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Le blog de Persone

science et religion

Éternel des armées/éternel désarmé

21 Décembre 2019, 01:11am

Publié par Persone

Éternel des armées/éternel désarmé
Éternel des armées/éternel désarmé
Éternel des armées/éternel désarmé

Ni début ni fin, pas d’origine, pas de projet précis, pas de mémoire, mais un potentiel infini, une inertie ponctuée d’hystéries… L’éternité emmerde l’Homme au moins autant que ses enfants ! Ce maître de maison conçoit l'espace-temps à son échelle humaine, c'est plus fort que lui ! Il n’est plus un cueilleur, chasseur et jardinier, il est devenu Sapiens, il est agriculteur, chasseur et n’a plus d’attrait pour la cueillette de saison ! Il est l’Homme civilisé. Il distingue conscience et matière, il dénigre ce support terrestre qu’il juge si cruel avec lui et contrairement à ces ancêtres, il se complait à penser que la matière inerte et organique moins complexe que lui ne possède ni conscience, ni intelligence. Cette conscience, il estime en avoir l’exclusivité, en être l’origine. Mais il fait froid dans un monde sans conscience, où la seule lumière de l’âme, le seul repère de continuité face à la mort, se trouve être une impitoyable balance chargée du poids de nos actes et de nos remords. Alors, après avoir exploité et sacrifié son frère, son amour et son enfant dans sa grande entreprise, il imagine des Dieux, puis des archanges et un grand patron à son image ! Un grand patron libéré de toutes les contraintes qui lui sont propres ! Un patron désarmé, selon la pertinence des propositions des premiers prophètes, mais qui deviendra vite un patron tout puissant sous l’effet des crises et des enjeux croissants motivés par le progrès de l’entreprise. En d’autres termes, un Dieu fourre-tout dont le déterminisme est une excuse parfaite à tous nos manquements ! L’Homme commun, malheureux et irresponsable pécheur, ne peut trouver son salut que dans l’institution représentative de ce Dieu à la fois impitoyable et miséricordieux. Moyennant paiement, comme il se doit !  Mais sa cité demeure en péril et les récoltes de son expérience le complexent autant que toutes ces questions existentielles irrésolues… Alors il jalouse cet Éternel dont il finit par se demander s’il est un dieu despote ou un simple domaine du hasard dans lequel la vie est un accident et vouée à la destruction. Dieu est mort, Dieu n’a jamais existé… Que sait-il ce petit Homme, à la fois trop affairé et soumis à l’ennui ? Que sait-il, tout harassé qu’il est, amoindri et aveuglé derrière son ridicule et pourtant invincible rocher de Sisyphe ? L’incomplétude dont il se fait un complexe est un cadeau : son présent ! Et le déterminisme empirique, qu’il élève au rang de loi irrévocable, sert d’excuse à ses choix les plus morbides. Ce déterminisme empirique de nature religieuse ou matérialiste, dont il demeure un témoin corrompu par l’intérêt général, un témoin dont la mémoire falsifiée ne peut accéder à l’origine du problème ou plus précisément à l’origine du crime.  

"Comme si on pouvait tuer le temps sans blesser l'éternité" - Henry David Thoreau.

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Arithmancie secret d'État - Partie 3

13 Décembre 2019, 21:20pm

Publié par Persone

Arithmancie secret d'État - Partie 3

Bonjour à tous,

Dans mon dernier article « l’arithmancie secret d’Etat », je m’affairais à rétablir la vérité sur cet art politiquement et religieusement hermétique, que nous assimilons à tort et pour cause de cet absolu secret d’initié, à de la divination néopythagoricienne. Autrement dit, à un passe-temps de bas étage qui monopolise pourtant la totalité de l’espace médiatique consacré à la discipline et à son nom impitoyablement galvaudé. Les encyclopédies et dictionnaires, malgré leur devoir déontologique n’en disent pas plus et sont donc responsables de falsification ! Pour le commun des mortels, cela peut paraître choquant : en effet une majorité d’entre nous, bien-pensante, imagine que la révolution des « Lumières » et plus tard celle des NTIC et de l’internet, ne permettent plus les inégalités concernant l’accès aux connaissances. Depuis l’affaire du Watergate et les droits de publication des théories de complots à la carte, cette majorité imagine aussi que la dissimulation de gigantesques scandales ou de mensonges historiques, « c’est de l’histoire ancienne »… Communément, nous pensons donc : « Dans les détails ok, mais pour les grandes lignes quand-même… Tout a été découvert, il n’y plus grand chose à dire sans le redire. » Mais détrumpez-vous, sortez tous de votre léthargie collective, si productive soit-elle : c’est bel et bien le principal que l’on vous cache, la nature même du langage, c’est un fait.

La seule chose dont vous devriez être sûr, c’est que vous ne savez rien ou du moins rien d’essentiel… Rien  d’autre que ce que l’on veut bien vous montrer pour vous dresser, pour vous faire produire, quitte à faire de vous des sacrificateurs de leurs propres enfants !

 

Introduction

Dans ce dernier papier, je m’attache à démystifier un autre phénomène hermétique : Depuis plus deux siècles, tous les cryptologues ou les spécialistes de la sémantique et des langages ayant tenté de démontrer les relations naturelles (logiques, arithmétiques, géométriques et sémantiques) entre les chiffres et les lettres, quelles que soient les calligraphies et les langages étudiées, ont été soit assassinés, soit discrédités et condamnés, autant par les pouvoirs politiques que religieux. La vie d’Ivan Panin et ses premiers déboires en Russie témoignent de ce fait dans une période charnière, à cheval entre la fin du XIXème et le début du XXème siècle. Ceci dit, Panin comme tant d’autres s’est immergé dans la complexité des opérateurs et des statistiques, autant que dans le mysticisme ; au final il n’a pu aboutir, ni donner un sens réel à ses découvertes pourtant fascinantes. Faute d’un bon protocole, faute de simplicité, faute d’une humble question à poser aux chiffres avant de les manipuler ! … Bonjour, enchanté… Qui êtes-vous ?  Le mathématicien et philosophe a semble-t-il commis les mêmes erreurs que les kabbalistes qu’il dénigrait pourtant : tous se sont fourvoyés dans l’étude des répétitions de chiffres et nombres particuliers dans la bible en y voyant la signature divine, mais aucun d’entre eux n’a interrogé le langage commun et les opérateurs les plus simples ! Aucun d’entre eux n’a questionné la sémantique avant de s’aventurer dans les singularités mathématiques et de les assimiler à des codes volontairement cryptés par Dieu en Personne ! La logique serait-elle le fruit d’une intention machiavélique, joueuse ou protectionniste ? L’intention primordiale, raisonnablement, n’est pourtant que la manifestation du ratio et de la conscience relative de l’être ! Un appétit innocent. Aussi innocent que devrait l’être l’intention du chevalier qui cherche le graal ! N’est pas Perceval qui veut.

Ma critique concernant les méthodes de Panin, ainsi que celles des Kabbalistes ayant apparemment mal interprété le Zohar : Des preuves et des coïncidences trop fréquentes pour être fortuites c’est bien ! 3 000 fois tel mot biblique dans la bible et 450 fois un autre, etc, etc… intéressant ! Tant de fois le nom de Dieu sous différentes formes… Mmmh, vous m’en direz tant ! Des noms encore inconnus à l’époque de la rédaction et qui apparaissent dans le texte par le truchement des nombres… Waouh, amusant comme jeu et déroutant, voir mystique, pour qui ne connait pas les statistiques ! Mais qu’est-ce que cela signifie si ce n’est que le chercheur bredouille s’obstine à faire parler des nombres et des lettres qui demeurent muets face à sa perce/Eve/errance ? Pour ma part, j'insiste, les codes dissimulés dans les textes "sacrés" sont d'origine humaine et dénoncent ce que les auteurs ne pouvaient se permettre de dévoiler à leur époque! Quant au messages contenus en filigrane dans la structure même du langage, ils proviennent de l’immanence du rapport conscience/matière, il ne sont pas codés, mais subtile, aussi subtile que la logique, rien de plus.

Retour à l’Histoire : malgré leur incapacité à ouvrir le sanctuaire de ce Graal tant convoité par les élites du monde entier, la pertinence et le cumul des découvertes de ces scientifiques, théologiens, mystiques ou alchimistes, représentait déjà un danger pour les pouvoirs politiques et religieux ! Question : en dehors de l’assassinat pur et simple, monnaie courante à l’époque, comment discréditer les arguments de ces hommes de science et de foi diverses, alors que nous savons pertinemment que dès l’origine de l’écriture, les chiffres et les lettres étaient liés ? L’argument rhétorique est si simple qu’il tient encore de nos jours et satisfait immédiatement tous les troupeaux domestiqués…

Parenthèse : Les vaches sont productives et pour qu’elles le demeurent, elles ne doivent en aucun cas être initiées. De bonnes laitières totalement rebutées par l’outil mathématique dont la mauvaise réputation « de casse-têtes » tombe ici très bien !

Quel est-il cet argument rhétorique tout puissant ? Les chiffres et les nombres n’expriment que des valeurs quantitatives, ils sont aussi des instruments de mesure, mais ne veulent rien dire en dehors de cela ! Donc toute spéculation sur leur relation avec les lettres ne sont que hasard insignifiant et fantasme ésotérique. Et une lettre seule, n'a pas plus de signification qu'un chiffre!

J'insiste encore sur l’affirmation de la fosse s©eptique conventionnelle et globalement admise:

«LES CHIFFRES NE VEULENT RIEN DIRE, UN CHIFFRE NE SIGNIFIE RIEN DE SÉMANTIQUE...»

Je mène donc une enquête depuis plusieurs années, dans la rue, dans les milieux autorisés, dans les milieux défendus, dans les bibliothèques ou sur Internet. La conclusion est accablante : cette rhétorique machiavéliquement simpliste a convaincu sans effort les technocrates les plus matérialistes, les décideurs les plus opportunistes et les  vaches les plus besogneuses, trop occupées à produire, à compter, à économiser et à dépenser leur sal/e/aire.  Enfin, pour lobotomiser définitivement les irréductibles, les rêveurs et les vaches occidentales en mal de d'enchantement, de nouveaux syncrétismes sont apparu en pleine euphorie soixante-huitarde, de puissants moteurs d’idiosyncrasie... Je cite le New-Age et l'arithmancie divinatoire pour tous ! Depuis les méfaits accomplis de ces deux fonds de commerce débilitants, la philologie, la cryptologie et la sémiologie elles-même passent pour de pseudo-sciences! Un coup de maître pour renforcer le vieux couvercle de l'hermétisme.

Mon article sera peut-être long, mais simple… Disons qu’il ira droit au but tout en exprimant les nombreuses arborescences des chemins qui y mènent : il se résume à une énumération ordinale des chiffres dont sont issus les nombres, avec la traduction de leurs principales valeurs sémantiques.

Pour de simples raisons de volume d’information et de confort de lecture, nous n’aborderons dans ce premier chapitre que les premiers chiffres : 0, 1, 2 et 3.

 

Rappel avant développement:

La matrice des 10 chiffres (0 à 9) n’est pas une invention de l’Homme, mais une découverte logique progressive. Le fait que 9 annonce la boucle et le retour du 0 pour désigner la première décade des ordres de grandeur tient directement des propriétés arithmétiques et géométriques des chiffres. Géométrique ? Me direz-vous ! Posez-vous les questions suivantes: qu’est-ce qu’un point. Qu’est-ce qu’une sphère ? Qu’est-ce qu’une droite ou un segment ? Qu’est-ce qu’un angle ? Combien de points définissent une droite ? (indéterminable)… Un segment ? (2 + 1 en tant que milieu)… Un triangle, un carré, (… les nombres pour les autres polygones…), un cercle, une sphère (indéterminables) ? Combien de points pour un angle (3) et comment définir la valeur de ce dernier qui semble en rapport avec le segment linéaire qui nous sert d’unité de mesure classique et la notion d’arc de cercle ? Ce sont entre autres ces préoccupations qui ont permis aux mathématiciens de comprendre que les notions de cycle étaient liées à la série 3, 6, 9, avec 6 en médiateur (milieu), et que la notion de linéaire mesurable était liée au système décimal avec cette fois le chiffre 5 pour médiateur. Mais comprenons bien que ces relations sont « intimes » et ne forment qu’un tout, un tout dans lequel elles s’expriment. Pour le dire avec plus d’humour : le système sexagésimal et le système décimal, c’est la même chose, sans être la même chose. Si le cœur vous en dit, plongez-vous dans l’étude de la notion de radian, de vitesse linéaire et de vitesse angulaire, pour entrer dans les détails. J’insiste sur un élément non négligeable : en comptant le nombre de jours qui défilaient entre deux retours de printemps, nos ancêtres gravaient systématiquement 360 traits environ sur ce qui leur servait de premier calendrier. Et 30 pour le cycle lunaire. Plus tard, bien plus tard, ils ont découvert que l’approximation concernant la rotation des astres correspondait à environ 5 jours. Il convient ici de comprendre et de comparer les suites arithmétiques : 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6 (suite ordinale des entiers naturels)… ou 2, 3, 5, 7, 11, 13 (nombres premiers)… ou 3, 6, 9, 12, 15, 18, 21, 24 (multiples de 3)…Vous m’avez compris, la nature elle-même s’exprime, elle est le langage et elle nous laisse des pistes.     

