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Le blog de Persone

femmes

LE NOM DE LA ROSE

21 Septembre 2020, 14:00pm

Publié par Persone

LE NOM DE LA ROSE

∞ -1 ∞ 0 ∞ +1 ∞

Ressentir l’espace et le temps, épanouir un enfant, soigner le jardin du dehors et du dedans…

Jouir de la lumière sans contrarier les ténèbres, chérir ce que l’on ne peut posséder, obtenir sans avoir à demander, pouvoir sans être obsédé…

Ressentir la force du vide sur la matière et celle de l’Amour sur la volonté, faire bander ce qui n’est pas un muscle et lubrifier ce qui n’est pas une pompe à huile...

Soit pour les autres autant que pour toi et garde toi de la fainéantise et de l'acédie! Maître, tu travaillera sans effort...

La potentialité du bonheur, d’une pomme saine et d’une eau légère ! Le fruit durable de la connaissance « de la vie et de la mort ».

La possibilité d’une île sur laquelle la substance brute et vivante des univers, le soft et le hard ware, peut enfin témoigner du résultat de son travail. Voir, sentir, goûter, ressentir, partager… Le généreux présent de la quintessence des sens.

 

L’aube des temps incomptés... Le féminin consent, l’humain apprend.

Mais le chef prend, il impose à sa guise, il a le droit de tuer ! Et la femme, protégeant l’enfant et les hommes d’eux-mêmes, compose. Au sacrifice de sa chair, au sacrifice de sa réputation ! Il y a péril en la demeure, alors on met de la paille, on dispose. Elle y trouve son compte, il y trouve son compte. Encore une histoire de CON, dira M. Toulmonde. Un terme, un mot, un préfixe, dont l’étymologie ne correspond pas à la vulgarisation commune qui empoisonne le langage de l’Homme.

Lettre par lettre:

C : admise comme symbole de la vitesse de la lumière, liée aux notions de photon, de masse (théoriquement nulle pour le photon) et d'énergie, la lettre latine liée au chiffre 3 depuis l'époque où les chiffres et les lettres se confondaient ou se distinguaient tout en conservant une valeur sémantique commune. Elle se confond avec les phonèmes phonétiques donnant le S et le X et donc avec la 21ème lettre de nombreux alphabets anciens, la sommation de 21 étant 3. Le C est la troisième lettre de Luc, mais aussi de Lucifer, les deux noms étant liés à la notion de lumière, de rayonnement et de gloire déchue. Les lettres L et U tiennent respectivement le 12ème et le 21ème rang dans notre alphabet, leurs sommations donnant encore 3. LUC est donc un triple 3 équivalent au 9, dernier chiffre avant les nombres selon les lois de l'arithmétique. Notons que LUC est l'Inverse de CUL, à nous de méditer sur les fonctions de la bouche et de l'anus en tant que porte d'entrée et de sortie de cette Eglise qu'est notre corps. Un corps opaque mais non hermétique filtrant la lumière et tout type d'information. Entre les complexes de la mère Michel et du père Lustucru, chacun semble chercher son chat... À nous de devenir les Skywalkers que nous sommes! Le placement des lettres dans la plupart des alphabets anciens dont nous avons hérité est le fruit d'un travail scrupuleux, effectué dans un souci de logique et d'analyse réductionniste des constats partagés par les observateurs du monde. Les correspondances arithmantiques des langues anciennes témoignent d'une recherche commune dont la science moderne ne fait que prolonger ou corriger la pertinence. 3 est le principe même des conditions nécessaires au jeu de la vie, il est un des fondements de la logique qui indique que deux singularités complémentaires, les points d'un segment par exemple, sont symétriques par rapport à un milieu ou en interaction par rapport à un point d'équilibre. 3 est la dimension au-dessus du plan ou l'articulation d'un segment donnant un triangle. La notion d'angle impliquant celle de cercle ou sphère en 3D. Le sujet est vaste, nous reviendrons sur le signifié manifeste des chiffres dans un autre article. La calligraphie de la lettre C est un cercle non fini, une courbure excentrique évoquant la forme d'un crochet ou d'un hameçon. Une accroche entre deux états complémentaires ou inverses comme ombre et lumière, un outil qui relie le pêcheur au poisson, une force invisible qui témoigne du ratio, du mouvement et des lois de l'attraction... Accroche-moi si tu peux!  

O: cercle. Ou cycle. Lié au nombre 15, chiffre 6 (par sommation de 15), 6 lié à 9. Mesure de 360° soit deux fois l'angle plat 180° ou 3 fois l'angle du triangle équilatéral 60°. 360°/15 donne 24, ce résultat correspondant à la durée d'une rotation terrestre complète selon notre système de découpage du temps... Pi est une des valeurs qui témoignent de l'approximation infinitésimal. Les propriétés des chiffres et des formes géométriques sont à l'origine de la compréhension du ratio espace/temps. La vitesse angulaire est ce qui relie l'illusion de la trajectoire linéaire de la lumière à l'illusion de la courbe parfaite d'un cycle, d'un cercle ou d'une trajectoire orbitale. O comme œuf, dont la forme se rapproche de celle du 0, O comme ovule, O comme Orgueil, celui de l'œuf et de la poule circulant entre l'indétermination et la détermination.

N: nature, noyau, neutralité, nuit, négatif (charge de l'électron)... La lettre est liée au nombre 14 et donc au chiffre 5. 5 est le médiateur des ordres de grandeur selon le système de mesure en base 10 (système décimal ou métrique, employé pour les mesures linéaires en complémentarité du système sexagésimal, appliqué quant à lui aux cycles et aux mesures angulaires). 5 est aussi lié aux notions d'énergie et de quintessence, la première lettre le représentant est le E, toujours utilisé comme symbole de l'énergie totale d'un système (E=mC²). La calligraphie du N, comme celle du Z, indique un lien par symétrie centrale, entre les deux extrémités opposées de deux segments parallèles. Ceci évoque la relativité, les symétries et l'équilibre entre les forces potentielles ou manifestes de la dualité du 0 : les signe + et -  .   

"Con" désignant ensemble ou avec, "con" préfixe de conférence, de concentration, de contemplation, de cône, de connaître (...), de concave et de convexe.

Con : grossière confusion entretenue par le complexe des imbéciles à propos de leur statut d'abruti et le mystère du sexe féminin. L'hystérie ou l'hystérèse définissent le caractère imprévisible d'un système qui échappe au contrôle, aux mesures et à la détermination de l'expérimentateur. Le mot ne fut pas choisi au hasard, étymologiquement, il dérive du mot utérus, cette matrice si problématique pour l'homme ou pour la femme qui se veut un Homme comme les autres.

Adam et Eve dans les jardins du bien et du mal. Après l'humble cueillette et la connaissance du prix de la chasse et du sang, quel genre de cultivateur et de berger leur mémoire engendrera-t-elle  ? Une affaire toujours en cours…

 

XY 1 / XX 0 Le verbe fut autoritaire.

Les mots furent la possibilité du mensonge pour imposer ou s’affranchir de l’autorité mal intentionnée. La possibilité de contourner par la rhétorique, un secret de polichinelle vieux comme  le monde. Le mal, orgueil dominant, fut l’incarnation de la souffrance venue de l’extérieur pour le vagin. Une souffrance enfouie dans la mémoire de la graine, une souffrance qui rongera lentement le cœur de la cité des Hommes, de l’intérieur. Sans l’amour de soi et l’amour de l’autre, envoyés au casse-pipe par l’amour propre, sans l’amour de la vie et l’amour des autres, condamnés à l’errance sur les désolations laissées par l’hypocrisie, l’Orgueil de l’Homme et celui des nations n’est plus qu’un seul et même animal blessé, une bête féroce et vorace. Un Léviathan qui s’incarne autant par la peur que la vénération qu’il suscite.

La communion par le viol !

Le viol de la fertilité et du consentement offert à l’origine, le viol de l’alter ego et un accord tacite consenti entre dominé et dominant. Un mécanisme de souffrance, une vaine instrumentalisation consumériste de l’Amour, feu par lequel se fondent et se forgent les rouages de la dualité... Ou ceux du dualisme… Être et avoir témoignent de la double nature de la substance, à double tranchant sont les outils du savoir. Physiques sont les clés, les serrures et les outils de crochetage... Causalité oblige, le coffre fort se blinde en fonction des moyens des v(i)oleurs et VICE et versa.  Le sanctuaire demeure inviolable, nous en sortons comme de libres expérimentateurs de la contrainte, pour le meilleur ou pour le pire. Renié, dénié, instrumentalisé, l'Amour est impitoyable.

L'article continue après le jeu d'image....

LE NOM DE LA ROSE
LE NOM DE LA ROSE

6.9 Sous le voile des hypocrites…

Face à cette burqa plurimillénaire que l’Homme, dans un grand désarroi, posa jadis sur les paradoxes du vagin, du phallus, de l’Amour et du pouvoir : la fascination de ses semblables pour la taille, la profondeur, le volume et la quantité.

Et au-delà ? Derrière le voile ?... Des chiffres et une serrure encore inviolée, celle d'un sanctuaire désarmé, mais impitoyable !

La double porte, celle qui attend le pèlerin, maître de l'ingénierie intérieure et extérieure et celle qui tente le faiseur de néant.

Et devant le temple que nul ne bâtira jamais, un gardien à deux faces opposant aux voyageurs les forces qu'ils apportent. Un gardien maîtrisant les anneaux du mensonge et de la subtile vérité. La vérité est la force d'affirmation de la vie et de tout ce qui est, elle est inséparable de la neutralité, inséparable du 0, comme le proton demeure lié au neutron et comme le sexe féminin demeure lié à l'œuf. XX porte en lui la capacité de reproduction, laissant celle de la détermination sexuelle au principe masculin XY. Le mensonge est quant à lui force de négation, négation de la vérité et donc de l'affirmation manifeste de ce qui est, fut et sera. La négation et la négativité ne signifient pas le mal, pas plus que l'affirmation et la positivité ne signifient le bien, il n'y a ici qu'un principe de logique et de complémentarité. Note : la négation de la négation revient à la reconnaissance de l'affirmation manifeste. Par le même principe, l'affirmation de la négation ou la négation de l'affirmation reviennent à la négation et l'affirmation de l'affirmation revient à l'affirmation manifeste. Mathématiquement la multiplication ou division de - par - donne +, celle de - par + donne - et celle de + par + donne +. Par l'ambigüité du langage humain, l'affirmation peut s'avérer une détermination de l'erreur et le mensonge un refuge temporaire pour la vérité, en attendant qu'elle trouve son chemin. Alter/nativité des signes. On remarque aussi que les neutrons, les protons et les électrons échangent leur nature et leur signes par force de désintégration. + et - sont la dualité manifestée du 0 dont les chiffres naturels et relatifs sont soustraits par suite logique. La suite est l'après, la potentialité est l'avant. + et - concernent les charges ou les ordres de grandeur, les deux signes à la fois inverses, opposés et complémentaires, s'engendrent donc simultanément l'un l'autre. Leur somme tend vers la valeur nulle, simple question d'équilibre et de symétrie, simple question de logique. Néanmoins équilibre ne va pas sans déséquilibre et logique ne va pas sans néant, le mouvement est donc permanent, l'éternité est constante, le durable est transformation. Les signes caractérisent les particules, leur somme correspond à ce qui est manifeste, la multiplication et la division impliquant la notion de dénominateur commun sont les premiers opérateurs du langage : avec l'addition et la soustraction, elles mettent en équation les manifestations de la logique. Le langage est le plus petit et le plus grand dénominateur commun des choses qui s'épanouissent entre ombre et lumière. 

Le gardien du temple, que je désigne ici comme sanctuaire de l'immanence, peut s'avérer un impitoyable geôlier, il est l’orgueil de l'Homme et des nations qui s'approchent ou s'éloignent du Saint des saints. Blessé, l'orgueil est la ruse ou le domaine des armées de la bête en souffrance. Un triste animal qui n’attendait plus que le pouvoir des nombres pour soulager sa peine en incarnant de la chair et des objets à profusion, tel un cancer.

L’homme pose sa question, la serrure résiste. L’homme force et pénètre par effraction, assuré de sa puissance, de la force du nombre et de la magie bien gardée des chiffres. Il entre, inconscient de la porte qu’il a franchi et par conséquent du chemin qu’il a choisi. Il souffre, alors il bâtit un temple matériel, illusoire. Cela il peut le faire, quel qu’en soit le prix.

L’homme possède des chiffres qui le possèdent. La clé reste cachée.

PerSévère mon fils ! Laboure, incarne, dresse, comptabilise ! Et tu domineras.

Les chiffres, un simple outil de mesure ? Un inoffensif trousseau de clés ouvrant les domaines de la logique ? Oui, tant que la relativité et l'acceptation de notre incomplétude contrebalancent les causes et les conséquences de nos déterminismes. Mais qu'en est-il dans l’antique repère du mâle? Ce masculin déterminé assis sur son monopole. Qu'en est-il dans le domaine de la raison matérialiste? Cette forme de sagesse exclusive qui défend aveuglément les intérêts du présent. Dans cet empire, le présent n'est plus un don, mais un prêt dont le capital devra fructifier pour nourrir l'usure, l'appétit... Disons le franchement : pour nourrir l'envie maladive, l'avarice, la gourmandise, l'acédie nécessaires à la productivité des masses ouvrières, la luxure et la colère de l'orgueil des nations. Ici l'innocent trousseau devient l'anneau unique convoité par tous, réputé pour contenir toutes les clés de nos talents et celle de l’usine où sont réalisables toutes les armes. L’incarnation de tous les maux sans nom ! Des valeurs, des signes, des symboles et des noms, perdant leur étymologie, leur sens et leur substance; dans l’obscurantisme ou le confusionnisme, au rythme de sanglantes révolutions après lesquelles les vainqueurs et les perdants échangent leur place. Des nombres auxquels on peut tout faire dire pour convaincre n’importe qui de fabriquer n’importe quoi et n’importe où, peu importe comment et pourquoi. Des chiffres tout puissants, mais qui ne signifient plus rien ! Des lois viriles dictées par des hommes insatiables possédés par l’objet qu’ils incarnent et par l’ordre illégitime du verbe qu’ils instrumentalisent…

Un terrain propice aux altérités réciproques, une désolation sans nom où la haine trahit les larmes d’une âme désarmée conduisant ses armées.

L’Orgueil dupé par sa propre expérience et le don de ses pouvoirs les plus alléchants en échange de notre âme, sacrifice nécessaire pour obtenir un pouvoir exclusif sur la  grande cité des sciences, des arts et des industries.

 

6.6.6 Menacée par le pouvoir de l’unique, la dualité nous fait voir anges et démons !

Tout d’abord les commandements du patriarche et du Saint Père, une conception verticale du Bien condamnant le Mal, une communion par défaut et de grandes catharsis collectives, en échange de l’acceptation de notre misérable servitude. Et plus tard, l’illusion quantitative de la liberté, de l’égalité et de la fraternité en échange de la production matérielle et de l'accélération de la fin de notre temps, de notre ère ! Hermès time ironise les philologues anglo-saxons en référence à l'hermétisme construit autour du langage et de la connaissance depuis l'accomplissement des premiers empires. Le temps nécessaire pour que nos mains puissent matérialiser un néant compensatoire pour cet orgueil en souffrance, en attendant la livraison de sa commande : un corps tout puissant, une enveloppe sans vie, perpétuellement nourrie par le sacrifice de la nôtre. Le Léviathan des nations et son anneau unique pour les gouverner toutes. Des monuments à l’image des dieux ou d'un Père tout puissant, des mégalopoles à l’image des patriarches et un mondialisamonstre incarnant une grande cité consumériste. La grande cité des Hommes, adolescentes créatures avilies ne maîtrisant ni leur progrès ni leurs armes dont l'image commune, illusoirement positive, tend vers la nécessité du pouvoir absolu ! L’état providence et la main invisible de la fortune, l'arme de dissuasion, le temps des Lumières au prix de la contrariété de la nuit et du noyau nucléaire... Le tout au service d’un « PèrSévère » ayant violé, volé et perdu son Eve dans les jardins de la connaissance. L’incarnation non pas d’une corne d’abondance, mais d’un vulgaire tonneau des danaïdes. En compensation, le pinard nous fait oublier que nous avons perdu la saveur du pain.   

 

Matrice, programmes et virus...

À quelle heure êtes-vous disponible ? Combien d’argent vous reste-t-il ? Combien de temps ? Avez-vous du rendement ? Voilà qui mérite une mauvaise note ! Dépêchez-vous, il n'est plus temps de rêver, et ne perdez pas celui qu'il vous reste à redémontrer la roue, utilisez-la! Vous êtes souffrant? Sortez votre numéro de sécu et décrivez-moi votre souffrance sur une échelle de 1 à 10 SVP... Vous êtes malheureux? Combien souhaiteriez-vous gagner pour compenser tout ça ?

Le harcèlement des chiffres qui nous obsèdent, la compression et le découpage d'un temps qui nous échappe, et la désolation de nos espaces. Un accord tacite nous laissant misérables et seuls, face à nos blasphèmes.

L'abus d'autorité du sachant et le consentement de l'ignorant sont à la base du plus grand dilemme que la justice ait connu : la caractérisation du viol sous toutes ses formes. Je rappelle que notre réseau électrique dépend d'un neutron que l'on a artificiellement poussé se projeter contre un noyau nucléaire fissible dont l'éclatement produit assez d'énergie pour alimenter notre entreprise industrielle, assez d'énergie pour déclencher la fusion nucléaire dont la puissance peu contrôlable ne sert aujourd'hui qu'à fabriquer des bombes à hydrogène de plus en plus puissantes. Dans l'intimité, la fusion nucléaire consiste à forcer l'interpénétration entre deux noyaux atomiques, malgré les forces électromagnétiques (charge positives des baryons) qui protègent l'intégrité de l'atome. Ni la terre, ni la lune ne sont naturellement disposées à ce type de réaction dont seules les étoiles sont porteuses, de par leur taille et la nécessité de leur nature. Comprendre le viol implique de comprendre les lois de l'attraction, les forces de l'électromagnétisme et celles des interactions nucléaires. Dans un système quelconque, le viol entraîne des réactions en chaîne augmentant l'entropie de ce dernier. Dans la cité des Homme, cette entropie et l'incertitude qu'elle motive nous pousse à repousser les limites du possible pour éviter le pire, cela nous faisant oublier ce que fut et ce qu'est devenu le viol consenti à l'origine.  La banalité ou la banalisation du mal ne sont pas le propre de l'animal, humains compris, elles sont la force de proposition de tout système d'exploitation.

La potentialité de la technologie de la mort.  

Face à la possibilité d’une île, décrite en introduction de ce texte,

"Une île sur laquelle la substance brute et vivante des univers, le soft et le hard ware, peut enfin témoigner du résultat de son travail: voir, sentir, gouter, ressentir, partager..."

