste intelligence, pour reprendre l’idée de ce brave soldat torturé par le poids conséquent de son génie militaire. Quelques chiffres : 40 000 passages sur mon blog depuis 10 ans sans pub et 7 fois plus d’articles lu, la même chose sur les réseaux dits sociaux en 3 ans, mais seulement une cinquantaine de commentaires, tous plus plats les uns que les autres. Sur facebook, le « number one », une foule de passages et de curieux, mais seulement une centaine d’abonnés silencieux et une dizaine d’amis « électroniques » fiables dont la moitié seulement maîtrise l’art du langage ! Parmi mes fréquentations, la plus honnête m’a confié un jour : « je ne partage pas tes articles parce que j’ai peur qu’on me prenne pour un torturé des méninges ». Amour propre ! Ou plutôt maladie collective, connective, de l’amour propre.  Un autre, prudent, m’a dit : « moi je ne partage pas parce que je ne tiens pas à être surveillé par quelque autorité que ce soit ». Isolationnisme, hypocrisie, peur.

N’y a-t-il plus le moindre espoir en vous ?

L’allégeance, la soumission, l’opportunisme, le sophisme, (…), ou l’illusoire  confort de l’ignorance sont-elles les seules forces qui vous animent ? L’auto satisfaction peut-être ? Avec un orgueilleux sentiment de supériorité ou d’infériorité ?  

Par acédie ? Par envie ? Par colère ? Par luxure ? Par gourmandise ? Par avarice ?... Ne fuyez pas ce qui caractérise votre nature, mais n’en faites pas une somme de péchés !

L’accord tacite est le pouvoir qui perpétue nos habitudes et légitime notre suffisance.

Ensemble conjurons les faux imbéciles que nous sommes !

Ensemble poussons le mal, qui n’a ni forme, ni nom, ni légitimité ici, à démasquer sa vraie nature !

Il en guérira et la part des ténèbres épousera de nouveau la lumière que nous avons perdue.

Réparation !      

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Dialogue interreligieux: arrêt sur image.

23 Décembre 2019, 16:13pm

Publié par Persone

Bonjour à tous !

A tous les laïcs en puissance, ne vous laissez pas rebuter par le caractère apparemment amateur, austère et religieux de cette vidéo ! Quand bien même les cinglés que l’on juge aujourd’hui comme des fanatiques ou des bouffeurs de foin seraient vraiment cinglés, ils n’empêche qu’ils font partie du terrain et que nos bientôt 300 petites années de  révolution matérialiste ne font pas le poids devant les millénarismes ! Le et les millénarismes… On ne sait plus de quoi il s’agit vraiment, pire, on s’en fout comme un chien de sa première laisse ! Dommage, parce que dans le domaine de la lutte, lorsque la mèche est allumée, mieux vaut connaître les forces en présence.  

Je vous laisse donc découvrir cette petite conférence interreligieuse (sous le présent article) au sein de laquelle la présence d’un jésuite, d’un brahmane et d’un lama auraient été souhaitable, moyennant quelques heures de discussion supplémentaires. En effet, le sujet semble axé sur la légitimité prophétique de Mahomet, mais ouvre donc le champ complexe, torturé si j’ose dire, du messianisme hébraïque. Ceci comprenant le problème de la nature et de la personne de Jésus (lignée de Cham VS lignée de Sem si l’on suit les suppositions généalogiques). Ces complexes tournent donc autour d’une Histoire compilée sans preuves réelles dont on cherche à recoller les fragments progressivement retrouvés, et de la question subtile de la nature d’un prophète et d’une prophétie. C’est dans cette optique particulièrement importante que la présence d'un brahmane, d'un taoïste ou d'un lama trouve toute sa pertinence. Pourquoi ? Parce que ces enseignements souffrent beaucoup moins de conflit entre les parties (obédiences) et de dissociation interne que le voisin méditerranéen et par extension occidental. Parce que dans ces enseignements, aucune frontière armée n’a été bâtie entre la raison, les sentiments et la foi et donc entre le réductionnisme, la sémantique mystique, l’idéologie et l’art (jusqu’au raz-de-marée planétaire de la révolution industrielle bien entendu). Mais aussi parce que les royaumes du Levant se sont répartis et unifiés par le glaive, tout autant que nous, mais pas par la colonisation, l’esclavagisme et la volonté de conquête totale. A ce propos, je pense que deux autres présences auraient été pertinentes : celle d’un représentant de l’ancien vaudou, maître du langage primordial de la magie africaine et gardien du nom des premiers pharaons. Et celle d’un historien spécialisé sur l’étude du langage et sur les écritures anciennes. Ce dernier aurait rappelé que l’ancien testament trouvait sa source dans une logique de copier/coller provenant de contes et comptes dont les Sumériens avaient laissé transmission orale et traces scripturales. Le rabbin aurait probablement invoqué le passe-droit de sa sagesse/mètis/rhétorique : le terme « élu » n’est pas une bonne traduction, « choisi » est plus adéquat, mais choisis, nous le sommes tous et la Torah ne concerne que le peuple d’Israël. L’exclusivité, ainsi que les accords tacites d’inclusivité et d’intersection demeurent pourtant invinciblement la cause primordiale de notre perte, et ces complexes nous concernent tous ! Notons qu’à ce jeu, les juifs messianiques ne sont pas les derniers, euphémisme ! …….

Pour en revenir à la vidéo : j’ai donc remarqué dans le fil, que les trois hommes s’offrent gentiment et maladroitement des fleurs lorsqu’ils abordent des sujets trop brûlants ou qu’ils ne maîtrisent pas. Ceci dit, à part le commentateur totalement inutile, les deux interlocuteurs offrent de belles informations pour tous ceux qui souhaiteraient commencer à comprendre quelque chose à toutes ces questions trop longtemps ignorées par l’homo poubellus. Ils sont mutuellement respectueux et ne se coupent pas la parole inutilement, un très bon point ! Et le représentant de l’Islam est un vrai challenger, un boxeur de l’information et une banque impressionnante de données bien ordonnées, bien mémorisées ! Un déterminisme masculin fortement marqué, doté cependant d’un atout : un look et une prestance, donc une aura, dans l’air du temps ! Argument négatif cette fois, l’intonation, la musicalité et le vocable utilisés dans le phrasé par les deux hommes me semblent trahir leur appartenance à une nouvelle école soumise au lissage confus des divergences et à la vulgarisation du langage commun ! Selon moi, ce phénomène s’explique par la nécessité de trouver des compromis rapides, quitte à nous fourvoyer, lorsque nous avons trop tardé à trouver des accords justes et irrévocables !   