D’un point de vue arithmétique, ce sont les nombres premiers et plus précisément la comparaison des écarts entre ces « derniers » qui nous a conduits à constater la valeur de boucle du chiffre 9. On peut aussi parler de la notion de carré de trois (3²) qui forme la première herse partant du domaine de la logique la plus élémentaire : si une longueur existe, elle est définissable par deux points et un milieu, donc 3 points déterminés et relatifs les uns par rapport aux autres, 3 éléments concrets, abstraits, potentiels, manifestes. Même le 0 engendre, par son existence et donc son unité, sa propre dualité ! Autrement dit, il est aussi son double et SES symétries : les opposés concernant les valeurs relatives des forces. Et les inverses concernant les ordres de grandeur. C’est donc le carré de cette base logique élémentaire, sémantiquement, arithmétiquement et géométriquement manifestée, qui forme la première grille dont le nombre de cases est impair, mais non premier 9. Notons que le carré renseigne sur la double nature du 2 : le carré concerne en effet la notion abstraite de multiplication par soi-même et donc de double abstrait (segments et angles définissent les surfaces). Pour nos yeux, au quotidien, la 3D nous semble beaucoup plus concrète.

Je n’explique pas tout ceci pour justifier ma position de ne pas aller au-delà du chiffre 9 pour révéler le signifié occulté (et non occulté) des nombres ! 9 est une base de surface et de volume, mais au-delà, les nombres composés de chiffres expriment des accords, des caractères de nature susceptible, qu’il serait idiot de négliger. Néanmoins, j’aborderai ce sujet dans un autre article concernant les relations entre les chiffres, les nombres et les lettres qui sont gravées en l’Homme ou par l’Homme comme autant de caractères ! Ici, retenons simplement que les nombres, si infinis puissent-ils être, sont reliés à des ensembles : les pairs, les impairs ou les premiers par exemple. Ou encore, les entiers, les naturels, les relatifs, les imaginaires… Et comme nous venons de le voir, ils sont tous logiquement rangés dans une commode à 9 tiroirs, un meuble abstrait dont le premier ou onzième tiroir, indéterminable, est à la fois la commode, dans la commode, et autour de la commode. Ce phénomène de commode matricielle, donne lieu à ce que Pythagore et L. Euler nommaient la réduction additionnelle des termes consécutifs d’une expression logique (nombre, accord, nuance ou mot). 21 par exemple est dans le tiroir 3 (2+1). 12 aussi ou 777. 666 ou 999 sont dans le tiroir 9. Simple ! Au fil du texte, vous trouverez quelques mots décryptés selon la même logique et en utilisant le rang ordinal des lettres dans l’alphabet latin. « MAIN » pour exemple sera noté M(13 et donc 4)A(1)I(9)N(14 et donc 5) ou simplement MAIN (01), 01 étant la réduction de 4+1+9+5 ou de 13+1+9+14, ce qui revient au même. Ou encore MAINS (2) concernant le pluriel. Finissons par un chiffrage sémantique plus poétique : CŒUR donne 8. Tout comme SEXE. AMOUR donne 5, une quintessence !  

Ce qui suit n’est qu’une base, probablement une fondation pour une « nouvelle », commune et meilleure compréhension  de ce qu’est le langage, une fondation irrévocable, mais une simple base tout de même. Entrer dans les détails nous mènerait vers l’infini, et tout comme en « non matière » d’Amour, cette intimité subtile ne s’enseigne pas, elle n’appartient qu’à celui qui pratique. Question de la substantifique moelle… La substance de double nature dit-on aussi. Laissons à l’enfant, à notre avenir, ce qui lui appartient… Je ne m’attache ici qu’à sauver le chat, capturé par l’expérience… Et à réconcilier la mère Michel et  le père Lustucru. Gestion des priorités oblige.

Arithmancie secret d'État - Partie 3

Développement :

Ꙩ : 0 ou zéro

Indissociable de sa propre unité en tant que chiffre à part entière et de sa dualité, autrement dit des chiffres 1 et 2, nous amenant donc à 3, comme vu précédemment. Quel est donc le double de lui-même ou son inverse ? C’est relatif ! Le point est le double et l’inverse du cercle et vice et versa ! Je vous conseille de visualiser une onde à partir d’une goutte d’eau dans une bassine, un lac ou un océan. De l’eau dans de l’eau, voilà qui tombe bien pour rendre l’exemple plus significatif encore. 0 est un chiffre entier mais inaccessible, inatteignable dit-on. Il est par conséquent indéterminable par l’observateur et demeure manifestement indéterminé pour ce dernier. Du moins avant que son principe (de trois) n’engendre un « point » manifeste. Ce point est donc encore un zéro, mais dont l’état engendre une incarnation dite matérielle, un objet déterminé ayant nécessairement à son tour un double. Nous arrivons encore au segment de deux points muni d’un milieu. Manifesté, ce phénomène se nommera « particule élémentaire » une fois découverte par l’observateur de nature humaine. Il en existe de nombreuses. Les quarks (liés aux antiquarks) s’assemblent par 3 pour former les baryons, qui représentent pour nous la « masse » principale de nos atomes. Mais 0 est avant tout un chiffre qui nous ramène à la notion d’infini… Il est donc aussi l’horizon vers l’extérieur et l’intérieur concernant autant l’espace que le temps. Il convient ici de réfléchir aux notions complémentaires de trou noir et de vide intersidéral, de Big-Bang et de fond diffus cosmologique. 0 est l’ensemble vide, mais le vide absolu et unique est impossible ! Dualité oblige. En ce cas, 0 est tout autant le plein que le vide et les deux états ou natures sont communicantes. 0 est contraction et expansion, inspiration et souffle, etc… Il est le silence et la musique. 0 est aussi le centre primordial de la symétrie, il est le miroir indéterminable et multidimensionnel! La notion d’axe de symétrie devra attendre deux points pour se manifester. Zéro est le point indéterminable en lequel et par lequel s’expriment ce qui émane et se diffuse (caractère de la lumière) et ce qui absorbe et rappelle (caractère du trou noir). Le zéro (nature) est aussi le milieu (position) et l’étape (état/vitesse) où la matière et la vie s’incarnent en couleur : la terre du milieu. Passagère, pour l’observateur convaincu que le passé n’est plus et que le futur n’est pas préconstruit. Observateur qui ne conçoit souvent la notion d’instant éternel que dans la mécanique de la souffrance et la perpétuité des tâches qu’il s’impose. A ce jeu, la synchronicité devient l’ingénierie du consumérisme et la simultanéité, le symptôme de l’Anthropocène. Causalité, immanence et retour à l’équilibre oblige. Autrement dit, soit le Sapiens malade comprend le mal qui le ronge et se répare, soit il va au bout de l’expérience morbide et les générations qui lui survivront pourront un jour aller pisser sans remords sur sa tombe. Or, ce n’est pas en se rassurant du fait que « Dieu » soit mort ou inexistant, ni en affirmant que l’Homme est mauvais et sans une once de libre arbitre, pas plus qu’en propageant l’idée que le 0 et les chiffres ne veulent rien dire (…), que Sapiens prouve sa volonté de déconstruction et de réparation ! … ∞

Symbolisme :

Note : nous nous résumerons ici aux indications du Zohar et de la Kabbale concernant les sephiroth. Pas de sephirah zéro, rien de plus logique : Y a-t-il un zéro plus singulier que pluriel, plus masculin que féminin, ou vice et versa ? Y a-t-il une lettre 0, ou un symbole meilleur que le point ou le cercle (tous deux indéterminables et non mesurables hors approximation) pour le représenter ? Pouvons-nous figurer la conscience ? Pouvons-nous voir simultanément le visible et l’invisible ? Est-il souhaitable de voir, de nommer et pourquoi pas de s’approprier ce qui est généreusement caché sans l’être ? Alors, les kabbalistes ont évoqué le 0 par son retour annonciateur de la première décade. Le dernier et dixième sephiroth « visible » est Malkhouth : le royaume. Chiffre 10, élément terre, couleur brune. En mots communs, il symbolise le monde manifesté, celui que l’observateur nommera réalité.

Arithmancie secret d'État - Partie 3
Arithmancie secret d'État - Partie 3

I : 1 ou Un

Un ou Oinnnn… avec O muet, premier son émis par le bébé avant A et E, E avec ou sans accent. Le E qui précède le « EU ». Un est la plus petite unité connue : le « iota » comme le nommèrent les grecs. Son symbole est « I » vu de profil ou « . » vu de face. Mais la place du « . » ou du « 0 » n’a été acceptée communément par nos intellectuels et spirituels que depuis le septième siècle. Jusque-là, le point servait d’accent, de ponctuation ou d’alternateur sémantique. Le son « I » est lié à l’intensité du premier cri, mais les cordes vocales du nourrisson ne lui permettent que le son atténué « IN ». Pour l’adulte, le I est clairement le son strident et aigu lié à la douleur transmise par les nerfs. Lorsqu’il n’est pas le I formé par la bouche lorsqu’elle ricane. La douleur aigue motive rarement un son grave. Concernant le ressenti, lorsque la douleur est aigue, nous visualisons rarement la plénitude ou le vide, à moins d’être un maître yogi, un sage accompli. Nous ressentons plutôt le versant plein, continu, linéaire, toujours trop long à notre goût, bref, le « I » sous pression, plus que le « 0 » souple et élastique. 1 est donc lié à I ou i par le signifié du iota et la manifestation commune, universelle, d’une sensation liée à ce qui est aigu et du son « Un » exprimé à la naissance par le « fils de l’Homme ». Pour un homme préhistorique I est aussi le premier signe accessible, instinctif, qu’il peut graver sur le sable par exemple pour signifier « Moi » ou « Toi » ou « lui », ou toute autre objet ou phénomène humainement considéré comme unité. Notons que le iota désigne ce qu’il y a de plus petit et qu’il sera utilisé pour désigner une unité de mesure, nécessairement relative, mais très pratique ! 1 désigne MOI ou TOI ou LUI ou encore NOUS… Il désigne donc plusieurs points ou angles de vue (relatif à…) et désigne l’objet ou l’ensemble d’objets. C’est un jeu de focus et de sémantique propre aux facultés de l’humain. Mais continuons : le 1 est donc l’unité relative. Une unité au sens large, au sens indéterminé donc, mais qui nous permet de déterminer ensemble, jusqu’à une certaine limite de précision, ce qui nous entoure et nous constitue. Allons plus loin : le 1 est aussi le JE du MOI. Non ? Et oui, vous êtes une simple unité ! Et ce qui vous constitue n’est pas différent de ce qui fait le reste. Qui plus est, vous devez vous plier aux mêmes règles que tous, dans un monde déterminé. Et pourtant, vous êtes unique et nul ne saurait prédire votre avenir au-delà d’une certaine précision, pas même vous.

Une parenthèse s’impose : votre liberté est RELATIVE, mais vous avez le libre arbitre, c’est-à-dire la responsabilité de vos actes. Humainement parlant, les notions indissociables de détermination du choix et passage à l’acte, relèvent du domaine de l’indéterminable, quelle que soit la précision avec laquelle on peut déterminer les forces agissantes. Nous pouvons assimiler ce phénomène à un exemple physique : la roue libre d’un embrayage ! Tout pilote sait raisonnablement et intuitivement à la fois, que la  perfection d’un bon passage de vitesse est un graal inaccessible dont se rapprocher élève le pilotage au rang d’art… Ou peut sauver des vies en cas de course folle. Cette subtile et immatérielle mécanique n’est que le signe de l’évolution (entropie et complexification du système), mais cet héritage subtil, complexe et enivrant, passionnel devrais-je dire, représente aussi un grand pouvoir et de surprenantes facultés pour ce dernier prototype de l’évolution que nous sommes. Un pouvoir et des talents qui réclament de grandes responsabilités ! J’ai volontairement employé le terme « enivrant », en référence à un symbole biblique falsifié dans les liturgies : le passage de l’Ivresse de Noé, sortie des eaux avec ses trois fils et mystérieuses et infidèles épouses. Il est question ici de la nature de l’évolution de la cellule ! La réplication/duplication (Un noyau suffit, 1 ! Et pas de sexe déterminé) ou l’accouplement, la sexualité (nécessite au moins deux sexes, mais issus d’une même famille). Scandale ! Du moins à l’époque biblique et jusqu’à la fin de l’obscurantisme. Après la révolution, c’est une autre histoire, une histoire de « Lumières » aveuglantes et d’éteignoir. Chacun cherche son chat et se fout de celui des autres ; quant à la vérité, soit elle n’existe pas, soit tout le monde s’en bat les valseuses. Nous en avons 2. Ce détail biblique est pourtant un quiproquo sémantique qui a engendré la justification de l’esclavagisme du peuple africain dit « NOIR », comme Cham, l’enfant maudit.

