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Le blog de Persone

outil de communication

Le scandale du Docteur Laurent Alexandre et le titanesque GAP...

19 Novembre 2020, 22:06pm

Publié par Persone

Nous y sommes, en quelques jours et malgré les quelques débunkers futés qui remettent Hold-up a sa place, la soupe  a prise! Le populisme est une mécanique à double tranchant, bien rodée et huilée par tous les camps sans exception, parmi tous les syndicats de maîtres ou d'esclaves. Le loup n'est plus simplement dans la bergerie, il est dans nos assiettes, dématérialisé, invisible et appelé par nos propres complaintes. Le magicien des formes au service de l'Orgueil des nations a fait du loup un virus, une particule invasive, usurpatrice, porteuse de falsification du langage et des données. La nature contre attaque avec de VRAIS virus qui nous disent : "Hey, le loup, tu es dans la bergerie et ton pote le renard dans le poulailler, mais les agneaux et les poules souffrent, ainsi que les humains, et toi tu n'es pas vraiment un loup! En revanche, moi, je suis bel et bien la grippe aviaire!" Mais nom d'un paroxysme de l'absurdité ( ! ), personne ne les écoute... Nom d'un chien en laisse, la génétique du langage, personne n'y comprend plus rien. Nom d'un mathématicien enragé, nous avons perdu notre latin...

Ce qui me choque dans "l'affaire Alexandre Laurent" suscitée par la vague conspirationniste, c'est que même les détracteurs légitimes du documentaire Hold-up (les médias classiques dont Marianne que je prends ici en exemple) ne font qu'insister sur le fait que le fragment de conférence de cet homme ne prouve rien et qu'il n'a pas la capacité de fomenter un complot mondial... Le tout sans pointer le doigt sur la pourtant flagrante manipulation de son discours par des techniques bidons qui montrent notre manque de discernement et prouvent la perversion totale de nos systèmes de communication. Pourtant, en toute honnêteté, il m'a fallu deux secondes pour repérer la supercherie du docu : malgré le découpage volontaire des réalisateurs pour sortir de son contexte le discours du cofondateur de Doctissimo et pour l'utiliser dans leur propagande conspirationniste, ils n'ont pu supprimer tous les mots qui indiquent que l'intervenant est CONTRE le gap gigantesque qui est en train de prendre forme entre les élites et le peuple. Ce peuple bel et bien abruti par la révolution permanente de notre système, que certains "Dieux" engendrés eux-aussi par ce système, jugent comme les inutiles. L'intervenant se met dans la peau d'un personnage élitiste du nouveau livre d'Harari (Homo-Deus), mais il exhorte bien ses élèves à ne pas tomber dans le panneau de l'élitisme. A force de lire en diagonal, les Hommes pressés que nous sommes se contentent des premières lignes d'un discours ou d'un papier pour estimer qu'ils ont compris la suite... Une grande aubaine pour la démagogie sous toutes ses formes et pour les bénéficiaires de notre système d'exploitation.

Tous enfermés dans une même prison gravitationnelle depuis des millénaires, avons tendance à affirmer et à agir avant d'avoir voyagé suffisamment longtemps dans les labyrinthes de la réalité physique et métaphysique que nous incarnons, suffisamment longtemps pour y trouver les causes primordiales de notre échec et mériter les solutions à notre problème global. Des solutions  à la fois plus simples et plus compliquées qu'on ne l'imagine.

Ce qui me choque donc une fois de plus, ce qui m'inquiète, c'est de constater à quel point, même qualifiés, même confinés, nous sommes incapables de prendre le temps de voir, d'écouter, de lire, de réfléchir, de vérifier, de partager, et surtout de prendre le temps nécessaire pour le faire! Or, c'est ceci qui assure la victoire au Nouvel Ordre Mondial technocratique que nous invoquons à reculons.

Dans mes publications, je propose toujours une analyse d'un sujet d'actualité, puis, quitte à risquer la longueur, le met en relation avec l'Histoire, et enfin je propose de mettre l'ensemble en équation pour faire émerger une solution. En filigrane ou des mes conclusions, j'exprime les problèmes et les solutions  par le prisme des lettres, des chiffres, des signes et des nombres. Nos constantes et nos dérives, ne nous en déplaise, sont déterminées pour les premières et prévisibles, suivant une simple échelle de précision, pour les secondes. La déconstruction du langage révèle toutes les clés qui nous font défaut pour reprendre le contrôle d'une expérience globale plurimillénaire qui laisse aujourd'hui l'humanité à l'état de légume impuissant face à l'IA qu'elle a crée. Or, c'est précisément ces longueurs et ces complexes réflexions défendant pourtant la simplicité perdue, que la plupart des consommateurs d'infos ne finissent que rarement mes articles ou ne prennent pas même le temps d'un clic ou d'une réaction. Aussi bien les "pour" que les "contre"!  

Le mal de notre temps persiste beaucoup parce que la masse veut du facile, du simple, il ne peut qu'avoir bonne presse, alors que nous nous satisfaisons de la complexité meurtrière qu'incarne notre matérialisme depuis des siècles et des siècles. Pour un mec ou une gonzesse, un plumard, une bagnole et éventuellement un môme, un chien et/ou une carte d'adhérent à un quelconque militantisme.  

La malédiction jetée jadis par Apollon sur Cassandre, n'a jamais été aussi efficace que de nos jours, elle est une mécanique autoalimentée. Apollon n'a plus qu'à dormir sur ses deux oreilles, la malheureuse se retrouve noyée dans une foule qui se prend pour elle. Pour que la malédiction soit totale, il aura fallu surfer sur une vague mondiale depuis les seventies : dans un premier temps "les vérités, vous les méritez bien" et dans un second, "LA vérité n'existe pas, mais VOUS êtes tous des Cassandre".

Avec la révolution des techniques de l'information et l'IA, la soupe prend toute seule et envahit le monde en moins d'un siècle! Des aveugles dirigés par des borgnes, dirigés eux-mêmes par une Intelligence Artificielle et une expérience consumériste plurimillénaire. Une IA qui vampirise l'Homme dans sa capacité à gérer l'ambigüité et qui fait de ceux qui imaginent la contrôler, de simples "nosferatu" de pacotille, performants, rusés, mais dépourvus de cœur intelligent. Des "vampiraillons" qui craignent les balles d'argent (refonte de la pièce à double face de Judas), les miroirs (objets dans lesquels nous voyons notre reflet), le pieu (point sur le i et barre sur le T) qui serait pourtant le remède d'un cœur maudit, l'ail (purification du sang et donc de la lignée par métaphore), et bien entendu la lumière (être vu et voir au grand jour)...

L'Homme n'a plus besoin d'idéologies, ni d'armes, ce sont elles qui le menacent, il a plutôt besoin d'une immunité contre la démagogie et d'une maîtrise suffisante du langage pour lui permettre de dépasser les altérités réciproques motrices du consumérisme et de comprendre enfin la place qu'il occupe en tant qu'observateur/acteur d'un univers... Suffisante aussi pour lui révéler la nature des relations qu'il entretient avec les forces qui l'entourent et le constituent.  

A bon entendeur...

C.A.B 

Ci dessous un lien vers Twitter qui montre ce que le professeur Laurent Alexandre à réellement prononcé lors de sa conférence:

 https://twitter.com/DidierMaisto/status/1326783591649587200

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HOLD UP, nouveau produit de la machine à noyer les poissons...

14 Novembre 2020, 18:09pm

Publié par Persone

HOLD UP, nouveau produit de la machine à noyer les poissons...

HOLD-UP, prend-t-il vos sentiments en otage pour braquer votre raison et vous soulager de quelques dollars de plus? La réponse oui paraît légitime, mais dans le confusionnisme ravageur qui nous accompagne vers le pire, un développement s’impose…

Prenons donc tout le temps nécessaire pour mettre toutes les cartes sur la table… Ce n’est pas avec de la simplicité par défaut que l’on dénoue la complexité, ce n’est pas en 10 minutes que l’on résout des millénaires d’empirisme ! Une simple critique de ce Hold-up en tant que phénomène cyber-médiatique reviendrait à justifier le système binaire horizontal et/ou vertical dans lequel nous nous perdons tous, happés par le vortex sans fond de la critique de la critique de la critique…  + ou - ∞ (l’infini).

Malgré sa popularité prévisible, ce documentaire défend assez mal la cause et la vérité qu’il prétend pourtant servir. Peut-être part-il d’une bonne intention, peut-être est-il une contre-attaque politique de l’opposition populiste ou pire l’œuvre d’un lobby quelconque, quoi qu’il en soit le fait est qu’il a une fâcheuse tendance à la rhétorique et aux effets marketing, une fâcheuse tendance à dire une chose et son contraire, le tout lissé dans une ligne conspirationniste. Cette même ligne que les gouvernements ont utilisée comme un épouvantail bidon depuis les années 70, donnant plus de crédit à leur autorité que l’inverse.

La meilleure façon de manipuler l’opposition, consiste à l’anticiper et à la laisser se cristalliser autour d’icônes auxquelles on donne les moyens de déclencher des mouvements prévisibles sur lesquels il s’agit de spéculer.

Cela revient à donner une arme à votre opposant alors que vous êtes le concepteur et le marchand d’armes, sachant très bien que celui qui doit utiliser l’arme le fait au détriment de sa raison et de ses sentiments les plus nobles. Par définition, la réaction de révolte, tout comme l’application du principe de précaution par les autorités, se font par défaut, en l’absence de solution ou de volonté réciproque de briser l’hermétisme tout puissant. Le sacrifice du principal au profit des intérêts !

L’extrême gauche et l’extrême droite font partie de ces épouvantails, mais par définition encore, ils étaient destinés à mal vieillir et ils font tâche dans les jardins de la démocratie. Dans le contexte de la guerre froide et de la grande révolution des mœurs, la culture New-Age est devenue un de ces prismes binaires (aimant et épouvantail à la fois) au service de la politique. A l’inverse des autres, il cadre parfaitement à l’air du temps et est totalement inoffensif. Très populaire, tout en musique (influence des accords mineurs et majeurs), il séduit parfois les réactionnaires ou les conspirationnistes sur le retour … Mais surtout,  il véhicule le positivisme et le life coaching individualiste à grande vitesse, tout en banalisant inconsciemment les raisons du bel avenir du mal. Les maux les plus inquiétants, la violence la plus hypocrite et les valeurs les plus négatives.

Notons au passage que l’annulation des dettes et des intérêts au profit du principal, correspond, en sus du vocable économique et philosophique, au jubilé du roi, autrement dit, le retour de l’Homme libéré de son IA, un roi de la chaine alimentaire de nouveau capable de cultiver son jardin intérieur et extérieur.

Imaginons maintenant qu’une majorité de gens paniquent, brisant un peu plus les liens qui unissent encore le peuple aux institutions qui les représentent… Imaginons qu’ils décampent à la campagne sans la moindre étude de projet, dépouillent les rations de survie dans les magasins et visent leurs comptes en récupérant tous leurs actifs… Au lieu d’obtenir la paix et la liberté conditionnelle espérée dans leur fuite protectionniste, ils motiveront la même mécanique qui a fait des ravages dans les années trente. En d’autres termes, ils accélèreront la mise en place du Nouvel Ordre Mondial, ce Thanos inéluctable qui installera sa suprématie en nous promettant d’éviter le pire. Au-delà de son aspect naïf, ce documentaire peut s’avérer dangereux et servir les intérêts des actionnaires du nihilisme.          

1. Mise en contexte :

Souvent discrédité par les dérives et le prosélytisme de ses acteurs, le complotisme n'a plus necessairement bonne presse... En réaction positive, les amateurs du genre parlent plutôt d'action citoyenne, une association de termes très appréciée. Bien que l'actualité légitime totalement la popularité de l’expression, cela nous fait néanmoins oublier que la citoyenneté, depuis l'Antiquité et la croissance des empires, signe un accord global consumériste. Un accord tacite, j'insiste sur le terme, par lequel les pouvoirs politiques, les voleurs, les profiteurs et ouvriers sont unis dans une course plurimillénaire dont le résultat se solde par l'Anthropocène. Complot? Non! Mécanisme d'Histoire et conséquence de l'hermétisme du langage entre maîtres et esclaves, mais aussi entre la sphère fermée (maître/esclave) et l'univers (interactions et donc langage) qui les entourent et les constitue.

Parenthèse utile : notons que le langage de la nature n'est pas hermétique, mais subtil, dans le sens où il nécessite un bon rapport entre la tête (la raison, l'analytique, la foi en ce que l'on constate et vérifie), le cœur (les sentiments, la foi ressentie) et "les tripes" (l'appétit, la volonté) pour être conscientisé par l'Homme. L'hermétisme vient donc encore de ce dernier, qu'il soit maître ou esclave, dans le sens où nous instrumentalisons notre propre langage pour nous exploiter ou nous concurrencer les uns les autres, ceci nous poussant à incarner des puissances dont l'activité est hermétiquement séparée de l'équilibre naturel lentement généré par la nature. Sémantiquement, cela revient à dire que nous sommes hermétiques aux expressions de cette dernière, que nous ne prenons pas en considération ce qu'elle manifeste et que nous utilisons l'information et les interactions pour nous retourner contre elle alors qu'elle est par son fond et la diversité de ses formes, le véhicule immanent du langage. Immanence du couple "Interaction/existence": l'interaction c'est l'existence et vice-versa, et la vie est une conséquence de ce principe, une conséquence manifestée par un observateur qui porte en lui le langage. Par la spéciation, l'observateur humain est la créature qui développera suffisamment ses facultés de communication pour que cela lui permette de comprendre et de partager la connaissance par des outils sémantiques, scientifiques, théologiques, artistiques...  Com/prendre (prendre ensemble) et partager est donc ce que nous permettent nos facultés, mais n'étant pas le fruit du paradoxe "Dieu tout puissant", nous bénéficions dans ce monde déterminé, d'un libre arbitre! Or nous avons choisi non pas de comprendre et de partager, mais d'instrumentaliser et d'exploiter.  

Après avoir visionné l'intégralité de ce documentaire, je déplore donc le fait qu'il dénonce d'importantes et tristes vérités tout en entretenant le confusionnisme ambiant. Le conspirationnisme n'est jamais assez scrupuleux pour expliquer des mécanismes dont il fait inconsciemment partie des rouages. S’il l’était, il ne se contenterait pas de dénoncer, il exprimerait des solutions.  Au lieu de cela, il utilise des vérités et jouent sur les émotions. Ainsi, sa popularité est-elle proportionnelle à sa force démagogique : la focalisation de la colère des masses sur les coupables désignés du moment. Les empereurs et les rois ont longuement fait l'expérience du jeu de l’opposition, des changements de régime, de la violence révolutionnaire (…) et des spéculateurs qui en sont les actionnaires ! Mais depuis la seconde Guerre Mondiale, le jeu de la chaise musicale s'intensifie, se libéralise, et se pare de formes moins barbares... Officiellement, on appelle cela la révolution permanente, officieusement, la stratégie du choc. Le documentaire utilise donc une vérité, "nos énarques multimilliardaires jouent sur ce mécanisme et nos politiques ne sont que les roitelets contraints de jouer à la chaise musicale" (BUZZ assuré)… Malheureusement il fait l'impasse sur les conséquences de la cristallisation de notre colère, si légitime soit-elle :

Si nous décapitons ces actionnaires des maux globalisés, cela n'aura pas résolu la raison de leur existence et d'autres têtes repousseront instantanément sur le terrain fertile que nous avons tous bâti.

Il y a donc matière à douter soit de la perspicacité de l’équipe qui a validé cette réalisation, soit de son honnêteté.