Pour le contenu, j’ai noté deux ou trois points très importants, des passages qui m’ont été presque insoutenables ! Tout d’abord à propos de philologie, de sémantique, et de la nature et fonction des mathématiques dans le langage et l’écriture. Ce qui est insoutenable, c’est que le sujet est suffisamment complexe pour motiver un hermétisme global et que ce type de discussion devant auditoire ne fait que noyer le poisson et renforcer cet hermétisme plurimillénaire ! Lorsque l’un (Karim Al Hanifi) avance que le nom de Mahomet est évoqué en filigrane dans le Deutéronome avec la valeur gématrique 92, il aborde d’une mauvaise façon le problème sémantique (il se rattrapera sur le sujet vers la fin de la vidéo). Globalement, la gématrie décrite ici se limite à celle de Kabbalistes n’ayant probablement pas compris toute la dimension du livre de la splendeur (le Zohar) et qui s’affairent à trouver dans les écritures, des coïncidences logiques concernant les répétitions de nombres évoquant des noms clés connus ou inconnus à l’époque de la rédaction. Cette pratique classique étant en effet « un apéritif pour la sagesse » (un mauvais apéro à mon goût), les deux hommes conviennent poliment que cela ne veut rien dire, au grand désarroi des du musulman dont l’argumentation repose fortement sur cette étrangeté gématrique. Le sujet est d’ailleurs relancé vers la fin de l’interview et les trois interlocuteurs trahissent à cet instant une fièvre dialectique montante ! Il y a une autre raison au fait que le « boxeur » soit obligé de se coucher à propos de la gématrie : tout comme l’arithmancie (son extension), elle est effectivement bien mal pratiquée et pire encore, la science moderne l’ayant totalement reniée et les orthodoxes la considérant comme un apéritif ; en faire une référence, revient à passer pour un fumeur de moquette aux yeux des trois quarts de la population mondiale. Le boxeur est fort, il n’en est pas moins stratège, il doit se coucher en attendant d’en savoir plus sur cette technique et d’être sûr de son coup. Mais j’ai mieux : quand bien même maîtriserait-il ces arts, pourrait-il se permettre de soulever vraiment ce rocher plurimillénaire ? Non, à moins de réconcilier tout le monde en s’attaquant aussi à sa propre confession ! L’arithmancie est le pont entre la science exacte, la théologie, la politique et les arts. Elle est tout simplement la clé de compréhension de tous les langages.  Elle concerne donc les chaînons manquants et les informations politiquement occultées ou biaisées de toutes ces écoles ! Face à la maîtrise de l’arithmancie, tous les mensonges tombent, avec les illusions et les pouvoirs qui vont avec.

Mon analyse est longue, comme le docu ! J’en suis désolé. Mais impossible ici de négliger un minimum d’arborescence révélatrice ! Vous remarquerez dès le début de la conférence, lorsque la gématrie est évoquée, chacun des trois interlocuteurs se contredit lui-même à plusieurs reprises, surtout le Rabbin qui entend clore la discussion à propos du nombre de Mahomet dans genèse chapitre 17 verset 20. Pour résumer ces contradictions défilant sur environ 10 minutes : les mathématiques ne prouvent rien, parce qu’on peut tout calculer (une phrase sans le moindre sens)… On ne peut pas tirer de droit canonique de la gématrie (l’affirmation des patriarches et ce qui est écrit précède et prévaut donc sur la logique mathématique abstraite. Ce qui est faux !!! La raison et l’épistémologie des sciences ayant enfin prouvé que la logique pure et le langage mathématique sont non seulement à l’origine de la pertinence des écritures mais aussi à l’origine des structures communes et des formes diverses du langage oral !) …  Une fois encore, c’est parce que la gématrie et l’arithmancie sont totalement galvaudées et mal appliquées que l’argument rhétorique passe comme une lettre à la poste. Or, en fin de discussion, comme par enchantement, le Rabbin cite : « Que Muhammad soit la même gématrie que le nom de l’enseignement de la Torah, tant mieux, ça PROUVE bien que l’un est l’accomplissement de l’autre ! » … Un autre détail a attiré mon attention : juste après la fin rhétorique de cette discussion sensible, nous assistons à la seule coupure non accidentelle dans la vidéo. A 25 minutes et 48 secondes si j’ai bien noté. Je me demande fortement ce qui a été coupé au montage. Plus tard, il y a aussi une brève coupure, mais accidentelle et l’on voit bien que le vidéaste, après coup, n’a pas cherché à « cleaner » cette coupure pourtant maladroite et flagrante comme il l’a fait dans le premier cas. Double raison de soupçonner une coupure volontaire, sans pour autant pouvoir en déterminer la cause, crotte, zut, flûte.

Dernier détail (je suis obligé d’abréger, le temps me compresse et je vous sais dans la même situation !) … Le travail des juifs kabbalistes devenus chrétiens, qui ont assemblé des livres entiers concernant les valeurs sémantiques des chiffres et les valeurs numériques des lettres, (HORS OPERATEUR STATISTIQUE APERITIF), sont clairement décrits comme dangereux pour ceux qui suivent l’enseignement de la Torah ou du Coran ! Notons que Karim Al Hanifi est plus mitigé sur cette affirmation, mais il reste muet et pour une fois, s’abstient d’ouvrir son impressionnante bibliothèque ! Tout ceci doit être mis en contexte avec notre actualité me semble-t-il : le peuple de la Torah et les musulmans affirment de plus en plus la forme rituelle et le droit canonique, au détriment de la science, ce qui ne les empêchent pas de profiter de ses atouts matérialistes ou de la technologie de pointe (on ne confond pas les affaires et les questions intimes, pour faire de l’humour de marchand de tapis). Attention, aucune connotation ciblée désobligeante ici, des marchands de tapis, nous le sommes tous ! Côté juif, les fantômes de la Haskala sont aussi lourds à porter que ceux de la terreur initiale de la révolution permanente européenne, mais la croissance dépend de cette science que la mort elle-même nous a livrée ! Côté musulman, le wahhabisme et le radicalisme a fait beaucoup de mal à cette nation d’anciens philosophes, mathématiciens et fins théologiens. Autrement dit, de rares chrétiens demeurent en notre actualité les plus enclins à briser enfin l’hermétisme entre science et théologie ! La notion de trinité est au cœur de cette affaire ! Mais ne généralisons pas un sujet si sensible : parmi toutes les cultures demeurent des êtres aujourd’hui marginalisés et esseulés portant à eux « seuls » le fardeau du salut de nos « grandes » écoles ! Encore une question qu’il conviendrait de résoudre en public, avec la présence de scientifiques de formation laïque (haut niveau en maths, géométrie et physique requis) et de représentants des philosophies du Levant.   Mais il y a pire dans le discours de la vidéo : les chrétiens s’attaquant à  prouver mathématiquement l’existence de Dieu en réformant les « Saintes » écritures sont bien mentionnés comme dangereux ! Pourquoi ? Contexte encore : les blocs nationalistes formés par la Russie, la Chine et les dragons du Sud-Est puis les nations Arabes et Nord Africaines, bénéficient du moteur de l’hypocrisie nationalo-communiste, socialo-capitaliste ou fondamentalo-progressiste ! Ils bénéficient aussi d’une nouvelle alliance notoire, certes de pacotille et diplomatiquement complexe, mais nécessaire pour contrer enfin la puissance de l’Ouest et de son gendarme  américain. Comprenons encore que la position des juifs est cruciale dans cette affaire ! D’ici peu, la faim, la soif, le souvenir et la colère affaibliront l’Europe, et c’est précisément ce nationalisme anti OTAN et sa réputation de vengeur et de juge de l’Occident tyrannique qui fait toute la force de la puissance qui s’élève à l’Est et au Sud-Ouest. Trop longtemps les chrétiens ont conservé hermétiques les petites entorses que Paul a faites à propos des paroles de Jésus, pour faciliter la conversion des romains et sauver les nazaréens ! Les passages concernant la nourriture (problème  du cochon) et la lapidation des adultères par exemple, sont des falsifications aujourd’hui révélées par un protocole de cryptologie et d’analyse contextuelle rigoureusement scientifique. Ces détails de notre Histoire commune sont à l’origine de l’hypocrisie entre les juifs millénaristes et l’Eglise romaine et de toutes les horreurs qui s’en suivent. Ils sont aussi un facteur déterminant dans le conflit sémantique et physique des trois religions. Faut-il le préciser, les occidentaux ont aussi profité trop longtemps de la guerre entre juifs et arabes pour asseoir une puissance mal acquise à la base. Maculé de rouge et de noir est le carrefour méditerranéen, nous aurons tous à payer le prix de l’esclavagisme et du viol des lois de la nature et de ses langages, voilà ce que les Lumières auraient dû nous indiquer. Israël, comme tout le monde joue un double jeu ! Et l’orgueil, d’autant plus lorsqu’il est blessé et corrompu, ne partage pas son pouvoir ! Rien n’empêche les juifs influents de tourner le dos à l’Occident tout en lui serrant la main, quitte à fracturer de nouveau leur nation. Mais quoi qu’il en soit, ils se réservent l’option Samson.