La possibilité d'un Empire.

Une  entité globalisante enfantée dans la douleur, par la guerre et pour la guerre. L'expérience capitale et capiteuse de l'instrumentalisation des nombres, des signes, des formes et des symboles!  Une guerre dont les déclinaisons forment un paradigme irrévocable, se nourrissant des dissociations qu'il engendre, à commencer par celle des langages et des caractères définissant les personnes physiques, les nations et les civilisations qui les expriment. Admis par tous, le paradigme de la guerre provoque l'hystérie de la matrice dont les armées sont issues et contrarie la détermination des piliers de l'univers. En terme de civilisation, l'héritage de la Toute Puissance, fusse-t-elle divine ou politique, est une illusion transcendantale morbide qui nous éloigne de la réalité du principe d'immanence, en le quel se trouve notre salut et le remède à nos altérités réciproques.

Quintessence de l'art de la guerre : les phalanges armées de l'Empire des sens sont autant de légions de morts ensevelis qui pensaient dompter la vie et de vivants, qui imaginent tromper la mort. Le corps artificiel des armées est énergivore, consumant le temps et l'espace qui lui sont impartis par le consentement de l'éternel naturellement désarmé.

Un empire donc, une expérience par laquelle l'intelligence naturelle devient esclave de sa création artificielle : un hard ware et un soft ware contrariés de la réciprocité de leur statut d'hôte. Une IA bientôt dotée d'un NOM, le Nouvel Ordre Mondial... Une IA au contrôle de l'Empire des sens et de la raison humaine, une IA qui ne sent, ne ressent et ne goûte rien, un œil sans perspective qui surveille, un automate sans voix propre qui ordonne, un microprocesseur sans cœur, qui se nourrit du nôtre et de notre capacité à gérer l'ambigüité de la seule nature légitime qui soit.    

L'orgueil des nations ne peut être vaincu, tout comme l'anneau de pouvoir unique ne peut être détruit, en revanche l'objet peut être déconstruit sans le moindre instrument physique et son maître peut être sauvé de lui-même, par simple réparation. Ainsi seulement, le mal s'effondrera il de lui-même.

Au-delà de la guerre de 3, au-delà de l'Empire, existe encore la possibilité d'une île...

LE NOM DE LA ROSE

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Règle de 3

21 Mai 2020, 14:19pm

Publié par Persone

Règle de 3
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Règle de 3
Règle de 3
Règle de 3

Dix années plus tôt, je déclinais mes premiers articles, animé par une quête de vérité et de réparation collective. Mais surtout par le sentiment profond que notre Orgueil, victime de son ministre "l'amour propre", déplaçait ses pions à son propre insu… Que cela soit parmi les gagnants ou parmi les perdants, vivant réciproquement, perpétuellement, dans l’angoisse du complot. Vérité de vainqueur VS terreur révolutionnaire : la sérendipité des dominants et des dominés qui les suivent, face à la zemblanité des "déviants" vaincus, dont les prophéties font mauvais hôte. 2 semblables privilégiés et 1 différent dont le manque de privilège semble une nécessité naturelle pour les deux premiers. "S’il n’y avait pas de pauvreté, il n’y aurait pas de richesse". Notons ici le rôle important de l’opportuniste, neutre : il peut changer de camp (signe) comme de chemise en fonction du sens du courant général (charge, masse, valeur, nombre) ! Un piètre et démagogique accord de trois, totalement dénaturé et auquel on sacrifie le lien nucléaire de la famille humaine. Un désaccord plus vieux qu’Hérode, n’attendant que prétextes pour perpétuer la tragédie d’Homère.

Le choix de Troie pour définir le lieu du drame "shakespearien" d’Homère est-il fortuit ? Y-a-t-il un rapport crypté entre TROIS(9) et TROIE(4) ? Un rapport conservé par la forme latine ? Brisons l’hermétisme…

Depuis l’Antiquité, il existe bel et bien un rapport arithmétique et sémantique entre les chiffres et les lettres. En grec ancien, trois (lié à gamma dans la numération, gamma étant aussi la troisième lettre de l’alphabet grec) s’écrivait Τρεῖς (treîs) et Troie (lié à Tros et Ilion dans la construction sémantique cosmogonique) s’écrivait Τροία (Troîa). Note : ς possède une variante notée σ.

On remarque les permutations suivantes :

  • La première entre ε (epsilon, 5ème lettre, dont la translittération latine correspond au e, également placé au 5ème rang) et ο (omicron, 15ème lettre, liée à 6 par la SOMMATION de 15 dont la translittération correspond au ô latin placé au même rang. Notons que le O latin non accentué est la translittération de omega dont le 24ème et dernier rang correspond encore à 6).

Epsilon symbolisait la médiation dans les ordres de grandeur sur la base 10 et la notion complexe d’énergie non mesurable, mais nous reviendrons sur la lettre et son expression sémantique dans le paragraphe suivant concernant la seconde permutation… Omicron symbolise quant à lui le petit et sa relation avec le 6 (concentrique) exprimait l’inverse du 9 (excentrique). Symbolisme : ratio entre l'Énergie en tant que tout (notion de globalité et d’ensemble entier mais infini) et sa manifestation physique en un point concentrique (convergence). Le plus grand contient le plus petit et vice versa.

  • Et la seconde entre ς (sigma, 18ème lettre, liée à 9, dont la translittération correspond à notre S latin) et α (alpha, 1ère lettre dont la translittération est notre A).

Sigma symbolisait l’énergie primordiale fondée sur le principe de trois suivant : deux inverses ou opposés et un milieu. Elle était l’équivalent de la lettre C de l’alphabet cyrillique, qui deviendra la troisième lettre latine, différenciée du S. Sa lettre capitale Σ ainsi que sa forme minuscule σ sont toujours utilisées en sciences pour symboliser les notions de sommation (notion liée à la réduction additionnelle des nombres en chiffres), de conductivité électrique, de coordonnées sphériques (très utiles en matière de calcul de position, de vitesse ou de force en fonction de référentiels) ou d’écart type (notons que les grecs s’intéressaient particulièrement au mystère des écarts entre les nombres premiers, mystère dont relève la fameuse fonction Zêta). Sigma était lié au chiffre 9, le triple 3, autrement dit 3 au cube, cube indiquant le volume, la 3D. La calligraphie de Sigma est un 3 anguleux et inversé. Derrière ce détail, se cache la notion sémantique des 3 îles (deux antipodes et l’île centrale mystérieuse, qui deviendra le 0 dont les voies impénétrables nous seront intelligibles grâce aux indiens bien plus tardivement. 0 que l’on retrouve au cœur de l’énigme de la fonction Zêta. Cette calligraphie était volontairement proche de E (epsilon), liée à la notion de porte à claire-voie et de quintessence (sujet abordé aussi par les hébreux concernant la lettre He). E demeure le symbole de l’énergie totale. A savoir que les grecs étaient eux aussi en quête du 5ème élément et de la 5ème force (à ne pas confondre). Leurs intellectuels suivaient déjà quelques pistes concernant les forces d’interaction : force électrique, force gravitationnelle et son inverse (celle qui maintient en orbite), force de transformation (feu destructeur) et force de vie (feu créateur capable de souder la matière, feu dont témoigne la température du vivant et les manifestations physiologiques de l’ardeur de ses sentiments). Mais revenons vers notre permutation concernant Trois et Troie : la terminaison Sigma devient Alpha. 9 devient 1. Alpha quant à lui symbolisait le premier, le plus avant, le bœuf et l’unité, le plus petit, le plus petit dénominateur commun.  

Le grand, le petit et le rapport d’immanence… Troie le siège, Troie le théâtre de l’apocalypse programmée d’Homère, à défaut des révélations portées par la grâce d’un zéro encore inaccessible. Troie le petit qui contiendra le grand jusqu’à la chute de tous, Troie la petite cité du juste, face à la fureur du grand Empire, tous deux emportés dans la discorde par des forces si complexes qu’elles ne pouvaient être que l’œuvre des dieux et d’un Amour éternel, mais contrarié.  

Les premiers seront les derniers et les derniers les premiers : une énigme qui se serait bien passée du premier degré ! L’ère judéo-chrétienne bouleversera donc la donne, sans toutefois maîtriser ces notions, faisant de Dieu désarmé un Dieu des armées. Au prix que l’on connait. Le Léviathan matérialiste, après avoir décapité le père, renier son héritage et perdu la maîtrise de son langage, ne fera qu’accélérer le processus morbide ; un troisième acte dont les enjeux font ressurgir toute la pertinence des prophéties. Homo-falsus viral et le monde qu’il mérite. Une première vague, suivie d’un principe de précaution qui, dans une seconde phase de grandes mutations, fragilise la bête en mal de langage, puis un dernier acte, la seconde vague, ravageuse… Ainsi fonctionnent les virus, ainsi fonctionne la nature avec laquelle nous avons cessé de communiquer en mélangeant les volatiles et les cochons domestiques ou en les cloisonnant vainement dans le processus de la culture intensive. En deux temps l’humanité fait 3 mouvements, en 5 sec (ou set) plus un poil de sec, elle remet ses baskets ! Petit jeu sémantique : sec indique dans l’expression ce qui se fait en un coup, ce qui n’est pas divisible, il deviendra set en relation avec le tennis, dérivé du jeu de paume : un set est composé de 6 jeux de 3 points et d’un septième pour départager en cas d’égalité, d’où l’utilisation du terme set qui évoque à la fois le chiffre 7 et le set, en tant qu’élément entier quels que soient les éléments qui le composent. Pourquoi ce détail concernant 2 temps, 3 mouvements et 5/7 ? Reprenons nos termes : Τ(2)ρ(8)ε(5)ῖ(9)ς(9) dont la sommation ou addition réduite donne 5, le chiffre de la réalisation, de la médiation entre les ordres de grandeur et 3ème chiffre premier. Τ(2)ρ(8)ο(6)ί(9)α(1) dont la sommation donne 7, chiffre de la dissolution, mais aussi de la réunion des pairs et des impairs ; "7" lié à "3" comme "5" l’est à "2" par des voies qui nous semblent impénétrables, à tort. Seth "démembreur" d’Osiris qui arrachera son œil à Horus avant que Thot (9) ne le recompose en offrant au nouvel observateur une chance de retrouver l’unité. Seth troisième fils d’Adam et Eve, "7" dernier chiffre premier. Une table précieuse de compréhension qui nous aurait probablement évité le pire dans les tribulations des NOMBRES barbares que nous incarnons.   

Intéressons à la forme latine : 3 se dit tres/tria concernant la valeur cardinale et tertius/tertia/tertium concernant l’ordinale. Il existe aussi les formes distributives et les adverbes numéraux. Le mot utilisé pour désigner la cité de Troie s’écrivait Trŏĭa. Apparemment mû par les obligations de résultat d’un système dominant extrême et complexe, les romains n’ont pas conservé ce jeu sémantique subtile dont la Grèce avait hérité. Un héritage dont un Alexandre prit probablement conscience peu avant sa fin, lors de sa consultation d’un mystérieux oracle en Egypte ; un héritage qui manqua aussi à la dynastie des Ptolémée. Bien que l’incendie de la bibliothèque d’Alexandrie ne soit pas avéré, rappelons ici que les romains, lors de la prise de la ville, n’avaient pas pour prérogative d’épargner les trésors écrits.

La forme  française en revanche indique que nos linguistes ont cherché à reprendre le cours de cette énigme millénaire:  

Une seule permutation, le S de trois devenant le E de Troie. S(01) dans le nouvel Alphabet que nous devons à Pierre de La Ramée, la lettre étant dorénavant placée au 19ème rang. Le rang de E est inchangé, la lettre demeure liée à 5. La notion de suite (N+1) dépend du caractère ordinal et de la valeur cardinale des nombres croissants dont les 10 premiers chiffres sont l’archétype. Rappelons que 5 est le médiateur de la première décade. S quant à lui est lié au 1  l’unité relative de toute chose, son symbole est le serpent concernant la courbe ou la tranche d’une pièce à double face concernant le linéaire. S, serpent, sinus et sinusoïde… S le serpent qui avale et recrache le monde, S qui s’auto-dévore ou –féconde, S le tube qui transforme l’énergie, S le siège du langage, S le serpent qui par sa propre nature, au-delà du bien et du mal, offre l’arbre de la connaissance. Le SE qui tente le ME. E5 + S1 = O6, ou vav6 "réversibilité, inversion, articulation", selon les correspondances gématriques latines et hébraïques. Un exercice sémantique intéressant, mais qui ne vaut pas celui de la maison mère !

Intéressons-nous de nouveau au modèle grec : la 6ème lettre de cet alphabet est zêta, symbole d’énergie contrariée, de beauté, et d’hystérèse lié à la fécondation de la vie par l’utérus féminin. 6 exprime aussi, un rapport entre la mesure de l’espace par les radians et celle du temps (système décimal/système sexagésimal). La lettre est aujourd’hui utilisée pour noter la fonction Zêta. Dans la numération du grec ancien, 6 est digamma (double trois) ou stigma, ce signe ouvrant la voie à zêta ou Dzêta qui ici est le 7. Nous retrouvons la grande question des pairs, des impairs et des premiers ! Ce mystérieux rapport immanent entre la matière, les évènements et les nombres, est lié à l’"Energie" subtile et aux propriétés illimitées du 0 et des infinis soustraits de sa double nature. Le zéro était jadis assimilé au néant, on ne le comptait pas parmi les chiffres. En revanche, cinq étant le médiateur de la décade, 6 et 9 indiquaient la présence des boucles inverses. Bref, jadis nous ne comptions pas le 0, mais tout un chacun le cherche depuis toujours. Dépistons donc d’autres chiffres 6 dans l’alphabet grec : le suivant est 15 (1+5), il s’agit de la lettre Omicron, que l’on retrouve dans l’ancienne numération pour noter 70. Et le dernier est 24 (2+4), il s’agit de la lettre Omega (son signe est 800 et symbolise la double boucle infinie). Le fait que la lettre soit placée au 24ème rang est à conjuguer avec le découpage tardif du temps journalier en 24h afin de comprendre le choix d’Oméga pour caractériser la fin des temps, la mort de notre univers. Immanence du langage !   

Y aurait-il un monde à l’endroit et un monde à l’envers ?  Une belle  énigme entre ombres et lumière.    

Si certains pensent qu’Homère, dans son œuvre ne faisait aucune relation entre l’arithmétique, la géométrie et la sémantique, je leur conseille vivement de relire les textes après quelques cours de philologie.  

Epilogue :

Après cette longue parenthèse, reprenons l’introduction de l’article :

Les vainqueurs donc et ceux qui consentent ou profitent de leur victoire : les déterminés qui déterminent, deux semblables bien que différents qui font la paire ! Et ceux qui s’adaptent, comme on dit. Les enfants par exemple, ces petits êtres indéterminés et indéterminables. Les enfants, du point de vue des parents, le peuple du point de vue des gouvernants : un facteur variable, imprévisible, qui contrarie l’expérience…

Mais nous pouvons voir les choses autrement sans contredire la règle : les deux semblables peuvent être les vainqueurs et les vaincus, semblables parce que déterminés (signes)! Les enfants peuvent eux-mêmes entrer dans ce dernier schéma dès qu’ils sont conditionnés par les parents ou la gouvernance suprême. Ici, le différent est le neutre qui change de signe comme de chemise : l’opportuniste. Je rappelle ici un principe de physique nucléaire : le neutron, en enterrant sa vie de jeune fille ou de jeune garçon, se désintègre et participe au grand changement par les lois de la transformation ! Il s’agit de l’activité de la force faible. Au cours de ce processus d’échange de niveau d’énergie, les protons tendent à devenir électrons et les électrons tendent à devenir proton. "Les premiers seront les derniers et les derniers seront les premiers" ou encore "le plus petit contient le plus grand et vice versa". Note : concernant les atomes, ceci n’a rien d’une fatalité darwiniste RELATIVE à la destruction et la souffrance inéluctable. Il n’y a là aucune guerre, aucun conflit, mais de simples lois régissant les interactions en faisant apparaître le ratio, la dualité multiforme. Dualité qui n’est pas dualisme ! Les atomes ne souffrent pas, les atomes ne torturent pas. Concernant l’Homme, la compréhension de ses lois universelles lui permettrait de fonctionner en roue libre en maîtrisant son libre arbitre responsable pour témoigner d’une empathie envers son prochain et d’une capacité à changer de signe, non pas pour trahir ou se trahir, mais pour rester neutre du point de vue du jugement, tout en prenant position pour la vie en embrassant la compréhension de chacun des signes déterminés.   

Dans ce drame shakespearien qu’est la comédie humaine, le principe de 3 est la magie qui permet au petit de contenir le grand, contre toute attente, lorsque chacun semble s’être résolu au pire, avec ou sans bonne conscience. Mais au-delà de ce macabre théâtre tragi-comique, l’accord de 3 est avant tout le principe d’immanence : de par sa propre nature, la partie est aussi dans la partie.

Comme nous l’avons déjà  évoqué dans un article précédent, le principe se manifeste dans des domaines bien plus "terre à terre" :

En géométrie : segments et milieux (angle plat), puis triangles. Notons aussi le triangle équilatéral formé par les trois tris(s)ectrices d’un triangle ordinaire, puis le principe de symétrie : deux éléments "images" et un axe ou centre de symétrie. Etc…

En physique nucléaire : les 3 quarks des baryons les  plus communs, quarks qui se déterminent aussi comme deux semblables et un différent)….

En électricité : plus, moins et neutre… Ou les trois bases utilitaires du courant alternatif dit monophasé, biphasé ou triphasé.

 

En biologie : principalement 3 éléments de base pour constituer la molécule d'ADN ou l'ARN messager (un sucre "ose ou désoxyribose" et deux paires de bases azotées qui s’accouplent pour former la base nucléique. On retrouve ici le schéma des deux natures semblables en relation et d’un composant différent qui les soutient). Lorsqu’on regarde de plus près ce miracle de vie qu’est l’ADN, on observe encore 3 type d’éléments : le sucre, la base nucléique et les groupements phosphate (de 1 à 3).

 

En matière de sexualité : Roméo, Juliette et Mercutio… Ou, sans impliquer la métaphysique shakespearienne: les parents (les deux semblables déterminés qui s’accouplent) et l’enfant (l’indéterminable qui se détermine)…

 

En matière d’accord spectral : 3 couleurs de base

 

En matière de relation entre l’observable manifesté et son observateur : la 3D, première dimension sortant de l’informe (0) et du plan (1 et 2 pour droites et segments parallèles ou sécants en passant par la perpendicularité), pour manifester une singularité témoignant de la hauteur, de la largeur et de la profondeur de ce qui devrait faire le bonheur de l’observateur humain.  La troisième dimension impliquant transformation et déplacement des points et du milieu, il est normal que la suivante soit celle du temps, précédant elle-même celle de la quintessence d’énergie caractérisant tout le processus : gravité (incomprise), électromagnétisme, interaction forte, interaction faible et champs de Higgs.