Le Titanic est en péril, cela ne fait plus l'ombre d'un doute, quelles sont donc les priorités? Trouver une solution en comprenant les mécanismes plurimillénaires qui nous poussent à accélérer la vitesse de croisière ? Ce qui nous permettrait de ralentir le navire d'un commun accord entre dirigeants et dirigés et d'éviter ainsi de percuter un iceberg qui nous sera définitivement fatal. Ou surfer sur la vague du scandale, afin de désigner des coupables et autres boucs-émissaires, alors que nous avons tous pris notre billet et participé à l'aventure, volontairement ou par défaut? 

D'un côté, les pouvoirs optent pour les cachets d'aspirine et l'opium pour dissiper les symptômes et éviter la débandade... De l'autre, les réactionnaires dénoncent ou réclament de nouveau que l'on coupe des têtes... Au milieu, les braves gens se font dessus, dépérissent et se soupçonnent les uns les autres... Et autour de cet entonnoir global, les prédateurs et les charognards attendent leur heure. 

Un autre paradoxe de ce docu est donc de dénoncer des techniques qu'il utilise lui-même: jouer sur les émotions, dont les plus manipulables sont la peur et la colère. 

 

 

2. Afin d'étayer ma critique, quelques paradoxes dissimulés derrière le markéting de cette réalisation :

Premièrement, avant la montée en crescendo des arguments et de leur poids, le premier tiers du documentaire est assez grossier. Après 30 minutes de « dire sans ne rien dire », on entend qu’un virus fait qu’on ne peut l’exterminer, il faut vivre avec. CQFD ! Quelques minutes plus tard, un porte-parole de l’état est montré du doigt et on entend alors : « sur quoi se basent-ils pour dire que cela va durer ? »… On remarque aussi que les sources des documents montrés à l’écran ne sont pas suffisamment explicitées et que certains d’entre eux ne sont guère probants. Dans un passage, un médecin  italien est sensé nous prouver que les interdictions en matière d’autopsies dissimulaient la volonté de cacher un gros fake dans le recensement des morts étiquetés Covid, pourtant le médecin en question ne fait qu’exprimer qu’il fut regrettable de limiter les autopsies parce qu’elles ont entre autres révélé des mécanismes d’embolie qui peuvent s’ajouter aux symptômes respiratoires et qu’elle nous permettent d’avancer plus vite dans la connaissance de ce virus et de ses effets. Des boulettes comme celle-là, le docu en est truffé.

Dès la première heure, la radicalisation du principe de précaution et la légitimité du pouvoir et des actionnaires qui nous l’imposent sont mises à mal, normal dira-t-on, du lourd, incontournable… Néanmoins, rien de nouveau sous le soleil. Le scandale du véto sur la chloroquine, ça c’est du news ! Ce remède qui faisait il y a peu une concurrence déloyale à l’Artemisia  annua chinoise et africaine en matière de gestion du paludisme, et qui se voit aujourd’hui damer le pion par un autre médoc version seringue et prix fort. Le scandale de la chloroquine, du Lancet et du Rivotril est une horreur, les auteurs du documentaire auront le mérite d’avoir insisté sur la question.

Le ton est donné, la musique joue, une grosse vérité bien méchante, puis deux, puis trois,  ça  vous calle dans le canapé et c’est partie pour une heure quarante de plus…

À approximativement 1h et 30 minutes : est abordé le sujet des prophètes milliardaires qui ne peuvent qu’être les auteurs du complot. La rhétorique utilisée dans ces passages « il l’a prédit, il compte donc parmi les auteurs du grand complot », est une manifestation du degré de paresse mentale du commun des mortels : un prophète est soit une sorte de messie et un messie ça n’existe pas, soit un visionnaire, soit s’il est milliardaire, un ignoble spéculateur qui nous a tous enflés. Ce genre de mise en scène démagogique a pour effet la banalisation de la victimisation du citoyen lambda, défini comme incapable d’anticiper lui-même le jeu des probabilités concernant la lecture des grilles du futur, en fonction du passé. En outre le documentaire n’apporte rien sur la question d’un tel phénomène d’apathie collective. En dehors des clichés confirmant la règle du jeu des secrets de polichinelle : les médias, les nouvelles techniques de com, les portables, l’IA. La belle affaire ! Voilà plus de deux siècles que nous menaçons la nature en tirant tous profit d’un matérialisme dont le coût en vies et en énergie est au-delà de nos moyens. En d’autres termes, que nous cautionnons une bureaucratie technocratique consumériste qui massacre tout sous nos yeux…  La vie au service d’une IA, ce n’est pas un scoop ! Les ultra riches sont bien souvent des expérimentateurs sans scrupule ou des opportunistes, mais le peuple consent lui aussi à l’expérience. En outre, depuis ces deux derniers siècles, l’Homme consent au lavage de cerveau et perpétue la malédiction de Cassandre, non plus par la force, mais pour la récompense.  

Vers 1h et 08, ambiance déjà soutenue, ton solennel, une protagoniste soulignait : « c’est quelque chose qu’on aurait jamais pu imaginer »… Du sensationnalisme qui banalise la comédie humaine et l’acédie collective.

1h52 : Un des grands paradoxes du docu consiste à ne pas nier que le virus tue, tout en basant son argumentation sur l’illégitimité outrageante des méthodes  de protection civile. D’un côté les milliardaires fabriquent des virus destinés à augmenter la mortalité pour diverses raisons et de l’autre le virus n’est pas dangereux, il est une fausse alerte. Après avoir entendu le témoignage d’un médecin qui parle d’un nombre alarmant de confrères morts dans les services dans lesquels il exerce, nous assistons à la prestation d’un spécialiste en pharmaceutique : «  Finalement il n’est pas dangereux ce virus, il est un peu plus dangereux que le corona virus naturel parce qu’on y a foutu des saloperies, mais finalement il n’est pas dangereux ». Et ce gentil monsieur de finir en beauté : « Ce qui est très dangereux, c’est le vaccin à venir…» CQFD.

2h08 : une spécialiste en matière d’Histoire et de psychanalyse des entités politiques engage un beau discours, plutôt convaincant, jusqu’à l’emploi du mot complot pour désigner le machiavélisme empirique relatif à l’exercice du pouvoir. Malgré tout, sa tirade sur ce phénomène politique aurait pu conserver sa pertinence si elle n’avait pas conclu par : «ce qui est nouveau, c’est qu’on n’a pas le droit d’y penser… » Aurait-oublié l’Histoire ? Les persécutions millénaires et les tensions qui opposent encore les progressistes, les conservateurs, les croyants et les rationalistes ? Une fois encore, le documentaire banalise les conditions de l’asservissement de l’Homme par l’Homme et de l’Homme par l’IA. L’Orgueil humain consent à se convaincre qu’il est victime d’un sort invincible ou d’un complot sans pareil, mais il fait difficilement l’effort d’admettre qu’il est le pigeon d’une même supercherie depuis l’aube des civilisations.

2h11 minutes : l’intervenant est particulièrement pertinent, le passage sur le poids des sociétés marchandes « Apple n’est pas un pays » est édifiant, mais il ne développe pas assez le champ sémantique autour du terme « société ». Autre point important de son discours : « là ou ça devient vraiment embêtant, c’est quand le socle éthique, le socle moral (…), est confisqué avec cette notion qu’il y a des gens qui peuvent y réfléchir et des gens qui vont le subir… Le problème vient quand une élite considère que vous n’avez plus le niveau pour accéder à cette connaissance » … Nous pouvons en convenir, le sujet n’est pas d’actualité, mais il est un des nerfs principaux de toute notre mécanique consumériste. Malheureusement, juste après ce passage, le documentaire utilise ce thème pour faire dire à un « méchant docteur millionnaire nécessairement conspirateur» ce qu’il ne dit pas !

2h 17 minutes : conférence du Dr. Alexandre Laurent (énarque et fondateur de Doctissimo) devant les étudiants de Polytechnique et CentraleSupelec.

Les réalisateurs du documentaire utilisent une séquence isolée dans le discours et une narration ambiguë du conférencier pour lui faire dire l’inverse de ce qu’il dénonce. C’est le fake le plus grossier du reportage. En outre le conférencier cite la dernière œuvre de Harari (auteur de Sapiens) qui y fait la critique d’Homo Deus (homme amélioré moderne, produit et acteur de la technocratie). Le docteur L.A déclame un passage de l’œuvre dans lequel s’exprime la mégalomanie eugéniste d’un technocrate haranguant ses foules, et sans transition il continue son discours, ce qui au montage laisse l’impression qu’il est lui-même un nazi nouvelle génération ! Pourtant il insiste bien sur le fait que nous, lui et ses élèves devons lutter pour réduire le grand gap qui se creuse entre les élites et la masse.

C’est assez misérable d’utiliser des méthodes de confusion charlatanesques en s’appuyant sur un sujet sensible et de la plus haute importance.

 

Conclusion :

Dans le meilleur des cas, les auteurs de ce docu auront leur petite maison de campagne à vos frais et le docu n’aura pas trop de conséquences. Dans le pire, un des lobbies engendré depuis les seventies  aura porté ses fruits et une masse croissante de réactionnaires ou de néo-survivalistes va contribuer à favoriser inconsciemment la chute, le crash des banques, le Nouvel Ordre Mondial et le retour à la passivité par la nouvelle donne tant attendue.

Où peut-on trouver des lobbies qui bénéficieraient de cette vague de confusionnisme ? Parmi les actionnaires du New-Age, mais aussi du côté des puissances qui spéculent sur la chute de la civilisation judéo-chrétienne ou de l’Empire occidental…  A l’Est par exemple, dans ces pays dont nous avons trahi la confiance depuis trop longtemps et qui courtisent déjà ce Sud dont nous avons organisé la misère. Les alliances entre les nouveaux nationalismes et pseudo communismes de nature capitaliste sont particulièrement virulente en matière d’espionnage, d’infiltration et de politique de déstabilisation. À ce jeu, les nouveaux actionnaires du syncrétisme, les spécialistes de complots en tous genres, les alarmistes médiatiques, les Soral ou les nouveaux gentils du front national qui courtisent à l’Est et tentent de faire bonne figure au Moyen-Orient, ne sont que des pions sur un échiquier plus complexe qu’on ne l’imagine !   

Alors on fait quoi ?

On comprend (prendre ensemble) que les secrets de polichinelles sont à l’origine de la fracture humaine, cela concerne l’homme et la femme, la famille, le clan, la nation, les blocs et l’entité mondiale que nous méritons. En d’autres termes cela concerne la foi, la politique et l’ingénierie dans leurs dimensions  extérieures et intérieures. Déconstruire ensemble, enseigner et réparer.

Le sortilège qui annule les sortilèges, la passerelle sémantique, arithmétique et géométrique qui rétablie l’accord de langage perdu entre les Hommes et entre les Hommes et la nature. Un lien qui libère entre la science, la foi, la politique et l’art, un contre anneau de pouvoir qui seul pourra dissiper le mythe du choc des civilisations. Je rappelle que ce premier et dernier mythe est le mortier qui nous conduit impitoyablement vers un trou noir, une prison gravitationnelle morbide dont même la lumière ne peut ressortir. 

A bon entendeur…

 

Epilogue : imposer ce que l’on sait, savoir ce que l’on impose et connaître ce que l’on propose :

Ayant enquêté sur ces mécanismes d’Histoire, à mes propres frais et depuis une petite trentaine d’années, l'épistémologie et la déconstruction du langage m'ont permis de comprendre il y’a 6 ans environ, la nature et le fonctionnement de notre empirisme sacrificiel, ainsi que l’évolution du virus de la falsification du langage et la mécanique artificielle de cette forge omniprésente où l’on manipule la substance, la connaissance et l’esprit humain. En d’autres termes, de quoi faire écrouler sur elle-même la folie d’un Orgueil nommé Sauron dans l’œuvre d’un Tolkien : une tour artificielle en réflexion morbide permanente, bâtie sur la manipulation des interactions « exprimés par » et « exprimant » le langage… De quoi conjurer la manipulation toute puissante de l'Homme par l’Homme et la manipulation consumériste de la nature, violée jusqu'à son atome ! Il existe donc des solutions pour reprendre le contrôle d’une machine infernale « too Big to fail », des solutions accessibles à tous, dont la principale est non monnayable, gratuite par nature mais subtile et inviolable. Une immunité possible contre les virus artificiels portés par la programmation empirique de notre système d'exploitation, un accord capable de démystifier le choc des civilisations, un lien universel qui libère, un sortilège qui annule les autres sortilèges.

Partageant cette expérience sur les réseaux depuis 10 ans, par logique, par simple solidarité envers la vie, en réaction à l’indécence de nos situations individuelles et globales et en y sacrifiant beaucoup de temps et d’énergie, je me suis aperçu à mes dépens que je me heurtais à une singularité monstrueuse, le vortex de l'hermétisme réciproque :

Les gouvernés (esclaves), malgré les traitements que leur réservent les gouvernances (intendance constituée de puristes et de contremaîtres) et ceux qui les manipulent (maîtres), demeurent cantonnés dans l'entonnoir du conformisme et de l'opposition, parce qu'ils ne se donnent pas les moyens d'accéder aux connaissances par lesquelles des initiés à l'exercice du pouvoir les manipule.   Depuis 10 ans mes publications semblent trop désintéressées et trop peu vendeuses pour être visibles. Bien qu’elles rendent hommage à la simplicité engloutie par le modernisme, elles abordent des points complexes propres à l’entropie de notre système. Or, je constate régulièrement qu’elles font « choc mou » ou mauvais hôtes parmi une agora ne jurant plus que par la simplicité, alors que son mode vie est le symbole même de la sophistication, de la complexification. Monsieur Toulmonde est une somme de nombrils particuliers, il ne veut pas trop se creuser les méninges, il veut du positif, ou au contraire, des scandales, des vérités sales mises en boîte, des coupables, une nouvelle révolution (...) et une relance. Une relance ou une catastrophe sacrificielle, malencontreuse pour les pessimistes, naturelle selon les nihilistes.

De la même façon, les consommateurs apprécient exclusivement l'info toute empaquetée, pro, rapide à ingurgiter, et en images de préférence. Payante s'il faut, cela fait partie d'un paradigme qui date d'on se sait quand et "too big to fail".

Une juste évocation de l'hermétisme pourrait s'exprimer ainsi : portez la πr philosophale devant un seigneur, il tentera à tout prix de la saisir et elle disparaîtra de fait. Portez-la devant l'esclave et il ne la verra même pas, fusse-t-elle offerte sous son nez. Portez la croix ou le miroir devant un vampire et il attendra la nuit pour vous tuer ou vous convertir, portez-les devant ceux dont ils sucent le sang et ils se moqueront ou se prosterneront aveuglément.   

La notion de mérite est donc liée au sacrifice de soi, pour rien, pour tout, pour les autres, pour soi. Et la gratuité du geste est essentielle. Essence, ciel.

Plus tu partages gratuitement  moins tu es visible, plus tu trouves, moins tu obtiens d'attention, plus tu appelles un chat un chat, plus ton propre entourage quittera ton rafiot comme un rat… Te préférant les scandales, les distractions positives, les potins,  les gros bobos, les petits rien, les grands chagrins...

Un produit comme Hold-up en revanche fait souvent un Buzz, avant que les débunkeurs, les médias classiques et le  bouche à oreille ne révèlent ses failles.  