De la quête et des révélations d’une petite communauté de pèlerins isolés, dépend l’issue de la pièce métaphysique qui se joue en nous et sur le terrain ! Le philologue JRR Tolkien a évoqué ce phénomène à travers son œuvre, à propos du terrain il a aussi décrit une anticipation des forces en présence et des espoirs de notre temps:

La révélation du langage et le retour à un dialecte véhiculaire franc (révélation des signes, chute de l’anneau par son retour à la forge),

Les aveux d’un Occident étouffé par sa puissance et par les crimes qui en sont le moteur.

La démission de l’intendance illégitime de l’Homo-vulgaris et de la gouvernance représentative d’une humanité guidée par les intérêts (personnage de Dénéthor et le Gondor),

Les décisions prises par la « grande » Russie (le Rohan)

Les choix faits  par les boucs émissaires de l’Histoire (les nains)

la dernière implication des croyants raisonnables dans les affaires de la cité, malgré leur eschatologie et les promesses du paradis éternel (les hauts elfes dans  le livre),

La réunion des 5 sentiments primordiaux (les 5 magiciens), devant passer par la destitution de l’amour propre, que la place de ministre de la magie dans la cité matérielle a fini par corrompre.

Le retour du roi des animaux malgré lui (l’Homme humble portant le signe de la réconciliation et l’accord entre raison, sentiments et foi/volonté).

Les forces intérieures et les coïncidences extérieures (synchronicité dans le chaos) qui détermineront le choix de l’innocence, à l’instant du jugement (acte final et destin de Frodon, de l’orgueil des nations et de l’anneau de pouvoir unique)…

Pour conclure, il semble que les altérités réciproques se dirigent toutes vers la guerre, en l’absence d’un langage commun enfin irréfutable ! Ne serait-ce que parce que toutes les alliances nous y conduisent à reculons par leur hypocrisie tout en augmentant les enjeux d’une partie corrompue à la base. « A la base », signifie falsification et vulgarisation du langage lui-même à des fins d’instrumentalisation.

Déconstruire et réparer.

Person(n)e.

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Éternel des armées/éternel désarmé

21 Décembre 2019, 01:11am

Publié par Persone

Éternel des armées/éternel désarmé
Éternel des armées/éternel désarmé
Éternel des armées/éternel désarmé

Ni début ni fin, pas d’origine, pas de projet précis, pas de mémoire, mais un potentiel infini, une inertie ponctuée d’hystéries… L’éternité emmerde l’Homme au moins autant que ses enfants ! Ce maître de maison conçoit l'espace-temps à son échelle humaine, c'est plus fort que lui ! Il n’est plus un cueilleur, chasseur et jardinier, il est devenu Sapiens, il est agriculteur, chasseur et n’a plus d’attrait pour la cueillette de saison ! Il est l’Homme civilisé. Il distingue conscience et matière, il dénigre ce support terrestre qu’il juge si cruel avec lui et contrairement à ces ancêtres, il se complait à penser que la matière inerte et organique moins complexe que lui ne possède ni conscience, ni intelligence. Cette conscience, il estime en avoir l’exclusivité, en être l’origine. Mais il fait froid dans un monde sans conscience, où la seule lumière de l’âme, le seul repère de continuité face à la mort, se trouve être une impitoyable balance chargée du poids de nos actes et de nos remords. Alors, après avoir exploité et sacrifié son frère, son amour et son enfant dans sa grande entreprise, il imagine des Dieux, puis des archanges et un grand patron à son image ! Un grand patron libéré de toutes les contraintes qui lui sont propres ! Un patron désarmé, selon la pertinence des propositions des premiers prophètes, mais qui deviendra vite un patron tout puissant sous l’effet des crises et des enjeux croissants motivés par le progrès de l’entreprise. En d’autres termes, un Dieu fourre-tout dont le déterminisme est une excuse parfaite à tous nos manquements ! L’Homme commun, malheureux et irresponsable pécheur, ne peut trouver son salut que dans l’institution représentative de ce Dieu à la fois impitoyable et miséricordieux. Moyennant paiement, comme il se doit !  Mais sa cité demeure en péril et les récoltes de son expérience le complexent autant que toutes ces questions existentielles irrésolues… Alors il jalouse cet Éternel dont il finit par se demander s’il est un dieu despote ou un simple domaine du hasard dans lequel la vie est un accident et vouée à la destruction. Dieu est mort, Dieu n’a jamais existé… Que sait-il ce petit Homme, à la fois trop affairé et soumis à l’ennui ? Que sait-il, tout harassé qu’il est, amoindri et aveuglé derrière son ridicule et pourtant invincible rocher de Sisyphe ? L’incomplétude dont il se fait un complexe est un cadeau : son présent ! Et le déterminisme empirique, qu’il élève au rang de loi irrévocable, sert d’excuse à ses choix les plus morbides. Ce déterminisme empirique de nature religieuse ou matérialiste, dont il demeure un témoin corrompu par l’intérêt général, un témoin dont la mémoire falsifiée ne peut accéder à l’origine du problème ou plus précisément à l’origine du crime.  