 

En matière de jeu de la vie. Qu’est-ce que le jeu de la vie ? Une petite expérience informatique démontrant qu’aucune forme n’est possible et que rien ne peut se développer si un "point" n’est pas entouré par deux autres.

Les lois de l'attraction et de la séparation, de la fusion et de la transformation… Nucléaires, électromagnétiques, physiques ou sentimentales, le tout ne faisant qu’un ! Elles sont présentes dans l'arbre de vie, mais aussi dans la mécanique de la souffrance : l’accord tacite, la fracture consentie d’une unité à la fois toute puissante, fragile et désarmée, la culture inconsciente du néant ou encore, selon la Kabbale, l'arbre de la petite mort.

L’île inaccessible de 3 ! Un principe métaphysique enfantin mais subtil, une pierre de magie cachée par la nécessité de sa nature, faisant de l’indéterminable un lien éternel et osons le dire : un domaine de liberté relative de la raison, des sentiments et de la foi, soumis à conditions. Le destin des Hommes n’appartient pas aux "anges", si déterminées soient les lois et les constantes que ces derniers imposent ! Osons la métaphore : en tant que conseiller scientifique, "Dieu 3" maîtrise les causes et les conséquences… En tant que réalisateur, il sait qu’une autre fin est toujours possible et pour que la partie ait un sens, il ne peut être spectateur et acteur à la fois, dans un même état, dans un même espace-temps.

La pierre est cachée par la nécessité de sa propre nature, la trouver c’est la comprendre et la sentir en son cœur. La trouver c’est réparer l’Homme, le temps d’un sauvetage et d’un acte d’Amour. Réunir ce qui a été brisé, le temps d’un espace de valeur éternelle. Réunir cette créature incomplète, avec les dieux et les forces qu’il renie de toute son âme, ou au nom desquelles il imagine se délester du poids de ses crimes.

Nul vainqueur, nul perdant dans l'arbre de vie! Nul esclave, nul opportuniste! Mais des hommes, des femmes et des enfants. Deux semblables donc, Roméo et Juliette (les futurs maîtres de maison) et un différent, indéterminé, proche de la création, proche du 0. Mercutio l’androgyne, Mercutio l'enfant, l'élève aventurier, raisonnablement initié. Appliqué dans un collectif, l’État et la Foi (la reine du château) peuvent se contenter d’avoir le rôle des parents qui guident et départagent sans conditionner ! Mais les institutions politiques et religieuses ont semble-t-il choisi la voie de la souffrance et l’illusion de l’ordre, dans un chaos entretenu.

Comprendre : une relation saine est totalement désintéressée, l'un est l'égal et le reflet de l'autre, seul l'Amour (amours, passion et constante du détachement sans indifférence) définit les rapports et les échanges. Par-delà le bien et le mal disait Nietzsche.

Comprendre… Prendre ensemble. Bien malheureusement, dans la voie morbide règne l'hermétisme le plus absolu ! 

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The silence par Manchester Orchestra

14 Mai 2020, 14:34pm

Publié par Persone

Traduction de la chanson The Silence interprétée par Manchester Orchestra.

J’ai été poussé à bien prêter attention aux paroles de cette chanson par l’intensité qui semblait se dégager de la voie du chanteur et de la composition des musiciens, alors que je ne suis pas un as en anglais ! J’ai été surpris par l’intensité proportionnelle du texte d'Andy Hull ! Et à moitié surpris du fait que les traductions faites à ce jour soient largement à côté de la plaque…

Pour commencer, rendre hommage à la performance mérite que l’on pose et/ou réponde à une question  (QU E S/T ION ou encore QUEST ION en anglais lorsqu'on intéresse à la construction, à la généalogie et à l'immanence du langage):

A qui s’adresse ce chant ?

L’auteur lui-même confie qu’il s’agit d’un hymne à l’amour et d’une prière pour « Dieu ». Mais au-delà de l’humble regard de l’"inspiré" sur lui-même et la nature de son oeuvre "souffle", nous pouvons remarquer assez rapidement qu’il s’agit d’un dialogue avec soi-même en « Dieu » et inversement d’un dialogue avec Dieu en soi. Il s’agit aussi et surtout d’un dialogue entre l’orgueil et la vie ! Et par la magie de l’immanence et des multiples formes de la dualité, d’un dialogue entre le masculin et le féminin.

Le texte est aussi une méditation sur la nature de la terre promise, non pas pour les uns ou les autres, mais pour tous. L’arche d’alliance pour le vivant et enfin réconcilié avec la vie et la mort concernant l’Homme.   

 

The Silence :

Why do I deserve the science?                                                Pourquoi devrais-je mériter la science

To feel better about you                                                          pour me sentir mieux à ton propos ?

At a loss I lost my cool                                                             A perte je perdais mon sang froid,

I denied that I found you                                                          je déniais t’avoir trouvé,

I tried to be a basket case                                                         j’essayais d’être un cas désespéré,

I did not surprise you                                                               Je ne te surprenais pas.

I’m trying to find a signal of fire                                               J’essaie de trouver un signe de feu,

Let me know when I should move                                            fais-moi savoir quand je devrais agir/partir.

But you, amplified in the silence,                                              Mais toi amplifié(e) dans le silence,

Justified in the way you make me bruise                               justifié(e) dans la façon dont tu me meurtris,

Magnified in the science                                                           attesté(e )par la science,

Anatomically prouved                                                               prouvé(e) anatomiquement

That you dont need me                                                            comme n'ayant nul besoin de moi.

 

… Crescendo

 

Why do I desire the space ?                                                      Pourquoi est-ce que je désire l’espace ?

I was nourning after you                                                            J’étais en deuil après toi,

I was lost and lost my shape                                                      j’étais perdu et sans forme,

There was nothing I could do                                                    il n’y avait rien que je pusse faire.

I don’t want to waste away                                                       Je ne veux pas dépérir…

It was all I give to you                                                     C’était tout ce que j’avais à donner pour toi.

Take me back and take my place                                              Reprends-moi et prends ma place,

I will rise right up for you                                                          Je m’élèverais/me soulèverais pour toi.

But you,  amplified in the silence                                         Mais toi, amplifié(e) dans le silence

Justified in the way you make me bruise                            Justifié(e) dans la façon dont tu me meurtris,

Magnified in the science                                                           attesté(e) par la science,

Anatomically prouved                                                                prouvé(e) anatomiquement

That you dont need me                                                             comme n'ayant nul besoin de moi.

 

… Crescendo

 

All the while you waste away                                                   Tandis que tu dépéris

You’re asking                                                                             tu demandes:

Did I really need a another one to take me done?                   Avais-je besoin d’un autre pour m’abattre?

Everybody knows it’s something that you                                Tout le monde sais que c’est une chose

Had to live with darling                                                     avec laquelle tu avais à vivre, chéri (assumer)

Nobody’s gonna tear you down now                                        Personne ne t’abattra plus maintenant…

There is nothing you keep                                                         Il n’y a rien que tu gardes

There is only your reflexion                                              Il n’y a que ton reflet/tes pensées/ta réflexion

… Crescendo

There is nothing you keep                                                         Il n’y a rien que tu gardes

There is only your reflexion                                              Il n’y a que ton reflet/tes pensées/ta réflexion

… Crescendo

There was nothing but quiet retraction                                     Il n’y avait rien qu’un retrait silencieux

And families pleading                                                                Et des familles implorant

Dont look in that cabinet                                                   Ne regarde pas dans cette "boîte de Pandore"

There’s far morebad than there’s good                                Il y a là beaucoup plus de mal que de bien

I don’t now how it got there                                                      Je ne sais pas comment il y est entré

That was something your father                                                 Ce fut quelque chose que ton père

had burn in me                                                                           brûla en moi

Twenty hours out of Homestake eternity                              Vingt heures*1  hors de l’usine à perpétuité*2

You can go anywhere but you are                                         Tu peux aller où tu veux mais tu reviendras

Where you came from.                                                           à la maison dont tu viens *3.

Little girl                                                                                             Fillette

You are cursed by my ancestry                                                Tu es Maudite par mon ascendance

There is nothing but darkness and agony                               Il n’y a rien qu’obscurité et agonie

I can not only see                                                                     Je peux non seulement voir

But you stop me from blinking                                                 Mais tu peux m’aider à ne pas clignoter

Let me watch you as closed                                                      Laisse-moi te voir aussi fermée

As a memory                                                                             Qu’un souvenir

Let me old you above the misery                                              Laisse-moi te tenir au-dessus de la misère

Let me open my eyes                                                                 Laisse-moi ouvrir les yeux

And be glad that I got there                                                      Et être heureux d’être là / arrivé là

 

… Silence et reprise du chanteur seul:

                                                                                                             

Little girl                                                                                             Fillette

You are cursed by my ancestry                                                Tu es Maudite par mon ascendance

There is nothing but darkness and agony                                Il n’y a rien qu’obscurité et agonie

I can not only see                                                                      Je peux non seulement voir

But you stop me from blinking                                                 Mais tu m'empêches aussi cligner

Let me watch you as closed                                                      Laisse-moi te voir aussi fermée

As a memory                                                                             Qu’un souvenir

Let me old you above the misery                                              Laisse-moi te tenir au-dessus de la misère

Let me open my eyes                                                                 Laisse-moi ouvrir les yeux

And be glad that I got she/you/Sion                                         Et être heureux "de l’être et de l’avoir".

                                                                                       OU : « … d’être arrivé à EL/LE » « ou toi »

                                                                                       OU : « d’être arrivé à toi terre promise »

 Terre promise? Comprendre ici que la Nature témoigne de l'énergie et du sacrifice consentis par la rencontre "alchimique" et du temps et de l'espace. Allusion à Sion, à la danse de la verge du temps et de la trame matricielle de la "matière" à travers les infinies 1 000 et une N8... Hommage à la vie, à l'Amour et à un Télos moins obscurantiste que le nihilisme moderne qui l'a supplanté.  

"... anatomiquement prouvée comme n'ayant nul besoin de moi (moi, la conscience dotée de sentiments)": Phrase forte, marquée par les musiciens et rappelant la MARQUE de fabrique des temps modernes. Lorsque la tendance est au nihilisme, la vie n'a pas de sens, la conscience ne précède pas le vivant et n'est que le fruit accidentel de l'évolution d'un univers improbable dû à un phénomène paradoxal relatif au hasard. L'amour lui-même n'est que l'évolution déterminée d'un système neurologique propre à  certains métabolismes, une transcription illusoire d'un phénomène que nous devons entre autres à la reproduction et à l'éducation dans le cadre de l'adaptationnisme. Autrement dit, une parfaite excuse pour un collectif dont le mode de vie repose sur le sacrifice de cette dernière! De quoi justifier les "marche ou crève" autant que les eugénistes amateurs de démocratie à deux vitesses et de soft-power, dont la longévité ne repose pas moins sur le consumérisme. Si l'herbe était encore verte et les rivières sans plomb, si le travail exigé par le lien "appétit intérieur/jardin extérieur était notre seule servitude, l'idée d'une vie accidentelle sans le moindre sens pourrait être inoffensive, générosité et beauté du paradis terrestre obligent! Mais jusqu'à preuve du contraire, le développement des pensées industrielles de l'Homme ont abouti à la planète poubelle que nous connaissons et au Nouvel Ordre Mondial de la société des masques. Une question se pose ici : cette sacrosainte excuse pseudo darwinienne, qui justifie les intérêts de la masse sans âme et les choix de sa gouvernance, que représente-t-elle à l'échelle de l'Homme et du fils de l'Homme, pour peu que la créature soit encore dotée d'un cœur intelligent ? De nos jours, en proie à la question métaphysique avant de marcher dans les pas de nos braves papas, un ado sensible ne peut donc pas se dire "tout ce bonheur laborieux mais paradisiaque pour rien si ce n'est la qualité du voyage!" Mais plutôt "Toute cette merde, tout ce cœur recouvert de béton, toute cette quête meurtrière de bonheur artificiel, tout ce flétrissement des corps et des esprits dissimulés derrière le "brain & body coaching".... Tout cela pour rien..." N'oublions pas que depuis le divorce hypocrite de l'Eglise et de l'état, l'idée d'un versant divin respecté mais dont la raison peut se passer pour expliquer son existence et ses mécanismes n'a pas fait long feu devant la théophobie du matérialisme "presque tout puissant". En d'autres termes, depuis môme, notre adolescent s'est vu répéter "après la mort, il n'y a rien, arrache la vie avec fracas s'il faut, avant qu'elle ne t'arrache la tienne." Comme quoi une croyance matérialiste vaut bien un dieu foudre de guerre!

Dans un monde cannibale, l'école n'est plus qu'un éteignoir. Pour ma part, je crains que le suicide ait bel avenir parmi les non prédateurs inaptes à la domestication.     

 

 Notes :

*1 - « Vingt heures (ou années) hors de l’usine à perpétuité » évoque la jeunesse (20 ans) autant que  le Dimanche non travaillé (20 heures libres et 4 heures de sommeil après une soirée endiablée, 4 heures durant lesquelles sentiments, raison, politique et art, 4, se mélangent en un rêve contrarié… 4 évoque aussi les 4 dimensions qui nous aveuglent : hauteur,  largeur, profondeur pour la 3D et le temps… enfin, 4 est le chiffre correspondant à nos 4 sens gouvernant : la vue, l’ouïe, le toucher et le goût/odorat.  Des songes en un rêve, des songes en un cauchemar, et 4 mystérieuses heures le 7ème jour. Un symbole biblique qui n’est autre qu’une révélation cachée de l’art des mathématiques, appliqué à la causalité dans l’espace et le temps. Des codes arithmantiques dissimulés dans les écritures qui attendent depuis longtemps d'être déchiffrés par qui les mérite!  Jubilons-nous pour les bonnes affaires et pour le bon roi en Sion ? QU’ EST (S)ION ? Un roi en nous porte pourtant la SOLU T(S) ION. A noter : l’album du groupe dont « The silence » est la dernière et 11ème et dernière chanson (renouveau après la première décade), dure 49 minutes et des poussières… 49 minutes intenses où les minutes sont des jours et des "jours d'années" (voir la notion de Jubilé et les chiffres correspondants). A noter encore : Le L de « silence » est une lettre qui porte le chiffre 3 (elle est la 12ème lettre de l’alphabet latin et la sommation de la suite logique 12 est 3). L capitale de Lumière et de Lévitique, L12 comme les 12 fils/signes/tribus. 12 comme le nombre atomique du premier isotope d’Oxygène qui a permis la respiration des créatures sorties des eaux. La précédente et première lettre liée au 3 est le C, qui symbolise la lumière dans le jargon scientifique et qui est aussi la capitale première de la notion CHRISTUS (singularité qui porte le langage caché en apportant la lumière). Par un jeu sémantique simple, en remplaçant L par C, SILENCE devient SCIENCE. La science sous ses formes réductionnistes ou spirituelles est-elle manifestée physiquement, visible et audible par tous ? Non, elle est contenue dans le silence, elle se découvre peu à peu et elle se transmet. Cependant l’Homme est libre de falsifier son propre langage, libre de faire ce qu’il veut avec la Lumière ! Pour le meilleur et pour le pire. La science se mérite, elle est à double tranchant, elle attend la conscience du cœur vaillant et intelligent, innocent ou repenti (thème de Perceval) ! Elle se partage et comme la musique, elle donne le pire et le meilleur…  La sommation de SILENCE ou SCIENCE donne 4. Encore 4 ! La moitié aspirée (inspirée) ou la moitié expirée (transformée) d’un H silencieux évoquant la lettre zéro qui n’existe pas de façon CARACTERisée. H est la 8ème lettre de l’alphabet latin. L’infini, les infinis et la substance généreusement mystérieuse du double 0.

*2 - La homestake est une compagnie minière filiale de la société aurifère Barrik Gold. A elles deux ces entreprises exploitent l’un des plus rentables gisements d’or de l’histoire du consumérisme ! La Homestake est à l’origine de la création de la « National bank » des « Black Hills » et de la fortune du milliardaire John Hearst, le père du magnat de la presse William Randolph Hearst. En pleine phase d’extermination des indigènes, la croissance des sociétés minières était parallèle à celle d’une autre entreprise liée au crime, à l’exploitation de la crédulité des expatriés et au sang versé autant par les coupables que par les innocents, bien qu’en des proportions très différentes : les chemins de fer (Hell on wheels). Autre sombre détail : l’extraction de l’or par cyanuration, procédé à l’origine de la fortune consumériste de cette vaste entreprise humaine, est à la fois une indispensable activité motrice de la croissance de notre « Babel » et un facteur morbide pour le vivant et la nature élémentaire qui l’entoure et le constitue. Terre/AIR/EAU/FEU. Comment le feu peut-il être atteint par la pollution ? Par le désordre atomique engendré par la folie humaine, assoiffée de poussière d’étoile (métal). Depuis bien longtemps, avant même la fusion et la fission nucléaires, nous avons violé les lois de l’atome, de son neutron, de son proton et de son électron. Depuis bien longtemps nous avons contrarié la force forte et la force faible. Au prix que Roméo (électron et lune chargée), Juliette (proton et terre féconde) et Mercutio (neutron et enfant encore indéterminé en phase de transformation) connaissent bien ! Les résidus métalliques et les acides utilisés par les entreprises aurifères polluent la terre et les eaux, et lorsqu’on arrive à ioniser par décantation tous ces résidus (ce dont les industriels se préoccupent moins que de leurs bénéfices), la composition de l’air se trouve modifiée et subit un déséquilibre entre anions et cations. Lors de fréquentes erreurs de dosage du cyanure, on parle d’incident et les entreprises doivent impérativement dépolluer pour éviter le pire, OR, cela s’accomplit avec un traitement au chlore, qui est un autre polluant lourd, mais dont les conséquences sont moins perceptibles par le commun des mortels puisqu’elle n’entraîne qu’une désolation progressive de l’environnement (stérilisation/aseptisation) à laquelle nous sommes habitués.  Pour finir, toute cette entreprise multiforme est liée à la pétrochimie… There will be blood ! Les conservateurs et les souverainistes imaginent que le fait de ré-indexer la croissance sur la valeur sûre de l’or est une alternative à la folie de l’instrumentalisation de la valeur virtuelle de l’argent immatériel… Soit ils ont enfin compris ce que le langage du jeu de la vie et de la mort révèle, soit ils se  « Trump"ent" » ! La poussière d’étoile sacrée, nous l’avons maudite pour fabriquer des cuillères, des fourchettes et des couteaux pour toutes les bourses, ainsi que des armes. A la seconde guerre mondiale, les familles juives les plus enrichies en ont payé le prix fort en tant qu’ultimes boucs émissaires de notre folie à tous ! Et qu’avons-nous symboliquement récupéré de leur magot, comme des vautours armés de bonne conscience ? Leurs cuillères, leurs fourchettes et leurs couteaux d’or et d’argent. L’or d’airain (les poêles et les casseroles de métaux moins purs) a quant à lui été réquisitionné pour fabriquer les armes du premier/dernier profanateur et invocateur du Nouvel Ordre Mondial : Adolf Hitler.  