Bref, 1 est aussi le JE. Je suis, parce que vous êtes. Mais que SOMMES-nous mon amour ? … Notre Amour… Un accord ? Nucléaire peut-être ? … Ne nous fâchons pas. Je tente une poésie, mais la question est tout à fait sérieuse ! La  grande question du JE, du JE SUIS et de la double nature du fils de l’Homme manifestée en Jésus pour les chrétiens, écrit avec un J dans les langues latines. Une question qui a fait couler autant de sang que d’encre, encre qui est aussi du sang. C’est ce phénomène contextuel qui, au XVème siècle, poussa Pierre de La Ramée à insister sur la pertinence des lettres conceptuelles J (dérivée du I) et U (dérivée du V). Le J est placé au dixième rang de l’alphabet (I0 se réduit à 1) après le I et le U au vingt-et-unième (3), avant le V. L’alphabet latin comporte dorénavant ses 24 lettres, autant que d’heures dans une journée, + 2 lettres conceptuelles ajoutées aux « caractères » déjà exprimés. Je vous laisse méditer à tout cela pour alléger l’article.

Abordons d’autres notions complémentaires : 1 est axe de symétrie s’il est UNE droite infinie, ou centre de symétrie s’il est « point » ou segment relatif. En tant qu’axe, il permet des translations, en tant que « point » il permet des projections « imaginaires ». Intervient ici la notion de symétrie et de ratio entre les unités diverses projetées ou translatées. Le phénomène de projection et de centre de symétrie nous amène à penser aussi au cercle ou à la sphère et au final, à la zérotation. Le centre « 0 » ou « O » ou « . » et l’unité et sa projection (1 et -1 par exemple). Pour visualiser, le point « . » est le centre et O (plan classique) ou 0 (plan complexe) est le cercle, l’œuf ou les trajectoires orbitales. Mais considérons que lorsqu’on s’enfonce dans le « point » et donc l’infiniment petit, nous retrouvons aussi des centres et des axes de symétrie ainsi que des zérotations !  Vers l’infini, les notions de masse et de rotation finissent par s’annuler, se dissiper pourrions-nous dire, pour laisser place à la substance indéterminable. Mystère des interactions et du langage par lesquel(le)s le tout et le rien s’expriment.  0, 1 et 2 (la dualité, la symétrie, l’intrication…) sont liés et ne font qu’UN ou TROIS (0, 1 et 2) en UN.

Résumons : 1 est un premier son émis par le fils de l’Homme, 1 est Je, 1 est « je suis », 1 est toujours le symbole de l’unité U (21 symbole de l’âme ou 3 symbole du principe créateur), 1 est aussi l’intersection ou l’inclusion, 1 est l’inclusivité et l’exclusivité, 1 est l’intégrité de chaque élément dans la partie et l’unité de la partie, 1 est déterminé mais sa nature, sa position et sa vitesse demeureront indéterminables. 1/dé/Terre/Mine/able. 1 : unité/Dé : probabilités/Terre : compatibilité, complémentarité, fusion et accrétion/Mine : exploitation et énergie/Able : capacité, possibilité de. 1 est une unité relative, 1 est une unité de mesure (ramenée à l’indétermination de Pi), 1 est point ou axe, moyennant compréhension de la dualité/symétrie/complémentarité/...

Symbolisme :

Pour les kabbalistes, 1 est la couronne (du roi conscient du royaume, royaume représenté par 10 et donc l’unité du zéro).  Et bien que je n’affectionne guère la divination néopythagoricienne, le jumelage de celle-ci avec les petits secrets arithmantiques de l’astrologie (fondé sur la relation entre le décimal base 10 et le radian base « 3, 6, 9, 12 »), donnent d’assez bons résultats pour déterminer les caractères ou traits de personnalité. La raison principale de la limite de pertinence de cet art, que je nomme souvent de bas-étage, est précisément le manque de maîtrise des véritables relations entre les chiffres et les nombres, entre les chiffres et les lettres, entre la physique et la métaphysique. Manque de protocole réductionniste, suffisance et profit de la petite entreprise ! Et hermétisme, encore et toujours… Séculaire, globalisé.

Arithmancie secret d'État - Partie 3
Arithmancie secret d'État - Partie 3

Deux : 2

Ratio, dualité, complémentarité, immanence, transcendance à double voie, yin-yang, double face, surface visible/surface cachée, rémanent/immuable, simple/complexe, entier/divisé, singulier/pluriel, lumière/ténèbres, entrant/sortant, vivant/mort, passé/futur (…) etc, etc. Et faut-il poser la question : « être et ne pas être/être ou ne pas être »? Ne nous laissons pas troubler par cette question shakespearienne et n’omettons pas les notions d’opposé ou d’inverse concernant état et nature. Le deux en un par le « Saint-Esprit », ou « milieu », « principe », « logique », suivant les vocables. 2 en 1 qui font 3 en 0. Si ce dernier (et premier aussi) s’exprime, 1 doit être et avoir son double (immanence de l’être et de l’avoir). Ici 1 peut être le tendant vers le vide et le tendant vers le plein, la charge positive et la négative (état), la répulsion et l’attraction, la matière et l’antimatière, le haut et le bas, la gauche et la droite, le devant et le derrière (…), le déterminé et l’indéterminé. Mais concernant le vivant, il est aussi la conscience de soi par rapport à l’autre. La vie dans sa cellule, sa capsule voyageuse pourrait-on dire. Une intelligence, une substance et une frontière (3). Mais il est également cette cellule dans son intégralité, elle aussi dans un milieu et donc encore une intelligence, une substance cette fois extérieure et une frontière. L’être sort des eaux, la mère accouche : 1 est encore la conscience de soi par rapport à autre « chose », mais cette ou ces « chose(s) » se gâte(nt) ! Un premier effort est requis : « tu es métabolique, agis » conseil l’ange au petit corps en souffrance ! L’ange, plus tard prend le nom d’orgueil. Ange gardien, il devient facilement geôlier ou bourreau. Jadis, on l’assimila à Satan, sans expliquer aux moutons ce que S(1)A(1)T(2)A(1)N(5) (I0 ou 0I) signifiait. L’ange déchu, l’origine du mal enseigna-t-on aux enfants. Trêve d’obscurantisme, Le travail de la mère et de l’enfant est récompensé ! La première frontière s’envole, le monde est plus vaste et divers à l’air libre. Au fil des heures, des jours, des mois et des ans, le petit d’Homme appréhendera la conscience de soi en fonction de l’autre (la famille) et du milieu. Une intelligence, un environnement et tout un horizon !

Parenthèse : soit dit en passant, SOUFFRANCE (force de réponse métabolique)  en résultat alphanumérique réduit donne 10 et donc 01. Tout comme SATAN… Ou ANUS. 0 est un orifice, un trou, et 1 ou I évoque un segment, une tige, une fibre, un tube… Une autre subtilité liée à la notion de dualité ! Mais qu’est-ce que cela signifie ? Interactions, passage de l’information au métabolisme et réaction. Instructif, n’est-il pas ? On en revient au premier cri du fils de l’Homme, atténué par un défaut de cordes vocales accordées. Le « i » qui devient « In, un ou 1 ». Un i et son point représentent aussi « . » ou cercle relatif vu de face et « I », la tige ou fibre vue de profil. Le i a sa place au neuvième rang de notre alphabet latin. Tout comme R (aire) dont le dix-huitième rang se réduit à 9. L’alphabet moderne n’ayant que 26 lettres (8), il n’y a pas d’autres caractères que I et R reliés au 9. 8 infini ! Mais silence, on tourne de nouveau… Dans l’ancien alphabet de 24 lettres, le 9 correspond à i et s (au lieu de r). Le S ne rappelle pas le yin-yang sans raison. Le s est au dix-neuvième rang du nouvel alphabet ramiste, 19 et donc 0I. Le serpent ni chaud ni froid, les cycles ondulatoires, l’immanence du principe espace-temps. Humour sémantique : les nombreuses informations qui feront le confort de la défécation et la qualité environnementale des déjections de l’être, passent par sa bouche ! B(2)O(6)U(3)C(3)H(8)E(5) donne 9. Une bouche bavarde qui semble précéder le bout du tuyau alors que c’est bien l’évolution de l’intestin qui a formé la bouche qu’il mérite ! Etonnant n’est-il pas ? Satan l’anus fredonne toujours une jeunesse désabusée, mais qui cherche encore son chat…     

Les notions de ratio et de dualité forment un tapis volant qui vous emmènera là où vous le souhaitez ! Au bout de tout et au-delà, vers le monde à l’envers. Mais attention, il est nécessaire de maîtriser les rapports et de savoir lire une carte tout en appréciant le voyage.

Ce que le 2 peut faire dans un sens, de par son propre principe, il peut le faire aussi dans l’autre. Lorsqu’une cellule se multiplie par exemple, c’est parce qu’elle s’est divisée ! Le 1 a un double, mais aussi une moitié… etc. Arrêtons-nous ici : la moitié de 1, donc 1/2 est aussi 0,5 ! Le 5 médiateur. Entre 0 et 1, entre 0 et 10. Le 2 pair, n’en est pas moins un nombre premier, comme le 5. 2 et 5 sont plus liés qu’on ne l’imagine ! Note : 5 est le 3ème chiffre premier. Le 5 calligraphié partage la forme du cercle avec le 2, mais il commence par une forme carrée. Le 2 évoque la courbe et la droite qui segmente et le 5 évoque la quadrature du cercle. Ces notions sont très importantes dans la compréhension des propriétés des chiffres et des nombres. Faisons de nouveau apparaître la magie poétique du langage : AMOUR donne 5, tout comme CHRIST qui évoque la qualité de médiateur du Jésus que nous connaissons sans le connaître. JESUS, lié à JE SUIS, donne 2 et exprime la dualité. L’ensemble JESUS + CHRIST donne 7. 7 : sept ou Seth pour les initiés. Et JE + SUIS donne aussi 2. Le 9 (représenté ici par i) possède la propriété de s’annuler dans la réduction des nombres.  

Interrompons ce qui ne peut être fini, par quelques réflexions de type géométrique : Malgré son unité, la dualité est dans la nature du 0. Le 2 forme des couples unis par les lois de la symétrie devant 0. La nature des 2 images (ou objets) symétriques détermine les projections et le type d’application qui les concernent. Le segment formé par deux points symétriques et leur milieu est à son tour un potentiel axe ou centre de symétrie pour d’autres points… Géométrie infinie. Mais l’équilibre et la symétrie ne seraient pas sans leurs inverses : le déséquilibre, la diffraction, la déformation. A ce titre, le zéro n’est pas calligraphié comme le O en cercle parfait, mais sa forme évoque plutôt celle de l’œuf. Cela nous indique par ailleurs que tout point ou centre de symétrie peut aussi être une rotule ! Autrement dit, le premier segment muni de 3 points peut être considéré comme un angle plat OU comme un TRIANGLE, si des forces quelconques interagissent entre les points déterminés, poussant le milieu « 0 » à agir en tant que rotule. Une étape idéale pour passer au chiffre suivant avant de nous noyer dans l’océan ∞ de la dualité.

Symbolisme :

Dans la Kabbale, sephirah Hokhmah porte le 2. Elle est liée à la sagesse dans le sens d’équilibre. La vertu correspondante est le bien et le défaut est le mal. La couleur associée est l’argenté ou le gris à tendance claire. L’image de cette sephirah dans l’arbre de mort est l’arbitraire. Autrement dit, le livre des splendeurs et ses bons interprètes stipulent toute l’importance de la question du libre arbitre ! Ce dernier peut être considéré comme la conscience de la responsabilité de nos actes et de notre liberté relative dans un monde déterminé. Dans ce cas, le libre arbitre épouse la compréhension de la dualité et de la complémentarité de toute « chose » ou phénomène. Mais il peut être considéré comme un sentiment de liberté non avérée, non raisonnable et synonyme d’arbitraire. Dans ce cas, le libre arbitre est en procès, condamné par le rationalisme bien qu’il ne soit pas le bon coupable. Ce procès entraîne un mode de vie matérialiste et une entreprise commune : un empire dont la justice n’est qu’un principe de précaution dans un asile de savants irresponsables, ou plutôt non-responsables, par autodéfinition. La voie de ceux pour qui la dualité est un complexe ! Dualisme, manichéisme VS obscurantisme, positivisme, matérialisme, globalisme, nihilisme… La voie que nous avons globalement choisie. A méditer tant que faire se peut !   