"Comme si on pouvait tuer le temps sans blesser l'éternité" - Henry David Thoreau.

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Subprime - Prime au paradis des morts

5 Octobre 2019, 02:07am

Publié par Persone

Subprime - Déf : prime sous terre, bonus des plus riches du cimetière.

A propos de nombreuses réactions à l’injection d’argent massive par le FED, dont celle « prophétique » d’un Pierre Jovanovic, le groupe de discussion « Déconstruire et réparer » (hébergé par Facebook)  a publié deux vidéos et plusieurs commentaires pertinents que je conseille aux lecteurs de ce blog. Ci-dessous un commentaire concernant le fragment de crise qui nous obsède depuis 11 ans et une des vidéos sélectionnées par des moteurs de discussion de ce groupe :

Le W 2008-20(..) modélisé par les économistes… Le w non fini et son asymptote!  

Au-delà double U ou V, pour éloigner un peu les caméras que nous sommes, les crises ne font que descendre et remonter par définition ! Elles sont comme les révolutions qui tirent leur nom du fait qu'elles nous reviennent sans cesse dans la figure. Ces révolutions sinusoïdales d'époque, nous les voyons comme des périodes de LA révolution permanente depuis que les philosophes matérialistes ont répandu leur aura sur ce que nous nommons l'EDUCATION: Adam Smith pour un exemple à droite, Marx pour celui de gauche contrariée.

Mais les nouveaux économistes ont grand peine à décrire les phénomènes de la vie en dehors du domaine qu'ils maîtrisent et du temps qu'ils traversent! Que cela soit la main invisible ou la révolution sociale idéalisée par la gauche, le processus de révolution permanente est défini comme naturel et ne s’arrêtant pas tant que toutes les conséquences du système ne se sont pas produites. A noter, la définition réduite des philosophes ne dit pas conséquences mais  "objectifs"... Autrement dit, les révolutions définies ici comme les conséquences des causes, ne relèvent que de nos choix collectifs et des "objectifs" temporels que nous nous obstinons à réduire au temps et aux espaces de nos derniers paradigmes en date! Et plus le temps s’écoule, plus les économistes et les financiers cogitent à court terme !

Pourtant au sens large « tant que toutes les conséquences ne se seront pas produites », signifie aussi « tant que toute l'énergie du système considéré n'aura pas été transformé ». Parle-t-on de physique, d’eschatologie ou d’économie ? Les trois à la fois, une réconciliation impensable pour nos maîtres à penser, plus déterminés que la détermination elle-même !  Autrement dit, nous ne changerons jamais le fait que l'évolution ne soit pas une droite linéaire lorsqu’on la regarde de près! Rien de nouveau sous le soleil, n’en déplaise à nos grands économistes, fiers de leurs copyrights ! En revanche, nous pouvons définir la nature des vagues et des révolutions agitant le monde intérieur et extérieur ! Et nous pourrions aussi surfer avec ces forces, qui nous semblent malheureusement insignifiantes pour les unes et colossales, invincibles pour les autres. Les Léviathans du collectif nous semblent invincibles, pourtant leur invocation ne tient qu’à notre intimité contrariée !

Force forte et faible de la famille nucléaire !

Pourquoi ce billet ?

Pour rebondir sur l’analyse de plusieurs termes : ratio, travail, interaction et échange, valeur, et enfin, éducation. « Ces révolutions sinusoïdales d'époque, nous les voyons comme des périodes de LA révolution permanente depuis que les philosophes matérialistes ont répandu leur aura sur ce que nous nommons l'EDUCATION: Adam Smith pour un exemple à droite, Marx pour celui de gauche contrariée. »

Education ? Transmission avec embrayage et roue libre, ou non ! Emprise relative et différentielle si affinité. Interaction dotée d’Amour en option…  Interaction ? Alors pourquoi pas ratio, travail, échange, valeur et usure des choses… Abusive ou non. Question de conscience… 

Posons ici une question piège, à laquelle on ne peut répondre sans en redéfinir les termes… Une question dont la pertinence pédagogique relève du fait qu’elle est mal posée, pour faire de l’humour bachelier :

Peut-on éduquer sans philosopher et peut-il y avoir de philosophie sans l’écriture ?

Prendre conscience, réagir, obtenir, dénombrer, compter, retenir… Le langage parlé et l’écrit si affinité ! L'écriture est un pouvoir manifeste bien plus globalisant que la parole dont il représente une option évolutive, mais tout autant instrumentalisable, falsifiable et sujette à l’incomplétude de l'observateur. L’écriture est un outil arithmétique, sémantique et géométrique qui peut révéler les langages auxquels elle est pourtant postérieure, mais par le livre et l’imprimerie, elle est aussi un artéfact de pouvoir ! Elle est comme un véhicule plus performant et plus rapide pour un pilote qui ne maîtrise pas encore les raisons de son empirisme, la nature de son être et le sens de son voyage... L'écriture et le partage de la logique mathématique sont nés du langage oral et de l'expérience commune. Pourtant, cette écriture est capable d'expliquer nos langages, comme si c'est elle qui les avait faits! Programmés peut-être… Pourquoi? Immanence! Pas besoin d'écriture pour philosopher, pas besoin de philosopher pour écrire, pour faire un peu d’humour black and white. Et l'Homme n'invente ni le langage, ni la grammaire, ni même les mathématiques ou la physique, il ne fait que les découvrir peu à peu ! Autrement dit, il n'invente que le signifiant, exprimant ainsi la diversité. Mais l'écriture, les formules et l'illusion de la puissance font tourner toutes les têtes! Et le commun des mortels apprécie beaucoup les formes, l’ordre (verbe) et les ambiances… Les sciences compartimentées en Occident pour des raisons de productivisme ne font plus le lien entre arithmétique, géométrie et sémantique! Tout le monde s'en fout et personne n'a envie de revivre les préoccupations d'un Archimède ou pire de finir comme lui.

Il semble que nous ayons tous un devoir épistémologique ! Et ontologique aussi. A nul l’impossible n'est tenu - dit-on sans trop savoir ce que l'on dit... Pourtant nous nous évertuons à repousser sans cesse les limites du possible en incarnant les causes de notre perdition. 🙃 Complexe matière/conscience... ?

Mais revenons vers la première question en posant encore une question volontairement mal posée :

A quoi sert l’éducation, est-elle nécessaire, primordiale ?