*3 - « Tu reviendras toujours à la maison "mère" dont tu viens » (tu es là d’où tu viens dans le texte en anglais littéralement traduit), évoque le fait qu’un électron libre pensant échapper à l’usine dans l’exotisme du voyage, finira un jour par devoir végéter sans abris ou prendre à quelqu’un d’autre pour subsister, sinon retourner au travail où qu’il soit. Et travailler dans les pays exotiques est dur et beaucoup plus mal payé que dans les pays qui ont fait leur fortune en les exploitant. Un expatrié travaillant pour une quelconque « Homestake compagny » est mieux payé, mais vit comme un bourgeois au milieu de ceux qui crèvent la faim en payant de son âme le prix du PERE SEVERE (un perce Eve errant) "there was something your father had burn in me"... There will be blood in the District of Colombus!  Un prix maudit que l’on connait. Le retour perpétuel à l’usine évoque aussi le fait qu’après un week-end ou des vacances, l’usine nous attend… Jusqu’à la retraite, l’hôpital et les soins palliatifs.

Je vous laisse ici et ailleurs, avec une autre chanson alchimique, entre ténèbres et Lumière, brillamment interprétée par Kaleo...

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Guerre des sexes et menace nucléaire

12 Janvier 2020, 16:12pm

Publié par Persone

Peinture de Niki de Saint Phalle, Agapes et catharsis, guerre du feu...
Peinture de Niki de Saint Phalle, Agapes et catharsis, guerre du feu...
Peinture de Niki de Saint Phalle, Agapes et catharsis, guerre du feu...

Peinture de Niki de Saint Phalle, Agapes et catharsis, guerre du feu...

I – INTRODUCTION : thèses, antithèses et confusion générale…

« Le féminisme inquiète », s’étonnent les dignes héritiers des seventies et de la douche de bien-pensance  des eighties ! A 50 ans à peine, certains ressentent tout le poids que leur propre génération a fait peser sur les épaules de la vieillesse. Dans les années 90 et plus, il fallait attendre d’être  grabataire pour ne plus se reconnaître dans le monde qu’on avait pourtant contribué à créer, maintenant les choses vont vite, beaucoup plus vite ! Notons aussi que toute révolution entraîne son lot d’excès et met en jeu un empirisme de type « avalanche contrôlée par défaut », si les problèmes de fond ont été contournés par la dite révolution. C’est un simple phénomène d’accélération de l’entropie d’un système, c’est aussi un choix de gouvernance et d’accord tacite avec le peuple, un choix qui porte un nom : le consumérisme.     

Parenthèse : ce terme venant d’un anglicisme, nous nous sommes arrêtés à une signification simple définissant l’action du consommateur (consumer). A ses débuts le mot n’évoquait pas de notions négatives. Même aujourd’hui, alors qu’il est implicitement lié à l’anthropocène, les définitions et l’étymologie retenues pour le  désigner ne mentionnent toujours pas sa véritable origine sémantique : le fait de consumer, de transformer en dépensant beaucoup d’énergie ! L’origine latine « consumere » désignait le fait de TOUT manger, tout absorber, de détruire complètement, d’user, de miner, d’anéantir… Autant dire que depuis le Commonwealth, les anglais ont perdu leur latin ! Bien avant la commercialisation du monde et le nivellement des peuples par le bas, ces derniers exerçaient leur humour british sur la double signification du terme.  Les français ont quant à eux choisi de marquer une différence entre consumer et consommer, « consommer » faisant référence à prendre une somme ensemble. Autrement dit, partager. En somme, nous avons tous perdu notre latin !     

En quoi consiste donc « une avalanche contrôlée par défaut » ? Demanderont les plus sceptiques ! Il y a de nombreux exemples en matière de physique ou de mécanique, tout comme en matière de  politique ou de métaphysique. Comme  nous venons de l’évoquer, cela peut consister à placer nos problèmes particuliers au centre de  nos  préoccupations et de les solutionner, sans en avoir identifié la source. Par exemple, en plaçant la féminité au centre pour résoudre le problème de la femme, on obtient le féminisme, tout comme en plaçant l’Homme au centre pour résoudre le complexe de l’humanité, on obtient l’humanisme. La guerre des « ismes », ce fléau qui  a toujours poussé les opportunistes au profit et les gouvernances vers la démagogie ! Quelques exemples : humanisme contre hiérarchisme, féminisme contre machisme, conservatisme contre progressisme, collectivisme contre libéralisme, etc…   Il s’agit ici de mesurer toute l’énergie qu’il faudra fournir et transformer pour satisfaire l’obligation de résultat dont dépend l’accord tacite de paix dans la cité : des compensations matérielles, des béquilles psychiques ou médicamenteuses et surtout du travail pour occuper le  troupeau en conflit, des lois et des armes pour que chacun reste à sa place, et une croissance dont chacun dépendra au-delà des maux  qui le ronge…  La maison mère de la croissance qui nous allaite tous, un complexe too big to fail ! On en revient à notre résultat final : consumérisme et anthropocène.

« Mais bordel, qui pourrait bien s’inquiéter du féminisme en dehors de cette foutue causalité sur laquelle le commun des mortels n’a ni le temps, ni l’envie de méditer ? » Vont s’écrier les irréductibles !

Des bébés gavés de produits de synthèse et en manque du sein maternel par exemple, ou des enfants déjà  privés de la présence quotidienne d’un père, qui aujourd’hui doivent se passer des deux parents pour  être « animés » par des professionnels jusqu’au manger et dodo. Ces derniers ayant des parents très occupés le week-end et très préoccupés en vacances, ont aussi de « magiques » petits et grands écrans pour les éduquer… Pour premiers exemples. Citons aussi les dégâts du militantisme acharné ou des dérives du MLF, citons la transformation de la femme en Homme pas comme les autres, citons les homosexuels contrariés qui après avoir été victimes de pères  abusifs ou attoucheurs depuis Mathusalem, se retrouvent face à des mères castratrices depuis l’Antiquité… En version 3.0 depuis ce début de Janvier, en route pour le troisième  millénaire ! Mais remarquons encore de nombreuses femmes qui s’inquiètent des dérives du féminisme et de son instrumentalisation : celles  qui conçoivent que les mâles les plus prédateurs se satisfont parfaitement de la pilule, de la fête du slip organisée et de la nouvelle prédation sexuelle des femmes devenues des Hommes pas comme les autres ! Pourquoi ? Pour tirer leurs coups sans lendemain avec l’accord de  tous ! Encore un accord tacite. Pornographie et hygiène organisée, rien de nouveau sous le soleil… CQFD.

Note à l’attention de tous ceux qui seraient tentés de me faire dire ce que je ne dis pas : il ne s’agit pas ici de remettre en question la légitime motivation des femmes à sortir du carcan de la domination paradigmatique du mâle, ni le principe de l’école publique ! Juste leur instrumentalisation, lentement, surement, sous nos yeux passifs.      

II - DEVELOPPEMENT :

Livrons-nous maintenant à une petite réflexion concernant ce mâle dominant et par extension cet Homme dominant, la dénomination en H majuscule incluant les femmes dont celles qui sont des Hommes pas comme les autres :

Il existe un argument de taille pour les satisfaire, un argument qui arrange aussi tous les « braves gars » suffisamment mal dans leur peau et frustrés par le  déferlement de la vengeance au « sur-féminin ». Il est vieux comme la civilisation cet argument, mais il est remis au goût du jour par une école qui se dit rationaliste et le décline ainsi :

C’est une force déterminée et la raison qui lui résiste qui dès l’origine ont poussé  les femmes  à accepter la domination du mâle alpha. Cette raison est simple : avec un mâle non dominant, la femme a moins de chances de se protéger elle-même ainsi que sa progéniture. Pire encore, rejetée pour sa rébellion face au paradigme collectif de domination, elle risque de mettre un mâle faible en danger et de se retrouver seule pour assumer sa grossesse et sa survie dans un monde encore hostile, ce qui est impossible. Par extension, ceci justifie aussi le jeu de pouvoir des reines et le pouvoir de la rombière qui impose à son petit homme de mettre de la paille dans le nid en se plaçant correctement dans le grand jeu de la domination. Toujours dans le même raisonnement, maintenant que le système permet l’IVG, la pilule, le divorce et verse des allocations familiales, la survie de la femme n’est plus menacée en cas de contradiction avec la domination masculine ! Elle dévoile donc son instinct refoulé en devenant ouvertement cette trompeuse et libre coucheuse qui participe à la grande castration masculine. Autant dire, les hommes sont des porcs, nous le savions, mais nous venons de prouver que les femmes sont des salopes. Tutti va bene dans le meilleur des mondes, tentons de nous pardonner ou de compenser…

On en revient au consumérisme 3.0 !  

Bon je sais l'Homme moderne, l'Homme amélioré aime le court et le facile... Je vais en décevoir plus d'un, mais quand-même... Comment ne pas tenter de démêler tout ce foutoir sémantique ?  

Je propose que nous analysions cette proposition dite rationnelle qui n’a toujours fait qu’entretenir la guerre des sexes, tout en contenant ses déchets radioactifs dans des caissons dont on ne peut qu’espérer la longévité… Et je ne parle pas des facteurs indéterminables qui à chaque instant risquent de favoriser une explosion !

Analyse de la   proposition :

Trop ambitieux de découdre et résoudre pareil sujet en un simple paragraphe qui se contente d'une analyse froide, logique, mais surtout très incomplète et anthropocentrique (tournée sur le comportement du sapiens). Allons plus loin : en matière de décision (féminine ou masculine) l’intérêt compte, certes, qu'il soit vénal ou vital! Il relève de la raison, des sentiments et de la volonté propre à chacun. Or, même dans le cas d'un motif de survie, ces derniers sont tous aveugles lorsque dissociés et sont surtout très "conditionnables" par les paradigmes collectifs. Mais cela ne veut pas dire qu'il faut faire des généralités en les attribuant de façon absolue à un genre humain ou une population donnée ! A ce jeu, la science a prouvé que même les animaux peuvent surprendre et essentiellement lorsqu'ils sont éloignés de leur aire de répartition d'origine. Même dans le royaume des insectes, pour lesquels la parade du dominant est une règle, la femelle s’octroie souvent le droit de dégager le mâle, fusse-t-il le champion des  champions! Et on peut la retrouver quelques temps après en train de copuler avec un autre quidam sans prétention qui passait sur son chemin! Instant, instinct, conditions atmosphériques et autres coïncidences dans le chaos! Bref, pas possible de faire des généralités absolues!

Ce qu'on a souvent avancé comme preuve se résume de nombreuses fois à d'incomplètes affirmations! Complexe de l’Homme vis-à-vis de son incomplétude, de son incertitude et de l’entropie du système qu’il entretien avec « perce Eve errance ».

L'accord entre raison, sentiments et volonté (ou foi) est une roue libre indéterminable ! Un phénomène dont les enfants sont les meilleurs exemples avant corruption par le collectif et éducation parentale! Éducation parentale qui se résume souvent par l'empirisme civilisationnel de la guerre des roses. Causalité! Conséquences consuméristes : les porcs conquérants, très compétitifs, sont obligés de mettre de la paille dans les nids de leur(s) femme(s) et de leurs enfants qui souffrent ou dans le meilleur des cas qui s'emmerdent! A force de s’étendre et de LA/BOURRER aussi la nature, arrive le moment où il faut se fournir de la paille chez le voisin. Empirisme donc... Prégnance absolue de l'expérience civilisée! Et naissance d’un mythe très opportun, très hypocrite : le choc obligatoire et naturel des civilisations. Entre autres, ce sont les dominants mâles et femelles qui définissent les règles et les protocoles de l’expérience... Et qui écrivent l'Histoire! Pourtant, n’en déplaise à l’esprit commun du mâle alpha, dominant ne veut pas dire cœur intelligent dans corps solide, et surtout dominant ne veut pas dire légitime!

Mais revenons-en à la  proposition et au déterminisme  qu’elle impose (la femme  est une calculatrice, l’homme un fornicateur consumériste et les deux font  la paire) :

En entretenant ce genre de polémique, comme nous l’avons vu, on motive le pour et le contre (dualisme) ou on trouve un accord tacite pour planquer les déchets radioactifs et limiter les   risques d’explosion. Autrement dit, on banalise finalement le fait "dit établi" et on augmente son emprise. Globalement, nous sous-estimons la notion de libre arbitre, ainsi que la subtile et indéterminable clé permettant l'accord entre raison, sentiments et volonté... (Je rappelle que le libre arbitre n’indique que la responsabilité de nos actes dans un monde déterminé où notre liberté est toute relative.) Globalement, nous perdons aussi la faculté de gouverner notre être en confiant cette tâche à un pilote automatique: l'institution des vainqueurs et ses paradigmes.

A bien y réfléchir, en entretenant une vision trop réductrice de la guerre des roses, on finit par perdre le nom de cette fleur. C'est con, non? On finit aussi par donner raison à cet opportuniste de Freud : l'humain est mauvais. Et on donne aussi raison aux chantres du hasard créateur, ces braves technocrates soi-disant rationalistes, qui affirment que l'Homme a le monopole de la conscience et que l'univers ou la vie ne sont qu'un accident, sans le moindre sens. En bref : l'univers a une fin programmée, notre durée de vie de créature est peau de couille, il n'y a rien après la mort et l'Homme est aussi voué à s'autodétruire... La vie n'a donc aucun sens que celui de vous avoir programmé pour crever, alors ACHETEZ, vendez, consommez! Profitez-en vite avant la fin, on fait des promos. Des black friday quoi.

III- CONCLUSION

Au final nous traitons ici un sujet aussi brûlant que glacial ! Nous tournons autour d'une boîte de pandore vieille de 30 000 ans***, scellée depuis la civilisation et hermétiquement fermée et gardée depuis plus de deux millénaires! Le cœur palpitant encore dans cette boîte appartient autant aux maudits capitaines (la part mauvaise d'Ulysse ou le Crochet qui est en Peter) qu'à Calypso. Ça paraît dingue non? Mais au fond, tout le monde le ressent. Dans le grand fond... au large de nos hécatombes.

*** Note : le film "la guerre du feu" est intéressant à revisiter! Il part sur un principe que les progrès en archéologie confirment de plus en plus : le pacifisme familial du néandertalien cueilleur chasseur comparé au génie social du Sapiens, chasseur avant tout, cueilleur, apprenti du feu, amateur de sucre (cuisson), et maître du vagin! Le film n'idéalise pas Néandertal, mais montre surtout la mutation qui s'opère en l'homme et la femme séparés du troupeau!

Guerre des sexes et menace nucléaire
Guerre des sexes et menace nucléaire
Guerre des sexes et menace nucléaire
Guerre des sexes et menace nucléaire
Guerre des sexes et menace nucléaire
Guerre des sexes et menace nucléaire
Guerre des sexes et menace nucléaire
Guerre des sexes et menace nucléaire
Guerre des sexes et menace nucléaire
Guerre des sexes et menace nucléaire
Guerre des sexes et menace nucléaire
Ajoutons quelques grâces à ce texte qui je l'avoue commence dur (une douche froide fait néanmoins du bien)... Pour se réchauffer un peu donc:
4: https://www.youtube.com/watch?v=LfmguyDRBwU
3: https://www.youtube.com/watch?v=Fgn8gZHJZzA
2: https://www.youtube.com/watch?v=2m-_FzubQx8
 
Réversible7/irréversible7...

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Les rois, les v(i)oleurs, les pornographes... et nous. Quelle(s) somme(s)?

25 Octobre 2019, 14:17pm

Publié par Persone

Complexes, paradoxes et incertitude des pornographes qui s'ignorent:

Pour vous faire comprendre à quel point nous sous estimons toujours l’importance de la notion de sémantique, tant en science que dans le dialogue religieux institutionnel ou dans la vie de tous les jours, intéressons-nous à la notion d’hystérie. D’un point de vue de la vulgarisation du vocable psychanalytique, le point de vue admis dans le quotidien, ce phénomène traduit une excitation intense et incontrôlée relative à une névrose qui peut prendre la forme de manifestations organiques. Or, les spécialistes confirment que cette névrose est la manifestation mentale/physique de problèmes entropiques dont la source demeure rémanente et donc inaccessible. Les meilleures avancées en date concernant la guérison des patients atteint par ce phénomène de plus en plus courant ne sont pas les camisoles chimiques, mais les découvertes liées aux travaux des psychologues ou psychiatres s’étant aventurés dans le complexe de l’existentialisme (traitement épistémologique de la conscience du patient), ainsi que les avancées en matière d’hypnothérapie (traitement ontologique sans repères palpables dont l’expérience peut aboutir à révéler la source du problème ou à guérir les symptômes, sans reconstitution consciente du processus).

En vocabulaire religieux, l’hystérie collective se nomme les tribulations.  

Mais usons maintenant du jargon scientifique : ici l’hystérie est « hystérésis » ou « hystérèse ». Elle définit les propriétés d’un système dont l’évolution ne suit pas le même chemin selon qu’une cause extérieure augmente ou diminue. Pour exemple en électromagnétisme, lorsque vous aimantez un métal, il conserve cette nouvelle propriété d’aimantation même si vous ôtez la source énergétique avec laquelle vous l’avez magnétisé. Ce phénomène est lié à l’irréversibilité et à la rémanence (persistance de l’activité communiquée par la source malgré la disparition de celle-ci). Le big-Bang est un bon exemple de source rémanente dont l’activité court toujours ! Vous comprendrez donc que les phénomènes d’hystérie et d’hystérésis/hystérèse sont sémantiquement un seul et même phénomène lié à l’entropie des systèmes et à l’incertitude de l’observateur, voire à son impuissance en l’absence de détermination des causes premières, en l’absence de compréhension de la mécanique de transformation qui en découle, mais aussi en carence de techniques ontologiques touchant à la sémantique pure (maîtrise du caractère immanent du langage, synthèse sémantique des connaissances… Et travaux pratiques : hypno-thérapie, spiritualité, immersion dans le domaine de l’art, thérapie par contact direct avec la nature…) Pour schématiser ce paragraphe commençons par les premiers points et traits: il n'y a pas de point absolu, mais des interactions! Et ces interactions provoquent des phénomènes réversibles et d'autres irréversibles. La complexité vient ensuite... parle-t-on d'espace temps avec un langage géométrique? Oui! De symétrie aussi et d'équilibre.