Arithmancie secret d'État - Partie 3
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Trois : 3

« Le chiffre trinitaire » disait-on ! « The magic number » dit-on depuis les seventies ! « Un de ces chiffres qui nous trompent et auxquels on fait dire n’importe quoi pour nous vendre quelque chose » dit-on depuis le désenchantement total du monde ! Menons l’enquête :

Comme nous venons de le voir : 1, 2 et 3 sont liés et ne font qu’un en 0. Principe exprimant le potentiel infini de ce premier et dernier, principe manifesté par la notion d'unité relative, soumise aux nombreuses applications de la dualité. Cela concerne toute suite logique et manifeste de termes consécutifs, pouvant être considéré comme un phénomène ou un objet observable, une unité particulière, faisant partie d'un tout: un nombre, un mot, un champ électrique, un amas complexe composé d'éléments plus simples... Exprimons la trinité par le biais d'un point de vue théologique compatible avec la science: le principe (immuable), le résultat (des variables et des constantes) et les lois qui régissent les interactions, les transformations. Ces lois sont celles de la logique, elles sont perceptibles, c’est pourquoi la notion de messager a été utilisée : Thot ou Hermès par exemple, puis le Saint-Esprit, avec ses anges et ses archanges. Mais comme la science le prouve aujourd’hui, la nature du principe et du messager conservera toujours un versant caché. Dans la précision quantique, l’ensemble de trois, composé par « Nature, Vitesse et Position de l’objet », nous exprime son caractère indéterminable. Mais notre incertitude est bien heureuse et le principe d’immanence est le garant logique du sens de notre existence ! Voudrions-nous être dans la partie d’un Dieu tout puissant dont nous serions les pions, comme le suggèrent les théories religieuses les plus obscurantistes? Ou de simples accidents voués à la destruction, comme le suggère la théorie du déterminisme absolu? Voudrions-nous être NOUS, tout en étant simultanément la partie et dans la partie, sans la moindre frontière logique entre ces deux natures, ce qui ferait de nous des êtres omniscients et donc des dieux tout puissants ? Comme le suggèrent cette fois les nouvelles aspirations de la silicone valley... Soyons enfin humains ! Demeurons raisonnables et aimants, à la place qui est la nôtre. Avant de connaître la fin, attendons la fin.

Nous venons d’aborder le trois par le prisme de double nature qu’est la passerelle entre physique et métaphysique… 3 est l’accord de trois ou la guerre de Troie ! Mais retrouvons un peu la piste réductionniste. L’accord de 3 s’exprime en tout ce que la science a pu déterminer : les trois interactions fondamentales en attente d’unification (interactions gravitationnelles, électromagnétiques et nucléaires), et par extension toutes les autres: Électricité (plus, moins et neutre), phénomène de zérotation (masse relative « proton et neutron » et électron, mais aussi vide/densité/charges), physique nucléaire (3 quarks dans les baryons dont deux semblables et un différent), biologie (bases, groupement phosphate et sucre), sensation de milieu et d’opposé ou d’inverse (haut/bas/repère ou encore gauche/droite/repère et devant/derrière/repère), sensation de temps (passé/présent « repère »/futur), sensation physique et métaphysique (bien/mal/logique de l’information), etc, etc. Mais comme nous l’avons vu, il suffit de questionner la sémantique, l’arithmétique et la géométrie pour comprendre une base simple : un point et son double forment un segment muni d’un milieu !

La géométrie, l’arithmétique et la  sémantique suffisent-elles à exprimer notre genèse ? Une genèse éventuellement perpétuelle et rythmée par la vie et la mort ? Oui. La mort serait-elle le retour à 0? N’en parlons pas, pour connaître la fin, attendons la. Néanmoins, par la simple soustraction, hors de leur sanctuaire, du 1, du 2 et du 3, nous avons d'or et déjà relié entre eux nombre de phénomènes concernant les fondements de la vie. Intéressons-nous maintenant au passage de 3  à 4 ! 3 est le repère que nos sens acceptent, la 3D ! Hauteur, longueur, largeur. Mais un triangle, comme nous l’avons vu précédemment, est plan ! Vous pouvez translater ou faire pivoter un de ses côtés par rapport au sommet opposé, mais il demeurera plan. Le trois est un chiffre plat ou triangulaire, pour qu'il soit pyramidale, trois segments doivent relier 4 points. Un chiffre carré! Pour un repère en 3D, il faut donc 4 points : le centre du repère et les 3 points déterminant hauteur, longueur et largeur. Autrement dit 0,1,2,3 et le volume du 4 nous amènent à considérer les notions de point, de force, de segment, de rotule, de symétrie, de translation, de mouvement, de déformation ou de séparation... Exemple pratique: tenu par ces sommets et soumis à des forces, le triangle demeure plan, à moins que vous ne courbiez au moins un segment reliant les points... Mais le carré ? Toujours en tenant les sommets, il suffit de soumettre deux de ses côtés opposés à deux forces de rotation inverses pour le déformer. Avec la force des mains pour le plaisir du TP, ou celle de la pensée pour un exercice métaphysique pictural ! Le premier fragment d’une jolie figure en hélice apparaît ici, non sans nous rappeler la forme de la molécule d’ADN... Mais surtout, nous venons de faire apparaître un volume, le carré peut ainsi devenir un cube. Un double de 4, 8 points, 8 côtés et 6 faces! 3D, jolie 3D dont les plans sont parfois trompeurs.

Ce phénomène géométrique, que nous venons de vulgariser par la simple déformation d'un carrée articulé par ses quatre points pour faire apparaître la 3D, ouvre le champ vers d'autres notions parmi les plus fondamentales: le tore et le ruban de Möbius! Nous revoilà encore face à  l'intimité de la capsule nuptiale spatio-temporelle!

Rappelons donc que nous ne sommes pas passés de "3 en 1" à "4 en 1", sans la déformation, le mouvement, la rupture et la translation ! Or, qui dit mouvement, tel qu’il soit, ou encore transformation (ce qui revient au même), dit TEMPS ! La 4ème dimension connue et ressentie.

A propos d'espace-temps : un repère tridimensionnel indique aussi 6 directions (Haut et bas, gauche et droite, devant et derrière). Il indique également les 8 quartiers « droits » du cube ou de la sphère, tout comme le repère plan indique les 4 quartiers « droits » du carré ou du cercle. Nous avons ici une autre expression des relations invisibles et subtiles entre ce qui est impair et premier et ce qui est pair, facilement divisible et réductible de moitié. Je rappelle la notion de radian, mettant en évidence la complémentarité du système sexagésimal et du système décimal. Toute la complexité du travail millénaire ayant abouti à notre calendrier universel et à notre horloge horaire commence ici… La grande énigme physique et métaphysique du pendule de Foucault !  Des millisecondes, des centièmes ou dizaines de secondes (base 10 et 3 ensembles pour chaque millier: unité, dizaines, centaines), mais 60 (6x10 ou 1x2x3x10) secondes pour faire une minute, 60 minutes pour faire une heure, 24 heures (2x3x2=12 demie journée, puis x2 pour la journée complète) pour une rotation de la terre sur elle même, approximativement 30 jours pour un mois, 12 mois pour une année autour du soleil (approximativement 360 jours à 5 jours près)… et plus si affinité avec tous les corps célestes. Notons ici un retour au système décimal avec les décennies, les siècles, les millénaires, etc ! La nature nous donne des indices, la logique et l'inspiration faisant le reste. L’infiniment petit et l’infiniment grand nous font entrer dans les domaines  des points et des trous, du rayonnement et de la concentration, de la droite et de la courbe... Le complexe de la mesure et cette étrange sensation que nous tournons tous autour de quelque-chose que nous ne saisirons jamais. Pour la notion d'espace plan ou linéaire ou encore pour vulgariser  la notion de flèche du temps, nous utilisons le système décimal (base 0I I0). Mais le temps, la vitesse et même la masse sont aussi affaire de formes, de courbes et de positions ou mouvements. Mouvements ressentis dans la dimension du milieu (la nôtre), entre plusieurs astres proches dont celui sur lequel l’observateur se trouve. La notion de cycle, nous l’exprimons par le système sexagésimal (base 3 6/9/12).

Un dernier détail sur les ordres de grandeur : le domaine des unités, le domaine des milliers, le domaine des millions, le domaine des milliards… Dans chacun de ces domaines, influe encore un principe de trois, puisque chacun est composé du plus petit « l’unité », puis des dizaines et des centaines. 3 cases pour chaque domaine et l’unité qui le symbolise : le millier 1 000, le million 1 000 000, le milliard 1 000 000 000. Or, qu’est-ce qui différencie ces ordres de grandeur en dehors des systèmes que nous utilisons pour les comprendre ? Ce qui concerne les unités, vers l’infiniment petit ou grand, nous pouvons le distinguer facilement sans instrument, ni calcul savant ! Autrement dit, du 1 jusqu’au(x) centième ou centaines, nous pouvons voir ou dénombrer facilement. Au-delà, l’exercice se complique, l’objet devient imperceptible. Entre certitude et incertitude, entre inspiration et expérience, demeure la réalisation des « comptes » et légendes (contes) des 1 000 et une N8.

Symbolisme :

Sephirah Binah correspond au chiffre 3, sa planète est Saturne et ses anneaux, sa couleur briatique est le noir, il est représenté par 3 vieillards sur un trône. Il est lié à la stabilité, à l’inertie, mais aussi à la fatalité des « choses » et évènements (ne pas confondre avec fatalisme).  Il est également le stade spirituel de l’acceptation de la peine. Le nom qu’il évoque est celui de Dieu, dans sa version arithmantique hébraïque : YHV(W)H. En latin, la réduction arithmantique de D(4)I(9)E(5)U(3) donne 3. Les noms communs désignant cette sephirah sont : la limitation ou soumission aux contraintes (CONTRAINTES donne 3)… L’incarnation (ETRE donne 3)… Le Karma, les fins possibles ou destin au sens large (FINS donne 3)… la mère et la possibilité de stérilité (OVULE donne 3) et la MORT qui donne aussi 3. Le français n’est incontestablement pas l’hébreu et le latin dont il est un dérivé, n’était pas la langue des meilleurs amis des juifs ! Les Al/chimistes qui ont lentement élaboré nos langages les plus évolués n’avaient que faire des intérêts vulgaires des uns et des autres. Un sujet de réflexion qui vous éclairera sur le principe immanent du langage sous toutes ses formes. Vous comprendrez aussi ce que j’entends par secret d’initié et hermétisme plurimillénaire…    

Si vous êtes convaincu que les chiffres ne sont pas aussi insignifiants qu'on le prétend, je vous donne rendez-vous très bientôt, pour la suite logique de cet article. Un cadeau de noël, qu'on ne trouve pas un black friday, dans les rayons de la mort de la galerie foirefouille! 

Arithmantiquement vôtre,

Personne.     

Pendule et sabliers de Foucault... les chiffres dans l'espace et le temps.

Pendule et sabliers de Foucault... les chiffres dans l'espace et le temps.

Arithmancie secret d'État - Partie 3

Le jeu de la vie

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Le pouvoir du verbe et la magie cachée des mots. Réflexion sur la falsification et l'instrumentalisation du langage.

10 Décembre 2019, 16:53pm

Publié par Persone

Le pouvoir du verbe et la magie cachée des mots. Réflexion sur la falsification et l'instrumentalisation du langage.
Le pouvoir du verbe et la magie cachée des mots. Réflexion sur la falsification et l'instrumentalisation du langage.
Le pouvoir du verbe et la magie cachée des mots. Réflexion sur la falsification et l'instrumentalisation du langage.
Le pouvoir du verbe et la magie cachée des mots. Réflexion sur la falsification et l'instrumentalisation du langage.
Le pouvoir du verbe et la magie cachée des mots. Réflexion sur la falsification et l'instrumentalisation du langage.

Problèmes et solutions sont des états différents d'une même nature.

Ceci est à la fois une question et une réponse, autrement dit, un sujet bac pour les nuls et les champions, tout le monde est concerné. "10 certes à sion" donc!

Indices pour clé de sol/luce/ion:

  1. Pour ré/pondre, pensez au "droit" d'ingérence! Sur l'enfant, sur le peuple, sur les autres peuples! Pour ré/pondre, pensez à la poule qui fait l’œuf et à l’œuf qui fait la poule. Pensez aux stades d’évolution d’un système ou à celui d’un individu : poussée/équilibre/retour ou enfance ou développement de l’œuf/accomplissement du gallinacé et reproduction/vieillesse. Qu’est-ce qu’un enseignant ? Est-il un « en saignant » qui perce/Eve/erre en faisant de ses « sujets » une contrainte ? Maîtres et disciples soumis, enchaînés les uns aux autres par un paradigme communément imposé ? Ou un enseignant qui transmet l’information comme un conducteur de bus public, un transporteur d’énergie ? Une énergie qui se partage en toute gratuité, par redistribution, et dans un échange réciproque caractérisé par une réaction globale équilibrée : interactions sans intérêt propre ni conflit d’intérêt (jargon métaphysique), permettant l’annulation de la somme des forces tendant à diffuser ou à réduire l’information (nature/état, charge et vitesse, dans le jargon de la physique/chimie).
  2. Nous avons affaire, semble-t-il, à un vieux complexe qui pourrait bien donner raison à cet opportuniste de Freud ! Le père sacrifie le fils et le fils ne peut s’empêcher, bien que le sentiment le torture, de vouloir tuer ce père. Une situation problématique que l’on peut s'atteler à résoudre ou par laquelle l'on peut s’enrichir ou se faire un NOM en suivant l’air populaire de la révolution permanente.  
  3. Comment définira-t-on l’expérience, la réaction et ses cycles ? Sang pour sAng ou cent pour cent ? Et ce maître ou adulte qui était disciple ou enfant avant de s’octroyer le droit ou le devoir d’enseigner, quelle sera la monnaie de sa pièce ? Sang et cent ou sens… Ren(d)/seignement ou ren(d)/saignement… En/seignant ou en/saignant… E, cinquième  lettre de l’alphabet latin, symbole d’énergie (E), de médiation (5) et de quintessence… Je rappelle que les correspondances entre les alphabets de nos langues mortes sont établies depuis l’Antiquité ! Et A, première lettre. A est le point de vue et la perspective de l’observateur manifesté. E est son tout, son énergie primordiale et son énergie transformée. Le sang transporte l’information, tout comme la douleur est une information prévenant de l’effluve problématique et de la perte morbide du fluide.  