Le mot éducation évoque une double signification souvent masquée par le sens commun. Le sens occulté : « éduquer un membre ou un organe du corps, le rééduquer aussi, après blessure et arrêt fonctionnel forcé ». La conscience du ratio, le travail, la mémorisation et l’apprentissage sont des phénomènes nécessaires à la vie de par sa propre nature. L’éducation est un principe et comme tous les termes évoquant un principe, il possède un double sens et plus si affinité. Concernant « éducation », il existe le principe fondamental inhérent à la vie et les principes que le vivant fait évoluer pour se maintenir dans la partie, majoritairement  par empirisme.

L’étymologie du mot est intéressante: guider hors, guider vers. Hors du dedans vers le dehors ou hors du dehors vers le dedans. L'être s'éduque, va du passée vers un futur, mais pour que le présent soit épanouissant, le mouvement d'apprentissage doit se faire dans les deux sens (épistémologie entre autres pour le passé et étude de la causalité pour prévoir les conséquences de nos actes... Ontologie si nécessaire).

Chez la cellule "qui n'est pas moins familiale que la nôtre", l'éducation semble impeccable, celle du règne végétal et animal aussi... Ça se gâte avec l'Homme! Avec ce dernier, encore jeune, amnésique et berné par ses facultés, la question "à quoi sert l'éducation" devient vite "à qui sert l'éducation"!!!

La différence (encore un principe), n'est que logique, par complémentarité au semblable. Elle manifeste très joliment la diversité, mais la dualité chez l'Homme est encore dualisme et altérité réciproque! Ce qui manque à notre éducation, concernant l'enseignement des enfants et du peuple en général et malgré nos performances, c'est l'unité des connaissances et la déconstruction de nos langages qui entre autres révèleraient à tous les mécanismes de notre être, les mécanismes de notre évolution, les mécanismes de notre souffrance et l'unité perdue de nos langages. L’unité de notre conscience immanente. Pire, nous tardons à l'admettre, mais bon nombre de nos écritures de référence sont falsifiées et les clés communes de nos langages sont couvertes d'un hermétisme absolu!!! Cette déconstruction pourtant possible doit s'aborder par la voie sémantique, mais réductionniste aussi puisque c'est le seul vocabulaire que les consuméristes en chefs comprennent aujourd'hui. La passerelle qui guide vers cette "déconstruction/réparation" est une "matière" peu connue: l'arithmancie... Celle dont on ne trouve aucune définition dans aucun dico.

Ce qui est unique doit s’éduquer pour intégrer son ratio avec l’autre et, si affinité avec la diversité. Tout comme la diversité, si elle devient une entité (morale par exemple), doit s’éduquer pour intégrer son rapport à l’unité. Le centre de toutes projections symétriques demeure 0. Et l’axe de symétrie est la droite formée par la dualité de ce dernier (8, boucle de l’infini ou double zéro). Principe rémanent, lumière « émanente » et trous noirs concentriques. LumièrE et TénèbreS…    

Aujourd'hui notre ingénierie extérieure, à dominance matérialiste, repousse les limites du possible au détriment de l'ingénierie intérieure. Les jardins sont malades des deux côtés.

Donner enfin un sens à nos expériences spirituelles et laïques commence par rééquilibrer cette balance; celles de la justice, de la morale et de la raison ne s'en porteront que mieux!

Réduire les fractures et la maladie commune qui nourrissent les flammes de notre consumérisme est encore possible, tout comme il était possible pour le capitaine du Titanic d'éviter le pire... Choix qu'il n'a pas fait.

Apprivoiser les titans se mérite! Vivre et partager enfin une "IA collective" au service de l'Homme, du vivant et de la terre du milieu, nécessite de déconstruire enfin nos langages, com/prendre et réparer ensemble.

Une fois encore je vous invite à découvrir l'arithmancie sous une forme toute particulière, encore couverte d'hermétisme. (D'autres articles du blog sont consacrés au sujet.)

Dans la vidéo ci-dessous, vous découvrirez un contre exemple très inintéressant dont l'opportunisme temporel non dissimulé ne fait que confirmer notre enquête!

Le bon endettement dont il est question ici s'appuie sur le système d'"argent dette" dédié à la production par spéculation et le narrateur prévient du caractère dangereux, risqué de cette expérience financière. Sans régulation par une autorité quelconque, ce jeu prend une bien mauvaise tournure... Chacun tente sa chance sans comprendre ceci: pour que certains puissent faire de l'argent avec de l'argent, il faut que d'autres demeurent des consommateurs non initiés! Autrement dit, pour s'enrichir sans effort physique ou métaphysique il faut maintenir la pauvreté de ceux que l'on destine au travail forcé, ceux qui indolemment, dans de profondes souffrances physiques et mentales, fabriquent les objets et les consomment. Et c'est malheureusement ce qu'il se passe! Partout, le citoyen moyen est invité à prendre du crédit pour investir dans un appartement à louer, dans un nouveau business, dans une startup, dans un "green project"... Mais où sont les business plans? Et a-t-on prévu qui consommera les services lorsque nous serons tous prestataires de services dont l'offre conditionne la demande au détriment des besoins communs? L'augmentation spéculée de notre rentabilité d'endettement suffira-t-elle réellement à payer la dette à terme? Les hordes de quidams lambda alléchés par la propriété lucrative peuvent-ils prédire l'avenir sur 20 ou 30 ans? Soyons honnêtes, la crise des subprimes a commencé par un coup de charme et un éloge intéressé à la propriété! Pourtant, depuis les années 80, de nombreux analystes avaient prévenu: 70% des petites et moyennes entreprises coulent ou s'endettent avant la sixième année sans avoir connu le fameux rythme de CROISIÈRE... 

La folie des grandeurs et les belles promesses des élites... La poule aux œufs d'or de l'innovation, de la technologie et de la libre entreprise pour tous... De la poudre aux yeux! Une stratégie des financiers et des pouvoirs politiques pour masquer un peu plus longtemps leur échec et mat.

Le système bancaire nous étrangle, il est possible en effet de l'utiliser au mieux pour s'en sortir, j'ai bien dit POUR S'EN SORTIR!!! Autrement dit, vous avez pris un crédit pour ne pas vous déposséder tout en ayant enfin une maison bien à vous ou un petit bout de terre, un commerce peut-être (...)? Ne vous culpabilisez pas, mais assurez-vous de la viabilité de votre projet et ne vous prenez pas au jeu parce que cela aura fonctionné. Laissez leur chance aux autres! Bref, remboursez à terme votre crédit et retrouvez la valeur de votre vie, de votre travail, fusse-t-il intellectuel ou manuel.

Que cette parenthèse sur la gestion éthique de votre patrimoine ne vous fasse pas oublier le cœur de cet article à propos du nerf de la guerre, à propos de nos langues, à propos du langage. Une meilleure gestion de l'argent, des nouvelles applications de l’électrolyse et des trains électromagnétiques supersoniques et non polluants (...), ne sont que des moyens, pas le remède à la maladie déniée qui nous ronge!