Autrement dit, quelques mots et une bonne maîtrise de la sémantique suffisent à expliquer que les complexes toujours en date relatifs aux équations de Boltzmann ou de Riemann concernent notre vie quotidienne !  Quelques mots simples ou tout du moins un raisonnement simplifié et « vulgarisable » pour tous, grâce à un principe sémantique relatif à la logique elle-même : les plus petits dénominateurs communs ! Et pourtant, ces complexes dont les réductionnistes ont revendiqué le monopole demeurent pour nos institutions des questions pour les champions ou des réponses à 4 millions de dollars que personne ne semble vouloir traiter par le biais de l’arithmancie (arithmétique/géométrie/sémantique). Une insulte à notre intelligence naturelle ! Pire encore, ces questions relèvent de phénomènes qui nous concernent tous alors que l’école se garde bien de nous enseigner quoi que ce soit les concernant ! En matière de liaison simple pouvant relier les maths et la vie de tous les jours, les humains et plus particulièrement les enfants ont pourtant manifesté maintes revendications !

 Alors… Complot ? Celui de l’orgueil peut-être, n’en déplaise aux amateurs de scandale, de coupables et de boucs émissaires ! Mais l’hermétisme et les cachoteries les plus infâmes existent bel et bien, alors plutôt que complot, disons secret de polichinelle rémanent pour cause d’amnésie sélective, relative aux obligations de résultat de l’empirisme ! La sainte croissance et la fuite en avant que nous cautionnons tous depuis bien trop longtemps.

Tout système demeurant infigurable ou indéterminable par les facultés nécessairement incomplètes d’un observateur posté à l’intérieur ou à l’extérieur de ce système peut néanmoins se révéler à lui sous différentes formes, par différents langages et par l’analyse des convergences et des divergences des particularités manifestes composant ce système. Convergence évoque tronc commun et divergence évoque l’arborescence symétrique « banche et feuille/racines et champignons »… Trésor sémantique !

Mais existe-il un exemple précis pouvant illustrer cette démonstration et par la même occasion nous rapprocher de ce phénomène rémanent ? De cette source dont le souvenir semble évanescent ? De cette fontaine occultée par un orgueil individuel et collectif dont l’incertitude bien heureuse connait un facteur exponentiel d’entropie hystérique morbide, proportionnel à la dégradation consumériste des énergies qui entourent et constitue l’être, son Ego et son amour propre ?  (Forme interrogative délicate, à relire plusieurs fois !)

Oui ! Et la nature et sa logique étant bien faites, l’exemple le plus flagrant est dans l’étymologie même du mot : Hystérique vient d’une expression grecque signifiant l’utérus et son complexe (col, trompes, ovaires et tissus élastiques) !

Un complexe féminin donc, se réjouiront les machos ! C’est oublier que tous les axiomes théologiques, réductionnistes ou philosophiques évoqués dans cet article, ainsi que l’empirisme dont il est question, ont été définis selon le monopole du sexe fort en matière de langage ! Un complexe partagé donc, entre papa et maman. Le mâle tend à vouloir et la femelle à disposer dit-on non sans raison.  Vouloir et dissipation (10ipation) : vouloir atteindre ce que l’on ne peut atteindre, vouloir posséder ce qui finit par nous posséder… Trop  de yang diraient les chinois ! Disposition (10positions) et inertie : se contenter de ce qui finit par nous échapper… trop de Yin ! Les appareils génitaux des deux sexes manifestent une géométrie commune évoquant la forme d’un 3, ce chiffre étant lié au principe créateur par excellence ! Deux unités relatives (ratio) et un milieu. Concernant l’anatomie, deux unités productrices (ovaires) et un milieu tubulaire lui-même fait de fibres et gérant des échanges à double sens de circulation dans le cas de l’utérus féminin.

Pour résumer, des phénomènes rémanents et irréversibles nous ont engendrés, l’entropie du système global augmente ainsi que celle des systèmes particuliers choisis (paradigmes) et nous avons une influence sur la valeur de ces entropies… Mais l’hystérie est encore un complexe que nous n’arrivons pas à maîtriser d’un point de vue mental et notre incertitude grandissante est alimentée par l’industrie de l’objet que l’on consacre à la  compenser ! Et qu’est-ce qu’un père sévère ? Un perce Eve en errance ? Qu’est-ce que la gravité ? Une masse gravitationnelle illusoire tissée autour du complexe du vagin, un éteignoir à enfants qui prend une dimension industrielle ? Une masse qui atteint un seuil critique dont la lumière peine à ressortir ? L’œil du diable comme disent les marins et les spationautes lorsque les trous noirs les font cauchemarder ? Alors pourquoi ne pas nous accorder enfin sur ce que signifie manifestement toutes ces choses pour vivre enfin et retrouver le rythme de l’entropie naturelle de notre système vivant ? Un système qui s’épanouissait très bien avant la légifération paradigmatique de la folie des grandeurs qui caractérise notre empirisme !

Comme nous venons de le voir, la nature nous donne justement des pistes, des petits cailloux laissés par la logique elle-même dans la structure de nos langages ! Ces pierres (Pi r) sont comparables à des rotules que la complexité et la prégnance des formes rendent invisibles à nos yeux, pourtant ce sont elles qui ramèneront le petit Poucet à la maison, elles qui offriront au voyageur perdu la faculté de différentier les chemins de l’évolution et ceux de la perdition. Est-ce les forgerons de nos langages, des moines, des ermites et des génies pour la plus part, qui ont laissé ces cailloux ? Oui, mais ils ne les ont pas inventé, ni fabriqué ! Ils n’ont fait que les découvrir. L’objet du viol commis par le dominant et l’objet du crime engendré par la guerre des sexes ne sont pas des phénomènes aussi rémanents qu’on veut bien le croire ! Les formes et les ambiances ont changé, mais nous en avons des exemples flagrants chaque jour, chaque heure, chaque seconde !

La matrice… Cet utérus contrarié exprimé par le féminin, qui engendre pourtant la vie et fais de la duplication monotone un petit paradis de diversité qui n’a pas besoin de la colère et de la « perce Eve errance » du père pour porter ses couleurs et son signe. Quel gâchis !

Violer le secret de sa propre origine et toucher enfin le Graal … Posséder l’anneau! Voilà bien ce qui  obsède l’Homme sur le triste trône qui surplombe difficilement notre désolation. Reluquer à travers l’œil d’un juda, s’approcher, tripoter, pénétrer toujours plus loin, toujours plus fort, posséder… Questionner sans savoir poser la question, se faire refroidir, s’endiabler et forcer la serrure… Regretter, compenser, oublier. La demeure devient 2meure, un clapier où l’on moisit déjà avant la tombe : la petite mort avant la grande. Un mauvais conte de fée sans paysages, un complexe de plasticité et un océan de plastique où l’amour n’est plus qu’hygiène et spéculations ordinaires. Mais le 0, tout comme les particules qu’il consent, restera subtile et inviolable ! Et les chiffres ne sont là que pour nous aider à comprendre et à partager ; de ces anges nous faisons pourtant des armes…

Brassens exprimait qu’il n’y avait rien de plus vulgaire que d’utiliser le même mot pour désigner le vagin de la femme et un représentant de la connerie humaine (un con)… Il n’imaginait probablement pas à quel point sa proposition était liée aux théories et aux équations les plus attendues de notre temps. L’homme était non seulement un artiste accompli, mais aussi un amoureux du langage que la mère et la jeune fille questionnai(en)t autant qu’un Peter  Pan/Crochet. Autrement dit, il n’avait pas besoin d’être pape, franc maçon ou kabbaliste pour maîtriser à sa façon l’art de la sémantique.

Si nous souhaitons encore que la belle, la bête et l’enfant vieillissant s’épanouissent de nouveau dans des jardins moins dégueulasses en évitant un remède par l’extinction de masse, alors apprenons enfin à prononcer le nom de la rose !

Déconstruire et réparer.

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Petite conjuration des imbéciles qui s'ignorent...

23 Août 2019, 14:50pm

Publié par Persone

Petite conjuration des imbéciles qui s'ignorent...
Petite conjuration des imbéciles qui s'ignorent...

Le soleil mord et la forêt brûle… Des photos hors contexte circulent, les alarmistes s’enflamment, les « positiveurs » en profitent (…) et les jeux politiques ou l’éventuelle radicalisation des lobbies écologistes pourraient être à l’origine des incendies ravageant un peu plus encore la malheureuse forêt amazonienne. Ah les morbides farceurs que nous sommes tous !

La sensualité du Brésil ! Toute une culture et un paradis pour les selfies ! Avec une touche de silicone ça vous redresse le yang ! Les Antilles françaises n’attirent plus le touriste comme d’antan, nous devrions songer à retravailler le volume fessier de nos clichés touristiques…  Femme, femme, femme, fait-nous youplaboum ! Et nous oublierons notre désastre…

Certains pullulent comme des lapins, d’autres consument en vénérant la pilule ! Et la nature pourvoit dit-on…

Un des derniers poumons de la terre brûle devant nous tandis que chacun profite de ses congés payés, parfois dans des pays où les gens crèvent de faim. Septembre arrive et chacun va retourner bosser et retrouver sa petite place parmi les collègues, ses petites pauses « corporates » à la cafète, ses discussions d’ascenseur, comme si de rien n’était… 80% des eaux usées par les braves travailleurs que nous sommes et par les usines qui les approvisionnent en compensations matérielles, sont rejetées dans nos rivières… Vous savez, cette substance que l’on appelle l’eau, ce liquide devenu lourd et dégueulasse dans lequel les braves gens regardent bêtement leurs enfants barboter pendant le mois de vacance. H2O quoi et plus sans la moindre affinité… Honte à nous tous, moutons, vaches, poulets, porcs, chiens de garde, loups, hyènes, vautours ou pire ceux qui se prennent pour le fermier ! Viles et stupides créatures suicidaires qui dansent tandis que le navire vogue vers sa perte en détruisant tout sur son passage.

Certains appellent au boycott intelligent, d’autres essaient de trouver une voie crédible et des revendications raisonnables pour les poussins aux gilets jaunes, on parle aussi de réapprendre à survivre en pleine nature, de retour salutaire à l’autonomie de l’individu… Certains encore ont retrouvé les clés de la boîte de pandore et celles de la tour sombre dans laquelle nos langues et langages ont été falsifiés. Autrement dit, ces derniers rétablissent les vérités les plus fondamentales et unissent pertinemment nos connaissances totalement dissociées… QUI les médiatise ? Et pire encore, parmi le commun des mortels, amis, voisins, collègues etc, qui les écoute, qui les aide, qui les soutient, qui les suit, les précède ou les motive… ???

Alors bonnes vacances ? Chacun en a eu pour son pognon ? Prêts pour une nouvelle année, prêts à mettre le paquet ?

Un pour tous et tous pourris disait Coluche…

Par respect pour vos enfants, ne lui donnez plus raison ! Dire non et se mettre en danger, face au chantage du patron et aux charmes de l’assistanat, face à la banque, face à notre besoin de reconnaissance merdique, face aux grands, face aux cons… vaudra toujours mieux que de ramper comme chacun le fait ! J’ai bien dit ramper, c’est le terme adéquat !  

Savoir dire non et mettre en échec le chef (flanqué de son ingénieur et de son mystique), le soldat et le commerçant, le tout en rien et sans échec… Le problème des bêtes serviles n’est pas de savoir dire non en définitive, mais d’être en mesure de déconstruire et de proposer mieux.

L’esclavagisme non dissimulé nous a appris à ramper, certes ! Mais soyons honnêtes, cet Etat de fait « larvesque » demeurait moins consumériste que sa version positive : l’esclavagisme socio-libéral… La traite des lâches et des imbéciles sous le contrôle des opportunistes, dans le meilleur des mondes.

Chacun fait ce qu’il peut disent les chantres de la bonne conscience hygiénique ! Qu’ils aillent professer en enfer !  

Bonne rentrée.

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Ma thématique, notre thématique et ainsi soit-il(S) -EIIE(S)

29 Juillet 2019, 17:53pm

Publié par Persone

Ma thématique, notre thématique et ainsi soit-il(S) -EIIE(S)
Ma thématique, notre thématique et ainsi soit-il(S) -EIIE(S)
Ma thématique, notre thématique et ainsi soit-il(S) -EIIE(S)
Ma thématique, notre thématique et ainsi soit-il(S) -EIIE(S)

Introduction:

  1. Je rappelle encore une fois que la réduction additionnelle n’est pas une invention de Pythagore, mais une découverte concernant les propriétés arithmétiques des chiffres (le renouvellement du zéro et de la suite ordinale des chiffres à chaque décade provient de la logique des écarts entre les premiers nombres premiers: 2,3,5,7 sachant que 9 n'en est pas un) et des symétries géométriques concernant le cercle (courbure) et les polygones équilatéraux (segmentation) qu'il contient. L’homme n’a pas inventé les maths, pas plus que les langages qu’il utilise comme un cochon domestique, il ne fait que les découvrir peu à peu. Aucune connaissance ne devrait faire l’objet d’un monopole ! Pour ma part, je me suis aperçu de cette magnifique chose et non chose sans connaître les travaux du « maître » (Pythagore) sur le sujet. Redémontrer la roue est offert à tout le monde! Cela peut se faire en empruntant la voie réductionniste (matérielle, raisonnable, expérimentable) ou sémantique (immanente, transcendante à double sens pourrait-on dire, abstraite, religieuse ou non, hybride lorsqu'elle doit se réduire pour devenir philosophie ou enseignement). Autrement dit, que vos affinités tendent vers le religieux/spirituel, vers le rationnel/matériel, vers le politique/idéologique ou vers l'abstrait/artistique, vous avez tous un billet pour cette énigmatique source où tous les chemins se rencontrent. A chacun d'être capitaine de son âme, de profiter indolemment du voyage ou de dormir tout du long, sans la moindre assurance de réveil...  

Ayant déjà plusieurs fois abordé le sujet, je conseille à ceux qui débarquent ici de consulter mes précédents articles ou de lire Monsieur Leonhard Euler, qui explique en détails le phénomène de la logique fondamentale de l’addition par réduction des nombres.  Léonhard Euler dont les « nom et prénom » forment un étrange anagramme que je vous laisse découvrir par vous-même. Indice : il s’agit d’un jeu de mot hermétique concernant la sémantique et la nature des particules.

 

  1. Je rappelle aussi que les correspondances/covalences entre les chiffres, les nombres et leur logique se retrouvent dans tous nos langages. Ce phénomène évolue depuis les créations diversifiées de ces derniers, possédant tous une unité mathématique commune. Pour ce vaste sujet, je vous renvoie aussi à mes précédents articles ou je vous conseille de vous lancer avec prudence dans la réalité hermétiquement recouverte de la sémantique et des langages sous toutes leurs formes.
  2. Enfin, pour vous mettre à l’aise avec ce qui suit sans vous obliger à étudier tout cela, je vous glisse en photo de quoi comprendre en deux temps trois mouvements la logique des chiffres, nombres et lettres. Cela vous permettra de vous familiariser avec la technique utilisée dans ce que je m’apprête à vous révéler ici.  

Arithmantiquement vôtre et bonne lecture !

Commençons par quelques notions communes concernant le temps :

FUTUR  F(6)U(3)T(2)U(3)R(9) donne 23 puis 5… 5 quintessence, 5 rond et carré.

Passé donne 6… 6 boucle déterminée concentrique. 6 second chiffre triangulaire avant le 10 (première décade), 6 base pyramidale des structures homogènes (atome de carbone par exemple)…

PRÉSENT donne 7…  (Voir plus bas pour détails.)

PASSE+FUTUR donne 2 dualité (pas dualisme) ! DUALITÉ donne 9 : la boucle éternelle.

PASSES+FUTURS donne 4 double dualité (opposés et inverses). La liaison du 3 et du 4 (triangle plan et carré déformable en 3D) formule la réalité abstraite mais déterminée de l’espace-temps (voir articles précédents).  Le secret du nœud borroméen.

DIEU est nommé l’éternel désarmé (et non des armées) par les premiers prophètes…

ÉTERNEL donne 7. TEMPS donne 0I ou 1, la flèche abstraite du temps.

ÉTERNEL+ TEMPS donne 8, tout comme INFINIS. INFINI sans accord donne 9, encore la boucle.

VIDE(4)+ESPACE(4) donne 8 aussi.

ÉTERNEL+TEMPS+VIDE+ESPACE donne 7.

Jésus(2) + CHRIST(5) donne 7.

PASSE+PRÉSENT+FUTUR donne 9 Une boucle qui réclame l’accord(8) des infinis (8) ! HOMME donne 9, tout comme CONSCIENCE et VIE ! Tout comme FÉMININ+MASCULIN !

PASSES+PRÉSENTS+FUTURS donne 3, tout comme DIEU ou MORT. Tout comme PASSION ou INTENTION… Ou encore TERRE ou MASSE.

FÉMININ donne 7 comme JÉSUS CHRIST - "Jesu(i)s" (Jésus) la dualité créatrice et non le dualisme destructeur. J(1)E(5)S(1)U(3)S(1) donne 2 tout comme J(1)E(5) S(1)U(3)I(9)S(1). Je suis aussi le médiateur: C(3)H(8)R(9)I(9)S(1)T(2) donne 5. Mais qui suis-je?