Quelques clés de réflex/ion donc !

Mais ce n’est pas parce que Marie fait beau/coup (gracieuse jonction entre la tête « capitus » et l’abdomen « ab/domaine ») qu’il ne faut rien faire…  C'est volontairement que je n'ai pas dit « parce que Marie fait TOUT » contrairement à la pub bien connue de certaines générations TV ! Pourquoi ? Parce que ABSOLU est une notion galvaudée depuis plusieurs millénaires ! Ab/sol/lu signifiait à l’origine, ce qui s’éloigne de la clé de ce qui est lu parce qu’inscrit par la lumière sur le support des ténèbres (blanc sur noir concernant la vie ou vice et versa concernant l’écriture). De Ab : s’éloigner et de soluble ou solution : la substance de double nature. Ab/solus et ab/solution viennent de la clé de sol et de « luce » signifiant lumière. Et S(19 ou 1) + T(20 ou 2) = C(3). S est le serpent ou la sinusoïde exprimant la vie et la séparation du yin-yang, T est le temps et C est donc lumière et principe de 3 !

Je vous laisse donc une occasion de repasser votre BAC !

Note  à propos du BAC : nous avons ici  B 2 dualité, A origine manifestée et perspectives et C lumière ou principe de 3 ! Baccalauréat vient de Bachalariatus signifiant  chevalier en herbe : du latin Bacca (fruit/baie) et laureatus (couronné de laurier). Un premier symbole que nous retrouverons plus tard incarné par le mérite d’un certain Perceval ! L’humble et insignifiant chevalier devant lequel s’ouvre pourtant l’ovule, disons le sanctuaire, contenant le Graal et le secret intime de la lumière et des ténèbres !

Note à propos du mot problème : vient du grec πρό : en avant, vers l’avant et avant par extension. ϐλημα : coup, blessure.

Où sont nos maîtres de la sémantique, où sont nos grammairiens ? Et que fait-on de notre école ?  

Prends ta potion (solution aqueuse) avant d’être blême disaient les sorcières.

Si cette méditation raisonnable vous motive, je vous propose de plancher sur une autre formulation du même problème :

Une question et une réponse sont-elles deux états différents d’une même nature ?   

Nous avons jusqu’à la prochaine fin d’un temps en trois mouvements pour répondre et accorder nos…

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Arithmancie: secret d'État

6 Décembre 2019, 20:19pm

Publié par Persone

Arithmancie: secret d'État
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Arithmancie: secret d'État
Arithmancie: secret d'État
Arithmancie: secret d'État
Arithmancie: secret d'État

État: un  état détermine l'état d'un "objet" ou "sujet" d'étude. Chez le sujet vivant, l'état peut être collectif et influencer leurs pouvoirs exécutifs (action) et législatif (traitement des informations, raison et gestion des lois). C'est donc par extension de la première définition que nous avons nommé nos gouvernements: États.  

Bonjour ou bonsoir à tous,
à tous ceux qui suivent mes posts ici (sujet de l'arithmancie par le biais d'un protocole épistémologique rationnel), je tenais à adresser un message aussi court que possible, mais essentiel:

L'arithmancie n'est pas une technique de divination! Cette définition galvaudée est le fait d'un accord tacite entre les pouvoirs religieux et politiques soucieux de préserver le socle de l'hermétisme sur la réunion des connaissances, ainsi que sur cet art qui possède la faculté de révéler la mécanique sordide de leur échec.

Je vous invite à trouver une autre définition de l'arithmancie, juste pour que vous puissiez constater qu'il n'y en a pas! Impasse absolue! Autre détail très important: si vous creusez, on vous dira que cet art est fondé sur l'Alphabet de Septimus Tripoli datant de 1350. Ce qui est impossible. Cet Alphabet latin alphanumérique comprend nos 26 lettres, y compris le J et le U. Or notre alphabet moderne ne contient ces deux lettres que depuis l'intervention de Pierre de La Ramée au XVIème siècle. Ces deux lettres dîtes ramistes sont conceptuelles: l'une représente le « JE » de l'être propre (Je, je suis, liés à JESU(I)S dans les symboles théologiques : J de Moi + E de énergie) et l'autre est toujours le symbole de l'Union (U), qui donne aussi les notions d'intersection ou d'inclusion lorsqu'on couche la lettre sur le flanc (inclusion) ou qu'on la retourne à 180 degrés (intersection). En tant que lettres conceptuelles, elles ont valeur de 0 et ne contrarient pas le nombre de lettres initiale de notre alphabet: 24! Cette logique, évoquant le cycle horaire, est liée aux relations entre le radian exprimé par la suite 3,6, 9 et le décimal exprimé en base 10. Elle est liée à la notion d'espace-temps!

Bon, j’avoue, le message ne sera pas si court que je le disais plus haut, mais pas moins essentiel !

Les chiffres (support sémantique, arithmétique et géométrique) sont le socle d'une logique universelle et les lettres quant à elles expriment des caractères! Les objets de métal (poussière d'étoile) manufacturés (acte conscient) dont on se sert pour imprimer les lettres et manifester le pouvoir de l'écriture, ne se nomment pas "caractères" sans raison (ou par hasard si vous préférez)! Septimus Tripoli n'est pas un homme, mais un code parmi tant d'autres! Et 1350 donne 9, comme TRIPOLI en réduction alphanumérique… SEPTIMUS donne 5 médiateur et chiffre premier avant 7… Ce ne sont que des indices codés, rien d’autre. Je ne m'étendrais pas la dessus, demandez-moi si vous souhaitez des détails, j'en ai foison à transmettre!

Vous remarquerez dans Harry Potter qu’Hermione Granger s'initie à l'arithmancie alors qu'elle n'attache aucune importance à la divination, toute raisonnable qu'elle est! Un détail que personne n'aura relevé dans l’œuvre, si ce ne sont les RARES initiés! Rappelez-vous, à l'époque de sa sortie, Harry Potter l'anglais se mesurait au Seigneur des anneaux revu à l'américaine! En France, les deux films étaient en concurrence à l'époque de Noel... Hasard et coïncidence diront-nous. :) LOL. Les vaches rêvent tandis que des initiés intronisés parmi les dirigeants de ce monde, se servent de leurs connaissances pour faire fructifier leurs talents et pour faire de notre salut un gagne-pain! Ce que prophétisent ces auteurs, c'est la chute de l'accord tacite et la destruction acceptée, consentie, d'une partie de l'humanité dans une guerre ou une insalubrité ultime. Une guerre larvée et occultée depuis des millénaires, entre magiciens et magiciens, entre moldus et moldus, entre magiciens et moldus. Bref de quoi faire des milliards en hypnotisant les vaches avec des sujets dont la seule et unique valeur devrait consister à rétablir la vérité sur la nécessaire gratuité du partage d'informations. Il existe un terme fort connu pour désigner communément cette infamie: le délit d'initié. Mais accord tacite commun oblige, personne n'oserait imaginer chose pareil. Même les complotiste ne s’intéressent pas à cette affaire, tant il leur serait démontré qu’ils ne sont que des dindons de la farce parmi les autres !   

L'homme contemporain se soulage des contraintes de son mode de vie en consommant des ambiances et des objets qui lui permettent de les ressentir! Et pour nourrir le moteur de la révolution permanente qui profite à la croissance, le militantisme à la carte est un parfait carburant. Plus il entre dans l'entropie de la décadence, plus le Sapiens s'attache à ses illusions. Ce Sapiens malin, démagogue, éleveur et agriculteur, qui jadis tua son frère malgré les avertissements de la rose et de l’enfant ! Ce cercle vicieux, seule l'abolition de l'Hermétisme "tout puissant", peut le rompre.

La vocation de ce groupe de discussion est ici!

Merci à tous pour votre présence.

Personne.

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Signes et symboles perdus

3 Novembre 2019, 21:08pm

Publié par Persone

Signes et symboles perdus
Signes et symboles perdus
  1. Une proposition :

Vous savez ce qui prouve, avec une cruelle ironie, que les accords écologiques promis par les états ne sont que du vent? Le fait que la FED injecte massivement du cash depuis quelques mois pour renflouer les banques! Injecter des centaines de milliards d'unités monétaires dans un système en faillite c'est faire endosser le poids de la dette à la nature elle-même sous toutes ses formes vivantes! A l'environnement certes, mais aussi au fils de l'Homme que l'on condamne ipso facto au sacrifice dès la conception! Tuer la vie avant qu'elle n'apparaisse, mais à retardement. Encore un accord tacite! Celui qui fait que nous choisissons non pas la révélation, mais l'apocalypse… La venue des 4 cavaliers de l’apocalypse  et l'incarnation de la porte des enfers gardées et alimentées par le cerbère à 3 têtes.

Information, substance, usure et franchise ! Quatre termes falsifiés, tronqués, qui ont perdu leur sens premier au fur et à mesure que notre mètis nous conduisait vers le nihilisme raisonnable le plus absolu !  

Métaphore des 4 cavaliers aux doubles visages (A : apocalypse / R : révélation):

L’archer : A – Conquête et possession/ R – Libération.

Le guerrier : Guerre et annexion/accord mineur et majeur de libération.

Le  porteur de balance : A – Famine, insatiabilité et inflation / R - Partage, segmentation infinie, révélation des essences.

Le pourvoyeur de peur et de mort : A - mécanique de la souffrance morbide / R - Transmission éternelle des principes réversibles et irréversibles, éveil à l’acceptation des cycles et de la transformation du paradis terrestre.

Métaphore du cerbère à 3 têtes :

L'armée viendra par les airs, la terre et les mers… Notons que le feu, ou du moins ce que nous en faisons, est déjà représenté par les enfers. Le feu est l’élément particulier qui tisse ou détisse les liens nucléaires. Autrement dit, il les renforce (force forte) ou les affaiblit (force faible) pour l’équilibre et le métabolisme du monde. L’enfer c’est une guerre du feu, de la viande et du vagin, qui n’en finit plus ! Des têtes chercheuses et pourvoyeuses de mort pour ce cerbère du Dieu des armées qui garde et ALIMENTE son domaine : le feu des armes, la bombe ou les « Lumières » du consumérisme alimentent en chair, en vie et en soumission, la perpétuité de notre souffrance !

Par accord tacite, nous sommes tous des héritiers de Barabbas et de ses libérateurs.

Brisons enfin l’omerta de toutes les mafias institutionnelles, qu’elles soient religieuses ou laïques ! Nous sommes tous des JESU(I)S sacrifiés depuis la conception et nous portons tous notre croix, malgré la place que nous avons prise : côté NOMBRE, côté MASSE, parmi les moqueurs, les hypocrites, les idolâtres, les Lotophages, les récompensés, les esclave sociaux, les opportunistes, les lâches, les accusateurs, les diffamateurs, les lapidateurs, etc, etc… A méditer tant que faire se peut pour briser enfin la trame de ce panier de crabes cancérigène!

Barrabas n’était pas le prince des voleurs ! En coulisse, il était un joker instrumentalisable entre un temple juif corrompu et un empire de dupes ! L’INCARNATION de la mafia si vous voyez où je veux en venir… A ses côtés, Jésus faisait office de Robin des bois ! A mort !

Cette mort qui ne dissout pourtant pas toutes les tâches de l’existence. Erode et Ponce Pilate s’en lavent encore les mains…

  1. Un dialogue :

Suite à cette bouteille de pirate, lancée il y a 7 jours sur mon profil, seulement trois personnes se sont manifestés ! Mais humainement, avec brillance, comme de petites lueurs dans la part des ténèbres collectivement consenties…  Une internaute a déclaré : « je ne sais plus qui l'a prononcé mais il semblerait que nous soyons tous barabassiens... Jusqu'à ce que nous ne le soyons plus! N'est-ce-pas la quête ici et ailleurs? »

J’ai souris en me disant que les bienpensants y verraient probablement un propos réducteur. Mais la réduction, n’en déplaise aux amateurs d’adages tronqués, est le fondement des sciences, elle est aussi un art de la preuve innocente lorsqu’elle ne sert pas à fabriquer le socle matériel de l’hermétisme, ainsi que les armes des gendarmes et des voleurs!  Alors réduisons, précisons,  visons le fond du trou et descendons jusqu’à ce que la matière révèle sa part de ténèbres (vide quantique)… Descendons encore, fil d’Ariane rompu, là où la raison seule ne suffit plus qu’à témoigner de son incomplétude et de sa faculté à détruire le sensible. Mais descendons encore… Au point le plus infime, le monde est à l’envers ! C’est le black Pearl qui s’inverse. Tentons de passer de l’autre côté, là où la lumière rejaillie pour dessiner de nouveau les horizons. Un saut bien singulier !