Le ratio entre autonomie et dépendance est la clé! La méritons nous ? La notion relève de la sémantique, de l'échange d'information, de l'immanence aussi! Par exemple celle des langages, des formes et des ambiances manifestés par les interactions définissant la substance de l'être. L'équilibre de ce ratio est une question de conscience propre, individuelle, qui se projettera ipso facto sur les entités collectives que nous incarnons.  

Déconstruire, comprendre ensemble et réparer.

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Nous sommes tous juifs... was ist das?

8 Septembre 2019, 19:55pm

Publié par Persone

Les théories du complot, avant d'inclure les fameux Illuminati et les extra-terrestres, ont commencé par trouver un bouc émissaire en les juifs! Les plus acharnés et con/vaincus d'entre nous pensent donc que nous sommes les vaches à lait d'aliens juifs et maçonniques. Quelle époque! On ne peut exclure les juifs de cette petite histoire calquée sur la grosse, parce que "tout le monde sait bien que nous PAYONS TOUS LE PRIX de l'usure" orchestrée par ces derniers, maîtres incontestés du système bancaire... NOUS PAYONS TOUS LE PRIX... Mais quelle PRIX ont payé les juifs pour leur statut de déicide? Combien de massacres et de déracinements? Combien d'impôts illégitimes? Combien d'humiliations? Combien de pogromes? ... "Gardez les couteaux et les fourchettes en argent, le reste sera refondu pour la guerre!"... Les juifs... Qui comme nous français, tonkinois ou Javanais (...) ont le droit d'être considérés comme pluriels!!! Malgré notre unité de nature immanente... Ce 100% divin 100% humain que nous avons TOUS interprété à toutes les sauces exclusives et qui, concernant les chrétiens, a fixé le sort des juifs en tant qu'entité représentative. Le cauchemar d'un Paul! Un complexe judéo-chrétien axé sur la personne de Jésus. Un complexe que les dragons du soleil levant auraient pu nous apprendre à dissiper. Si et seulement si... Nous n'avions pas soldé tout compte de nos problèmes nucléaires par une guerre mondiale et l'envol de l'Enola Gay! Hiroshima mon Amour disait Marguerite Duras, en imaginant pas le lapsus qu'elle exprimait. NOUS PAYONS TOUS LE PRIX FORT ET SUBISSONS TOUT LE POIDS DE L'USURE (dans tous les sens du terme!!!) POUR NOTRE HYPOCRISIE GLOBALE!

Déconstruire (nos langages entre autres) et réparer.

On s'en fout dirons certains, des millénarismes respectifs et de tout le reste! nous ne vivons pas dans le meilleur des mondes qui engraisse les vaches de la modernisation, mais faisons comme tel, parce que tout n'est que le fruit du hasard, la vie n'a aucun autre sens que la détermination vers la fin, alors à chacun sa vérité, peu importe! LE HASARD ROI ET ABSOLU! MMMouarfff! Pauvre ma/thématique! Ignorée et instrumentalisée, comme Cassandre. Maudite... Le hasard, qui semble une expression rassurante pour désigner ce qui est relatif au chaos, n'est pourtant qu'un facteur à prendre en compte pour la logique. Logique... La conscience et sa substance de double nature pourrait-on dire. Le hasard est aussi ce qui vient égayer l'être en lui permettant d'être pluriel. Un bonheur (!), mais logique, simplement. Mais le hasard considéré comme origine absolue de notre existence, c'est la meilleure justification que l'on puisse trouver à notre décadence. Au mieux, une pensée absurde qui nous pousse au fatalisme et au nihilisme...

Au pire, une hypocrisie sans nom qui nous permet de dénier la responsabilité de nos actes et de vivre une justice démocratique à deux vitesses, qui n'est plus qu'un principe de précaution pour garder des agneaux et des loups, définis sans le moindre libre arbitre!

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L'échiquier du traqueur et du traqué

31 Août 2019, 22:56pm

Publié par Persone

L'échiquier du traqueur et du traqué
L'échiquier du traqueur et du traqué
L'échiquier du traqueur et du traqué
L'échiquier du traqueur et du traqué
L'échiquier du traqueur et du traqué

Les mouvements volontaires du traqué c'est la diminution des probabilités que le traqueur le trouve dans une case par déduction, sauf erreur de sa part. On pourrait dire aussi que c'est l'augmentation des probabilités d'"être ou ne pas être" dans toutes les cases dont une en particulier! Admettons que le traqueur soit un limier hors du commun et pensons simplement aux multiples raisons qui détermineront le choix de notre direction après une halte! Sans traces laissées depuis le campement découvert, le traqueur repart à 0. La partie devient psychologique, semblable a une partie d'échecs. Si elle dure traqué et traqueur peuvent ne plus faire qu'un, mais nul ne pourra déterminer qui trouvera qui avant l'autre ni l'issue de la rencontre! Cette mécanique quantique concernant la nature, la position et la vitesse de particules complexes, est liée à l'intrication et au libre arbitre relatif dans un système déterminé.

Imaginons maintenant que le traqueur soit l'Orgueil des Nations ! Pour exemple: Sauron dans le seigneur des anneaux. Il n'a pas de corps, mais une personnalité définie comme morale par nous-mêmes! Il protège aveuglement chacune des nations qui le constituent dans sa diversité et globalement il doit protéger un mode de vie contradictoire à la vie, un mode de vie que nous avons choisi! L'amour propre et nos illusions matérialistes sont là pour embellir le tableau, mais c'est un fait, l'orgueil doit répondre à nos paradoxes par la régulation: il détruira tout s'il le faut! Reflet de nous-mêmes, il/elle est meurtri/e et désarmé/e comme un enfant, mais surarmé/e par notre folie des grandeurs et victime ici de sa nature logique et intemporelle: il/elle a une obligation de résultat car il/elle n'est pas le néant! L’Orgueil en revanche sait être un parfait pourvoyeur de mort! Aujourd'hui l'orgueil s'incarne comme un cancer qui s’apprête à achever des cellules dégénérescentes! Comme chez les rats, la guerre est encore ce qui évitera le mieux une lente et insupportable agonie! Autrement dit, nous avons incarné notre propre Némésis. Aujourd'hui elle nous traque et nous rattrape toujours, nous qui fuyons la guerre et la maladie tout en nous y conditionnant! Elle attend, à chaque instant, que l'on agisse de façon prévisible ou que l'on stagne en se terrant dans un clapier quelconque! Elle appelle son anneau unique pour qu'apocalypse ou révélation se fasse enfin! Les Hommes revendiquent tous un anneau de pouvoir qu'ils ont pourtant perdu et qu'ils n'ont jamais contrôlé... Ils agissent en permanence ou se cachent, il peut donc les trouver et dans les ténèbres les lier! Heureusement personne ne sait plus ce qu'est l'anneau et seules de petites choses insignifiantes le portent aujourd'hui! De petites choses innocentes et donc immunisées contre tout pouvoir obscur! Quant au pouvoir qu'imaginent posséder nos élites, pouvoir soi-disant d'action et de mouvement, il n'est autre que celui de rats terrés dans des hémicycles obscurs et plus repérables qu'un singe qui aurait construit un palais et trouvé une Kalachnikov! Le salut ne viendra jamais par les chemins hypocrites sur lesquelles nous l'attendons en nous conditionnant inconsciemment à la guerre!