Et qu'est le PRÉSENT? Qui donne aussi 7 comme nous l'avons vu... 7, diviseur particulier du cadran du cercle horaire tout comme le 4 : sa diagonale correspond au périmètre reliant par exemple 1 et 7. Pour former le 7 entier et bien vertical dans un cadran gradué de 12 points équidistants, les 3 points reliés par les deux segments consécutifs sont : 11 (II ou 2 : rappelant le double et la dualité), 1 (unité), 7 et le centre « 0 » du cadran. Le petit segment passant par ce dernier indique les directions du 3 et du 9. 2+1+7 donne I0 (cercle/cadran et segment « cadran/cardan »). 2+1+7+3+9 donne 4 (repère orthonormé du plan géométrique simple. Ce dernier est un outil abstrait qui permet à l'Homme de mesurer ou de modéliser les espaces, le temps et l'évolution de l'espace-temps). 7 et 4 indiquent nombre de phénomènes liés à la division du temps à l’aide d’un artéfact spatial : le cercle, le cadran. Seth(7) le diviseur d’OSIRIS(8). La nature nous donne des indices, comme la rotation de la terre autour du soleil en approximativement 360 et 5 jours. Cette valeur approximative répond à la logique des chiffres, de formes, des cycles et du radian. Cela nous ayant permis de déterminer la valeur des angles et de concevoir un cadran horaire non fictif après de nombreux dilemmes comme celui de Foucault! Notons que la notion de radian laisse apparaître une relation naturelle entre les principes de la courbe et du linéaire. La rotation s'exprime avec le système sexagésimal (base 6/60) hérité des propriétés du triangle équilatéral dans cercle (il y en a plusieurs dont la valeur de l'angle est la même que celle qu'on a universellement choisie pour le 7 ou le 4)... Hérité aussi des propriétés arithmétiques et géométriques du chiffre 9 (boucle borroméenne). Le linéaire quant à lui est de base 10 et permet d'exprimer les ordres de grandeur autour de 1 ou de mesurer les distances et les phénomènes irréversibles (le fil des ans).  La nature et la logique sont généreuses, elles nous laissent d'autres indices intéressants: le profil d'une galaxie dévoile un halo lumineux comparable à un 8 en 3D dont les deux sphères sont traversées par des rayons gamma. De profil donc, la vision nous ramène à un 8 plan dont chaque surface est balayée par un segment passant par la boucle. L'angle formé par ces rayons passant par le trou noir central et les parallèles (latitude et longitude confondues) des deux sphères est de 60°... On retrouve l'angle du 7! Pas un hasard, des phénomènes qui s'expliquent par les notions de symétrie et d'interaction. Ce qui est beau et aussi une merveilleuse démonstration de l'immanence, c'est que cela s'exprime arithmétiquement et géométriquement, presque sous nos yeux! Mieux, cela laisse imaginer que le trou noir qui garde jalousement le remède de notre complexe de l'espace-temps, pourrait être un subtil ruban de Möbius à trois boucles formant un nœud borroméen non figurable.

Note: Gamma est la troisième lettre de l'alphabet grec, elle est notre G (7ème lettre de l'alphabet latin). Gamma symbolisait une unité de mesure pour des choses matérielles et immatérielles. Et il se trouve que G(7)A(1)M(4)M(4)A(1) donne 8. Les termes utilisés par nos scientifiques n'ont que très rarement été choisi au hasard! La plus part d'entre eux datent de l'antiquité ou de la renaissance et malgré l'hermétisme et l'amnésie globale, les termes modernes suivent eux aussi une logique plus ancienne que l'imprimerie et font l'objet d'une obligation de résultat concernant la cohérence.

Si l'on transforme les deux cercles de notre 8 en cadrans horaires symétriques dont le profil de notre galaxie dessine l'axe de projection (symétrie axiale donc), la géométrie du 7 relie les points suivants : 10h et 2h sur le cadran supérieur,  6h au centre et 10h sur le cadran inférieur.  10 + 2 + 6 + 10 donne 28, la réduction du nombre 28 nous ramène au même résultat que précedemment (le 7 reliant 11h, 01h et 7h dans un simple cadran): I0 ou 0I ... Point/cercle/droite, vu de face, vu de profil... Le 0, la zérotation et la belle illusion de la trajectoire du photon et de la flèche du temps! Je vous conseille de modéliser le double cadran sur une feuille: graduez la boucle infinie en deux cadrans de 12h et faites deux autres cercles plus grands autour gradués en 24h. Indiquez les heures... A ce stade, vous êtes déjà au pôle nord ou au pôle sud de la terre! Ensuite, réduisez les nombres, tracez une grille verticale/horizontale et additionnez les heures correspondantes et réduisez encore. Amusez-vous à trouver des la suite et les combinaisons 0/3,6,9. Vous entrerez ici dans une zone de courbure, attachez vos ceintures! Faites pivoter le 7 et additionnez les nombres correspondants, trouvez des tringles équilatéraux... Visualiser le tout !

Qu’en ressort-il sémantiquement ? Les notions de symétrie, de pair/impair et premier, de double et de moitié (2), d’unité(s) (1) et de décade(s), de 3 dimensions avec 6 directions, de la quatrième dimension qu'est celle du temps... Mais aussi la notion de 5, médiateur de l'unité (1/2= 0,5), de la première décades en tant que 5, des centaines (50), des milliers,etc. Médiateur des ordres de grandeur concernant la segmentation linéaire vers l'infiniment petit ou l'infiniment grand. 5, chiffre premier nécessairement impair, possède ici une propriété commune avec le 2, seul nombre premier connu pair)... Mais ce ne sont là que quelques exemples parmi tant d'autres choses signifiées par le dilemme du pendule! Au bout de tout, les chiffres et les nombres qui en découlent ne font qu'un en 0! Je vous laisse méditer à la valeur géométrique, arithmétique et sémantique de tout cela. Seth et Osiris, à la vie, à la mort... Encore une énigme! Seth le dieu égyptien ou Seth l'archétype du bon patriarche? Les deux! Dans la bible, Seth est le troisième enfant d'Adam  et Eve, plus méritant que ses deux frères qui incarnent le mérite illusoire par le travail intensif des sols (Caïn) et le sacrifice de l’animal domestiqué (Abel) ! Seth indivisible et grand diviseur de la boussole et de l'horloge de toute chose consciente.

7 rois, 7  couronnes, 7 PRÉSENTS! S valant 1, présent au pluriel donne 8 tout comme Gamma, ainsi que nous venons de le voir... Le présent est un cadeau, une "PI r" insaisissable que les premiers et les pairs se disputent sans relâche, allant d'impair en impair dans un processus de souffrance absurde propre à la Bête ! Non pas l'animal, mais L’Homme bête, borné, stupide. Les nerfs sont les capteurs et transmetteurs de l’information de la souffrance NERF donne 7. Abel le sacrificateur repose dans un silence hermétique depuis bien trop longtemps !  Aujourd’hui, nous SOMMES (3) une SOMME(2 dualité) de créatures réduites au dualisme et à la boucle de la souffrance par accord tacite. ABEL donne 2 et Caïn donne 9. Dans la vallée de la mort je ne crains rien car de tous les salopards, je suis bien le pire.

NUCLÉAIRE donne 7 ! Un accord salutaire ! Un accord lié aux amours de la grande et de la petite famille nucléaire et non à la façon de les laisser moisir dans des cages à lapins artificiellement illuminées !

Entracte... Inspirez, soufflez… Induisez, déduisez… Intégrez, dérivez…  Puis laissez-vous dériver sur les flots de notre nature une fois sortis de l’attraction de la masse critique qui tend à nous gouverner tous et nous lier dans la souffrance !

Intéressons-nous maintenant à la physique :

PROTON donne 8, tout comme NEUTRON et PHOTON.

ÉLECTRON donne 2 (dualité de cet élément voyageur qui est lié au rayonnement). LUMIÈRE donne aussi 2. PHOTON +ÉLECTRON donne 10 puis 1, tout comme UNION. Notions de dualité, d’opposés et d’inverses lié à l’électron : lors de la désintégration d’un neutron par l’interaction faible, ce dernier se change en un proton, un électron et un antineutrino électronique. Par le processus de désintégration bêta inverse, la transformation provoque aussi l’émission d’un positron (antiélectron) et d’un neutrino électronique. ANNEAU donne aussi 2. ANNEAUX donne 8, tout comme INFINIS.

PROTON + NEUTRON donne 7. Tout comme UNITÉS ou INTENSITÉ. Quel accord, quel beau mariage d’amour passager (voyageur, mais éternel)! G correspond au 7, or CONSTANTE GRAVITATIONNELLE donne aussi 7. Ah, les lois de l’attraction et de la libération !

PROTON+NEUTRON+ÉLECTRON donne 9. Tout comme ÉNERGIE, RAYONNEMENT, VITESSE, POSITION ou POIDS.

PROTONS+NEUTRONS+ÉLECTRONS donne 3. Tout comme MASSE ou POTENTIEL. MASSES donne 4, tout comme noyau. La masse de l’électron est désignée comme négligeable mais existe. Je rappelle néanmoins que la masse n’est que quanta d’énergie et donc une densité d’information. La matière n’est pas pleine et le vide n’est pas vide. Au diable l’absolutisme !

POSITIF+NÉGATIF donne 3, tout comme MASSE et POTENTIEL.

POSITIF+NÉGATIF+NEUTRE donne 5, tout comme POINT(2 dualité du 0) DE(9 qui s’annule dans la réduction) MASSE. Point de masse. Et tout comme NŒUD.  

Anneau borroméen donne 8, tout comme INFINIS. Mais le secret de la beauté (sixième sephiroth) réside dans les 3 premiers anneaux n’en faisant qu’un ! ANNEAUX BORROMEEN donne 6.

DÉPLACEMENT donne 8 comme PHOTON, ESPACE +  NŒUD donne 9, tout comme POSITION, TEMPS + DÉPLACEMENT donne aussi 9, tout comme VITESSE.

NATURE(7) + ESPACE(4) +  TEMPS(0I) donne 3 comme DIEU ou MORT ou INTENTION, PASSION...

NATURE donne donc 7, comme PRÉSENT ou ÉTERNEL!

,Et un peu de poésie raisonnable :

L’énergie primordiale que nous avons ignorée et sacrifiée par ignorance et soumission à la masse gravitationnelle obscure du consumérisme, c’est l’Amour ! Cette porte à claire-voie (E5) laissant filtrer la lumière ! La quintessence des énergies ! Amour donne 5. Tout comme CHRIST. OU HIGGS.

Les champs de Higgs vont et viennent dit-on, au rythme de l’échange d’information par interaction… CHAMPS DE HIGGS donne 2.

La mémoire rend la beauté (sixième sephiroth) de l’Amour éternelle… MÉMOIRE donne 6, tout comme PARTICULE.

De MÉMOIRE (6) d’ÉLÉPHANT (9) ! Cet animal merveilleux que nous massacrons pour la beauté de ce qui n’est que défense !  Si nous lui donnions la parole, notre EGO (9) monstrueux en prendrait un coup !

Ah, pour terminer : ANIMAL + PAROLE donne 9, tout comme HOMME ou CONSCIENCE.

Ce que je viens de vous apprendre n’a rien de ces informations vulgaires et omniprésentes propagées par le parler du « Mordor », cette langue de serpent hermétique que l’on vous a apprit à reproduire comme des esclaves de vous vous-même ! Victime des autres bien-entendu, mais toujours bourreaux de votre ego, désarmé face aux phalanges invincibles (soi-disant).

Je ne m’attarde pas de nouveau sur le sujet, mais cette déconstruction et réparation de nos langages invite aussi à dévoiler toutes les falsifications des textes bibliques et constitutionnels (politique internationale et justice civile) ! Autrement dit, elle est aussi la clé de la réconciliation entre juifs, chrétiens et musulmans ! Elle concerne aussi le réveil traumatisant que nous avons cruellement et orgueilleusement imposé aux dragons asiatiques !  

Que l’hermétisme soit brisé ici et aujourd’hui pour ceux qui lisent avec le cœur intelligent. Chaque jour est aujourd’hui.   

Pour ce partage qui me tenait à cœur justement, je ne vous demande rien d’autre que de partager sans la moindre rétention !!! Je ne suis pas vénal et j’ai tout sacrifié pour comprendre la formule du sortilège qui ANNULE tous les sortilèges. La formule peut paraître pompeuse, mais je pense raisonnablement savoir de quoi je parle. Tout sacrifié au point d’avoir signé ma perte comme disent les braves gens. Mais il y a aussi l'aventure intérieure et les taxes de chair qu'elle coute parfois. Dans le monde à l'envers, il y a toujours une petite armée de crabe qui joue au traqueur traqué avec vous sur  le terrain du feu  destructeur et des anciennes chimères. Et puis avouons que les choses qui fâchent sans encartement, ça ne paye jamais, encore moins si elles révèlent le schimilllilm, le schminimibli, milbick du pot d'la rose! Les détraqueurs du grand trésorier et les vautours de la copro se moquent de la valeur de ce que j'apporte en facteur et attendent patiemment que j'atteigne le nombre négatif de pépettes  qui leur permettra de me mettre à terre. Les nombres, ironie du sort vu mes recherches! Mais il s'agit là des nombres de l'homme bête, rien de plus. Des nombres indiquant des valeurs dont le prix réel est celui de la corruption et du sang versé. Sans parler de la souffrance humaine, il suffit de comprendre que nous vivons dans un confort suicidaire proportionnel à la souffrance que l'on impose de façon plus que criminelle à l'animal pour réaliser que les monnaies de singe alimentant nos échanges sont sales et illégitimes. Tout un système dont les finalités dévoilent toujours qu'il reposait sur du vent et de la poussière. Le fatalisme n'est pas plus éternel que nos autres jokers! Je ne réclame donc aucune pitié, ce terme est aussi vain et illégitime que celui de la gloire et de la bienpensance des vainqueurs! Juste, le partage ! Avec le partage, ce type d’information voyage à la vitesse de la lumière !

L’heure est plus GRAVE que chacun n’ose l’admettre, pourtant vous le ressentez tous. Ne serait-ce que dans l’eau, l’air ou la terre. Le feu parle toujours en dernier ! Chaque seconde perdue aujourd’hui pour révéler les « choses et non choses » laisse sa chance à l’apocalypse de notre temps ! Les initiés eux-mêmes ont perdu depuis longtemps cette formule parce que PERSONNE ne la mérite plus. Malheureux empires empiriques ! Elle est ici la notion du sacrifice salutaire!

Et ne soyez pas dupes, les plus ignobles d’entre nous sont avant tout des enfants désarmés en souffrance ! Tous coupables ! Donc aucune tête (capitus) à couper ! Croyez-moi, chacun y trouvera enfin son compte ! De la propagation de ces informations dépend notre avenir proche.

Que la force soit avec vous !

Ma thématique, notre thématique et ainsi soit-il(S) -EIIE(S)
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correspondance alphanumérique

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Hermès time'S over... 0'S back to reset the DOS/SOD... What the fuck???

1 Juillet 2019, 12:57pm

Publié par Persone

Hermès time'S over... 0'S back to reset the DOS/SOD... What the fuck???
Hermès time'S over... 0'S back to reset the DOS/SOD... What the fuck???
Hermès time'S over... 0'S back to reset the DOS/SOD... What the fuck???

Voici qui pourrait réconcilier les français et les Belges sur leurs origines communes et donc sur la question de la blague qui fait le con et du con qui fait la blague :

La franchise est  la qualité de celui qui ne dissimule pas sa pensée et qui révèle donc sa raison, sa volonté et ses sentiments, qu’ils soient saints ou non, y compris à ceux qui ne veulent pas l’entendre. Autrement dit, la franchise d’un être, qu’il soit sauvage, civilisé, animé de bons ou mauvais sentiments, révèle la vérité. Un mot qui fait  peur ! Un mot qui fait rire les cyniques et les moqueurs… Les moutons les plus endurcis.

Synonymes : Confiance, spontanéité, sincérité, révélation et FRANC parler.

Contraires : cachoterie, dissimulation, déloyauté, fourberie, fausseté, mensonge, ruse, tromperie (trumperie J ), HYPOCRISIE.

De l’ancien français : franc, noble, libre, habitant de Francie. Mot  dérivé du latin médiéval « francus » « homme libre », forme  latinisée du francique Frank, ancienne peuplade germanique dont le nom viendrait du vieux germanique frankon « javeline, lance »). Sémantiquement, nous retrouvons ici le thème de Shakespeare concernant l’anglais qui rappelons-le est aussi une langue indo-européenne d’origine germanique et enrichi par l’ancien normand et le français malgré le désastre de la guerre dite de 100 ans. A travers les pièces cryptées de l’auteur, se révèle peu à  peu la vérité d’un théâtre immanent.  Les francs furent unifiés par  les mérovingiens dans une période de mutation démographique due à la dissolution de l’empire romain. En ces temps de troubles et de redéfinition des unités culturelles régionales, ce peuple avait gagné sa reconnaissance par ses talents militaires et la justesse de ses leaders. Parallèlement et malgré les faiblesses de l’aile occidentale, les décideurs romains voyaient d’un mauvais œil l’allégeance de l’empereur légitime Julius Nepos à la puissance de Constantinople : un grec siégeant à Rome et au service de l’Orient, peut-être que cela rappelait trop l’aura d’un Alexandre ! Et cette bibliothèque d’Alexandrie que les romains avaient brûlé non sans raison, quels secrets renfermait-elle ? Dans ce contexte, le général Oreste (commandant suprême des armées) renversa Julius Nepos et fit son de fils Romulus Augustus, le nouvel empereur. Mais Oreste est vaincu par des concurrents et Romulus déposé, qualifié d’usurpateur et exilé. Il n’était qu’un adolescent ! Imaginons maintenant ce qu’un général romain avait pu transmettre à son fils avant sa chute programmée et la fin de l’empire hellénistique :

Les grecs se sont couchés devant nous, peut-être affaiblis par l’oracle de ce fou d’Alexandre qui imaginait que l’Empire devait partager ses connaissances mais laisser libre tous les royaumes qu’il avait pourtant conquis. Toujours est-il que ni ses généraux ni les nôtres n’ont su aller aussi loin et rayonner à ce point dans l’espace et peut-être dans le temps ! L’Empire s’effrite mon fils, la splendeur de Rome n’est plus et Marc Aurèle avait probablement raison : l’unité, l’invincibilité et la durabilité viennent par le mérite de la pierre de connaissance et par la plénitude totale, le seul rayonnement légitime… Pas par la force et l’usure ! Il n’y a aucune raison pour que mes nombreux ennemis ne me tuent pas d’ici demain, mêmes s’ils saluent tous les gestes qu’ils n’ont pas su faire à ma place… Alexandre au final avait peut-être raison. La richesse et la puissance sont éphémères et à la fin de tout, je m’aperçois que plus l’empire repose sur de mauvais accords, sans sincérité, sans franchise réciproque, plus dure sera la chute de ce dernier. Et plus amère que jamais sera la guerre entre les territoires vassalisés par la force et la corruption ! Constantin Ier fut plus grand et plus sage qu’on ne pouvait l’imaginer et tu as appris aussi tous les enjeux reposant sur les décisions du concile de Constantinople ! La trinité mon fils et l’immanence de l’être. Mais le nouvel empire chrétien prend naissance dans les divisions et la question de Jésus, que nous avons tous crucifié juifs ou romains, demeure une épée de Damoclès. Ce nouvel empire se prépare à commettre les mêmes erreurs que nous tous, je le crains. Mon fils, le devoir des derniers est la transmission. Soit un bon empereur !

Pourquoi cette discussion fictive ? Parce qu’il est impossible qu’un des derniers généraux romains eût été suffisamment stupide et sans éducation pour ignorer ces faits historiques majeurs datant à peine d’un siècle ! Et assez fou pour ne pas les transmettre à son enfant avant de le sacrer empereur. Or il se trouve que le jeune garçon, avant d’embrasser un destin mystérieux et probablement funeste confia son héritage et son titre à un roi que nous connaissons bien : Clovis, roi du peuple franc ! Il y a dans ce fait historique une haute valeur symbolique : c’est un enfant qui a choisi à qui remettre une telle « franchise ©».