Je ne vais pas redéfinir ici les bases techniques de l’art unifié sémantique, arithmétique, géométrique (arithmancie). Je ne vais pas non plus rappeler les innombrables mais subtiles passerelles entre la physique et  la métaphysique… J’évoquerais donc une expérience vécue et jouant de métaphores et d’allégories.

Je réitère la question : « je ne sais plus qui l'a prononcé mais il semblerait que nous soyons tous barabassiens... Jusqu'à ce que nous ne le soyons plus! N'est-ce-pas la quête ici et ailleurs? »

 Ici et ailleurs en effet…

Un espoir de fou moins fou que notre folie ne l’imagine dirait Cervantès. Je connais bien un non objet qui serait des plus utiles aux institutions qui tentent perpétuellement de repousser le pire, utile aussi aux gilets jaunes qui tentent en vain de dialoguer avec la tour dans un dialogue de sourds! ... Utile à quiconque comprend qu’il n’est qu’un enfant violé et conditionné à devenir en tant qu’adulte un pitoyable détective du drame de notre existence partagée. Pitoyable parce que malheureux Sisyphe, limité par la corruption de sa programmation sociale. Un non objet disais-je, sans âge, plus ancien que l’écriture elle-même, mais que cette dernière peut cependant révéler ! Mais qui s’intéresse à ce non objet parmi les plus invisibles ? La source du signifié est insignifiante aux yeux des créateurs et consommateurs de formes et d’ambiances,  l’histoire de l’hermétisme commence en ces termes !

Concernant le « ici » que tu évoques, je crois que ce n'est plus à ma pomme de répondre à cette question, elle s'est déjà cuite à feu lent pour transmettre ce que les racines ont puisé de la nature sous toutes ses formes ! Transmettre de façon aigre, sucrée ou salée selon les goûts, transmettre en se prenant des châtaignes plein la poire...  Elle a même accepté d'être mangée plusieurs fois cette foutue pomme. Foutue, je pèse mes mots. Je vais être honnête, je sais pertinemment que plus de 90% des gens qui me lisent me saluent en tant que personne ou Persone et qu'ils apprécient ou sont chatouillés par l'ambiance consommable d'une philosophie sympathique autour du feu. Mais ce n'est pas ce que je cherche! Cela ne l'a jamais été, pas un seul instant. En revanche je sais aussi que ces plus de 90% n'auront pas pris la peine "d'intelligibiliser" les opérateurs de chiffres et lettres dont je donne les méthodologies d'application, pour les utiliser eux-mêmes. Conscient de cela donc, j'ai aussi donné des exemples précis de ce que la transcription chiffrée de nos mots donnait en résultat sur des termes de tous les jours, sur des termes capitaux (concernant les grands principes et faits reconnus), sur des termes techniques philosophiques, sur des termes résolument scientifiques (électron, proton, boson, hadron, temps, vitesse, espace, fonction zêta, E de énergie, M de masse, etc, etc...)  Je me doute que certains auront essayé de traduire quelques mots usuels pour savoir par exemple si  A(1)N(5)I(9)M(4)A(1)L(3) et P(7)A(1)R(9)O(6)L(3)E(5) pouvaient être additionnés pour donner HOMME ou CONSCIENCE, je me doute aussi que certains auront utilisé l’astuce pour en savoir plus sur leurs noms (nom propre, nom de famille) et sur leurs dates intimes (naissance et évènements)... Mais ont-ils été plus loin? Plus loin c'est quoi? C'est déjà se poser la question: "qu’est-ce que cela veut dire?" Réponse: immanence du principe du langage! Langage des interactions que nous n'inventons pas, mais ne faisons qu'observer et découvrir!

 

Autrement dit, si les chiffres et la logique elle-même disent ce que signifie vraiment les mots, au-delà de ce à quoi nous les consacrons (l'ordre et la souffrance), elle peut aussi dévoiler/ révéler toutes les falsifications des programmes que nous sommes. Falsifications qui nous ont conduits aux altérités réciproques et donc à la guerre barbare ou au distingué conflit économique moteur de consumérisme. Mais la  logique ne roule pas sans le sentiment et la volonté/foi/désir ! Sans le mérite ou un minimum d’effort pourrait-on dire ! Pour que le langage parle de lui-même encore faut-il s’entrainer un peu à poser la /les questions. Pourquoi ce terme barbare de mérite ? Pour la hauteur du préjudice commis par tous et chacun ! POINT (2) BARRE (8) ! Mais alors la connaissance ou la réunion des connaissances est donc encore un principe réductionniste fondé sur les formules et la formulation ? Non ! Si vous pratiquez vraiment, vous vous apercevrez que l’arithmancie déconstruit justement les langages scientifiques, philosophiques, artistiques et théologiques pour n’en faire qu’un seul ! Enfin, au bout du compte et du signifié du compte quel que soit le signifiant, elle vous ramènera au simple désir innocent de vivre et de ressentir les choses. En d’autres termes, le bushido, la voie du Nagual, le No pensée, le versant divin de la substance, etc…  Note : j’entends par scientifique tous les domaines de la science, j’entends par philosophique le nominalisme, l’essentialisme, le réalisme, le romantisme, le matérialisme, le nihilisme, etc…), j’entends par théologie celle des  monothéistes juifs, chrétiens ou musulmans, ainsi que celles des païens dont les sources rémanentes n’en sont pas moins influentes. Et puis l’arithmancie met aussi à nu les dérives politiques et l’économie toute puissante que nous ne contrôlons plus.

J’ai envie de dire, que demande le peuple ?

Concernant les institutions concernées, inutile de préciser que l’arithmancie n’a pas encore sa place dans le cœur de l’académie, bien que la discussion soit dorénavant ouverte par quelques pointures en matière de sémantique. Reste le domaine de l’édition…  Comme tu le sais, la première grande maison contactée pour mon ouvrage (Actes Sud) m’a sincèrement répondu qu’elle ne prendrait pas le risque d’éditer le brulot, mais à regret et en saluant mon travail. Mais la seconde (Odile Jacob), qui ne traite que des lettres de présentation/motivation avant de lire les ouvrages proposés, m’a adressé un message très significatif de notre temps : « un désamorçage de la bombe, une conjuration des imbéciles et des conflits et un lien sémantique comme résolution de la théorie du tout… c’est nécessairement une blague ou une œuvre généraliste sans conclusion possible. »  Que dire ? Encore une forteresse de notre triste désert dans laquelle ni un sourcier ni un assoiffé ne peut entrer sans cravate !  Une boîte avec un videur à sa porte. Un physio dit-on aujourd’hui pour se rassurer devant le nivellement par le bas… J’ai aussi fréquenté de nombreux domaines et salons de philosophes, certains ont parfois de beaux jardins, mais tous sont plus privatifs, limités et non communicants que je ne l’imaginais. Chacun y cultive les fleurs de mentors intouchables : les pères des idéologies reconnues dont l’ensemble conflictuel ne peut qu’entraîner l’influence grandissante d’un courant qu’elles engendrent :  le nihilisme.  Ici encore, dans ce bordel raffiné, on n’entre pas sans cravate. Les scientifiques en revanche communiquent les uns avec les autres, mais ces derniers ne traitent pas des questions existentielles hors intimité et ce qui relève de cette intimité n’est pas de la science. Pour eux la grande frontière est ici. L’épistémologie et la sémantique connaissent depuis peu un renouveau et une impulsion, enfin un espoir !

L’hermétisme est un couvercle qui nous étouffe tous, sans considération de genre, de type ou de hiérarchie.

De mon côté, l’ingratitude m’a néanmoins poussé à rédiger un nouveau bouquin moins « subversif », mais contenant mes dernières conclusions et résumant l’arborescence parfois mal exprimée des volumes précédents.  Mais j’ai surtout balancé l’information presqu’au complet dans la machine, c’est ce que j’appelle jeter l’anneau dans le feu de l’agora cybernétique. Aussi, je continuerai à me battre pour que l’arithmancie et son application épistémologique soient dévoilées puis enseignées. Concernant mon action en ligne, je ne peux pousser autrui à pratiquer l’art de l’arithmancie… Enseigner ou dévoiler les bases oui, montrer les applications oui (…), mais on n’impose pas la pratique ! Cela doit venir de lui-même, en soi-même. J’aimerais parfois avoir la  plume d’un véritable écrivain et un style attractif, mais parfois seulement, par peur du pire. Autrement je supporte mal l’idée qu’il faille porter costard et cravate pour présenter Cassandre devant la cour des miracles et la tour de pacotille qui la gouverne.

Quant à Cassandre, je ne la connais pas mieux qu’un amoureux du petit matin ne connait l’élue de son cœur malgré quelques belles nuits d’Amour. Mais je sais une chose : celui qui ne l’attend pas avec une belle gueule et une robe de minuit la mérite probablement, celui qui la laisse venir sans lui imposer une petite chirurgie et un minimum ostentatoire ne sera pas en reste, mais celui qui aura imposé ce reflet de l’accord tacite qui nous ronge tous, aura ce qu’il mérite.  

Bon ok, c’est bien ce dont il s’agit ici. (Retour à la question initiale.)  

 

  1. Un épilogue alternatif :

Parlons de voix, de paroles, de revendications, de gilets jeunes… Parlons de l’espoir des Hommes : même sans "the solution", l'esprit libertaire responsable se réveille dans de nombreux pays et c'est une force que l'on doit saisir. Comme le montrait un Jaurès, la globalisation et les tensions millénaristes ou culturelles (souvent préfabriquées et partant de quiproquos dorénavant illégitimes), ainsi que la prégnance en l’Homme des relations maître/esclave, font totalement obstacle à la possibilité de réveil des consciences dans un seul pays. Dans sa bouche, le terme « international » prenait tout sens !

C'est donc le dernier argument des élites: « si vous ne bossez pas, les pays émergents eux le font pour une bouchée de pain et ne vous feront pas de quartier… » Nous y voilà : le choc des civilisations instrumentalisé pour se défausser du retour de bâton des crimes de l’Orgueil des nations ! Cette chimère exclusive et pourtant globale qui n’est autre que la projection incarnée de celles qui s’affrontent en chacun de nous.  

Mais aujourd’hui, la voie du milieu ou l’art des chamans, tout le monde s’en fout, hormis le week-end lors de la petite catharsis hebdomadaire ! Comment ramener les Hommes à leur nature profonde alors que les liens universels et naturels les plus élémentaires, religieux même (au sens large du terme, métaphysiques donc) ont été dissous par le matérialisme et l'empirisme d'un système collectif vorace dit démocratique?

La clé est dans la connaissance, l'art et la maîtrise du langage sous toutes ses formes. Et il ne s’agit pas de convaincre les indigènes, s’il en reste, mais les voraces. En comprenant mieux qu’eux les rouages et la dégénérescence de leurs moyens d’expression.  

Nos langues et nos expressions culturelles sont diversifiées, mais il existe deux langages universels: la mathématique (outil de base des sciences) et la sémantique. Or ces deux voies offrent aujourd'hui la possibilité d’annihiler tout hermétisme, toute opacité et toute altérité entre nos langages réductionnistes, idéologiques (philosophie, politique...), artistiques ou théologiques! A ce nouvel outil d’analyse, rien n'échappe! Aucun "Livre Saint", aucun codex hermétique, aucune table de loi, aucun code du travail ou de la justice! Un espoir donc, une avancée que les élites et les spéculateurs qui les tiennent en laisse tentent de retarder au maximum.

J'en reviens donc à Jaurès à la fraternité et aux autres indignés qui se lèvent de par le monde, y compris au Japon, d'une façon très inattendue! Il se passe beaucoup de choses au Tibet aussi... Internet est là pour le meilleur et pour le pire... Le meilleur ici serait d'envisager une connexion internationale tout en armant nos propres troupes avec la meilleure non arme qui soit: la clé des langages! Celle qui révèle toute falsification et immunise contre la langue de bois de tous les héritiers des falsificateurs. Une clé qui annule aussi, preuve à l'appui, toute la fumisterie du choc des civilisations.

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Les rois, les v(i)oleurs, les pornographes... et nous. Quelle(s) somme(s)?