Espérons que le porteur soit ce petit nous qui n'a plus rien à lui et qu'il puisse détruire l'anneau en révélant enfin sa véritable nature! Le sortilège qui annule tous les sortilèges dévoile peu à peu la falsification de nos langages... Une fois formulé intégralement, l'hermétisme sera brisé! A chaque instant, les membres de la communauté de l'anneau sont en mouvement! Discrets ne serait-ce que parce que tout le monde se fout d'eux et de leur quête! Les orques sont idiots! La communauté des 9... Ne les trahissons pas! SOMME 2... SOMMES 3... NOUS SOMMES 9...

Arithmantiquement vôtre !

Personne

La communauté des 9 est un vieux symbole alchimique qui demande à l'initié (je ne parle pas des francs macs ou autres associations de philanthropes noyés dans les délits d’initiés) de comprendre le mécanisme arithmétique des 9 premiers chiffres, afin de savoir pourquoi ici le 0 et l'unité reviennent sans que l'homme n'ait quoi que ce soit à voir avec ce principe issu des propriétés des nombres (notamment le jeu des pairs, des impairs et des indivisibles: les chiffres et nombres premiers)!

10 dieux dans la cosmogonie principale des anciennes civilisations, 10 archanges principaux (et 2 mystérieux) dans la bible, un principe de 3 et 7 accords fondamentaux compréhensibles, visibles et audibles dans la vie de tous les jours (...)

9 membres pour la communauté de l'anneau et 9 traqueurs que sont les anciens rois déchus dont les ombres sont au service de l'Orgueil des nations... !

Qui trouvera qui?

De cette pièce d'échecs métaphysique dépendent nombre de choses concernant notre avenir proche...

La philologie ne se résume pas aux romans codés que leurs pratiquants ont pondu, faute de mieux! Elle est simplement un travail épistémologique et ontologique sur les sciences, l'art, la politique (courants idéologiques et philosophiques) et la théologie! Nous avons attendu bien longtemps avant de développer cette discipline! Trop longtemps!!! La déconstruction des langages est en marche, une marche malheureusement balbutiante et peu médiatisée parce que dérangeante! Mes homologues restent silencieux pour des raisons déterminées, mais absurdes, que chacun pourra comprendre dans l'analyse de l'histoire de l'hermétisme!

Hermétisme dont je me fous comme un chien de sa première laisse!!! Que mon maître me regarde pisser comme un con ou qu'il me construise des chiottes dans une cage à lapins, JE M EN FOUS!!!

Bonne rentrée à tous...

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Déconstruire et réparer... Commentaire sur la complémentarité guérisseuse de la spinozite et de la nietzschéoze.

30 Août 2019, 22:08pm

Publié par Persone

Déconstruire et réparer... Commentaire sur la complémentarité guérisseuse de la spinozite et de la nietzschéoze.
Déconstruire et réparer... Commentaire sur la complémentarité guérisseuse de la spinozite et de la nietzschéoze.

La grande politique.

J’apporte la guerre. Pas entre les peuples : je ne trouve pas de mots pour exprimer le mépris que m’inspire l’abominable politique d’intérêts des dynasties européennes, qui, de l’exaspération des égoïsmes et des vanités antagonistes des peuples, fait un principe, et presque un devoir. Pas entre les classes. Car nous n’avons pas de classes supérieures, et, par conséquent, <pas> d’inférieures : ceux qui, dans la société d’aujourd’hui, tiennent le dessus, sont physiologiquement condamnés, et en outre — ce qui le prouve — si appauvris dans leurs instincts, devenus si incertains, qu’ils professent sans scrupule le principe opposé d’une espèce supérieure d’h<omme>

J’apporte la guerre, une guerre coupant droit au milieu de tous les absurdes hasards que sont peuple, classe, race, métier, éducation, culture : une guerre comme entre montée et déclin, entre vouloir-vivre et désir de se venger de la vie, entre sincérité et sournoise dissimulation... Si toutes les « classes supérieures » prennent parti pour le mensonge, elles ne l’ont pas librement choisi — elles ne peuvent faire autrement : on n’est pas libre de tenir à distance les mauvais instincts. — Il n’y a pas de cas qui montre mieux à quel point la notion de « libre arbitre » a peu de sens : on dit « oui » à ce qu’on est, on dit « non » à ce qu’on n’est pas... Le nombre parle en faveur des « chrétiens » : la trivialité du nombre... Après avoir traité pendant deux millénaires l’Humanité à coups d’absurdités physiologiques, il faut bien que la dégénérescence et la confusion des instincts aient pris le dessus. N’est-elle pas à faire frémir, l’idée que ce n’est que depuis 20 ans à peu près que sont traitées avec rigueur, avec sérieux, avec sincérité, les questions les plus immédiatement importantes : celles de l’alimentation, de l’habillement, de la cuisine, de la santé, de la procréation

Premier principe : la grande politique veut que la physiologie soit la reine de toutes les autres questions : elle veut créer un pouvoir assez fort pour élever l’Humanité, comme un tout supérieur, avec une dureté sans ménagement, contre tout ce qu’il y a de dégénéré et de parasitique dans la vie, — contre ce qui pervertit, contamine, dénigre, ruine... et voit dans l’anéantissement de la vie l’emblème d’une espèce supérieure d’âme.

Deuxième principe : Guerre à mort contre le vice : est vicieuse toute espèce de contre-nature. Le prêtre chrétien est l’espèce d’homme la plus vicieuse : car il enseigne la contre-nature.

Deuxième principe : créer un parti de la vie, assez fort pour la grande politique : la grande politique fait de la physiologie la reine de toutes les autres questions, — elle veut élever l’Hu<ma>nité comme un tout, elle mesure la place des races, des peuples, des individus, d’après leur [—], d’avenir, d’après la garantie de vie que comporte leur avenir, — elle met impitoyablement fin à tout ce qui est dégénéré et parasitaire.

Troisième principe. Le reste en découle.

(Proclamation contre les prussiens, fragment posthume Décembre 1888 – début janvier 1889, 25 [1])

Texte mis en ligne sur facebook par "Itinérance philosophique" sur le groupe de discussion " Nietzsche. La caverne de Zarathoustra". Note: mes propos sont personnels et n'impliquent en rien la pensée du groupe.