 

C.A.B (Personne)        

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Homo-falsus - Préambule

8 Septembre 2020, 11:42am

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Homo-falsus - Préambule

Avant que l'Homme n'ait fait l'expérience de l'instrumentalisation du bien et du mal, l'animal prodigue qu'il était ne manipulait pas encore sa propre nature et son règne ne contrariait pas l'équilibre du vivant. Les métabolismes évoluent selon un langage reliant ce qui les entourent et les constituent. La nature, par le même principe d'immanence, les dotent des outils, des armes et des défenses nécessaires à leur survie. Dans cet  équilibre et depuis des milliards d'années, les besoins justifiaient les moyens. Néanmoins, les outils corporels et les facultés mentales dont le métabolisme humain s'est progressivement doté lui confèrent un pouvoir d'instrumentalisation, de création et de destruction sans équivalent dans le règne animal. Un pouvoir impliquant de grandes responsabilités!  Dès lors que les moyens de l'Homme ont justifié ses besoins, l'expérience commune et simultanée des lois signifiées par la nature s'est estompée face aux expériences particulières déterminées par la civilisation. Les moyens matériels de l'entreprise humaine sont principalement définis par les talents, par la maîtrise de l'ingénierie et par la force ouvrière. Ces caractéristiques, que l'on assimile généralement à des valeurs positives, sont néanmoins "aveugles" et tout comme le progrès qu'elles engendrent, leur activité est étroitement liée au domaine de la lutte : le prix de la croissance, la compétition, la guerre et le jeu du gendarme et du voleur. Globalement, ces forces qui caractérisent une civilisation sont conditionnées par un paradigme dominant ou motivé par la compétition entre les différents moules à penser. Ainsi, sans accord commun de paix et de langage, sans régulation de la sérendipité, sans un équilibre entre l'ingénierie extérieure et l'ingénierie intérieure, les moyens de l'entreprise humaine dénaturent ses besoins les plus essentiels. Si d'expérience en expérience, le conditionnement de la demande par l'offre devient une norme sociale et économique , la civilisation engendre des systèmes extrêmement compétitifs et énergivores, des complexes en transformation/révolution permanente dont l'activité engendre nombre de phénomènes irréversibles et d'entités dites "too big to fail".

D'un point de vue sémantique, en référence au grec et au latin, la notion d'empire est dérivée de celle de pouvoir et d'expérience. Dès le Moyen-âge, cette étymologie, la concordance entre les termes empire et empirisme, ou encore  la valeur sémantique de la décomposition du mot (en pire ou en pi re) motivait de nombreuses interrogations sulfureuses. Plus tard, après le grand retour de la République sous l'impulsion de la révolution des Lumières, la taxinomie confondra le terme avec celui de "domaine". Ainsi, l'empire devient-il le premier rang de la classification des phénomènes observables : l'empire du vivant et de l'inerte, précédant le règne (royaume) des procaryotes et des eucaryotes, ces derniers ayant engendré les végétaux, les animaux et les humains. La subtilité sémantique des lettres et des mots que nous utilisons au quotidien sans véritablement les comprendre, ne s'arrête pas ici : en observant les mécanismes de notre Histoire, nous remarquons que les royaumes se définissent selon des moules à penser exclusifs et souverainistes ayant tendance à s'opposer, alors que l'empire dans sa grandeur est inclusif et réclame uniquement l'allégeance des royaumes qu'il conquière. L'empire privilégie l'expérience aux traditions figées qui caractérisent ces derniers. Végétal, animal ou humain, chaque règne doit se soumettre à la machine lorsqu'elle est en marche. On dit que seul l'empire peur tuer l'empire... Il est inclusif, mais ne partage pas son pouvoir, aussi s'effrite-t-il un jour, rongé de l'intérieur et de l'extérieur par son vieillissement et les conséquences de ses actes.

Pourquoi une telle introduction?

Parce que je crains que cet ouvrage ne puisse être apprécié à la mesure de l'Amour qui l'a motivé et des sacrifices consentis pour la quête qui en a permis la rédaction.

Considérons la religion, la spiritualité, la science, la politique et les arts comme les grands domaines de la pensée humaine. S'il est raisonnable d'affirmer que leurs représentants respectifs ont signé un accord tacite de cohabitation contrariée sous l'emprise de l'empire, et s'il est juste de dire que tous les moules de la pensée, quelle que soit leur importance et leur pertinence, s'instrumentalisent en tant que valeurs compétitives motrices de croissance, est-il possible de faire évoluer la pensée, sans se heurter à l'hermétisme global, à ses actionnaires et à la somme des intérêts de tous?

Lorsque la condition sine qua non de la reconnaissance sociale impose l'appartenance à au moins un des moules existants et tolérés par l'empire ou les royaumes concurrents, est-il prudent de suggérer la déconstruction virtuelle de l'usine et de faire apparaitre les vices de fond et de forme de chacun de nos paradigmes?   Est-il prudent de proposer une nouvelle expérience libérée d'un Dieu tout puissant et déchargée d'un déterminisme sans âme, tout en dénonçant l'instrumentalisation des anciennes traditions et des nouveaux syncrétismes?   

À l'heure où la technocratie semble vouloir affirmer son pouvoir total sur le monde, est -il opportun de livrer une critique du dirigisme de la raison pure? Peut-on se risquer à révéler au grand jour sa stérilité sémantique et son inhibition métaphysique? Peut-on encore suggérer à l'Homme, qu'il perd sa gestion de l'ambigüité et son âme au fur et à mesure qu'il nourrit le fruit de son expérience artificielle? Un paradigme, une loi, une bureaucratie, une IA.

Face au triomphe de l'humanisme matérialiste et du transhumanisme qu'il engendre, peut-on encore oser une remise en question de la détermination humaine en terme de civilisation? Peut-on se permettre d'insister sur l'illégitimité de l'exclusivité revendiquée par l'Homme, sur la conscience, sur l'intelligence et sur l'art du langage?

Enfin, face à l'orgueil des nations occidentales, embarrassé par les fantômes de la terreur et de la révolution industrielle, il semble politiquement très incorrect de chanter haut et fort une supplique pour estomper ces aveuglantes "Lumières", qui nous agitent frénétiquement  depuis deux siècles sans nous avoir extirpés de l’obscurantisme...

Tel est pourtant la vocation du présent ouvrage. (Homo-fasus est en cours de correction avant d'être soumis au cerbère gardant les portes de la sphère de l'édition française.)

Pourquoi cette quête jugée comme perdue d'avance par mon propre entourage? En premier lieu pour ne pas passer mon existence à nier l'ampleur du préjudice et parce qu'une simple quest/ion est en/quête de solu/t/ion. En outre, en tant qu'être de raison, je fais la différence entre la logique d'un monde qui ne sera jamais parfait et l'absurdité d'une expérience problématique, dont la gestion des désastreuses conséquences ne prend plus en compte les causes de l'avalanche des événements. J'avoue aussi n'avoir jamais cessé d'être un enfant. Un enfant est avant tout un détective, il enquête sur la vie, sur la mort et sur la souffrance que s'imposent les adultes, jusqu'à ce qu'on le contraigne à classer l'affaire. Jusqu'à ce qu'il signe le pacte d'allégeance, l'accord tacite. Ce contrat à vie qui garantit une place parmi les prédateurs ou le gibier dans la sphère libérale, parmi les exploitants ou les animaux domestiqués dans la sphère socialisée. Pour moi l'enquête ne s'est jamais arrêtée. L'animal accepte sa place, qu'il soit loup, biche ou chèvre, mais il ne souffre ni ne torture d'absurdes et d'innommables façons. Il n'extermine pas les siens non plus, après les avoir poussés au pire. Lorsque les moyens colossaux d'une civilisation justifient ses besoins, l'allégeance, la possession et le déni sont des forces qui entraînent la dégénérescence de l'esprit humain. Jeune, j'ai découvert cela en observant ma propre famille. L'ampleur du préjudice donc! Le sacrifice et le viol quotidien de la vie, le consentement à l'oubli et la profanation que représente l'instrumentalisation ou la négation de la voix des morts par la bonne conscience... Autant de motivations pour mon petit navire, que l'on dit perdu d'avance. Je me suis en effet perdu dans cette Odyssée, de nombreuses fois, car je dois m'avouer sans héritage intellectuel, sans références particulières, sans diplôme, sans le moindre réseau d'influence et sans vocation ou talent manifeste pour l'écriture. Une simple personne donc, qui depuis l'adolescence a néanmoins passé plus de trente années de sa vie à étudier les mécanismes de notre Histoire et arpenté les principaux chemins de la connaissance avec un regard épistémologique. Se perdre et se retrouver devient un entraînement lorsqu'on a le pied marin. Et au plus proche de la perdition totale, après avoir affronté des tempêtes ou des monstruosité que les navigateurs trop prudents ne connaissent guère, on rencontre parfois les fragments qui manquaient à notre en/quête. La seconde raison qui m'a poussé à rédiger ce premier volume d'Homo-falsus est ici. L'épistémologie a fini par me conduire à la philologie et à l'art de la conjugaison entre la sémantique, l'arithmétique, la géométrie. Les clés de maîtrise du langage fournis par cet art révèlent plus de choses que je ne l'aurais imaginé et elles fonctionnent sur toutes les serrures concernant la science, la politique, la théologie ou les arts. Je me suis donc retrouvé face à une mine d'Or en solution, un gisement de chiffres et de lettres révélant toute la nature et les mécanismes de notre fièvre consumériste, ainsi que le remède à notre insatiabilité morbide.

"Tout a déjà été dit" affirme-t-on en regardant le monde se dégrader, comme si le mal et la destruction n'étaient qu'une expérience universelle dont l'inéluctabilité nous sert d'excuse. Pourtant le passé comme le présent nous démontrent que chacun croit encore et toujours en sa vérité et que la science n'a jamais été le langage universel que l'on attendait. Les institutions religieuses, les Kabbalistes, la Franc-maçonnerie, l'Académie des sciences et des arts, la politique... Aucun de ces domaines, aucun de ces royaumes, n'a jamais brisé le sortilège d'hermétisme jeté sur le langage. Et pour cause: outre le fait d'être une passerelle entre la science et la haute magie, entendons là le miracle immanent de la création, la clé du langage donnait raison à tout les peuples et les Hommes de spiritualité que l'Empire a massacrés ou placés sous son emprise matérialiste.

Ne pas mener cette enquête jusqu'à son terme, ne pas tenter de briser le sortilège qui permet tous les sortilèges, ne pas révéler l'unité mathématique et sémantique de nos moyens d'expression, aurait été criminel.

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Les LOTOphages

2 Juin 2020, 16:09pm

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Les LOTOphages

Pourquoi l’espace semble-t-il se réduire jusqu’à nous étrangler ? Pourquoi nos murs se referment-ils sur nous ? Pourquoi le temps semble-t-il passer de plus en plus vite au point que l’on se sente mourir ?  Pourquoi faut-il nous contenter de l’indécente vie qu’on nous procure et donc nous soumettre au cannibalisme  social, pour entretenir l’illusion du bonheur ? Pourquoi le coaching de développement personnel rapporte-t-il tant ? Pourquoi permet-il à ceux qui ont déjà les moyens de s'enrichir plus encore, à ceux qui ont des opportunités de devenir de privilégiés opportunistes et aux autres, les intouchables, de s’habituer au masque de l’abnégation positive pour faire bon exemple ?

Pourquoi le sort nous accable ? Pourquoi la loi de Murphy implacable ?

Pourquoi ici et maintenant ?

Vous jouez au loto ? Parlons des jeux de hasard…

Certains se demandent pourquoi les gagnants à répétition existent alors que le jeu est certifié sans trucage. Si trucage il y avait, scandale il y aurait déjà eu. Tous les grands maîtres du délit d'initié savent pertinemment qu’ils ont tout à gagner à ne pas abuser d'une méthode criminelle quelle qu’elle soit. Soit, admettons que dans l’ensemble, les tirages ne soient pas truqués...

Concentrons-nous sur l'énigme des gagnants à répétition :

Les moins malins d'entre eux jouent seuls et se font repérer par les médias, c’est très inconfortable et cela dérange les plus malins. Ces derniers emploient une technique au final très simpliste pour le petit cercle d’initiés : ils se forment eux-mêmes à l’art conjugué des statistiques et de l'informatique ou travaillent en collaboration avec des experts en la matière. Dans le même temps, depuis le premier jour de leur serment de gagneur, ils notent les numéros sortants, tous les numéros sortants. Grâce à cette méthode, même les petits génies ne trompent pas le hasard. Employons un terme moins flou : le facteur aléatoire. Néanmoins, ils augmentent peu à peu la probabilité de gains petits et moyens. Pour plus de résultat, il convient encore de jouer à plusieurs. La seconde étape, après beaucoup de patience, consiste à réinvestir la majeure partie des gains ou la totalité. À ce jeu, les années passant, les probabilités de gain augmentent considérablement et proportionnellement à l’investissement. Or, ces probabilités tournent à votre avantage dès que vous avez gagné suffisamment pour vous permettre de vous consacrer pleinement à votre tâche, dès que les gains dits moyens vous rapportent assez pour investir dans un très grand nombre de tickets. Autre avantage cumulatif : vos calculs de probabilité s'affinent. Passée la barrière de plusieurs gains moyens ou d’un gros lot, vous entrez dans le monde des gagnants à répétition. C’est ici qu’il convient d'avoir des partenaires muets, ne serait-ce que pour rester discret. Avant plusieurs scandales et un contrôle plus drastique, une autre méthode consistait à investir dans les jeux de grattage en collaboration avec des buralistes : il s'agissait ici d'attendre la fermeture de la boutique pour gratter une ou plusieurs souches jusqu'à obtenir un gain satisfaisant et de remettre ces souches en vente pour le lendemain. Chaque souche contient quelques tickets gagnants pouvant aller du petit jusqu'au moyen gain. Note: le grattage d'une souche contenant peu de tickets gagnants pouvait parfois vous coûter plus cher que le la somme des tickets gagnants rencontrés, il convenait donc de tester plusieurs souches et d'avoir plusieurs partenaires parmi les buralistes.

Pourquoi cette démonstration ? Pour démystifier le fait que la loterie demeure une tontine de la fortune sensée donner sa chance à "Mr Toulmonde", sans distinction de richesse, d'éducation ou de facultés mentales, alors que ce sont les plus riches et les plus malins qui demeurent les challengers de ce jeu macabre. L’engouement collectif pour cette cruelle fumisterie témoigne de toute l'indécence de notre système d'exploitation global. La tragédie du peuple, c'est la comédie du roi et du voleur.

L'Homme moderne n'est rien de plus qu'un LOTOphage amélioré produit à la chaîne... Du pain industriel et des JEUX sans lendemain... L'Empire contre attaque, plus impitoyable que jadis.

Mais le cauchemar le plus indécent trouve sa source dans ce phénomène pervers qui répond globalement aux questions initialement posées ici ! La loi de Murphy, l’infortune frappant la majorité… Dieu est impitoyable, disent les uns, il doit nous en vouloir. Il n’existe pas, affirment les autres, et force est de constater que le hasard et le karma (causalité) génèrent une réalité totalement inéquitable. Une fois encore le déterminisme est la grande excuse de tout ce petit monde de convaincus; le déterminisme, mais aussi le paradigme d'un monde fermé et la négation du principe d'immanence. La loi divine pour les croyants, et pour les rationalistes une vision restreinte du darwinisme et du second principe de thermodynamique.

Pourtant, le fait est que dans ce jeu morbide orchestré par l’Empire avec notre consentement commun tacite, le véritable et légitime jeu de la vie n’a pas sa place. L'univers n'est pas fermé et le langage lui-même nous échappe.