25 Octobre 2019, 14:17pm

Publié par Persone

Complexes, paradoxes et incertitude des pornographes qui s'ignorent:

Pour vous faire comprendre à quel point nous sous estimons toujours l’importance de la notion de sémantique, tant en science que dans le dialogue religieux institutionnel ou dans la vie de tous les jours, intéressons-nous à la notion d’hystérie. D’un point de vue de la vulgarisation du vocable psychanalytique, le point de vue admis dans le quotidien, ce phénomène traduit une excitation intense et incontrôlée relative à une névrose qui peut prendre la forme de manifestations organiques. Or, les spécialistes confirment que cette névrose est la manifestation mentale/physique de problèmes entropiques dont la source demeure rémanente et donc inaccessible. Les meilleures avancées en date concernant la guérison des patients atteint par ce phénomène de plus en plus courant ne sont pas les camisoles chimiques, mais les découvertes liées aux travaux des psychologues ou psychiatres s’étant aventurés dans le complexe de l’existentialisme (traitement épistémologique de la conscience du patient), ainsi que les avancées en matière d’hypnothérapie (traitement ontologique sans repères palpables dont l’expérience peut aboutir à révéler la source du problème ou à guérir les symptômes, sans reconstitution consciente du processus).

En vocabulaire religieux, l’hystérie collective se nomme les tribulations.  

Mais usons maintenant du jargon scientifique : ici l’hystérie est « hystérésis » ou « hystérèse ». Elle définit les propriétés d’un système dont l’évolution ne suit pas le même chemin selon qu’une cause extérieure augmente ou diminue. Pour exemple en électromagnétisme, lorsque vous aimantez un métal, il conserve cette nouvelle propriété d’aimantation même si vous ôtez la source énergétique avec laquelle vous l’avez magnétisé. Ce phénomène est lié à l’irréversibilité et à la rémanence (persistance de l’activité communiquée par la source malgré la disparition de celle-ci). Le big-Bang est un bon exemple de source rémanente dont l’activité court toujours ! Vous comprendrez donc que les phénomènes d’hystérie et d’hystérésis/hystérèse sont sémantiquement un seul et même phénomène lié à l’entropie des systèmes et à l’incertitude de l’observateur, voire à son impuissance en l’absence de détermination des causes premières, en l’absence de compréhension de la mécanique de transformation qui en découle, mais aussi en carence de techniques ontologiques touchant à la sémantique pure (maîtrise du caractère immanent du langage, synthèse sémantique des connaissances… Et travaux pratiques : hypno-thérapie, spiritualité, immersion dans le domaine de l’art, thérapie par contact direct avec la nature…) Pour schématiser ce paragraphe commençons par les premiers points et traits: il n'y a pas de point absolu, mais des interactions! Et ces interactions provoquent des phénomènes réversibles et d'autres irréversibles. La complexité vient ensuite... parle-t-on d'espace temps avec un langage géométrique? Oui! De symétrie aussi et d'équilibre.

Autrement dit, quelques mots et une bonne maîtrise de la sémantique suffisent à expliquer que les complexes toujours en date relatifs aux équations de Boltzmann ou de Riemann concernent notre vie quotidienne !  Quelques mots simples ou tout du moins un raisonnement simplifié et « vulgarisable » pour tous, grâce à un principe sémantique relatif à la logique elle-même : les plus petits dénominateurs communs ! Et pourtant, ces complexes dont les réductionnistes ont revendiqué le monopole demeurent pour nos institutions des questions pour les champions ou des réponses à 4 millions de dollars que personne ne semble vouloir traiter par le biais de l’arithmancie (arithmétique/géométrie/sémantique). Une insulte à notre intelligence naturelle ! Pire encore, ces questions relèvent de phénomènes qui nous concernent tous alors que l’école se garde bien de nous enseigner quoi que ce soit les concernant ! En matière de liaison simple pouvant relier les maths et la vie de tous les jours, les humains et plus particulièrement les enfants ont pourtant manifesté maintes revendications !

 Alors… Complot ? Celui de l’orgueil peut-être, n’en déplaise aux amateurs de scandale, de coupables et de boucs émissaires ! Mais l’hermétisme et les cachoteries les plus infâmes existent bel et bien, alors plutôt que complot, disons secret de polichinelle rémanent pour cause d’amnésie sélective, relative aux obligations de résultat de l’empirisme ! La sainte croissance et la fuite en avant que nous cautionnons tous depuis bien trop longtemps.

Tout système demeurant infigurable ou indéterminable par les facultés nécessairement incomplètes d’un observateur posté à l’intérieur ou à l’extérieur de ce système peut néanmoins se révéler à lui sous différentes formes, par différents langages et par l’analyse des convergences et des divergences des particularités manifestes composant ce système. Convergence évoque tronc commun et divergence évoque l’arborescence symétrique « banche et feuille/racines et champignons »… Trésor sémantique !

Mais existe-il un exemple précis pouvant illustrer cette démonstration et par la même occasion nous rapprocher de ce phénomène rémanent ? De cette source dont le souvenir semble évanescent ? De cette fontaine occultée par un orgueil individuel et collectif dont l’incertitude bien heureuse connait un facteur exponentiel d’entropie hystérique morbide, proportionnel à la dégradation consumériste des énergies qui entourent et constitue l’être, son Ego et son amour propre ?  (Forme interrogative délicate, à relire plusieurs fois !)

Oui ! Et la nature et sa logique étant bien faites, l’exemple le plus flagrant est dans l’étymologie même du mot : Hystérique vient d’une expression grecque signifiant l’utérus et son complexe (col, trompes, ovaires et tissus élastiques) !

Un complexe féminin donc, se réjouiront les machos ! C’est oublier que tous les axiomes théologiques, réductionnistes ou philosophiques évoqués dans cet article, ainsi que l’empirisme dont il est question, ont été définis selon le monopole du sexe fort en matière de langage ! Un complexe partagé donc, entre papa et maman. Le mâle tend à vouloir et la femelle à disposer dit-on non sans raison.  Vouloir et dissipation (10ipation) : vouloir atteindre ce que l’on ne peut atteindre, vouloir posséder ce qui finit par nous posséder… Trop  de yang diraient les chinois ! Disposition (10positions) et inertie : se contenter de ce qui finit par nous échapper… trop de Yin ! Les appareils génitaux des deux sexes manifestent une géométrie commune évoquant la forme d’un 3, ce chiffre étant lié au principe créateur par excellence ! Deux unités relatives (ratio) et un milieu. Concernant l’anatomie, deux unités productrices (ovaires) et un milieu tubulaire lui-même fait de fibres et gérant des échanges à double sens de circulation dans le cas de l’utérus féminin.

Pour résumer, des phénomènes rémanents et irréversibles nous ont engendrés, l’entropie du système global augmente ainsi que celle des systèmes particuliers choisis (paradigmes) et nous avons une influence sur la valeur de ces entropies… Mais l’hystérie est encore un complexe que nous n’arrivons pas à maîtriser d’un point de vue mental et notre incertitude grandissante est alimentée par l’industrie de l’objet que l’on consacre à la  compenser ! Et qu’est-ce qu’un père sévère ? Un perce Eve en errance ? Qu’est-ce que la gravité ? Une masse gravitationnelle illusoire tissée autour du complexe du vagin, un éteignoir à enfants qui prend une dimension industrielle ? Une masse qui atteint un seuil critique dont la lumière peine à ressortir ? L’œil du diable comme disent les marins et les spationautes lorsque les trous noirs les font cauchemarder ? Alors pourquoi ne pas nous accorder enfin sur ce que signifie manifestement toutes ces choses pour vivre enfin et retrouver le rythme de l’entropie naturelle de notre système vivant ? Un système qui s’épanouissait très bien avant la légifération paradigmatique de la folie des grandeurs qui caractérise notre empirisme !

Comme nous venons de le voir, la nature nous donne justement des pistes, des petits cailloux laissés par la logique elle-même dans la structure de nos langages ! Ces pierres (Pi r) sont comparables à des rotules que la complexité et la prégnance des formes rendent invisibles à nos yeux, pourtant ce sont elles qui ramèneront le petit Poucet à la maison, elles qui offriront au voyageur perdu la faculté de différentier les chemins de l’évolution et ceux de la perdition. Est-ce les forgerons de nos langages, des moines, des ermites et des génies pour la plus part, qui ont laissé ces cailloux ? Oui, mais ils ne les ont pas inventé, ni fabriqué ! Ils n’ont fait que les découvrir. L’objet du viol commis par le dominant et l’objet du crime engendré par la guerre des sexes ne sont pas des phénomènes aussi rémanents qu’on veut bien le croire ! Les formes et les ambiances ont changé, mais nous en avons des exemples flagrants chaque jour, chaque heure, chaque seconde !

La matrice… Cet utérus contrarié exprimé par le féminin, qui engendre pourtant la vie et fais de la duplication monotone un petit paradis de diversité qui n’a pas besoin de la colère et de la « perce Eve errance » du père pour porter ses couleurs et son signe. Quel gâchis !

Violer le secret de sa propre origine et toucher enfin le Graal … Posséder l’anneau! Voilà bien ce qui  obsède l’Homme sur le triste trône qui surplombe difficilement notre désolation. Reluquer à travers l’œil d’un juda, s’approcher, tripoter, pénétrer toujours plus loin, toujours plus fort, posséder… Questionner sans savoir poser la question, se faire refroidir, s’endiabler et forcer la serrure… Regretter, compenser, oublier. La demeure devient 2meure, un clapier où l’on moisit déjà avant la tombe : la petite mort avant la grande. Un mauvais conte de fée sans paysages, un complexe de plasticité et un océan de plastique où l’amour n’est plus qu’hygiène et spéculations ordinaires. Mais le 0, tout comme les particules qu’il consent, restera subtile et inviolable ! Et les chiffres ne sont là que pour nous aider à comprendre et à partager ; de ces anges nous faisons pourtant des armes…

Brassens exprimait qu’il n’y avait rien de plus vulgaire que d’utiliser le même mot pour désigner le vagin de la femme et un représentant de la connerie humaine (un con)… Il n’imaginait probablement pas à quel point sa proposition était liée aux théories et aux équations les plus attendues de notre temps. L’homme était non seulement un artiste accompli, mais aussi un amoureux du langage que la mère et la jeune fille questionnai(en)t autant qu’un Peter  Pan/Crochet. Autrement dit, il n’avait pas besoin d’être pape, franc maçon ou kabbaliste pour maîtriser à sa façon l’art de la sémantique.

Si nous souhaitons encore que la belle, la bête et l’enfant vieillissant s’épanouissent de nouveau dans des jardins moins dégueulasses en évitant un remède par l’extinction de masse, alors apprenons enfin à prononcer le nom de la rose !

Déconstruire et réparer.

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Obstinément tu tapes dans la baballe, parfois tu attrapes la baballe, mais chroniquement, c’est elle qui te cogne !

11 Octobre 2019, 21:02pm

Publié par Persone

La baballe, les bubulles augmentent sans cesse de dimension jusqu’à nous exploser à la figure… Serions-nous au dos du mur qui nous Planck ?

L’énigme des nombres premiers est lancée par Euclide, elle connait un rebondissement inattendu avec l’arrivée du 0 en plein essor du monothéisme conflictuel. Mais le zéro est discret et subtil, il se cache où il veut et prend l’espace qu’il souhaite ! Il est pratique pour les écritures et les comptes des Hommes, mais insignifiant à leurs yeux au-delà de ces commodités… Enfin il faudra attendre les prémices d’une autre révolution pour que l’énigme connaisse un nouveau souffle dans le monde dorénavant très compartimenté des scientifiques. Au siècle des « Lumières », les langages modernes étaient forgés et une fonction toute particulière était d’ores et déjà réservée au verbe : ordonner. Ordonner dans le sens autoritaire du terme, pas dans le sens hégélien, ni mathématique ! Ordonner par opposition à révéler et prendre ensemble. Autrement dit, l’art de la sémantique fut perdu à cette époque au profit d’un langage paradigmatique plus performant, plus apte à remplir les exigences de la croissance : le langage économique international, limitant chaque langue à son expression la plus vulgaire pour faciliter les échanges matériels.   

Néanmoins l’analyse de la fonction zêta, ainsi que les théories de Gauss, d’Euler et de Riemann sont de véritables merveilles mathématiques qui prédisaient l’actuel défi d’unification des physiques… Voilà qui nous renvoie à notre énigme plurimillénaire !

Alors après tant d’efforts et de temps passé, qu’en disent les spécialistes ?

« Peut-être la physique nous permettra-t-elle de résoudre le problème ! »

« Peut-être que l’informatique ou une révolution mathématique fera l’affaire ! »

« Ou encore la géométrie ou les symboles… Avec les statistiques et pourquoi pas les dés et les cartes ? »

« Le rêve ultime de tout physicien ou mathématicien ! »

Les farceurs ! A-t-on parlé des métaphysiciens ? Des théologiens ? Des biologistes ? Des psychologues et psychanalystes ? Des artistes ? Des cryptologues ? Des anthropologues ? …

A-t-on parlé de sémantique ?

Voilà qui n’est guère la spécialité des « scientifiques » contemporains ! Ils la pratique pourtant inconsciemment, comme des gamins jouant avec des référentiels bondissants plus susceptibles et dangereux qu’ils ne l’imaginent. Mais certains d’entre eux perçoivent néanmoins la résonnance immanente, ne serait-ce que parce que la logique s’impose d’elle-même : les sciences s’expliquent les unes les autres et le dénominateur commun de toutes ces disciplines nous amène à contempler les notions de 0 et d’infini qui ne font qu’une.