Commentaire :

On se rapproche de "la mauvaise réputation" de Nietzsche, au maximum... Mais en toute honnêteté il ne fait que prophétiser le bel avenir du mal! Il avait plus d'amour déchiré dans le cœur qu'on ne l'imagine et sa guerre n'aurait jamais eu lieu sur le terrain des vaches, il le savait bien. Si ces paroles semblent choquantes, il suffit de contempler le monde d'aujourd'hui pour comprendre que face aux hordes de positivistes, d'opportunistes et de carriéristes dont la cruelle stupidité s'ignore, ces mots sont en réalité d'innocents, inoffensifs et nécessaires cris d'alarme! Après, les interprétations fascistes que certains en ont déduit ne font que prouver toute la raison du philosophe... sur toute l’infamie qui se larve derrière la « bienpensance »!

Voilà qui me fait penser à un discours, moins choquant pour les animaux de ferme, mais très parallèle:

Un bémol simplement concernant le texte : Nietzsche, comme Spinoza en son temps (l'un la joie de la sérendipité contextuelle, l'autre la tristesse prophétique de la zemblanité légitime) manquait de certaines avancées en maths et en physique (quantique) pour comprendre toute la subtilité de la notion de choix et de libre arbitre! Comprendre le mécanisme de roue libre et de transmission, ainsi que le paradoxe de Zénon aurait été une bonne, mais insuffisante base de réflexion…  "Libre arbitre" qui n'est en rien "liberté" comme le décrivaient les anglais avec la notion de "Free will" mais "responsabilité de nos actes" dans un monde déterminé!!! A l'époque, seuls les linguistes français avaient opéré cette différence sémantique entre les termes! Un des remèdes à la "spinozite aigüe" et à la "nietzschéose en plaques" est ici…

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Les vagues

27 Août 2019, 16:41pm

Publié par Persone

La vérité est une chose si simple et innocente qu’un criminel pressé ne lui adresse plus la moindre attention !

Par procuration, nous sommes tous des criminels. Par obligation, nous sommes tous pressés.

Dans cette comédie Shakespearienne qu’est notre démocratie, le juge et l’avocat ne sont que les employés du syndicat du crime.

L’État et le Temple ? L’incarnation sans NOM de la somme de toutes nos petites procurations sans la moindre SIGNATURE.

J’aimerais ici pisser une fois encore sur  la tombe ou futur tombe des critiques de cinéma ! Les appréciations des spécialistes à la sortie de Tolkien m’avaient refilé la même envie irrésistible ! A sa sortie, The Wall bénéficiait encore du sillage du Titanic des seventies ! La grande désillusion n’avait pas eu lieu, le confusionnisme incubait seulement et la fosse septique n’était pas encore bouchée ! Mais quelques années de bonne conscience plus tard, le film fut considéré comme à écarter de la jeunesse devenue neurasthénique (ou l’inverse) ! On y a vu graisseusement l’apologie d’un sale type qui se fascise et qui a des excuses parce que son papa est mort à la guerre ! Et que son rat a cassé sa pipe dans sa petite liquette… Uhuhu ! Il a perdu sa maman Harry Potter ? Bref, la critique choisit l’air du temps, rien de neuf, que de la merde, mais de carnivore, de la merde stérile !

La vague ! On ne la sens jamais venir chez les shadoks ! Elle va et elle vient comme on dit…

Lorsqu’on nourrit ensemble, par suffrage ou corruption,  une démagogie criminelle en la nommant démocratie, on se dirige en rangs d’oignon vers les épouvantails du totalitarisme sous toutes  ses  formes. On ne peut fuir la guerre tout en s’y préparant disait Einstein…

Les  critiques devraient rendre ses titres de noblesse à Alan Parker ou au moins à The Wall et au génie des Floyds durant un temps…  Jusqu’au final cut. Pour ne pas faire la même erreur que tous ceux qui ont fustigé Hannah Arendt lorsqu’elle démystifiait le masque du dualisme ou du manichéisme avec lesquels on couvrait la bête infernale au lieu de la voir. Voir est un terme  que nous connaissons mal !

Nous avons tous tant souffert que les moqueurs et les vipères à nos tables n’imaginent pas les conséquences de leurs persiflages, pas plus que la vacuité de leurs actes nécessairement vaniteux.

Vitam  impendere vero n’est pas serment d’hypocrite !     

Chaque barrière à l'Amour mène à la souffrance! Même deux amoureux et surtout dans les premiers temps des passions finissent par ressentir une compression si de quelconques barrières autres que la pudeur, le respect de l'autre ou la beauté de l'effleurement (les premiers pas de danse) les poussent à reculer vainement la rencontre mutuellement consentie! Et s'ils sont séparés avant d'avoir pu au moins se déclarer cet Amour/amour, la souffrance devient mentale, mais bien plus significative encore! Cela dit en matière de barrière, nous parlons aussi de manque d'Amour/amours envers soi, lorsqu'on néglige notre corps d'une quelconque façon par réaction aux blessures de notre expérience (toute forme de béquille et d'excès continuels)... De manque d'Amour/amours envers la vie lorsqu'on se permet de bouffer de la viande régulièrement et de pratiquer la culture intensive en ayant connaissance de la cruauté et des conséquences que cela représente dans un collectif tel que le nôtre... De manque d'Amour/amours envers l'autre lorsque le mariage ou la vie commune rime avec possession "vos biens communs, à vous qui vous appartenez mutuellement" (un héritage morbide que même les concubins les plus laïcards reproduisent inconsciemment)... De manque d'Amour/amours envers les autres (l’inconnu et l’extension infini de la fraternité de la vie) lorsqu'on se persuade d'avoir gagné en « fraternité © » tout en profitant du droit constitutionnel de s'exploiter les uns les autres en hommes libres... De corruption et de dégénérescence de l'amour propre (un miroir fixe et froid, moins noble qu’il ne s’imagine), lorsque l'on se laisse aller et que l'on régresse autour de notre nombril ou au contraire lorsqu'on renie nos valeurs les plus innocentes et systémiques pour le regard de l'autre, des autres, de l'orgueil des nations que l'on incarne ensemble... De manque d'Amour/amours globalement lorsque l'on fait quoi que ce soit d'agressif envers soi, l'autre, les autres, la vie...

Bref tout cela mène à toutes les formes de souffrance physique ou mentale.

Le maître bushido enveloppe la lame de son adversaire avec son amour et apprend à le connaître à chaque coup, à chaque silence. C'est encore une danse! Tout comme l'aïkido. La boxe chinoise et les arts Shaolin sont plus "obscurs"...

Après son plus beau combat, le maître est censé atteindre la plénitude et aucune violence ne pourra plus jamais venir à sa porte.

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