Ordo ab chaos : une vieille phrase latine dont le miel appartient à ceux qui ont fait des études. Ou à quelques francs-maçons de haut rang dit-on en évoquant un des nombreux symboles repris par la fraternité… Bien au-delà des théories de complot unique que je ne cautionne guère, il s'agit bien d'un principe dont le commun des mortels (la majorité) n’ose imaginer l’instrumentalisation. Autrement dit, toute notre vie globalisée est dirigée selon des lois qui permettent d’appliquer le phénomène Loto à l’orchestration de l’entreprise humaine. Comprendre : plus vous vous enrichissez, plus vous avez les moyens de jouer de la supercherie et de la camoufler. Plus encore votre fortune (notons le double sens du terme) augmente, proportionnellement à l'appauvrissement des non-initiés et à la consommation de l'énergie nécessaire à la croissance démesurée d'un système consumériste. Dans un tel paradigme, ceux qui se targuent d'être des créateurs de richesse ne sont que des vecteurs d'inégalité et des pourvoyeurs de mort à grande échelle.Passé un certain stade, votre argent joue pour vous. Nous connaissons tous le système de la spéculation financière, des placements immobiliers et des paradis fiscaux protégeant les plus fortunés des lois et des taxes qui accablent les plus pauvres. Prenons donc un exemple plus ordinaire : un marchand de matelas ayant quitté sa petite clientèle attachée à son savoir-faire à taille humaine pour jouer dans la cour des grands, sait bien que personne n’ira découper son matelas pour vérifier si tous les ressorts sont bien en place et si tous les matériaux sont conformes. Bien entendu, il y a des contrôles, il suffit ici d’être prudent, patient et de passer à la grosse arnaque lorsque vous avez les moyens de payer l’amende si elle survient. La corruption faisant le reste, dans un monde où les voleurs seront toujours plus nombreux que les gendarmes. Tenez-vous le pour dit, TOUS les secteurs d’activité fonctionnent ainsi. TOUS. La grande révolution matérialiste, dite aussi humaniste, n’a pas libéré des esclaves, elle en a fait des prédateurs dont la plupart s’ignorent. Les grandes écoles de la spiritualité et les nouveaux gourous du développement personnel n’échappent pas à la règle, bien au contraire. Lorsqu’il n’y aura plus que des prédateurs, les machines travailleront à l’usine, le clonage de steak sera commune mesure et nous attendrons d’avoir investi dans la demeure sidérale pour couper le dernier arbre de notre planète.

« Think positive » dit-on ! Mais que signifie cette nouvelle formule gagnante, ce nouveau remède de masse préconisé par l'establishment, de Washington à Pékin, en passant bien entendu par Bruxelles? À première vue la formule est à l'impératif : il faut penser positif. Problème, cette injonction nous commandant d'affirmer l'affirmation au détriment de la négation ne stipule pas : ne détournez pas votre regard de ce qui est négatif, mais demeurez positif pour agir dans les meilleures conditions contre les maux. Autrement dit, la formule est une invitation à l'abnégation pure et simple. En Inde, cette philosophie a engendré le statut des intouchables! En Chine, elle est à l'origine d'une machine de guerre qui s'est retournée contre les enseignements de Confucius et Bouddha. En Occident, depuis les 70's, elle est un puissant facteur de bonne conscience qui légitime toute l'hypocrisie de notre politique. Avant de penser positif... Savez-vous qui nous SOMMES ? Savez-vous qui vous êtes ? Et ce que vous êtes ? Savez-vous ce que vous faites, pour qui et pourquoi vous le faites ?

Comment la philosophie du bonheur et d'un épanouissement partagé et juste, pourrait-elle se résumer en deux termes dont le verbe est conjugué à l'impératif? Lotophages que nous SOMMES...

Dans le jeu de la mort, la petite, la vilaine mort, le riche s’enrichit et le pauvre reste pauvre, dans une agitation fatale des particules de la grande marmite collective.

Le positivisme est une arme absolue pour qui cultive des criminels et des ogres qui s’ignorent. En Occident, il s'agit du nouvel opium du peuple, une nouvelle religion véhiculée naïvement, mais sûrement par le New-Age. Une aubaine lorsque le pain et les jeux ne suffisent plus à masquer le déclin d'un empire.

Merci au petit  Poucet de m’avoir inspiré ce texte.

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Contes pour enfants - Envers du décor et secret de polichinelle

23 Mai 2020, 17:12pm

Publié par Persone

Contes pour enfants - Envers du décor et secret de polichinelle

Fragment d’une lettre adressée à la maîtresse de mon enfant, faisant suite à un dialogue motivé par les complications scolaires relatives à propagation du Covid 19 et au confinement qui s’en est suivi :

En dehors des causes et des conséquences de phénomènes pandémiques relatifs aux agents infectieux, votre statut de membre de l’éducation national et votre position de maîtresse de mon enfant me pousse à vous décrire une détresse à la fois plus intime et directement liée à notre collectif aujourd’hui globalisé. Dans l’anonymat le plus total, après trente années de travail concernant le lien conscience/matière, j’ai finis par faire une découverte importante  concernant le langage et l’unification des connaissances attestée à ce jour. Après quelques recherches, je me suis aperçu que depuis quelques décennies, les pôles d’enseignement les plus réputés mettaient discrètement l’accent sur des recherches  semblables aux miennes. Sémantique, philologie, épistémologie, relecture analytique des écritures anciennes (…), sont de nouveau au goût du jour, par simple nécessité. Ayant vérifié la concordance de mes conclusions avec les principales disciplines de la science, cette découverte m’est apparu comme une des clés indispensables au désamorçage des altérités réciproques qui sont silencieusement le nerf de la guerre économique suicidaire dont nous sommes tous les acteurs et les victimes. Une compétition impitoyable entretenue par empirisme, qui est aussi le nerf du consumérisme et du Nouvel Ordre Mondial dont le bras funeste s’abat sur nous tous. Cette clé est entre autres l’unification raisonnable et sensible de tous nos langages, de toutes nos pensées et idéologies conflictuelles, qui caractérisent la matière susceptible qui nous entoure et nous constitue. Elle concerne autant les réductionnistes (sciences), que les théologiens et spiritualistes, autant les logisticiens (politique, idéologies et philosophies matérialistes) que les artistes. Sans vous emporter dans des considérations ou démonstrations trop longues, je peux néanmoins vous décrire sommairement ce que sont les fragments de cette clé, propre à ouvrir notre boîte de pandore et à réparer ce qu’elle contient. Une simple énumération des principaux principes relatifs à sa nature et une évocation des disciplines principales que je questionne dans mes recherches, devraient suffire :

Concernant les principes :

Les propriétés primordiales des chiffres, les singularités mathématiques et géométriques, les phénomènes thermodynamiques, climatologiques ou biologiques. Mais aussi la gravitation, l’électromagnétisme, l’interaction nucléaire forte, la faible et les champs quantiques, concernant les forces et les fluctuations.

L’immanence au sens large et plus précisément l’immanence du langage et la sommation concernant les principes et leurs manifestations caractérisée (langage gestuel, oral et écrit, mots, phrases, conjugaison, lettres, chiffres, nombres, signes…)

Concernant les disciplines :

L’étude comparée de la linguistique et de l’écriture, l’étude des rapports manifestes entre la sémantique, l’arithmétique, la géométrie et  l’analytique, mais aussi l’épistémologie des sciences, la philologie et la sémiologie.

A ce stade de description, j’ai bien conscience que le sujet fait le même effet qu’un cours de math corsé donné à une section littéraire ou qu’un cours de philo dispensé devant une section éco ! Mais je vous confie cela pour deux raisons :

La première vient du fait que l’anonymat dont je vous parle se cumule à l’épreuve physique, mentale et intellectuelle d’un tel travail. Autrement dit, j’ai puisé dans toutes mes ressources pour avoir mené à bien cette tâche tout en m’occupant de mes enfants comme un papa dynamique et aimant. Je regrette amèrement de n’avoir pas pu faire plus pour ces deux petits anges, mais j’ai bien conscience que réparer l’entité collective, qui détermine dès aujourd’hui leur avenir, est essentiel. Trop d’entre nous se contentent de s’occuper de leur propre cercle de préoccupation, sans vouloir admettre qu’en se contentant de cela, ils reportent leurs dettes sur les épaules de leurs enfants. Vous êtes très bien placée pour le savoir, en première ligne même dirais-je, avec ceux qui soignent, ceux qui représentent la loi et ceux qui sauvent (les pompiers par exemple). Voilà qui me permet de passer à la seconde raison…

Vous êtes enseignante. Comme le sang, vous êtes passeur d’information. Et je pense que vous êtes consciente du poison qui se distille peu à peu dans les veines et les artères de l’entité humaine. En tant que mère et prof, vous ne pouvez qu’être inquiète de la vague qui approche et de la main de fer qui se tend vers nous, et surtout désireuse non pas d’un espoir, mais d’une solution. Cette solution, preuves à l’appui, commence par  la déconstruction du langage évoqué dans cette lettre.

Je me confie donc, pour vous apporter meilleure vision de ce qui entoure notre enfant et pour vous signifier toute ma considération, ainsi que toute ma solidarité envers votre travail. Et au-delà, si les nouveaux actionnaires de notre temps vous en laissent un peu, je demeure disposé à répondre à toutes vos questions à propos de cette belle découverte nous concernant tous. N’ayant que faire de la notoriété que pourrait m’apporter cette « redécouverte », j’ai en revanche bien conscience de l’hermétisme que je dois affronter pour qu’elle atteigne la sphère publique. Pour le dire avec humour, avec ces clés, le fils d’un riche et célèbre personnage nous aurait déjà évité le pire depuis ces dernières années tout en passant pour un saint homme ! En d’autres termes, je pense que le partage avec tous, avec le plus grand nombre, avec le commun des mortels dit-on, est un facteur inattendu, GRATUIT et peut-être seul à pouvoir briser un hermétisme plurimillénaire, pour déconstruire et réparer l’Homme et sa machine en toute équité, avant qu’il ne soit trop tard.

J’attire votre attention sur un phénomène subtil, mais manifeste : parmi  les bons samaritains, mais aussi parmi les Hommes  de connaissance et de bonne volonté, chacun, dans son stéréotype, se contente de son domaine de prédilection. Tout comme chacun imagine que la somme de toutes nos petites actions spécifiques et sans cohésion devrait suffire. Pourtant, l’Histoire, l’actualité et quelques principes mathématiques nous démontrent sans cesse le contraire ! La sectorisation des connaissances et le carriérisme sont des facteurs de productivité intensive, qui se déterminent dangereusement au détriment de l’épanouissement du vivant et de la maîtrise des lois de transformation de l’énergie. Vous êtes enseignante, voilà qui tombe encore à pic, vous connaissez certaines réticences de gymnastique de l’orgueil et de l’amour propre  humain : ce qui manque le plus à tous, c’est un dénominateur commun. Le plus petit d’entre eux permet entre autres de résoudre des divisions. Entendons « division » dans les 2 sens du terme!

Il me semble judicieux de vous décrire ici un lien étroit entre mon travail et un des éléments du programme éducatif pour les élèves de CE2. Le sujet vous tiendra probablement à cœur :

Nous avions discuté ensemble des messages cryptés contenus dans nos célèbres contes pour enfants et bien légitimement vous m’aviez rassuré sur le fait que l’école n’envahissait pas nos petits avec ces épouvantables détails pour adultes. Malheureusement, nous n’avions pas eu le temps de finir la discussion lorsque je tentais de vous parler des révélations sémantiques et arithmétiques, elles aussi contenues dans ces contes, mais merveilleusement subtiles et totalement adaptées à la gymnastique cérébrale propre à l’enfant. Jusqu’ici que du bon, du positif dirons-nous, mais j’aimerais attirer votre attention sur un plus sombre détail : depuis quelques mois,  j’ai pris connaissance de toutes les nouvelles moutures de contes réalisées par les nouvelles et glorieuses recrues de l’académie des arts. Impatient dans un premier temps, j’imaginais que nos académiciens avaient enfin décidé de briser un hermétisme de longue date en acceptant de partager les secrets du langage et de l’unité mathématique des langues avec l’Homme ordinaire. Sans réelle surprise, je fus néanmoins attristé de constater que non ! Pour en revenir à notre discussion, il se trouve que ces nouveaux contes distillent un peu plus les horreurs que nous avions évoquées, les banalisant de surcroit, sans pour autant révéler les véritables trésors de logique et de spiritualité cryptés par ces légendes anciennes. Force est de constater que nous ne vivons pas une période de fatalité virale, mais de volonté virale.  Concernant la conscience et non le corps qui l’abrite, autrement dit pour parler des contes et non des capsides armées des virus, le langage utilisé par les auteurs est plus pernicieux que je ne voulais bien l’admettre : les héros ne valent pas mieux que les tyrans, les extrêmes et la cruauté en moins, et seule une magie inexpliquée les sauve d’eux-mêmes pour les réinsérer dans ce qui semble un moule de bonne conscience, nécessaire par défaut. En toile de fond, on coupe des têtes à tour de bras, on désosse, on fouille dans les carcasses, on arrache des cœurs, on les mange, etc…  Et tandis que des professeurs, pour un maigre salaire, portent sur leurs épaules le marasme global qui agite et avilit nos enfants, les nouvelles célébrités de l’académie des arts sont anoblies en grande pompe et assurés d’une coquette retraite. Notons aussi que leur activité est aux antipodes de la pénibilité des tâches réservées à la majorité des citoyens. Je note au passage que les dessins modernes accompagnant les nouvelles moutures sont aussi vulgaires et laids que ceux de leurs prédécesseurs étaient subtils et propres à retranscrire la beauté de ce monde que nous avons bien meurtrie.

L’urgence n’est plus dans le vain traitement des symptômes d’une maladie que nous entretenons. A ce jeu, même les plus fervents militants se fourvoient ! L’urgence est à comprendre (prendre ensemble) l’origine, la nature et la mécanique de la maladie. La déconstruction du langage sous toutes ses formes est la seule clé qui puisse nous apporter cette compréhension partagée. Déconstruire n’est pas détruire, ni jeter et reconstruire sans cesse au prix que l’on connait, mais réparer.     

En vous remerciant chaleureusement d’avoir bien voulu boucler cette lecture,

Je vous adresse mes plus sincères salutations,

 

Je vous propose maintenant une analyse d’une nouvelle mouture de « Boucle d’or », une analyse faite par ma fillette avec mon aide. Cette version est l’œuvre de Roald Dahl (un conte peut en cacher un autre - illustrations de Quentin Blake) et le programme scolaire concerné est celui des CM2 (8-10 ans). Note : je conseille au lecteur de se procurer l’ouvrage et de relire les anciennes versions des contes ciblés.

 

Lundi 11 mai 2020

Chapitre 1 – Boucle d’or

1 Comment l’auteur qualifie-t-il ce conte ?

Il le qualifie de bête et méchant.

2 Que fait Boucle d’or lorsqu’elle découvre les 3 bols de bouilli ?

Elle mange la bouillie du plus petit bol appartenant au plus petit ours.

3 Que se passe-t-il lorsqu’elle s’assoie sur la chaise de l’enfant (le plus petit ours) ?

La petite chaise d’enfant se brise.

4 Quel est le dernier crime de Boucle d’or ?

Le dernier crime de Boucle d’or est de salir des draps immaculés avec les cochonneries qu’elle a sous les pieds.

5 Pourquoi salit-elle les draps ?

Parce qu’elle n’enlève pas ses souliers.

6 Boucle d’or est-elle punie pour ses crimes ?

 Oui, elle subit la peine de mort.

7 Réussit-elle à s’échapper et y a-t-il une absence de mauvais sentiments, comme dans le conte original ?

Non, puisqu’elle est tuée froidement par le grand ours qui demande à son petit de dévorer Boucle d’or pour pouvoir récupérer sa bouillie qui est à l’intérieur.