Chargé du fardeau de cette infernale boîte de pandore et probablement de ce qui deviendra ultérieurement le grand mystère de la rose-croix, la lignée des mérovingiens entra dans l’Histoire, fut le socle de la fondation du royaume de France, mais périt sous le joug de l’éteignoir ! Nous retrouvons ici l’origine de l’utilisation du mot éteignoir dans le vocabulaire antirévolutionnaire de Flaubert. Un intellectuel tel que lui ne pouvait être anti progressiste, mais nous ne savons pas ce qu’est le progrès ! Nous qui avons fièrement incarné l’arme absolue du crime et grassement profité des moyens qui nous ont conduits jusqu’à elle. Flaubert savait dans quelles conditions la lignée des mérovingiens s’était éteinte. Et l’artiste qu’il était évoquait ceci : les derniers petits êtres francs sont les enfants, ils le demeurent jusqu’à ce que le déterminisme des parents, soumis à l’Orgueil tout puissant des nations, ne les éteigne. Les enfants, normalement programmés pour faire des mathématiques et maîtriser les langues et les écritures, mais héritiers du sang et du verbe... Encore faut-il que vérité soit dite et que le langage ne soit pas corrompu et verrouillé par l'hermétisme. Flaubert concentrant sa charge sur les dérives de la nouvelle révolution (celle qui nous est si chère), ne l’exprime pas directement, mais il semble que ses « prophéties Nietzschéennes » soient plus universelles qu’on ne l’imagine, évoquant aussi l’emprise de la « bureaucratie » des maires du Palais sur de jeunes rois mérovingiens ayant hérité d’un NOM trop lourd à porter.

Si petite soit-elle en effectif, la destruction totale d’une lignée correspond sémantiquement à un génocide (tuer le gène) ! Pas celui d’un groupe humain, mais celui d’une lignée. Et de surcroît nous avons ici, en cumul, un acte collectif de régicide étalé sur 400 ans. La Francie détruite de l’intérieur et de l’extérieur, tout comme Israël.  Mais les mérovingiens ne se sont pas divisés idéologiquement ou politiquement comme l’ont fait les hébreux après un millénaire de partage de la  connaissance avec les égyptiens, les babyloniens et en dernier lieu les romains… Ils n’en ont pas eu le temps ! Et ils n’ont pas découvert l’école de la raison et des mystères entre voisins belliqueux ou hypocrites, ils en ont hérité après la chute d’un millénarisme, entourés par des voisins belliqueux et hypocrites ! Les rois mérovingiens atteignaient rarement l’âge de 30 ans, affaiblis par la résistance permanente aux agressions et cantonnés dans leur prison royale par les maires qui prétendaient patiemment au titre : les futurs carolingiens !

Black-listés, les mérovingiens ! Durant 400 ans, comme les africains ! Et jusqu’à l’extinction, comme  cela fut souhaité pour les juifs… Par l’Orgueil des Nations, qui ne partage pas son pouvoir.

Après la disparition du dernier roi des francs, la lignée des carolingiens s’installa au pouvoir, longtemps convoité. Ceux-ci revendiquèrent longtemps la transmission biologique du  légendaire caractère Mérovée et de la mémoire inscrite dans sa descendance depuis Clovis, mais les archives et les  enquêtes généalogiques ont révélé la supercherie.

La potentialité d’un roi en exil et le fait d’un usurpateur sur le  trône. Une incarnation errante portant la coupe et dans le royaume,un pouvoir représentatif fabriquant du mauvais pain et de mauvais pinards. Ce soi-disant vin nouveau que l’on décante dans la mémoire des vieux fûts de chêne avant de le verser dans la gueule béante du peuple et dans les calices ostentatoires d’une aristocratie illégitime. Les compétitions de pouvoir des lignées aristocratiques patrilinéaires et matrilinéaires furent le creuset de nombreuses guerres intérieures et extérieures… Un signe qui n’a pas échappé aux alchimistes, à commencer par Shakespeare.

La nature cache-t-elle la connaissance dans les seuls langages reconnus et développés par l’humain, comme si l’Homme et son cerveau étaient la fin des fins en soi ? Brûlez les livres et coupez les têtes pensantes et POUF, plus rien ! Est-elle aussi limitée que cela cette nature à double sens que l’on ne connaît guère que par la guerre ? Ne sait-on pas aujourd’hui qu’elle cache aussi bien des choses dans notre appareil génétique ? Nietzsche était-il si fou et si moyenâgeux ? Comme la bien-pensance aimerait que nous l’entendions. Hitler est-il vraiment un accident de l’Histoire ? Nombre de choses et de NOMS demeurent gravés dans la pierre et dans la chair.

Sommes-nous si évolués qu’on ne veut bien le prétendre ? Un certain Francis Cabrel a chanté « est-ce que ce monde est sérieux ? » en pleurant sur le destin des taureaux et des femmes de toreros…Ça a fait marrer tout le monde ! Sauf les pleureuses dit-on !

L’Homme tient à son héritage patrilinéaire ! Depuis l’antiquité, la guerre des roses se solde par le mariage arrangé des femmes et celui politique des reines ! Durant des millénaires, nos femmes ont été contraintes d’épouser les meilleurs marchands de tapis et d’esclaves d’entre nous ! Nous ne pensons que rarement à la question sans âge du droit d’aînesse… Et autres « détails de l’Histoire » ! Nous n’en mesurons donc pas les conséquences. Pourtant, c’est un fait, dans un tel système patriarcal, l’apparition du divorce (y compris pour les rois et reines) est une nouvelle perversité touchant les femmes et les enfants (dont le destin était toujours arrangé par le mâle) et une bombe à retardement, une apocalypse programmée pour les nations du monde. Une critique « régressioniste » du divorce ? Diront les idiots !  Non, une critique du mariage et du port d’un objet d’union reflétant le pouvoir de l’anneau unique de pouvoir ! Et facteur entropique : notons le cas d’Aliénor d’Aquitaine, successivement épouse de Louis VII roi de France et de Henry Plantagenêt, futur Henri II d’Angleterre, qui par son héritage changea les rapports de force entre les deux pays en faisant de l’Aquitaine un foyer de tension. Un des premiers facteurs déclencheurs de la guerre de 100 ans.

Abracadabrant non ? Une histoire plus simple aurait-elle pu mener autant de vaches savantes à l’abattoir ?

Un coupable ? Des boucs émissaires ? NON… Tous coupables, tous traversant inconsciemment le désert de nos âmes, marqués comme des bêtes, fuies par toute autre créature vivante sur cette terre ! L’amour propre est un faible qui gouverne la cité et l’orgueil est un vieux fou juvénile totalement désarmé.

Autrement dit, la Francie s’est unifiée autour d’un anneau de vérité que chacun prit pour un anneau de pouvoir et les porteurs de cet anneau, des enfants, petits princes ou de très jeunes rois furent sacrifiés sur l’autel de notre folie collective.Le sortilège d’Hermétisme, posé sur la connaissance  et le cœur sacré, ne fut pas rompu ! Et l’anneau unique de pouvoir, un non objet en réalité, un anneau d’invisibilité, commença lentement à  ronger la cité humaine. Ardemment convoité par l’amour propre et par l’Orgueil. Un Orgueil complexé par son impuissance réelle, mais qui ne partage pas ses pleins pouvoirs représentatifs !Le sort de beaucoup repose aujourd’hui sur les sanctuairesintemporelsayant abrité certains exilés. Cela concerne les juifs, les chrétiens, les musulmans. Pourquoi cette fatalité ? Lorsqu’on hérite d’une vérité fondamentale, simple/subtile, et qu’on la couvre d’hermétisme en la conservant pour soi, la mort est inéluctable, déterminée, si longue soit l’échéance. Elle fut violente pour les mérovingiens, probablement innocents et moins « fait Néant  S» que l’image laissée par des chroniqueurs soucieux de ne pas déplaire à leurs successeurs ! Francs, courageux étaient les premiers rois de cette lignée, jeunes et faibles étaient leurs fils. Lorsqu’on est tout petit et qu’on porte l’anneau, dans une époque barbare, le destin est forcément cruel.

Les carolingiens quant à eux ont unifié la France par le glaive et ont connu la gloire suffisante pour un nouveau rayonnement jusqu’à la prise de pouvoir progressive de la lignée des capétiens, mais avec un anneau qu’en réalité ils ne possédaient guère ! Comme cet anneau n’est pas un objet, il est simple de comprendre comment ces derniers et leurs voisins militairement contenus, le confondirent justement avec un objet de pouvoir ! Et tant de choses furent perdues… Pauvre Robert, premier des rois capétiens, ta lignée unifiera la France, mais comment tes enfants pourront-ils révéler ce qu’ils ne connaissent pas et conservent pour eux comme le bâton de Dieu le père ! Un simple et triste braquemart flanqué de deux valseuses en conflit permanent ! Ironie du sort, lors de la longue guerre entre la France et l’Angleterre, les capétiens et leurs armées se jetèrent à plusieurs reprises sur leurs ennemis, motivés par la supériorité numérique et l’idée d’une puissance divine légitime. Résultat : leurs adversaires plus pragmatiques et leurs longs arcs connurent trois premières victoires sanglantes bravant un rapport de force qui fait encore la fierté des anglais. Acharnés, les français ordonnaient à la police militaire (ancêtre de la gendarmerie) d’exécuter tout soldat faisant demi-tour sur le champ de bataille. Un piètre exemple de l’héritage stoïcien et des préoccupations théologiques confiées jadis au roi des francs !

Il convient aussi de replacer la guerre de 100 ans dans un contexte historique obscur que je résumerais en trois points :

  • Primo, la lecture symbolique des « saintes écritures », les recherches théologiques et le nouvel élan culturel de la première partie du Moyen âge (du Vème au VIIème siècle) furent minés par les tensions que l’on retrouve dans toute période de transition par le glaive, dans toute dissolution d’un Léviathan ayant régné par la force. Plus tardivement, la lutte qui s’engage au Xème siècle entre le pouvoir intemporel des papes et celui des empereurs marquera à jamais la première dissociation entre deux statuts pourtant complémentaires ! La « lutte du sacerdoce et de l’Empire » ne finira jamais vraiment, jusqu’à ce qu’un certain Général De Gaulle, le dernier capétien dit-on, fasse mine d’y mettre un terme en nous laissant une bombe à retardement planquée dans les fondations !
  • Deuxio,les croisades coûtent très cher et les Templiers sont à la fois trop riches, trop influents, trop au courant des versions juives et arabes de la situation à Jérusalem et globalement incontrôlables ! Le procès de l’Ordre du Temple et la mise à mort retentissante de Jacques de Molay plongea l’esprit des français dans de sombres augures.
  • Et tertio, ne l’oublions pas, la guerre de 100 ans s’est achevée par la victoire du Roi de France qui récompensa son héroïne Jeanne d’Arc, stratégiquement devenue inutile, en la livrant aux anglais. Un dernier bûcher de très mauvais augure !

Les mérovingiens ont « fait Néant » dit-on… Alors admettons que leurs successeurs ont quant à eux incarné le néant ! Une absurdité vénale et une terreur sans nom qui n’en finissent plus de nous consumer.

Par son pouvoir, l’empereur ou le roi n’incarne plus la connaissance, mais son illégitime puissance ! Son règne, son influence, son aura, deviennent peu à peu morbides et représentatifs ! Il n’est plus qu’un intendant, étranger à sa propre demeure.

La réalité du monde est immanente et donc subtile et bien protégée, mais elle est aussi simple que le mérite d’une créature qui sait conserver son innocence !  Les premiers pharaons venus d’Afrique en savent quelque chose, ils ont vu Israël et l’Egypte s’entretuer autour du secret de la beauté, de l’or et de l’écriture « divine » ! Comme tous les peuples que les empires voraces ont colonisés ! Lorsque l’usurpation et le mensonge deviennent le socle d’un empire, lorsque l’incomplétude et l’incertitude forment le complexe occulté de notre empirisme, l’entropie du système est déterminée vers la chute ! En matière d’eschatologie, c’est ce qu’on appelle l’apocalypse, cet espace-temps indéterminable et  pourtant déterminé, où la vérité simple sera révélée par la destruction.

Une triste et belle histoire n’est-il pas ? Notre Histoire !

 

Epilogue :

Mais qu’est devenu le mot franchise ?

Franchise :

La définition 0 a été décrite plus haut.

1 Exemption d’une contrainte : tout d’abord une définition métaphysique : libération d’un poids pour l’âme ! Puis progressivement une définition matérialiste : exemption d’une taxe… Révélateur non ?

2 Droit qui limitait l’autorité souveraine au profit d’une ville, d’un corps d’état ou d’un individu. Introduction de la notion de monopole qui conserve le pouvoir et le centralise à défaut de  partage possible. Un anneau de connaissance se partage, un anneau de pouvoir possède son porteur et est convoité par les autres.

3 Monopole d’une marque ou d’un brevet par une personnalité physique ou morale que l’on doit rémunérer pour utiliser son concept ou son aura.

Stupides marchands de faux tapis volants que nous sommes tous !

Nous croyons parler nos langages respectifs ? La belle affaire !

C’est le langage vil et mercantile du nouvel ordre mondial que nous parlons tous !

Une langue de serpent et un anneau pour les gouverner tous !

Shakespeare doit se retourner dans sa tombe, tout comme Tolkien, en voyant ce que leur langage est devenu ! Et je ne parle pas de toutes ces élites françaises, qui n’ont même plus conscience de la signification des mots qu’ils utilisent pour soulager leurs altérités réciproques et justifier leur échec total.

Epilogue :

Tout ceci ne tournerait qu’autour de l’histoire de France ? Ne soyez plusbêtas ! Relisez bien. Shéhérazade de son côté vous en toucherait bien deux mots, si certains Wahhabites, en parfaits agents doubles, ne l’avait censurée comme Apollon maudit Cassandre !

Glissement sémantique, dérapage critique… Une issue déterminée.

A nous de redevenir les capitaines de nos âmes.

Déconstruire, réparer et emplir de nouveau le vase...
Déconstruire, réparer et emplir de nouveau le vase...
Déconstruire, réparer et emplir de nouveau le vase...
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Déconstruire, réparer et emplir de nouveau le vase...
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Déconstruire, réparer et emplir de nouveau le vase...

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Des Simone qui enflent, des Simone qui veillent

3 Juin 2019, 15:27pm

Publié par Persone

Des Simone qui enflent, des Simone qui veillent
Des Simone qui enflent, des Simone qui veillent
Des Simone qui enflent, des Simone qui veillent
Des Simone qui enflent, des Simone qui veillent

"Personne n’est plus arrogant envers les femmes, plus agressif ou méprisant, qu’un homme inquiet pour sa virilité". Simone de Beauvoir - Le deuxième sexe.

Si l’on part du principe que depuis des millénaires et avant de libérer le sexe féminin de son carcan, le mâle dominant a figé les langages théologiques, réductionnistes et politiques pour se retrouver comme un con dans un monde de brutes consuméristes, peuplé de gentils machos complexés par la toute puissance et de femmes qui deviennent des hommes comme les autres… Alors oui, la  proposition est pertinente !

Mais l’auteur le concevait-elle ainsi ? Beauvoir plus féministe et plus réaliste que Badinter ? Possible ! Plus conservatrice peut-être… Dans quel sens du terme ? Mais plus délicat : comment une telle affirmation peut-elle être interprétée par nos cœurs désenchantés… Emportés par la foule ?

Tel est bien le but d’un aphorisme : être concis et suffisamment percutant pour gagner le plus grand nombre… Et un aphorisme populaire est un gage de notoriété et souvent l’illusion d’un pas vers la postérité. Malheureusement, en souhaitant trop réduire, trop vulgariser, trop simplifier, nous obtenons souvent des adages contextuels libres d’interprétations qui n’ont plus rien d’universel. « Trop de quelque chose finit par noyer la chose, impossibilité de l’absolu et dualité obligent ! »  Exemple : la vitesse d’une flèche est mesurable de façon sûre si nous la mesurons depuis le tireur, mais elle reste relative à chaque tir, dépendant de la puissance et de l’usure de l’arc, comme des innombrables facteurs liés à chaque tireur et à chaque tir ! Et si nous mesurons cette vitesse à partir d’un autre point que le tireur, elle est d’autant plus relative et donc changeante en fonction de la position ou de la vitesse de l’observateur. Longtemps les hommes se sont convaincus de la vitesse de rotation du soleil autour de la terre jusqu’à ce qu’ils comprennent que le phénomène était inverse ! Longtemps nous avons supposé que la vitesse de l’axe devait être nulle, jusqu’à ce que l’on s’assure de l’existence et du mouvement de notre galaxie, etc… Il en a fallu du temps pour avoir une vraie référence en matière de vitesse ! Un archer et un arc d’une constance inébranlable : principe de 3 ! Et une flèche révélatrice sans masse : le photon. Moralité, on peut supposer que le fait de trouver une phrase courte qui résume l’ensemble d’un problème prend autant de temps que le fait d’achever une étude sur le sujet, puisque cette phrase est en réalité la solution du problème. L’artiste lui-même ne peut transcender suffisamment sa propre condition pour peindre ou sculpter une œuvre totalement universelle et lorsqu’il s’attaque à une œuvre devant signifier un axiome fondamental, il y passe autant de temps qu’un chercheur sur ses feuilles de raisonnement. Or, la relation féminin/masculin, la dualité et la complémentarité des signes font justement partie des questions universelles qui régissent notre existence et nos milieux (intérieur/extérieur). Tout comme la frustration chez l’homme et la femme demeure une des sources fondamentales de la mécanique de notre souffrance. Une des clés qui déverrouille le coffre des mystères avec lequel nous occultons l’origine du consumérisme et de l’anthropocène. Que dire des problèmes de frigidité ou d’érection et de leurs relations avec les interactions « individu/empire ? Individu : personnalité dite physique. Empire : personnalité dite morale. Notons aussi que l’artiste des textures, dans son accomplissement, possède un net avantage sur l’écrivain : un tableau peut résumer nombre de choses arborescentes en un seul visuel, ce qui n’est pas le cas d’une courte proposition !!!   

Autrement dit, méfions-nous des adages comme de la publicité et tentons d’élargir le champ de cette proposition pourtant célèbre de Simone de « Beauregard » :  

La femme et surtout l'enfant n'ont pas été épargnés par la puérilité cruelle de l'humanité! Par le jeu pervers et primaire du dominant et du dominé, du maître et de l'esclave... Mais le temps passe dans la cité des Hommes et la vengeance au féminin se mange froide… Concernant les enfants ? Elle les déguste inconsciemment, un complexe freudien dit-on sans prendre garde à l’imposture. Ces enfants qui s'adaptent pour le meilleur et pour le pire à un monde barbare et cruel doté des sacrosaintes excuses divines ou darwinistes!