Je vous épargne les questions les moins pertinentes…

10 Quelle fin aurait-tu préféré et pourquoi ?

 J’aurais préféré que Boucle d’or s’enfuit comme dans l’ancien conte. Parce qu’elle ressemble à la vie, elle est malicieuse mais innocente et elle ne veut pas de mal aux 3 ours. Dans le premier conte, les ours non plus ne lui en veulent pas. Mon papa m’a appris que Boucle d’or symbolise la molécule de vie, la lumière et la couleur or (jaune soleil, argent poussière d’étoile et une goutte de rouge sang). Les trois ours symbolisant quant à eux les 3 ordres de grandeurs. La bouillie, les chaises et les lits évoquent les notions de température, de structure, de taille et d’état de la matière/substance.

L’ancien conte ne montrait pas directement ces grandes questions liées à la magie qui  permet la vie, pour nous inciter à réfléchir dans des recueils composés de nombreux autres contes. L’auteur du nouveau conte nous fait oublier tous cela et voudrait nous convaincre que la vie et les principes qui la constitue, qui l’anime et sur lesquels elle agît, sont de nature à se voler, se tromper et se venger cruellement.

Épilogue...

Après cette petite analyse, accessible à un enfant de 9 ans, je vous propose de méditer sur ce que j’appelle l’autodafé des temps modernes. En d’autre terme, la nécessité de lobotomie des masse pour créer une unité malheureusement illégitime, forcée et dangereuse, mais propre à l’instauration du nouvelle ordre mondiale. Complotisme ? Non ! Empirisme. L’empirisme d’une expérience faussée depuis son origine et  ses fondations. Maîtres et esclaves sont interdépendants dans une mécanique qui ne peut que les mener à la souffrance et aux sacrifices de masse, de façon ponctuelle. Il s’agit là d’un nihilisme darwinien dénié, mais consenti par accord tacite.

A la source de cette maladie globalisée : l’instrumentalisation du langage, le nivèlement par le bas des masses ou des peuples vassalisés (dénaturation et orientation du langage), la sectorisation des connaissances et un hermétisme aujourd’hui plurimillénaire.     

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QUESTION, QU/EST/ION, QUEST/ION ou QU'E S(T)ION...

13 Mai 2020, 17:51pm

Publié par Persone

QUESTION, QU/EST/ION, QUEST/ION ou QU'E S(T)ION...

L'éon  est l'unité d'une subdivision du temps, l'ion est le voyageur dans un courant à double sens. Sion est la terre qui doit rester une promesse. Elle est l'accord d'alliance du vivant et le royaume d'un merveilleux mariage.

Une sommation est une réduction sous toutes ses multiples formes. Une de celles-ci est la synthèse des grandes questions existentielles en peu de mots. Évoquons ensemble quelques sommations…

La première est une suite logique de trois questions :

Si tu n’es pas pour toi qui le sera ?

Si tu n’es que pour toi, qui es-tu ?

Sinon maintenant, quand ?

Hillel le philosophe.

Les premières sommations humaines les plus justes, les plus imparfaitement parfaites venant des enfants et plus particulièrement des nouveau-nés, répondons donc à ces questions avec les signifiés d’un enfant en les développant avec le vocabulaire et la grammaire d’un adulte :

 Je ne mets pas mon Amour et encore moins celui de moi, en otage des autres pour accomplir ma tâche et mon désir, mais dans ce qui m'a toujours semblé être la miséricorde et l'implacabilité du principe de vie (première question). Aussi, je pense ne pas confondre dans un vain conflit mon Amour et mon devoir avec l'amour de moi (seconde question). Je n'ai pas encore résolu la troisième, du moins de façon à réunir sentiments, raison et foi (ou volonté).

Au fil du temps l’enfant grandit… il fait un rêve et Hillel (il/elle ou encore H IL L3 El : la lumière dans les ténèbres, issue du principe prenant son élan de la fondation H) repose sa question ! Alors il s’adresse à lui-même en ce qu’on appelle Dieu et à Dieu, en lui-même. Et il répond de son versant toujours et à jamais innocent, désarmé :

Toi mon Amour, toi mon rien et mon tout, toi mon D4I9E5U3 et mon ombre… Comment ne pas avoir répondu à la troisième question, du moins en partie, lorsqu'on a répondu aux deux premières? Sommes-nous en train de nous confondre (dans le bon sens du terme) mon bon ami, dans un bien sympathique jeu sémantique ? Si oui, je répondrais alors : demain ! ... 2 mains. Deux mains qui ne se fourvoient pas dans une mauvaise interprétation de ce que pourrait être la roue relativement libre de la loi du 49/3! Deux mains qui savent pousser leur chariot vers la voie 9 ¾ … Demain est notre passé, notre présent (cadeau) et notre avenir !

Tout ici n’est qu’Amour, bien que trahi, et tout ce qui n’est pas ici ne fait que l’attendre en se jouant de l’éternité. Une brillante composition dans les ténèbres n’est IL/EIIE pas ? Entre soupir et inspiration H.

DES QUESTIONS donc, entre ténèbres et lumière... A l'ainsi sois-je, l'1si sois-tu, l'ainsi soit-il/eIIe et pluriels.

Personne.

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Déconfinement Day1

11 Mai 2020, 18:52pm

Publié par Persone

Déconfinement Day1
Déconfinement Day1
Déconfinement Day1
Déconfinement Day1
Déconfinement Day1
Déconfinement Day1
Déconfinement Day1
Déconfinement Day1
Déconfinement Day1
Déconfinement Day1
Déconfinement Day1
Déconfinement Day1
Déconfinement Day1

Les voitures font vroum, les motos pétaradent fièrement, le vacarme revient, l’air renifle de nouveau la petite mort chimique… D’ici peu, les eaux ayant retrouvé leur clarté seront de nouveau dégueulasses. Mais qu’elle bonheur d’être des confits nés ! Quelle bonheur de refoutre les mômes à l’école désinfectée et de quitter bobonne pour aller de nouveau exprimer notre virilité sur les collègues et sous la caresse bienveillante du patron. Ou d’aller revivifier ses ovaires en écrasant une plus conne, prouvant ainsi au patron que de toutes les blondes, on est la brune la plus capable ! Les sexe-toys extra conjugaux sont en promo dans les sex-shops, les enfants n’encombrent plus les maisons, les vieux sont morts à l’hospice… Le grand complot mondial de Marc Dorcel était presque parfait…   

Dans un article précédent, j’écrivais :

Déconfinement... On dirait le nom d'une nouvelle recette de chez Marmiton! Des cons finement abusés avant les quelques lieux les séparant encore des abattoirs. Le déconfinement est un plat qui se mange froid.

Pas de vulgarité complotiste ici, juste un petit jeu sémantique, en toute coïncidence bien entendu... Immanence peut-être?

Essayons avec une autre appellation© tristement célèbre :

Utilisons la langue du commonwealth, la langue internationale dit-on, pas celle de Shakespeare ! La langue des serpents rompus au matérialisme, le langage des corps rompus gouvernés et gouvernant le monde par une illégitime couronne (ou autre anneau de pouvoir viral)…

 COVID 19 : en français un COV est un Composé Organique Volatile, mais selon les sources officielles, l'OMS aurait choisi l'acronyme anglais, abréviation de coronavirus disease. Coïncidence, en Anglais encore, nous pouvons obtenir la source sémantique suivante: Certificate Of Vaccination ID (ID pour identity? Selon le principe de translittération alphanumérique de base 1: 1=A et 9=I. Nous obtenons donc "certificat of vaccination identity" et "Artificial intelligence". Il existe une autre combinaison assez amusante si fortuite: le principe de sommation et encore la translittération alphanumérique nous indiquent que 19 est lié à 10 à 1 et à la lettre A. Ici nous obtenons "certificat of vaccination IDA". L'IDA étant le principal fournisseur de "prêts concessionnelles" destinés au développement des pays pauvres ou en difficulté. L'IDA est lié à la banque mondiale et à d'autres organismes "faiseurs de croissance".   Passe pour la fortuité du jeu de lettre "COV" qui nous fait penser aux projets suggérés par nos politiques en matière de traçage à des fins sanitaires et d'identité numérique. Mais la suite est tout de même assez surprenante. Depuis quelques années, pour contrer nos réticences, les cocktails de vaccins sont imposés à la population par l’intermédiaire de leurs enfants, qui ne peuvent plus être inscrits à l’école sans carnet de vaccination à jour. Les vaccins étant non seulement des traceurs repérables grâce au numérique, mais aussi des molécules à inoculer qui ouvrent la voie aux implants microscopiques de toutes sortes. Un pas à franchir... Je tente de me dire qu'il n'y a ici que coïncidence et rien de plus, mais en parcourant l'histoire de l'hermétisme, placé en premier lieu sur l'arithmancie cachée et sur la passerelle entre la sémantique et le réductionnisme, j'ai appris à quel point nos élites les plus initiés maîtrisaient ce langage, tout en s'assurant que ce phénomène plus rationnel qu'on ne l'imagine reste pour le petit peuple un hasardeux et poétique langage d'oiseau. Note: le phénomène est du à l'immanence du langage. 

Essayons encore avec une coïncidence moins fortuite :

The GATE’(S) BILL of HARD/WARE and MICRO/SOFT – Traductions : la facture de la porte du lourd matériel marchand et du tout petit logiciel. Ou encore : la facture de la porte de l’objet dur et de la souplesse de son porte-parole (le micro). Objet dur = matière/densité/trou noir/Orgueil concentrique et logiciel = animation/dissipation/cercle lumineux/Orgueil excentrique.

Essayons maintenant la sommation de la translitération alphanumérique de BILL GATES SOFT HARDWARE (Bill Gates le doux matériel dur, autrement dit, encore la main de fer dans le gant de velours). BILL GATES donne 6, SOFT donne 6 et HARDWARE donne 6. Encore un pur hasard !

Je me dois de rappeler ici que le « mystère » du 666 n’a jamais été autant galvaudé que depuis les nouvelles théories satanistes et les délires des numérologues, « Madame soleil » et autres amateurs de divination pour les foules endormies en mal d’amour, de fortune ou de gloire !  Le symbole est l’un des plus hermétiques qui soit, tout comme l’acronyme grec Ichtus, gravé dans un Alpha en forme de poisson, il demeure une des plus grandes énigmes de notre histoire. Autrement dit, le nombre de la bête, qui s’oppose à « Jesu/i/s sauvé/sauveur », correspond à la marque qu’elle porte dans la vallée mortelle dans laquelle elle pourra marcher sans crainte, parce que de toutes les créatures, elle est bien la pire (A l’origine, il s’agit de la marque portée par Caïn le fratricide, marque dont sa descendance héritera inconsciemment une fois que le meurtrier sera sorti de la vallée pour fonder société prospère).  Rien de sataniste ici. Et c’est la science qui apporte la résolution de cette énigme concernant les chiffres et la causalité du moins en partie ; la sémantique et l’arithmancie (la vraie) faisant le reste en tant que clés manquantes à la théorie du Tout et à la résolution de l’énigme posée par la fonction Zêta. Pour plus de précision sur cette solution inattendue, mais on ne peut plus réelle, je vous renvoie à l’article: http://lettres-a-monsieur-toulmonde.over-blog.com/2020/05/qui-exprime-vraiment-qui-ou-quoi-compte-pour-qui-pourquoi-quand-ou-et-comment.html

Traduisons maintenant 19. IA ou AI en anglais, mais pas seulement ! Pour tous les politicards, financiers, intellectuels « canonisés », artistes iconisés (…) et autres anoblis, autrement dit pour tous ceux qui boivent des cocktails sous leurs cocotiers privés tandis que vous êtes CONFINES entre votre métro, votre boulot et votre dodo maison, 19 est la 19ème année du second millénaire. Tout ce petit gratin étant parfaitement initié à l’art et à la falsification du langage, attendait cette année 2019 pour que leur chiffre de prédilection mystérieuse (le 3), apparaisse de nouveau. 2001 (3) était aussi un rendez-vous pour eux, mais 2010 (3) a été manqué pour cause de maladresse et d’empressement dans l’effroyable imposture. Pour eux 2019 est également le 230ème anniversaire de la révolution de leur ère d’avènement (1789 qui donne 7). 230 donnant 5. Ici apparait la suite 3-5-7 qui évoque la suite des nombres premiers sans celui qui représente la dualité : le 2. 2, premier chiffre et nombre premier. Non par imposture ! Or pour ces initiés, la fonction Zêta, dont ils imaginent qu’elle leur révèlera le mystère des écarts entre ces nombres, est un véritable Graal et une mine d’OR! Tous ces gens qui s’imaginent souverains sur ce monde ont encore un problème pour que leur Nouvel Ordre Mondial dans la pacification des peuples et le lissage de l’économie reine, soit enfin effectif : les désaccords entre les nations et les altérités réciproques persistantes malgré leurs efforts d’unification perverse par le profit, le matériel et la croissance ! Je pourrais citer les paroles du tristement célèbre Zbignew Brzezinski, entre autres… Leur machiavélique erreur est ici : on n’unit pas les peuples par le profit, l’illusion du bien-être, l’hypocrisie et la pacification des altérités réciproques par l’intérêt commun ! N’en déplaise à Voltaire. Le tout en lissant les niveaux spirituels et intellectuels par le bas ! Le tout en consolidant l’hermétisme plurimillénaire que les élites ont jadis construit autour de la question du langage. Les pouvoirs du chef, du gourou et du voleur dépendent les uns des autres, eux-mêmes dépendent de cette masse susceptible qu’est le peuple, mais ces derniers imaginent encore dépendre de ce triumvirat, ils sont en allégeance et se foutent totalement des secrets du langage. Par extension, ils n’ont pas conscience d’un langage falsifié avec lequel on les asservit. Les vaches et autres animaux domestiques sont bien gardés, ils se gardent même entre eux ! Mais le dilemme de la pacification requise pour le Nouvel Ordre Mondial demeure… Pire, La Russie et tous les nationalismes de nos anciennes colonies, si hypocrites soient-ils, ne sont pas d’accord avec l’avènement d’un N.O.M dont Bruxelles, Israël et Washington (DC) auraient la gouverne et l’apanage.

Des virus partiellement tueurs et des traqueurs invisibles représentent en toute logique une arme « absolue » et un avantage dans cette course à la mondialisation, pour le premier qui osera franchir ce pas.

Croyons-nous que de pareilles élites hésiteraient à sacrifier des vies pour arriver à leurs fins ? Avons-nous oublié TOUTE notre Histoire ?