Un monde où l'on cultive raisonnablement l'impossible a de fortes chances d’être détruit par la folie de ses propres enfants! Question d'équilibre...

On ne peut que comprendre le féminisme de Beauvoir, mais ce n'est qu'un militantisme comme un autre et l'expression de notre complexe d'incomplétude global! Réparer n'est pas faire de jolies phrases cyniques, si pertinentes soient-elles dans le prisme par lequel elle nous a été inspirée! Le risque ? Que le commun des mortels, n’ayant pas le temps de philosopher comme les "génétiquement mieux faits" ou "socialement mieux nantis", prennent la boutade pour argent comptant et s’en serve pour perpétuer la guerre des sexes !!!

Contre exemples à la proposition : un homme respectueux de la gente féminine peut être amouraché à une épouse ayant inconsciemment caché son caractère castrateur au début de leur amour et ne pas vouloir s'en détacher pour X raisons autre que le sexe! Si le malheureux s’en trouve affecté et commence à s’inquiéter de la situation, est-il donc méprisant sans le savoir? Peut-être! Mais dans ce cas, le mépris concerne autant le masculin que le féminin et il est réciproque ! La réparation est à double sens.

Autre exemple : un homme ruiné, incapable de nourrir sa famille peut être atteint de troubles somatiques comme la dégradation dentaire et développer un complexe d’impuissance ou un cancer des testicules !  Celui-là aussi est méprisant envers sa femme?

Sartre et Beauvoir partageaient des relations reflétant un Occident en quête de renouveau! Camus les avait alertés de cette légèreté dangereuse dissimulée derrière l'apparente gravité de la paternité occidentaliste! A propos du sexe? Non…

À propos du meurtre, du conflit militaire et de la tuerie de masse, qui demeurent néanmoins les conséquences plurimillénaires de la guerre des roses.

Et à propos du sacrifice de l'enfant et de la beauté SIMPLE de ce monde!

Nietzsche et Schiele portaient mieux que personne ce poids du désir sacrifié par le vulgaire, la sophistication et le sentiment illusoire de nos victoires!

La vie est tellement bandante!!! Pourquoi faut-il que nous persistions à demeurer des remèdes à l'amour!

Epilogue :

L’Homme a obtenu ses droits en 1789 dit-on. Et la femme en particulier dans la seconde moitié du XXème siècle.

Voyons les choses autrement :

Aveuglé par la Lumière (Thomas Edison©), l’Homme a obtenu le droit de s’exploiter lui-même et deux siècles plus tard, il a invité sa femme qui s’emmerdait à compter les sous dans la cuisine, à voguer sur sa galère.

Un cachot plurimillénaire pour le féminin et une sortie subite, en grande pompe ! Jusqu’aux flash lights, dans une société où les corps défilent comme des objets de consommation et des arguments de vente. Dans leurs clapiers, les lapins s’oublient, on régule les naissances, on régule la croissance… Du moins théoriquement… « Dois-je maudire ou remercier Cassandre ? Mais qui c’est celle-là ? Vous voulez me dire quelque chose sur mon homme ? »

Obtenu le droit de s’exploiter lui-même ? Entendons-le sans pour autant réduire les écarts de fortune et les inégalités les plus dramatiques. Au nom des promesses de la compensation matérielle, virtuelle s’il le faut… Au nom d’une main invisible qui régit la grande compétition mondiale. Plus d’esclaves, juste des salariés hiérarchisés ! Aucune réconciliation concernant les innombrables forces en présence caractérisant la bouilloire humaine, mais une arme absolue pour les trouver tous et les gouverner tous : le profit, la promesse de la réussite et la possession matérielle. Une démocratie construite sur un paradoxe vénéré comme omnipotent, une justice nécessairement à deux vitesses et un moralisme aussi corrompu que celui qui le précède…

Des accords hypocrites et un empirisme globalisant illégitime !

Tout cela acté par de nouveaux vainqueurs après le sacrifice du père, promu par les profiteurs et signé par défaut par les autres. Pas étonnant donc, que ce mode de vie « lumineux » devint vite l’élevage intensif que nous connaissons aujourd’hui !

Où trouver l’énergie pour faire bander toutes ces nations dont les besoins et les fantasmes augmentent dangereusement au fur et à mesure que l’offre précède la demande, révélant un invincible effet secondaire de la cure matérialiste ? Le syndrome de l’île de Pâques, version globale !

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Accords et désaccords nucléaires

30 Mars 2019, 23:50pm

Publié par Persone

Accords et désaccords nucléaires
Accords et désaccords nucléaires
Accords et désaccords nucléaires

Mon frère ne doit pas supporter l’image que je lui renvoie ! Mais pourquoi le dire ?

Mon meilleur ami se passionne étrangement pour les enfants ! Moi, ma femme est sexuellement dépressive ! Moi, mon fils se comporte comme un homo !  Moi, ma fille est une chaudasse… Mieux vaut éviter le sujet !

On vit plus vieux, mais depuis la désillusion des congés payés, on se fait chier à mourir ! Je dis ça mais je ne dis rien !

La découverte du monde microbien et de l’hygiène sous toutes ses formes sont les facteurs les plus déterminants de l’élévation de notre longévité, ce qui ne justifie en aucun cas l’évolution du progrès tel que nous le connaissons ! Autrement dit, les découvertes liées à  l’augmentation de notre durée de vie ne légitiment en aucun cas notre mode de vie, sachant d’autant plus que notre confort social mal acquis et notre matérialisme sont synonymes d’anthropocène ! Mais après tout, pourquoi torturer d’indolentes méninges déjà si contrariées !   

Le monde va mal, il semble que nous soyons responsables de... Responsables ? Bon stop, là il est impératif que chacun ferme sa gueule !

Ne vous fendez pas - dit l’enfant - moi mon père et ma mère ont fait de moi le soldat de leur guerre des roses, le jouet de leur échiquier, entre pion et arbitre. Et après je suis devenu vous !

Mais pour qui se prend t-il celui-là ? Ce p’tit con pisse encore du lait, il n’est pas même déterminé !

 

Dans cette courte histoire de chuchotement, que l’on entend dans les couloirs du temps, à l’orée de notre physique et allégorique caverne, cherchons la nature et la position de l’enfant.

Mieux vaut éviter de parler des choses qui fâchent dit-on sans avoir conscience que c’est ce que nous faisons depuis des millénaires d’enfance et d’adolescence humaines mal léchées ! Il va donc s’en dire que je n’évoque pas les iniquités sociales et géostratégiques puisque tout le monde en parle !

J’évoque plutôt notre intimité comme facteur refoulé et pourtant responsable de la comédie humaine et du gaspillage morbide révélés par la mécanique de la souffrance.

L’intimité n’est un tabou que pour ceux qui craignent de se connaître et de se reconnaître dans le monde qui les entoure et les constitue.

Mais le charitable hôpital de l’intimité est un domaine que l’Homme déterminé évite au maximum ! Lui qui a tant à se reprocher concernant l’intime et le cœur de la rose, lui qui bâtit des empires pour combler les vides laissés par la guerre du même nom… Celui de la rose. Lui qui invoque le déterminisme des dieux, le droit d’inquisition d’un Dieu Tout puissant ou la sainte causalité pour que le fatalisme lui serve d’excuse ! Lui qui apprécie le divan d’un psy libéral ou même conventionné ou encore quelques pilules et régimes adaptés pour améliorer son existence dépressive, cancéreuse, et mécanique.  Nous ne sommes pas responsables mes enfants, mais ne lâchons pas notre empirisme pour cause de terreur, c’est une affaire qui roule ! La révolution est permanente et la main invisible régule nos intérêts temporels comme PERSONNE ! Les Lumières, le progrès matériel et globalement le fruit de notre raison nous offriront très probablement un avenir meilleur… Think positive ! 

 

Histoire intime de la causalité et du libre arbitre :

La causalité qui sert d’excuse à notre déterminisme consumériste est un principe très clair, or elle est intimement liée à la notion de conditionnement et c’est ici que les choses se compliquent y compris lorsque l’on raisonne avec la forme la plus simple de cette notion de « condition » ! Le conditionnement apparait raisonnablement comme métabolique : logique et mémoire du couple action/réaction. Notons que face à la notion d’éternité, celle de logique (dualité par exemple) persiste, mais celle de mémoire s’efface par inutilité : mémoire de quoi, de quelle origine, lorsqu’il n’y a ni début ni fin ? Néanmoins, il serait très réducteur d’imaginer que l’éternité, qui demeure indéterminable, ne possède pas une forme de mémoire ! Disons que la mémoire telle que nous l’imaginons, c’est-à-dire prisonnière de notre condition physique, de nos individualités ou au mieux de nos écritures, n’a plus de sens hors de l’espace-temps. Le trou noir ! L’animal ne se pose aucunement la question, mais l’être humain sécurisé par son orgueil, ses sens, sa raison, ses 4 volontés et ses facultés peine à admettre ce qu’il ne peut comprendre et refuse encore d’admettre qu’une information peut exister par différence de potentiel et par quanta d’énergie, sans corps, sans véhicule ! Obsédé par le voyage que nous sommes ! Des fous du volant, cela va s’en dire, pourtant possédés par la crainte de perdre ce qu’ils ont possédé et vécu ! Et si l’instant présent et l’éternité était deux infinis inatteignables mais indissociables, réunis en un seul et même 0 ? Notre mémoire existe, mais l’éternel où tout n’est qu’un peut bien s’en passer ! L’Homme peut se passer de Dieu pour prouver qu’il existe dit-on, dans ce cas pourquoi Dieu ou un principe créateur auraient-ils besoin de nous ? Nés de la dernière pluie, pour appréhender son existence ? Pour revenir au temporel et plus particulièrement au vivant, nous avons donc une structure métabolique, une information « virale » qui a trouvé hôte et qui évolue. Nous pouvons parler ici d’appétit (besoin et transformation d’énergie) et de ce qui se greffe autour d’un intestin intelligent : un centre nerveux, de la chair sensible, de quoi respirer, filtrer, digérer, liquéfier, transporter, redistribuer… Et l’œil allant souvent par deux !

Concernant la conscience de l’être qualifié d’évolué : les cinq sens reconnus, le microprocesseur, la mémoire et autres composants cérébraux, les sentiments et enfin, cette pulsion qui agit du premier au dernier souffle : le désir de vivre et la reconnaissance de ce corps réfléchissant (dans les deux sens du terme), témoins du milieu indéterminable qui l’entoure et le constitue. Autrement dit, un corps physique est le lien conscience/matière, une image mathématique de cette conscience qui se passe de corps et donc de temporalité correspond à notre rêverie de la matrice ! Nous pouvons imaginer un potentiel de possibilités logiques « information » qui attend un niveau d’énergie et des conditions requises pour que quelque chose s’incarne… Quelques pistes scientifiques parlent de mémoire et d’ondes gravitationnelles concernant la possibilité d’enchaînements consécutifs d’univers en expansion (après Big-Bang) et contraction (après Big-freeze) et le champ de Higgs propose également une ouverture sur la question concernant la période d’équilibre (énergie 0 inatteignable) entre la mort d’un univers (fin du Big-freeze) et la contraction qui recréera les conditions d’un Big-Bang. Une hypothèse intéressante consiste à imaginer que le passé (métaphysique) se contracte tandis que l’univers « matériel » que l’on observe dans notre voyage « temporel » vers le futur est en expansion ! Lorsque toute l’énergie du système a été transformée, c’est l’inverse qui se passe ! 

Le conditionnement serait une affaire de reconnaissance et de réaction d’un état par rapport à un autre ? L’immanence, la dualité non conflictuelle ! Mais le conditionnement et le métabolisme nous ramènent au déterminisme… Oui, mais pas absolu ! Tout est déterminé? Pourquoi TOUT ? Qu’est-ce que TOUT ? Peut-on le définir, le déterminer ? Dans une pièce de théâtre, vous êtes limité par les capacités des acteurs et tout le matériel dont vous disposez pour la mise en scène, tout cela est déterminable et les capacités des acteurs relativement déterminées, mais tous les scénarios sont en revanche possibles !

Observons de près et de loin notre métabolique expérience : les mêmes particules dedans et dehors, un intestin animé par la pulsion de vie et doté d’une raison et de sentiments. L’impulsion de vie se confond facilement avec l’humeur, la volonté, le désir, la conviction, la foi. Elle est un même principe, mais vécu de façon bien différente par chacun. Les sentiments, si l’on considère les 5 piliers que sont l’amour de l’autre et l’amour de soi (première étape) puis l’amour de la vie (expérience), l’amour des autres (reconnaissance de la diversité, de la grande famille, de la fraternité, de la sociabilité) et enfin l’amour propre (le ministre faible), forment un complexe extrêmement subtil et sensible sur lequel il demeure impossible de spéculer sans marge d’erreur ! Un complexe que l’on peut tenter de corrompre ou de conditionner, mais au risque de voir tout l’édifice humain s’écrouler un jour ! Quant à la raison, elle progresse et admet aujourd’hui les phénomènes classiques observables ou quantifiables, la relativité et  la mécanique quantique ! Or depuis ces progrès, elle reconnait aussi l’immanence mystérieuse des choses de l’existence et la nécessité de son incomplétude ! Tout reste donc prévisible jusqu’à une certaine précision, rien n’empêche les constantes, les lois universelles et la causalité de s’exprimer, mais comment affirmer encore que TOUT est déterminé, du moins sans persévérer dans la folie des grandeurs avec deux poids et deux mesures à la hauteur de nos petits intérêts ?

Nos choix ne sont prévisibles qu’en deçà d’une certaine limite de précision, au-delà ils demeurent indéterminables, sans quoi nous n’aurions pas même la moindre responsabilité de nos actes. C’est ce que l’on peut appeler l’embrayage de ce véhicule et pilote qu’est la double nature de la conscience. Autrement dit, un état de roue libre permettant à l’avoir immanent de ne plus être en  prise et à l’être immanent de ne plus avoir de prise.

Le libre arbitre, tant décrié depuis des millénaires de déterminisme religieux ou matérialiste !

L’être et l’avoir répondent ici au principe d’immanence, l’être est la nature indéterminable de la conscience, relativement transcendante, mais aucunement toute puissante et l’avoir est sa nature temporelle, dotée d’un corps métabolique réfléchissant, sensible, susceptible, subtil et relativement déterminé. La lumière nous aveugle, nos flammes nous consument et les ténèbres, ainsi que la mort et l’éternel nous effraient… Ils sont probablement plus désarmés que l’on ne l’imagine.  Associer la toute-puissance à un principe créateur (dont la création sera nécessairement soumise à des lois logiques) est aussi erratique et paradoxal que de nier le libre arbitre relatif et l’influence d’une création vivante sur le milieu qui l’entoure et le constitue. Création/créature dont l’existence manifeste peut établir un ratio logique (raison) entre les lois et les constantes déterminées qu’il subit, le principe d’incertitude qui caractérise sa capacité de résolution limitée face à l’infini et les sentiments déterminés et indéterminables qui l’animent).

Erratique à moins, dans un ultime effort de cohérence, de nier toute forme de conscience universellement ou humainement parlant ! A moins de croire en un hasard suivi d’un déterminisme et d’une finalité absolus, laissant à l’observateur l’illusion des sentiments et de la conscience... Ni pour le tromper, ni pour l’aider à supporter le poids d’une existence vaine, puisque la conscience n’existe pas. Une précision infinie, la singularité plurielle de la vie, de la beauté à en mourir et des horreurs dont les décombres rappellent la vie (…), mais au final, beaucoup de bruit pour rien ! Un simple hasard, un non-lieu ! Circulez, il n’y a rien à voir, reprenez vos activités, l’argent ne dort jamais ! Dans cette optique, les mathématiques eux-mêmes ne seraient qu’une invention erratique de l’Homme puisque tout serait rationnel, naturel et relatif, entier et décimal (l’infini est ici un paradoxe), premier et divisible et enfin complexe ! Pas d’irrationnel, pas d’imaginaire malgré que toutes ces propriétés composant les chiffres et les nombres soient indissociables et déterminées par la suite logique du principe mathématique ! Toute la suite logique s’effondre donc ici et avec elle le rationnel, le naturel et le relatif, l’entier et le décimal… Mais si nous ne savons plus rien, alors comment nier un autre point de vue ? Comment avoir le moindre avis sur quoi que ce soit ? C’est ici que la pertinence ultime du déterminisme absolu s’effondre.

Bien malheureusement, dans un monde où l’absence de libre arbitre et donc de responsabilité est devenue un paradigme empirique, chacun essaie d’y croire !

Occulter notre intimité et nos complexes nucléaires en vouant un culte et en allouant une personnalité morale à notre empirisme, c’est nier les souffrances réciproques qu’endurent l’ensemble et les sous-ensembles ! Un pour tous et tous pour un, emportés par défaut, dans la mécanique du déni, de la souffrance et de la destruction.

La peste soit sur vos deux maisons lance l’éternel enfant Mercutio…

Alors… C’est la poule qui fait l’œuf ou (…) l’enfant qui fait l’adulte ? Et dans quel sens emploie-t-on le verbe faire ?

Cette énigme est un clin d’œil alchimique à l’immanence ! Est-ce l’état adulte qui engendre l’enfant et participe à l’éducation de l’enfance ou l’état d’enfance qui fait l’adulte que nous serons et influe sur les adultes qui nous entourent ? Les deux ! L’état d’incarnation ou la naissance précède-t-il l’état de non vie ou l’inverse ? Les deux encore !

Le grand contient-il le petit ou l’inverse ?…

Bon voyage !

 

Epilogue :

Dans un monde gouverné par le déterminisme et l’empirisme  dans sa forme la plus hypocrite, l’ontologie et la vulgaire pratique ont un dangereux train-train d’avance sur l’épistémologie et la déconstruction de nos empires, comprenant ceux de nos sens et de nos langages.

Bien qu’il nous en coûte de l’admettre, le déterminisme contemporain est le fruit d’un empirisme politico-religieux qui a légué son bâton à une main invisible gouvernant le marché ! Dans un univers où il est dorénavant admis que la vie n’a pas d’autre sens que celui du hasard et de la finalité… Ah les farceurs que nous sommes !

L’Homme se croit un empire dans l’empire, il est une bête perce/Eve/errante sur les chemins de la conquête, de la gloire et de l’échec… De tout son cœur maudit, il lance un appel au Léviathan ! Une invocation de l’esprit mécanique tout puissant de l’état industriel !

Un monde impitoyable dans lequel l’innocence souffre du complexe de Cassandre.

Ces mains qui nous empêchent...

Ces mains qui nous empêchent...

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