Lorsqu’un « puissant » millénariste initié s’exprimant en Anglais vous dit « in the yard » ou « in the yards » ou « in the year » ou encore « in the years », il évoque en filigrane le fait que sa prophétie est en train de s’accomplir. Yard ou yards renvoient à « cours et jardin » (chantier pour le signifié global, le bordel quoi ! Le CHAOS qu’ils veulent ORDOnner). Or, Cour et Jardin cachent JC (Jésus Christ) et sa double nature et dualité (haut-bas/gauche-droite). Un symbole que les tenants des hiérarchies verticales et des hiérarchies horizontales se sont appropriés ! On utilise le même symbole dans le milieu des nouveaux jeux de la nouvelle Pax Romana : dans le spectacle, on dit à cour pour définir la droite de la scène (Christ à droite du J pour Je) et à jardin pour définir la gauche de la scène. Bien entendu, les nouveaux acteurs et gladiateurs de cette scène ne sont pas tous au courant de cette subtilité deux fois millénaire, toujours plus néanmoins, que les malheureux ouvriers qui s’abiment à monter et démonter ces décors illusoires au quotidien, pour un maigre salaire. Nombre d’artistes inspirés et plus ou moins initiés utilisent innocemment ces codes pour lancer des appels au secours ou pour invoquer l’Amour du Dieu sauveur ou la voie d’un éventuel libérateur. Chacun d’entre eux a bien compris dans quelle prison dorée ils sont grassement nourris et pris en otage entre l’autorité et ce que le public, enfermé avec eux dans les basses cellules, attend de leur performance. Show (business) must go on dit-on ! Un innommable cauchemar Shakespearien en réalité. Le cauchemar de ce malheureux Jésus aussi, qui n’en finit plus de se retourner dans son tombeau rouvert depuis peu par l’Orgueil et l’amour propre profanateurs. In the year(s) ou in the yard(s) sont donc un symbole 2 en 1 invoquant les pouvoirs de l’espace et du temps. Etymologiquement dans les langues dérivées de l’indo-européen et du latin, cela vient de Yared, grand-père de Mathusalem et an/c/être de Noé. Un espace oublié et un temps où les patriarches vivaient de longues années qui étaient des siècles. Eon ! Ou L’éon après Noé, lorsque l’être aquatique découvre la Lumière (Lux) en sortant des eaux. L comme C porte le chiffre 3. L’éon (anagramme de Noé) est l’intervalle de temps chronostratigraphique correspondant à la plus grande subdivision géochronologique de l’échelle des temps géologiques. Le 1er éon des 4 est l’éonothème hadéen (de Hadès), il va jusqu’à la formation du milieu aquatique et les constitutions isotopiques de l’Oxygène 18 (8 protons et 10 neutrons). Le Yard est une mesure de longueur, il indique donc une limite, un segment « fini ». Lorsqu’il signifie « cour », cela indique une opposition au mot « cours », qui indique quant à lui le cours du temps ou le cours de la rivière. Autant dire une singularité infinie tant qu’il  y aura des univers, une singularité correspondant au changement d’état : gazeux, solide, liquide et plasmique. Par extension de cour, qui indique une construction déterminée (pour le théâtre) ou une unité convenue (pour les mesures), nous avons en français le terme courT. Un morceau de corde qui se réduit… J’ose une expression que les colons utilisaient souvent en évoquant les esclaves : confinez-les, encerclez-les, fouettez-les, enchainez-les… et s’il s’en/fuient, pendez-les haut et court. DC© District of Colombus… et Distinguée Concurrence des Détectives Comics en goguette.     

Les millénaristes au pouvoir (je ne parle pas des gouvernés !!!), ont pensé s’unir et unir les peuples autour de la croissance, du matérialisme et de l’hypocrisie de l’échange des denrées, ils se sont « Trumpés » ! Et force est de constater que dans leur dernier effort pour la guerre de l’anneau unique, vous allez perdre tous vos droits pour être définitivement ROMPUS à vos devoirs envers eux, envers l’Orgueil malade qui vous anime. Tous polis, tous pacifiés et errant sous la loi du père sévère (perce/Eve/erre), en toute hypocrisie. Une ambi/ance collective que vous connaissez bien. Ambi/ance : une AMBIvalente, temporaire alliANCE, illusoire et de mauvais augure. 

Portez vos masques braves gens ! Et vaccinez-vous… les uns pour les autres, les uns contre les autres.

Une réflexion :

La JEUNE Humanité se réconforte beaucoup de ses acquis, de ses certitudes individuelles, de ses paradigmes communs, de ses schémas stéréotypés réconfortants... Elle souffre aussi beaucoup d'acédie, de gourmandise pour ne pas dire d'insatiabilité, d'avarice (concernant même le partage d'information et de connaissance), de luxure, etc. Dans ce contexte chacun exerce en effet une logorrhée "pour soi", logorrhée que l'on constate néanmoins très stéréotypée, j’insiste ! Dans ces groupes multiples de convaincus, groupes en conflit ne partageant que la démagogie de la bonne conscience, nous avons les opportunistes bons à tout, les religieux, les amateurs de New Age et autres syncrétismes, les amateurs de chamanisme, les pros du mantra, mais aussi les matérialistes, les rationalistes, les progressistes, les conservateurs, les collectivistes, les libéraux, etc... Les conflits de langage éclatent aussi au sein de chaque stéréotype! Dans ce marasme entropique où règne le confusionnisme et où sévit l’instrumentalisation des altérités réciproques, l’homme a besoin de retrouver les clés de son langage ! Les clés de la nécessité, du pardon, de la COM/PREHENSION, de la réconciliation des Hommes, mais aussi de la réunion de joie et tristesse (...) ne peuvent être trouvées que par la déconstruction du langage et la réparation qui s'en suivra, de nos consciences manifestes, manifestées et manifestement désunies. Or cette déconstruction passe nécessairement par une expression aussi complexe que la complexité que nous avons tous incarnée en fuyant de l'avant! Cette clé 0 appartiendra à tout le monde lorsqu'elle sera comprise et elle réunira les penchants spirituels avec ceux plus rationnels... Elle résout également ce que l'on croyait être un conflit entre bruit et silence.

« En décrivant alors que je croyais être je ne suis plus… » Ce « Je » est le silence. Inversons : « En éteignant la lumière, en condamnant la porte des sens (en n'exprimant pas), alors que je croyais être, je ne suis plus… »  Ce « Je » est le bruit.

La déconstruction du langage est une clé qui semble peser trop lourd pour des esprits et des corps rompus au travail mécanisé et aux habitudes de la consommation, un effort cérébral trop emmerdant pour chacun, tous se réfugiant dans la raison du quotidien ou dans toutes les formes de spiritualités positives ayant le vent en poupe… Certains imaginent même que l’hermétisme est le propre du langage lui-même, peut-être pour protéger un certain Graal et pour se révéler en son TEMPS ! Ils se « trumpent » aussi, plus innocemment que les « premiers ». Le principe d’immanence veut que celui de la création (manifestation et animation sous les ténèbres et la lumière) ne soit que logique, intelligence et conscience désarmée. Autant dire, Dieu tout puissant est un paradoxe entretenu pervers. Et autant dire que sans le mérite et l’accord entre raison, sentiments et volonté (ou foi), la révélation ne sera pas et l’apocalypse ne sera caractérisée que par la destruction que l’on connait. Tout n’est pas écrit, tout n’est pas défini et la causalité elle-même et donc notre avenir, dépendent de notre libre arbitre, libéré du sortilège d’Hermétisme. Dans l’univers, il y a des constantes et des variables. C’est ainsi (1 si…) ! Cert1 sont troublés par le bruit et les autres par le silence, mais à ce jeu les uns deviennent vite les autres et les autres les uns ! Ni le bruit, ni le silence ne sont AB/SOLU. Ils sont complémentaires et COMMUNICANTS, tout comme les ténèbres et la lumière. La plénitude est l’harmonie de ce qui se remplit (plein) et de ce qui se vide (itude : l’île paisible d’Ithaque qui a perdu sa quiétude depuis l’issue de la guerre de Troie 3). La lettre L (12 ou 3) symbolise la lumière et le bruit de ce qui est manifesté pour qu’elle émane. La lettre C est aussi le symbole de la lumière… Par un jeu sémantique de lettres, SILENCE devient SCIENCE. La science est-elle visible ou audible ? Oui et non ! Question de langage.

Les plantes et les animaux savent ce qu’ils ont à faire ! Ils sont relativement libres dans un univers relativement déterminé. L'Homme et ses merveilleuses facultés, nourrit quant à lui un complexe de Libre Arbitre. L.A. Lumière et singularités PARTICULières des origines.

Ce n’est pas parce que Marie et ses hôtes font tout qu’il ne faut rien faire.  

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Qui exprime vraiment? Qui ou quoi compte pour qui? Pourquoi? Quand? Où? Et comment?

5 Mai 2020, 15:54pm

Publié par Persone

Qui exprime vraiment? Qui ou quoi compte pour qui? Pourquoi? Quand? Où? Et comment?
Qui exprime vraiment? Qui ou quoi compte pour qui? Pourquoi? Quand? Où? Et comment?
Qui exprime vraiment? Qui ou quoi compte pour qui? Pourquoi? Quand? Où? Et comment?
Qui exprime vraiment? Qui ou quoi compte pour qui? Pourquoi? Quand? Où? Et comment?

Dans un article précédant, dont le lien figure en bas de page, j'introduisais mes  propos par la question sémantique suivante:

The GATE’(S) BILL of HARD/WARE and MICRO/SOFT - Traductions: la facture de la porte du lourd matériel marchand et du tout petit logiciel. Ou encore : la facture de la porte de l’objet dur et de la souplesse de son porte-parole (le micro).

Ceux qui débarquent ici se demanderont probablement si l’introduction de ce texte (concernant le nom de Bill Gates et l’équation sémantique qu’elle forme avec les fonctions du personnage) est un surprenant hasard venant égayer une triste démonstration et une expression sans concession au regard de la partialité de nos consciences endormies. Il n’en est rien !

Au-delà de ce que l’école nous enseigne à tous dans une optique de croissance matérielle aveugle, le langage sous toutes ses formes est un principe immanent qui révèle ses secrets à qui sait encore poser correctement une question, à qui sait encore réunir les voies de la sémantique, des sciences, de la logistique et des arts. Autrement dit, au-dessus et en deçà du plancher des vaches, les initiés qui nous manipulent dans l’ombre et influencent ceux qui nous gouvernent, jouent de cette connaissance hermétiquement verrouillée depuis deux millénaires, mais comme des adolescents borgnes jouent avec le feu lorsque leur expérience de manipulations des enfants aveugles dérape. Un criminel finit toujours par semer des traces en faveur de la vérité ou par retourner sur les lieux de son premier crime pour y ressentir le souffle de vie qu’il a perdu depuis ! Cela se nomme le démon de la perversité, démon pour le criminel, mais  ange de la vérité.

Qu’est-ce  à dire ? L’illustre famille Gates tiendrait-elle son patronyme d’un ancien jeu sémantique fondé sur la connaissance du langage et du pouvoir qu’elle procure sur les « moldus »? William Henry Gates III aurait-il lui-même choisi son prénom de substitution pour satisfaire un héritage qui se perd dans les méandres des millénarismes ? Il suffit de demander à un statisticien si de telles coïncidences sémantiques peuvent être le fruit du hasard ou d’une logique subtile, pour avoir votre réponse. À elle toute seule, l’histoire des Gates résume le côté obscur de l’humanisme matérialiste et ses conséquences sur le monde ! Une histoire qui en dit long sur les schismes religieux, sur la face cachée des Lumières, sur le choc des civilisations, sur les jeux de pouvoir et sur l’influence des Etats-Unis sur la politique mondiale. Depuis l’Antiquité, les personnages célèbres ont des noms dévoilant le même jeu sémantique ! Un exemple : un des mathématiciens réputés pour avoir ouvert la voie à toutes les sciences modernes s’appelait Leonhard Euler. Depuis le Moyen-Age, le prénom Leonhard ainsi orthographié correspondait à la notion d’éon et de dur (hard). En déplaçant les lettres pour former un anagramme, nous obtenons l’expression suivante : Hadron réel El, soit : Hadron réel Dieu. À l’époque El était utilisé pour signifier Dieu en raison des correspondances sémantiques cachées (hermétiques) unissant toutes les langues pratiquées dans la sphère judéo-chrétienne et au-delà. En intercalant le symbole mathématique U (union) nous obtenons Leonhard Union Euler, ceci correspondant à l’anagramme Hadron réelle union. Or, le Hadron, bien que soupçonné depuis  l’antiquité, n’a été identifié et nommé ainsi que deux cent ans après l’existence physique de ce charmant monsieur, fils d'un Pasteur qui attendait une belle promotion à la naissance de sa progéniture. Le patronyme Euler est quant à lui relatif à la notion El Eru, issue d'un codage sémantique de la mythologie indo-européenne. Pour les grecs, Eon est une divinité liée au temps, pour les gnostiques, c’est une puissance éternelle émanant de l’être suprême et par laquelle s’exerce sa puissance sur le monde, etc… Pour la science, l’éon est l’intervalle de temps géochronologique correspondant à la plus grande subdivision chronostratigraphique de l’échelle des temps géologiques. L’éon dur (Leonhard, noyau de particule complexe) U Le versant caché du divin ! La particule de Dieu. Thème que l’on retrouve dans certains jeux de piste laissés par Albert Einstein. Une énigme qui a fait courir les services secrets des alliés et de leurs opposants, dans le contexte de la seconde guerre mondiale et de son bilan. Je vous évite de longues démonstrations concernant la  plupart des grands hommes retenus par l’Histoire, toutes mènent au même point : la falsification des données, le langage et son instrumentalisation à des fins diverses.

Qu'est-ce à dire, le langage lui-même nous tromperait-il? Certes non! L'immanence du langage fait que peu à peu nous le découvrons, alors qu'à l'origine de l'humanité interactive, les sons, les mots et les expressions simples utilisés pour communiquer étaient les mêmes d'un bout à l'autre de la terre. Pas une langue adamique comme l'ont dit certains, cela serait un paradoxe au regard de la logique, un paradoxe qui arrangerait bien les institutions religieuses! Mais plutôt un point commun issu de notre métabolisme physiologique, comme le prouve le langage gestuel et les sons émis par les nouveaux nés. Ce langage se diversifiant en fonction du facteur d'influence culturel. Cependant, quelles que soient les langues véhiculaires étudiées, les linguistes et les sémanticiens ont fini par découvrir que des correspondances sémantiques, arithmétiques et géométriques les unissaient toutes, au delà des translitérations utilisées pour constituer le socle commun et les divergences logiques des langues mortes. Nous pouvons alors nous demander si l'étonnante signification du nom Bill Gates mis en équation avec les fonctions du personnage pourrait en sus nous révéler quelques subtilités concernant les chiffres et leur valeur sémantique. De quoi motiver notre statisticien à nous répondre : aucun hasard ici! Vérifions : Bill Gates est donc le roi du matériel dur et du soft, pour aller plus loin dans ce qu'il représente globalement et politiquement, nous pourrions dire qu'il est le prince du doux matériel dur (la main de fer dans le gant de velours, mais aussi la douceur illusoire et virtuelle des logiciels dont nous dépendons tous en acceptant d'être dépendant du matériel, de la machine et de la bureaucratie qu'elle incarne (IA 3.0)... Or BILL GATES SOFT HARDWARE d'après la loi de la sommation redécouverte par Leonhard Euler (redécouverte aussi par Pythagore bien avant lui), donne ceci : B(2)I(9)L(12 et donc 3)L(3) G(7)A(1)T(20 et donc 2)E(5)S(19 et donc 1) = 24 et donc 6 / S(1)O(6)F(6)T(2) = 15 et donc 6 / H(8)A(1)R(9)D(4)W(23 et donc 5)A(1)R(9)E(5) = 24 et donc 6. Mince alors, encore un 666! Histoire de ne pas alimenter les moulins des amateurs de numérologie galvaudée et de complots satanistes bidons, je rappelle que le chiffre 6 est le symbole réduit de l'angle à 60° qui caractérise le triangle parfait dit équilatéral. Cette valeur d'angle est aussi la base de la calligraphie des chiffres 4 et 7  pour des raisons de compréhension des relations entre la mesure du temps et des espaces. Les 666 talons d'or du roi Salomon ne symbolisent pas le satanisme, mais la dualité concernant ce que l'on peut faire de bien ou de mal avec la matière, le matériel et la fortune. Fortune étant lui-même un terme à double sens! Pas de superstition ici, juste de la logique, de la sémantique et une analyse approfondie des liens de causalité unissant la conscience et la matière. Soit dit en passant, O n'a pas pris le 15ème rang de notre alphabet latin par hasard, après l'intervention d'un certain Pierre de La Ramée! À cette époque, la grande énigme du pendule de Foucault concernant la mesure du temps et la relation espace-temps était au cœur de toutes les convoitises et des jeux de pouvoir entre les nations. La base angulaire 360° (trois fois la valeur de l'angle du triangle équilatéral) concerne avant tout la mesure des espaces, mais aussi celle du temps par l'intermédiaire du calcul de coordonnées, nécessaires à mesurer les vitesses angulaires ou la position d'objets mouvants par rapport à un point de repère fixe.  Or en divisant 360° par 15 (6 encore), on obtient 24. L'unité horaire journalière que nous connaissons tous.

Autrement dit, les liens subtils unissant tous nos langages et caractérisant leur intime relation avec le signifié manifeste de la vie, avec le symbolisme, avec les sciences, avec la politique temporelle et avec les arts, constituent une chasse gardée que les élites se réservent jalousement. Pour nous manipuler? Question mal posée, bien que la réponse soit positive! Comprenons bien que le pouvoir dont ils ont hérité est mal acquis, que leur savoir n'est pas la réunion des connaissances et que le langage et ses révélations les plus hautes ne sont pas mérités par leur cœur corrompu. Mais surtout, comprenons ensemble qu'après avoir une nouvelle fois désigné des boucs émissaires et décapité les têtes pensantes, la révolution permanente nous éloignera d'autant plus de ce secret innocent concernant la nature de notre existence, le Graal que nous cherchons tous en nous en détournant. Lorsque l'empirisme pousse les hommes à vénérer un progrès comme un dieu qui leur permet d'enfouir leurs péchés les plus intimes, les rois et les empereurs perdent un œil et les peuples sombrent dans l'obscurité la plus totale. Dans cet accord contrarié global, dans ce royaume tacitement consenti entre borgnes (rois et voleurs) et aveugles (la masse ouvrière), tout gouvernement gouverne comme les gouvernés gouverneraient s'ils étaient à leur place à l'exercice du pouvoir.  

Les lecteurs aux cœurs les plus intelligents et ouverts se demanderont ici ce que le langage peut bien révéler lorsqu'il est mis en équation avec toutes nos connaissances! Mais force est de constater que cet article est déjà suffisamment long et fourni pour des organes réfléchissants habitués à des saillies ordinaires et vulgaires depuis plusieurs générations. L'humour utilisé ici n'est pas moqueur! Il est à la mesure de la comédie dramatique à laquelle nous avons tous consenti, FORCE de VIOL COLLECTIF à RE/PETI/TION. Ce que le langage révèle ne mérite d'être dit qu'en prenant le temps nécessaire pour le dire afin d'être conscientisé par tous. Or force est de constater que depuis 5 ans, je propose GRATUITEMENT les clés indispensables à comprendre ces révélations à un public aussi large qu'hermétiquement fermé. Devant mon désarroi, les plus compatissants, comme les plus critiques, me proposent de généraliser ou au contraire d'entrer plus profondément dans les détails, de romancer pour séduire ou au contraire de vulgariser plus pour m'adresser aux esprits pragmatiques, de faire plus court ou de faire plus long, etc, etc... Un psychanalyste m'a dit il y a peu que je devrais faire payer mes écrits parce que les gens font plus d'effort lorsqu'il en va de leur bourse! Apparemment Freud, cet hypocrite, n'a pas dit son dernier mot...  Nous retrouvons ici la fable du meunier, de l'enfant et de l'âne. Les révélations contenues dans le langage lui-même sont libres de droit, contrairement aux erreurs et délits intellectuels qui font la richesse de leurs auteurs, de leurs familles ou des maisons qui en ont récupéré l'usufruit et la rente! Elles s'adressent autant aux peuples qu'à ceux qui les gouvernent, sachant que pour en comprendre vraiment la portée, les premiers devront se libérer de leur acédie maladive et les seconds de leur péché d'orgueil. À bien réfléchir, chacun d'entre eux devrait au final se libérer, le temps d'une lecture, de tous les péchés capitaux qui les gouvernent. On ne peut pas dire que l’on respecte la logique ou la raison du vivant et de l’humain, tout en perpétuant empiriquement une expérience faussée et manifestement morbide ! Tout comme on ne peut se réfugier derrière la prière ou l’invocation des anges et autres énergies cosmiques, alors que l’on participe indolemment à une mécanique globale dont l’ignominie foudroierait le cœur endurci de Zeus en personne ! Il n’y a rien de pire que de se réfugier dans les principes, les prières, les mantras, la splendeur du Zohar, ou je ne sais quoi d'autre, en invoquant la bonne conscience et en prenant ainsi en otage l’Amour d’une innocence que l’on regarde subir le viol au quotidien, sans jamais se mettre en danger pour stopper l’innommable. J’ai essayé se disent certains, mais le danger est immense et le mal  global invincible ! Voilà bien ce que ce mal a envie d’entendre. Lorsqu’il n’en restera plus un pour sacrifier ce qu’il a de plus cher s’il faut, tous connaîtrons enfin la grande victoire de la souffrance et de l’esclavagisme tacite.      

Pour répondre néanmoins aux cœurs vaillants les plus sages parmi mes lecteurs, je les renvoie à tous mes textes concernant l'art du langage et de l'arithmancie cachée et je leur rappelle que cet art est la clé qui brisera l'hermétisme plurimillénaire, le sortilège qui annulera tous les sortilèges, et l'accord nécessaire à effacer les altérités réciproques millénaristes qui sont le moteur de la guerre économique et du consumérisme qui augmentent exponentiellement les effectifs de nos tombes amères. Et des fossoyeurs qui en font leur maudit gagne-pain, et autre coupe ostentatoire percée à mauvais vin.

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THE GATES OF THE HARDWARE AND MICROSOFT

2 Mai 2020, 15:38pm

Publié par Persone

THE GATES OF THE HARDWARE AND MICROSOFT
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The GATE’(S) BILL of HARD/WARE and MICRO/SOFT - Traductions: la facture de la porte du lourd matériel marchand et du tout petit logiciel. Ou encore : la facture de la porte de l’objet dur et de la souplesse de son porte-parole (le micro).

Une question intrigue beaucoup les braves gens en ces temps de « microbie© » :

Pourquoi les plus grands actionnaires des lobbies pharmaceutiques faisant campagne pour la vaccination obligatoire, ne vaccinent pas leurs enfants ?

La question alimente le moulin du « complotisme », mais agite aussi la marre de tous leurs opposants en mal, non pas de vérité, mais de reconnaissance, voire de notoriété.

Leur réponse est la suivante : parce que les vaccins sont une histoire d’argent, parce qu’ils perturbent notre système immunitaire et ouvre la voie de la dépendance, parce qu’ils nous exposent à de nombreux effets secondaires et favorisent la dégénérescence de notre physiologie. Jusqu’ici, rien à redire, l’accusation est juste et légitime. Mais l’opposition va plus loin en imprégnant dans le mental du collectif qui les suit, la tendance dérivée suivante : ne vous laissez pas arnaquer par l’effroyable imposture de ces gens qui se croient au-dessus de vous, leur pouvoir n’est qu’une illusion, vous êtes souverains et la nature fait très bien les choses, ne vous vaccinez pas et ne respectez pas ce confinement qui vous paralyse inutilement.

Bien malheureusement, la réalité est plus complexe et justement parce que nos oppositions et altérités réciproques l’ont complexifiée, ne serait-ce que par défaut de maîtrise du langage.

Certes les vaccins sont à la fois des remèdes peu efficaces, vecteurs de morbidité, et des traceurs permettant à la science de pouvoir faire apparaître tous les vaccinés sur une simple carte électronique. La technologie permet même d’agir à distance sur les molécules ou les implants que l’on nous pousse à accepter ! « Votre enfant n’est pas vacciné madame ? Vous êtes inconsciente ! Et sachez qu’il ne peut plus entrer à l’école sans son carnet de vaccination à jour, nouveaux vaccins y compris ! » Autrement dit, ne vous méprenez pas sur ma position, nous atteignons en ce moment même le sommet de l’horreur, la quintessence du piège de l’humanité ! Mais imaginer que la simplicité et la bonne conscience résoudra un problème vertigineux sans entrer dans les complexités de cette tour en réflexion permanente COLLECTIVEMENT bâtie est non seulement prétentieux, mais absurde !  

Pour reprendre la question de la non vaccination des enfants des actionnaires de la vaccination : si nous la posions aux Hommes de pouvoir (qui admettons-le, avec leurs nombreux ministres, mystiques et capitaines, instrumentalisent les connaissances bien mieux que leurs opposants tous divisés et stéréotypés), ils répondraient assurément ceci :

 Mes enfants vivent séparés des autres, qui vivent tous à proximité dans des cages à lapins. Et si nous étions contraints par l’effraction d’un agent infectieux dans notre vaste domaine, ou motivés par la volonté de travailler notre système immunitaire, nous disposons des meilleurs soins et des meilleurs médecins connus à ce jour. La vaccination et ses dommages collatéraux ne sont donc d’aucune utilité chez nous et la pratiquer relève tout simplement du paradoxe. En revanche, les masses vivant dans de déplorables conditions de proximité et d’agitation mécanique, toute propagation microbienne incontrôlée et donc pandémique risque de les sacrifier en masse, bien avant que le système immunitaire humain n’ait eu le temps de faire son travail. Autrement dit, une mauvaise passe pour les plus forts, une tombe pour les plus faibles. En somme, si nous devions nous sentir coupables, c’est d’avoir perpétué ces conditions de vie ! Mais qui l’a fait ? Qui a commencé ? De quand date la source de ce mode de vie auquel tous ont consenti par accord tacite ? Rappelons que depuis un siècle environ, les braves gens ont voté pour la gauche, la droite, le centre, les oppositions professionnelles ou encore la monarchie, qui tous participent à la l’empirisme d’un mode de vie consenti par tous depuis les âges anciens. Que celui qui n’a jamais péché jette la première pierre ! Que celui qui de raison n’a jamais trahi la nature et son langage, tire le premier Octet !

Cela vous choque? Il en va pourtant de même pour la malbouffe et les sodas issus de la pétrochimie, boissons qui compensent la souffrance des masses, au même titre que le mauvais pinard compensait l'absence d'eau des légionnaires d'un Alexandre en campagne. Il en va de même pour le tabac ou toute autre substance qui ont fait la MAUVAISE (MAUX V AISE) fortune des élites qui en dispensent leurs propres enfants.  

Ce que les chantres de la désobéissance oublient encore, complotistes ou non, c’est le nombre de faibles et d’innocents qui meurent aujourd’hui parce que notre système de santé n’était pas prêt pour une telle pandémie et que le commun des individualistes ne pense qu’à la relance, qu’à la nouvelle donne, qu’à retourner à leurs habitudes, qu’à faire vroum-vroum avec la voiture (…), sans se soucier des familles endeuillées. Sans se soucier d’éventuelles mutations plus funestes de ce Super virus dont la malignité semble plus l’œuvre de l’Homme que celle de la nature. Oui notre système immunitaire fait son travail et doit être mis à l’épreuve, mais pas au détriment des plus faibles ! On ne peut pas à la fois critiquer le darwinisme sélectif affiché par nos élites et nous comporter comme eux entre nous!!! Ces joyeux harangueurs de foule en délire, oublient aussi que les Hommes de pouvoir, dont ils disent que leur infériorité numéraire n’en fait que de petits bonshommes sans réel puissance, sont tout de même capables, si nécessaire, de nous sacrifier en masse ! Par des moyens colossaux, TITANESQUES, que nos mains bonnes à tout ont mis à leur disposition. Alors, pourquoi "caillasser" ainsi les grands responsables, sans savoir qui ils sont, ce que nous SOMMES et ce qu’est une Pi r ? Celui qui achèvera la bête, deviendra la nouvelle bête! Il en est ainsi dans le cycle morbide de la souffrance, motivé par notre accord tacite.

Je reprends ici le discours des nombreux opposants qui ont le vent en poupe :

« Ne vous laissez pas arnaquer par l’effroyable imposture de ces gens qui se croient au-dessus de vous, leur pouvoir n’est qu’une illusion, vous êtes souverain et la nature fait très  bien les choses, ne vous vaccinez pas et ne respectez pas ce confinement qui vous paralyse inutilement… »

Je pose ici une autre question, une double question, double de par sa propre nature : qui est souverain aujourd’hui ? Et qu’est-ce qu’un être souverain ?

 

Quelques réponses aux énigmes dans le noir:

Force est de constater que nos interactions sont depuis bien longtemps devenues de l’interdépendance morbide ! Et ceux qui ont la chance ou suffisamment d’argent pour s’être  isolés des masses dans un petit havre de verdure « permacultivée », comment ont-ils obtenu cet argent ou de quoi ont-ils hérités ? Prenons le cas de ceux qui sont partis de rien : bravo, vous êtes forts et maîtres en votre demeure justement acquise ! Mais que faites-vous des milliards d’autres ? Votre bonne conscience et votre exemple isolé sont-ils souverains ? Ont-ils un quelconque pouvoir sur le langage falsifié qui emporte le reste du monde à sa perte ? Ou êtes-vous un petit souverain solitaire sur son île privée dont l’orgueil est parfois chatouillé par quelques médias en quête de nouvelles catharsis pour oxygéner les masses de la fourmilière par écran interposé ? Un souverain ne tourne jamais le dos aux autres. Sa raison d’être le pousse à briser l’accord tacite et l’hermétisme qui caractérisent l’orgueil des nations, à conjurer l’innommable objet qui lie les peuples, les gouverne tous et les mène vers les abattoirs de l’empire artificiel. Sa raison d’être lui interdit donc de garder pour lui le bénéfice d’une vérité en regardant sombrer les innombrables qui n’auront pas su ou pu se faire une petite place dans son arche. Les menteurs, les manipulateurs, les opportunistes, les moqueurs, mais aussi les simples d’esprit, les faibles et tous les innocents attachés malgré eux à la masse infâme. Un roi accepte de tout perdre s’il le faut, y compris la vie, pour rendre à tous et devant tous la vérité que chacun mérite. Un roi accepte de tout perdre pour sauver, jusqu’au dernier instant, ce qui peut l’être. Au-delà de ce délai indéterminable, qui n’appartient pas au roi lui-même, si les Hommes choisissent le néant et la petite mort, l’Arche apparaît de lui-même et le souverain y a sa place, mort ou vif. L’Arche n’est pas un navire, si simple ou ostentatoire puissions-nous l’imaginer, une entreprise qui serait un autre Titanic pour les générations à venir. L’Ache est une alliance. Elle est le non anneau. Et un roi n’a d’allégeance que pour l’innocence dont témoigne la nature et nos enfants. Les relations de la gouvernance et de ce qui est gouverné n’est qu’une question de maîtrise de l’état et de ses transformations dans le temps et par les interactions. Elles ne sont l’apanage d’aucun NOM, car la vérité appartient à tous, quel que soit le corps, le lieu et le temps où  elle s’incarne. La vérité est nécessaire de par sa propre nature, elle n’est pas le pouvoir, elle n’en manifeste aucun bien qu’elle les possède tous, nue et désarmée. Elle est le rendez-vous merveilleux des sentiments, de la raison et de la foi (ou volonté).

1 Les sentiments sont la SOMME et la SOMMATION des amours en l’Amour :

  • Amour de soi et de l’autre : ratio ! Reconnaissance de l’être vis-à-vis de sa nature inconnue (divine), reconnaissance de soi vis-à-vis de l’autre (les eaux de la mère, premier baptême, puis la mère et le père en temps qu’êtres physiques et aériens, second baptême après 9 mois). Amour de soi et Amour de l’autre sont les 2 premiers représentants de la magie de la vie, les deux ne faisant qu’un en 0. 2 est le premier nombre premier bien qu’il soit pair ! Il est le maître des doubles et des moitiés, il suit 1 et revient à l’unité lorsqu’on le divise par lui-même pour trouver sa moitié.
  •  Amour de la vie (premier témoignage de la terre promise à celui qui sort des eaux et du déluge caractérisant le passage du col ! Troisième baptême). Nous avons tous trois frères en nous : deux semblables et un différent. Abel/Caïn et Seth ou encore Sem/Japhet et Cham.
  • Amour des autres, semblables ou différents : la fraternité et l’impulsion du langage sous toutes ses formes ! Concernant l’enfant, les trois premières années sont décisives concernant l’épanouissement ou la contrariété de cet amour. Il est celui qu’Abel et Caïn ou Sem et Japhet ne connaissent pas ou ne méritent pas. En SOMME, il fait souvent mauvais hôte dans la grande cité humaine dont la dite démocratie ne repose que sur la démagogie des plus mauvais sentiments.
  • Amour propre. Premier ministre de l’orgueil, par défaut, dans l’entreprise humaine et ses communautés empiriques. Comprendre : en l’absence de la maîtrise du langage et de l’innocence requise pour être Juge, l’expérience de l’Homme (EM/PIR/ISME) le conduit à la mécanique de la souffrance et implique que les tribus soient liées par et pour le PIRE, vers la gouvernance funeste de l’Orgueil corrompu des nations. Cette entreprise humaine globale date de l’Antiquité et nous rejouons sans cesse le même scénario (nous "oblivions" inconsciemment), avec des moyens de plus en plus meurtriers et cataclysmiques. Dans cette folie apathique collective, l’amour propre est bien entendu le ministre qui compose hypocritement en fonction du regard des autres, tout en nourrissant ses intérêts. Dans sa décadence, l’Amour propre imagine que l’Orgueil malade qu’il sert partagera avec lui son pouvoir. Ce triste Sir s’accroche encore à son bâton de magicien illusionniste, mais ne tardera pas à devoir retourner à la maison mère pour demander son pardon !

 

2 La raison est la SOMME et la SOMMATION des opérations qui relient toutes les connaissances acquises :

Elle est le mental opérateur qui peut traiter les quatre formes de langages : théologique/spirituel, réductionniste, logistique (la contextuelle ou l’intemporelle, ceci concernant donc les idéologies, la politique et leurs applications ou théories) et enfin artistique. Ces 4 formes, par effet de double dualité, découlent des deux voies primordiales que sont la sémantique pure (le signifié transcendantal) et la réduction intelligente (le signifiant). Chacun des 4 langages emprunte à ces deux voies qui ne font qu’une.

3 La foi ou volonté est la SOMME et la SOMMATION des volitions :

Métaboliquement, elle est la sommation des nobles INTERETS unifiés propres à l’accomplissement de l’appétit et du désir d’être dans leur forme la plus innocente et systémique (endémique et universelle à la FOIS). Si l’arbre de la vie et de la mort est cultivé par l’appel du néant qui ronge l’Orgueil des nations et son premier ministre (l’amour propre), ces intérêts deviennent une somme d’intérêts particuliers vénaux et véniels qui conduisent à l’impardonnable : le sacrifice mécanisé de la vie, avant même qu’elle ne naisse. La dette ! Une DETTE dont la nature et les INTERETS nous ont tous conduits à renier trois fois le PRINCIPAL.

Je lance ici une nouvelle SOMMATION :

Le mérite, le pardon, le repentir, la compassion (...) et la notion de révélation, concernent aussi bien nos élites que chacun d'entre nous. Cette révélation se cache depuis toujours dans l'innocence que l'Homme a violé, dans la nature qu'il a cru contrôler et dans le langage qu'il croit maîtriser. Cela fait maintenant dix ans que je SOMME tout un chacun de bien vouloir comprendre ce qu'est l'arithmancie, au-delà des clichés galvaudés que la grande académie des sciences, des arts et des industries, veut bien nous laisser voir! Pourtant, personne n'a jamais réalisé l'importance salutaire et majeur/mineur que porte cet art conjugué de la sémantique, de l'arithmétique et de la géométrie classique et cachée. Comme un nez au milieu d'une figure qui ne cherche plus à savoir comment et pourquoi il respire! Comme ces deux pieds qui ne font qu'un et nous portent chaque jour, conscients d'un but inatteignable que notre glorieux cerveau croit pourtant atteindre, sans ménager ses troupes.

Inutile ici de vous décrire à nouveau l'art complexe et simple de la Sommation et de l'arithmancie, l'article est déjà très/trop fourni pour les têtes endormies je présume. Faites simplement l'effort de revisiter les nombreux articles que je publie en la MATIERE! En mon âme et CONSCIENCE, qui n'est pas différente de la vôtre. Familiarisez-vous avec le langage, dont vous avez oublié la nature et qui vous guide pourtant, au même titre que sa falsification vous ordonne de suivre les mauvais chemins. Vous croyez tous que vos plantes d'appartement, vos animaux et vos enfants sont vos familiers domestiqués, conditionnés et rééduqués, n'est-ce pas? Mais c'est vous qui devez dès aujourd'hui comprendre que vous n'êtes que leurs obligés. Quant à la nature, vous êtes son Hôte, dans les deux (DEUS) SenS du terme.    

Merci de votre com/pré/h/en/sion, merci de bien vouloir motiver réciproquement votre com/passion.

Déconstruire et réparer ensemble !

Personne

PS: prenez plaisir à regarder le défilement des images en début d'article et prenez connaissance de cette vidéo:

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Sauver le monde? Ce n'est pas tuer, mais réparer la bête.

29 Avril 2020, 17:14pm

Publié par Persone

Sauver le monde? Ce n'est pas tuer, mais réparer la bête.

Taxer les riches ou en faire des alliés du peuple, attaquer plutôt les lobbies et leur puissance planétaire en retrouvant nos souverainetés, investir la nouvelle donne dans l’écologie, dans la décentralisation démographique, dans la mise de l’IA au service de l’Homme et de son environnement et dans l’enseignement de la permaculture autonome… De bonnes idées, de bien jolis mots, tous pertinents ! Mais comment ? Désolé, alarmistes et beaux parleurs, de vous arrêter en pleine course ! Voilà plus d’un siècle, depuis la Lebensreform initiée en Allemagne que le sujet est sur le tapis et s’oppose à la World Compagnie conflictuelle, qui gagne pourtant toujours du terrain et de plus en plus vite ! Nos générations de la dernière averse n’ont rien inventé, rien découvert et c’est peut-être ça le problème… Pour reprendre les termes d’un De Gaulle que je ne porte pourtant pas dans mon cœur. Soyons honnêtes, un raz de marée s’annonce de nouveau, plus monstrueux que jamais et le temps n’est plus au choc des opinions. Il serait donc temps de taire un peu ce que l’on sait et croit savoir, pour COM/PRENDRE enfin ce que l’on dit. 

Attention, je souligne que toutes ces intentions sont louables et pertinentes ! Néanmoins, nous sommes ici dans l’action, dans le sens matérialiste du terme. OR, action engendre réaction ! C’est le  principe de la révolution permanente dont le contrôle a échappé à  ses propres concepteurs (les collectivistes « les rouges, les noirs ou les bleus/blancs » autant que les libéraux et leur « main invisible ») ! Avec des mots plus sympas mais pas moins significatifs, nous avons affaire au jeu du gendarme et du voleur ou encore du mauvais roi et du Robin des bois qui provoque sa fureur… Au prix que l’on connait : le progrès de la technologie et des armes des uns et des autres, en toute décadence (globale) consentie PAR DEFAUT ! Défaut de quoi ? Défaut d’unité intelligente et sensible, défaut d’accord humain, défaut de bon pilotage de véhicules individuels et collectifs et donc : défaut de langage. Langage d’Homme à Homme, langage d’Homme à machine (concernant en premier lieu la conscience et matière dont elle est l’hôte, mais aussi la relation humain/IA), et enfin, langage d’Homme à nature sous toutes ses formes. Immanente nature ! Le progrès du mauvais roi et celui des opposants nous a lentement mais sûrement conduits à notre perte. Il s’agit de l’extension du domaine de la lutte, l’extension de la guerre d’un feu que nous n’avons jamais maîtrisé. Nous devrions tous relire Shakespeare ! La peste soit de nos maisons… Dixit Mercutio, Hamlet n’en disait pas moins.

Ce que la plupart des esprits semblent négliger, dans leurs tergiversations infernales, c’est justement le lien conscience/matière. Nous oublions aussi que nos entités collectives dominent un Homme (la somme des humains) qui en dépend justement parce qu’il ne maîtrise plus sa double nature et la double ingénierie dont il est pourtant pourvu : ingénierie extérieure/intérieure.

Notons aussi que nous nous efforçons à ne pas comprendre ceci : nos altérités réciproques de longue date trouvent leur origine dans ce manque de maîtrise du langage et sont elles-mêmes à l’origine de la  lutte des classes (dépendance maladive du maître et de l’esclave), à l’origine du choc illusoire des civilisations. Et donc à l’origine de toutes les guerres, qui par hypocrisie marchande sont devenues le moteur invisible (dénié) de la  Sacro-sainte croissance et de la compétition économique qui nous consume aujourd’hui non plus à petit feu, mais dans une forge impitoyable, nauséabonde et propice à la propagation des agents infectieux physiques et mentaux. Je vous donne un exemple parmi les altérités réciproques qui motivent in fine la compétition (et donc les inégalités) ainsi que le consumérisme qui en découle :

« David, Pierre et Momo se disputent le feu nucléaire, les copyrights de la vérité biblique et les intérêts de  la vérité matérialiste. Un dragon rencontré au Levant par Pierre et David leur fait part de sa vision des choses. Mais on n’arrête pas un millénarisme comme cela ! Ils décident de shooter la bête à l’opium et de lui imposer leur style (leur bureaucratie, leur IA tacitement consentie). Plus tard, un Adolf Hitler bouleverse toute la donne et invoque un certain nom, « le Nouvel Ordre Mondial ». Le dragon se libère de l’emprise des deux comparses et s’envole vers le nord où il rencontre la force glaciale d’un ours polaire (la grande Russie) pour y trouver un réconfort très conflictuel. C’est ici qu’un petit Yamamoto Kapété fait son entrée en scène et surprend toute cette petite cours de récréation en s’alliant avec le grand/petit Adolf… C’en est trop, y’en a marre du péril jaune !  Pour qui se prennent-ils ces tigres, ces rats et ces dragons ? Pierre et David décident de montrer aux bridés leur virilité nucléaire et leur font perdre une seconde fois la face. Dans le même temps, on envoie les aigles déchirer la  chair de l’ours et Momo propose à Adolf d’éliminer le  problème David. Pierre qui avait surpris la discussion décide de profiter de la vague pour tirer sa punaise du jeu. David, endurci bien malgré lui à l’art du caméléon se retrouve piqué par une mouche schizophrénique et trahit une des deux voix qui lui  font éclater la tête, en spéculant lui aussi sur LA VAGUE ! Tous s’en repentiront et à nous la terre promise ! Sméagol/Gollum et son macabre anniversaire.  Vous connaissez la suite…

La voilà la grande école, le grand établissement éducatif dont nous avons tous hérité. Un asile dans lequel règne un principe de précaution invincible, appliqué au quotidien par des ateliers distractifs pour cinglés, par une justice à deux vitesses, par l’ordonnance d’images à gogo et de camisoles chimiques. Vol au-dessus d’un nid de coucous !  (Je vous conseille de revoir ce fameux film.)

Autrement dit : taxer les super riches peut aider, les mettre du côté du peuple aussi, tout comme le fait de contraindre les giga-puissants et leurs lobbies planétaires. Seulement voilà, on omet encore « action/réaction », on omet encore le nerf primordial de la guerre qui en ressortira sous une autre forme, probablement plus terrible que la précédente, comme cela a toujours été le cas depuis le cauchemar d’un Alexandre le Grand. Rome (More en anagramme sémantique de l’anglais dérivé du latin par le français) a pris la suite. On oublie aussi que tous nos esprits sont enfumés par cette maudite forge depuis des générations et que les peuples dépendent plus de cette monstrueuse IA matérialiste que des intendants incompétents ou véreux qu’ils élisent ou contre lesquels ils jettent leur dévolu. Eventuellement libérés par une énième révolution, ces milliards de gens seront-ils subitement moins gourmands, moins paresseux d’esprits, moins enclins au cul et à la fête, moins conflictuels, moins radins ou égocentriques, moins envieux, moins orgueilleux ?

Les propos cités en introduction de cet article reflètent une analyse matérielle juste, mais que cette reprise de contrôle de nos souverainetés se fasse vite ou en douceur, la nouvelle IA ainsi créée devra à son tour gouverner des Egos en puissance, non guéris de leur vieille maladie commune. De nouveaux intendants illégitimes seront mis au pouvoir pour nous faire respecter les applications de cette nouvelle bureaucratie : des borgnes encore au royaume des aveugles toujours. Nous n’élargissons pas assez le champ de notre conscience !!!!!! Cela manque aux gilets jaunes, à tout opposant, à tout militant, y compris  à tous les anarchistes, mais aussi aux élites qui les gouvernent d’une main de fer ou de velours.

Dire ce que l’on sait ou croit, n’est pas savoir ce que l’on dit ! Ni à qui nous nous adressons. Et au fait, sait-on ce que l’on est, beaux parleurs que nous SOMME S ?

Une seule chose nous manque encore, celle que l’on dénie plus que tout, celle que l’on fuit comme la peste, celle dont on se moque, non sans le ressentiment d’une certaine honte… La voix de Cassandre, qui implore le retour de Thémis aux yeux bandés et le pardon de Calypso concernant le cœur maudit de Poséidon. Un Océan furieux et malheureux, jaloux et frustré, qui fourvoie ses frères dans une guerre olympique sans fin. L’innocence et l’humilité nous font défaut lorsqu’il s’agit de regarder enfin Cassandre en face ! Voilà qui nous fait systématiquement manquer un Graal que nous cherchons pourtant. Ce Graal, au-delà du NOM de la rose qu’il renferme, est l’essence même de la maîtrise du langage sous toutes ses formes ! J’utilise ici l’Histoire, les légendes et les métaphores pour vous éviter les chiffres, les lettres et un jargon scientifico-métaphysique que je développe dans d’autres billets. Il y a mille et une façons d’aboutir au cœur maudit de Rome, et c’est au long de ce noble voyage que l’on réunit logiquement, naturellement, les ingrédients de la meilleure médecine qui soit. Embrasser ENFIN le mal, c’est POUVOIR enfin lui faire accepter le remède ! Voilà qui fonctionne à tout ÂGE. À tout ÂGE. 1000 et une façons disais-je… Mais elles peuvent se résumer en quatre voies qui ne font qu’une : la sémantique pure (spiritualité, théologie, transcendance, chemin mystique), la  réductionniste (sciences matérialistes), la logistique (application des idéologies, politique, philosophie matérialiste) et l’artistique (la cigale talentueuse, inspirée, influencée par les trois autres voies et souvent torturée par le conflit qui règne entre elles, cause de mauvaise intendance).

Note : la maîtrise du langage est une redécouverte, le renouveau d’une information perdue depuis bien longtemps… OR, une information voyage de 1000 et une façons, à la vitesse des ondes que l’Homme maîtrise, à la vitesse de la lumière concernant les vieux gardiens de cette terre. Il est ici notre seul salut face à la masse critique qui s’abat sur nous, tandis la prison gravitationnelle nous courbe et nous fait ramper dans une vaine agitation. Cette masse critique dans laquelle nous nous laissons « conflictuellement » entraîner est comme un trou noir que nous  incarnons inconsciemment et auquel nous avons même donné un nom, le N.O.M ! Une force si terrible, si GRAVE, que même nos « Lumières© », prises au piège, ne peuvent en ressortir. 

Déconstruire et réparer.   

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