Les sciences, c’est nous qui les avons sectorisées à outrance ! Pour des intérêts de performance, relative à un empirisme faussé par la corruption des premières expériences. A l’origine, la créature fait des maths inconsciemment ne serait-ce que lorsque les réflexes et les aptitudes acquises par l’apprentissage permettent de rattraper la baballe en vol !   Ou de la renvoyer en utilisant l’effet levier permis par notre mécanique corporelle. Naturellement, s’il n’est pas une bête soumise, l’Homme éprouve à la fois le désir de vivre, d’apprendre, de transcender, de comprendre, de partager, de le dire en musique ou de le peindre... De pénétrer dans sa propre caverne et de résoudre l’énigme de son existence. Tout cela à la fois ! La dissociation des connaissances et la hiérarchisation mécanique des tâches est un piège pour adolescent faisant l’expérience de Babel. L’enfer de l’éteignoir commence ici. Séparées les unes des autres les sciences servent les altérités réciproques et le progrès engendre les armes et le feu consumériste.

Au-delà de 10 zéros alignés sur la fonction zêta, Riemann arrive à un niveau de complexité à franchir. Plus tard, d’autres mathématiciens et l’arrivée de l’informatique prouveront que les deux précurseurs (Gauss et Riemann) étaient sur la bonne voie, mais que la probabilité de 0 imaginaires demeurait à étudier et que les théories n’arriveraient pas à bout de la question de l’infini ! La question sur les écarts entre les 0 s’est donc posée ! Et la musique a repris, toujours énigmatique mais plus passionnelle que jamais ! Nécessaire insisterais-je, au vu le désenchantement de notre temps !

Les solutions non triviales de la fonction Zêta (les fameux 0) suivent dans le plan complexe une ligne d’équation ½ + it, elles représentent donc une composante réelle toujours égale à ½ (t est la partie imaginaire des 0). Cette partie imaginaire des zéros non triviaux constitue un ensemble de nombres rationnels et discrets (suite dite finie dont les éléments peuvent être énumérés), tout comme les valeurs propres d’un opérateur différentiel ! Opérateurs dont certains sont essentiels en physique. Je vous invite ici à faire quelques recherches pour comprendre la notion de corps en mathématique et en physique !!! Ensuite, recherchez ce qu’est un anneau unitaire ou unifère… Voilà qui vous ramènera à la soustraction des chiffres et des nombres à partir de 0 ! Puis aux opérations et aux opérateurs. Immanence du langage ! A ne pas mettre dans les mains de « nous savons qui »… Humour international Juif !

Travailler sur ces écarts nous a amené à comprendre l’élasticité du vide et à considérer le rayonnement du 0 comme un ressort harmonique de nature interactive !  Et enfin ceci nous a mené à comprendre que dans cette affaire, nous parlions aussi de physique relativiste et quantique !

Or, les écarts entre les chiffres et nombres premiers suivent cette même règle mystérieuse !

Mais il y a quelque chose que les équations ne révèlent pas ! Le langage même des chiffres, des nombres, des signes et des symboles, au-delà de leur valeur ordinale et cardinale concernant les nombres ! J’évoque ici leur valeur sémantique. 0 infini, jamais vide, jamais plein ou les deux à la fois, 0 point, cercle ou horizon… Puis 1, unité relative et son double (principes des inverses et des opposés)… 2, la dualité, qui vient d’être citée avec la relativité du un… 3, ensemble comprenant le témoin dont sont soustraits les deux « 1 » relatifs : le milieu 0 indéterminable et déterminé à  la fois, mais aussi déterminable et indéterminé. 3 le premier plan idéal pour que la matière s’exprime et puisse se percevoir… 4, qui dit inverse et opposition, dit déformation, mouvement et donc temps… Etc ! Jusqu'à 9 pour les bases et le premier ordre de mesure et au-delà si affinité...

Il y a autre chose que les écarts entre les nombres premiers révèlent, sans que l’on s’en soit préoccupé jusqu’à ce jour : à chaque retour de 9, la somme des écarts réduite donne 9. Euler s’est intéressé à cette question en redécouvrant les travaux de Pythagore à propos de la valeur logique de la matrice de 10 chiffes ! 9, carré de 3 (second nombre premier) marque en premier lieu un écart croissant digne d'intérêt entre les nombres premiers.  9 donne le rythme, neuf est une boucle ! Autrement dit, le renouvellement des chiffres après 9 (retour du zéro et de l’unité par le 11 dont l’addition réduite (1+1) donne la dualité 2) n’est pas une commodité d’écriture inventée par les Hommes, c’est un principe lié aux propriétés des chiffres que l’on ne fait que découvrir. Ces propriétés sont arithmétiques et géométriques, cela les scientifiques l’ont vu ! Mais comme nous venons de l’évoquer, elles sont aussi sémantiques… Voilà ce qui nous échappe encore dans notre course folle de particules susceptibles en proie à la folie des grandeurs et au nombrilisme contrarié ! Cessons de disséquer sans comprendre, cessons de mal poser les questions, cessons de vouloir photographier les trous noirs, cessons de vouloir observer par le juda de notre perversion, le viol de la cellule nucléaire jusqu’à désintégration… cessons d’utiliser nos portable pour «C’est qui ? Ca va ? T’es où ? Qu’est-ce que tu deviens depuis cette semaine ? T’es libre celle d’après ? » … Cessons les selfies, cessons de vouloir connaître la nature, la vitesse et la position de tout en laissant s’échapper le temps de vivre. 

La logique arithmétique, géométrique et sémantique des propriétés des chiffres et de la suite des nombres qui s’en suit a donc une valeur sémantique universelle et primordiale que nous avons occultée ! Pour diverses raisons sur lesquelles j’ai consacré de nombreux articles. 

Je vous laisse méditer à cette subtile question en relation avec le Saint Graal des scientifiques, mais préparez-vous à la suite… Nous avons ici parlé des chiffres et des nombres. Qu’en est-il des lettres, les caractères dit-on non sans raison ? Ces caractères qui dans les prémices de l’écriture portaient les différentes valeurs des nombres qui n’avaient pas encore leur place à part entière !

Révéler tout cela en arborant différentes voies sémantiques est la vocation de ce blog depuis quelques années. Pour le prix Nobel ? Non, je m’en fous comme un chien de sa première maudite laisse…  Par ultime nécessité ! Pour déconstruire, com/prendre ensemble et réparer.

Arithmantiquement vôtre…

 

Epilogue :

Petite réflexion concernant l’immanence du corps singulier substantiel exprimé et s’exprimant par le langage orale et/ou écrit :

Je rappelle que ces langages qui ne font qu’un sont des GESTES conscients ou inconscients capables de réduire le mouvement dans le sens analytique du terme. Analytique et donc médicale « révéler/réparer » ! Le mouvement est l’expression multidimensionnelle du complexe vide non vide/matière non pleine/conscience. Conscience du ratio, de l’unité et de la totalité. Et plus (ou moins) si affinité… Le complexe spatiotemporel.

Zêta ou Dzêta (capitale Z) est la sixième lettre de l’alphabet grec, précédée par Epsilon 5 (le E toujours symbole de "ÉNERGIE" au sens large) et suivie par êta 7 (E encore, mais cette lettre a la fonction du H 8 muet latin, huitième lettre (double 0, symbole de l’infini et ruban de Möbius lorsque la distorsion et la brisure ne sont plus perceptibles, lorsque le 0 rémanent s’exprime mais devient abstrait) ! H inspiré ou soufflé, principe de l’être (et de l’Etat(S) de la nature immanente « êta »), mais aussi principe de l’énergie structurée portant en elle les infinis en un seul et même corps. Notons que H en distorsion reflète l’image de la molécule d’ADN. L’immanence étant une passerelle entre le tout et l’unique. Quel mystère se cache derrière ce fragment ordinal et cardinal « … 5, 6, 7 (H ancien) et 8(H moderne) ? 6, un chiffre qui concerne les notions de double structure triangulaire, de repère 3D indiquant 6 directions, de numéro atomique de l’atome de carbone (…) et celle encore énigmatique, jusqu’à ce jour, du chiffre de l’Homme. Au passage, la lettre latine symbolisant le parfait et l’imparfait, mais aussi le 0 en la créature, est le « O », première lettre d’Orgueil… Ego dit-on aussi avec un E ! O quinzième rang  de l’alphabet latin moderne (notons que 24x15 = 360... X étant la 24ème lettre du même alphabet et le symbole de la multiplication, nultiplication pourrais-je dire. Faite la relation du temps  à l'espace!) ... 15 qui donne 6 une fois le nombre 24 réduit en chiffre. O le témoin et l’acteur (heureux ou contrarié) de la distinction et de l’unité du temps et de l’espace.  

Bien que l’arithmancie  ne s’enseigne pas à l’école et que le phénomène soit couvert d’hermétisme, il est primordial de comprendre qu’il a toujours existé un rapport mathématique et sémantique entre les chiffres et les lettres et que les rangs respectifs des lettres dans nos différents alphabets (phéniciens, grecs, hébreux, latins…) correspondent par effet d’addition réduite. Zêta est la sixième lettre de l’alphabet grec, elle correspond au Z, mais alors pourquoi Z est-elle au 26ème rang qui donne par addition réduite : 6+2 = 8 ? Et non 6 ! Parce que les lettres ramistes J et U complexifie la question du nombre de lettre dans notre nouvel alphabet latin proposé par Pierre de La Ramée : les caractères réels et les caractères conceptuels.

Les deux lettres ramistes sont i et u :

  • Une variante orale et sémantique du i (neuvième lettre) devient j (Xème lettre de ce nouvel alphabet ou I0 ou encore 10). Notons que les langues dites mortes se sont constituées à une époque ou le 0 était nié, confondu avec le néant ! A cette époque la première décade existait tout de même, ne serait-ce que par la compréhension rationnelle ou abstraite des propriétés des chiffres. Le grand secret étant déjà caché dans les écarts significatifs entre les premiers nombres premiers : les chiffres premiers. La boucle ouverte du 9 ! Aux temps de Pierre de La Ramée, le 0 était enfin admis en tant que nombre à part entière et il était temps de le faire apparaître en filigrane dans la structure de notre langage écrit. J est le caractère symbolisant le JE, l’ego, le moi. Elle est la quintessence : composante réelle toujours égale à ½ . En vocable théologique le médiateur « J + Christ » 1+5 où Christ sans le J de JE et de Jésus (je suis) est  5 (C3H8R9I9S1T2). 5 ou 0 qui ne font qu’un ici. Le 0 prend la place qu'il veut! Le J est la 10ème lettre, dix qui n’est plus X, mais I0 ou 10 à l’époque de Pierre de La Ramée. Petit cadeau rapporté par le vers à soie, malheureusement témoin de la désolation méditerranéenne, carrefour du marché humain. La douloureuse traversée du 0 pourrait-on dire !
  • Et une variante du V devient U ! V était la vingtième lettre (2 en addition réduite) et devient la vingt-deuXième (4 double de 2).  Le V symbole de charge et de complémentarité des opposés se muni d’une courbe et engendre un double conceptuel évoquant l’union, l’inclusion ou l’intersection. En comptabilisant J et U, U est au 21ème rang (21 ou 3). 3 est le symbole de la manifestation du principe immanent du 0. Cela est valable en électricité (plus moins et neutre par exemple), en physique nucléaire (nombre de quarks et différence de saveur dans les baryons communs), en mécanique (différentiel), en ce qui concerne la relativité (deux ne suffit pas à la différentiation des « choses » et manque d’un milieu indéterminable pour faire le ratio et le focus si affinité de l’observateur), etc, etc… Cela concerne le vivant et l’inerte dans leur ensemble ! U union.  V ici est devenu la 22ème lettre donc 4. Or, la logique arithmétique, géométrique et sémantique nous indique que le passage de 3 à 4 est la manifestation du mariage entre l’espace (3D) et le temps (4D). Cela concerne la déformabilité et la force de mouvement : plan triangle (3 points) indéformable, quadrature (4 points) déformable… Et paf, un volume ! S pour espace, T pour temps, U pour Union, V pour voltage/tension et donc paf, un volume… Qui deviendra un être complexé par le W incarnant la puissance…  Un problème sémantique de mauvaise augure pour une bonne compréhension (et utilisation !) de l’énergie et des champs.

Cette intervention de Pierre de La Ramée nous ramène à un exemple sémantique de ce que représente la fonction Zêta (elle n’existait pas en tant que telle à son époque !), sans contrarier la correspondance arithmantique des lettres de nos différents alphabets originaux (sans les lettres conceptuelles ramistes notre Z était bien en 24ème position, équivalant arithmantique du 6).

La résolution du complexe de Riemann, fâché avec l’existence éternelle d’un Dieu alors qu’il cherchait pourtant à le provoquer est ici ! Tout comme le lien sémantique manquant pour justifier la fameuse « théorie du Tout ». Mais peut-importe, cette passerelle est aussi la clé du pont que le pénitent peut faire apparaître pour sauver sa malheureuse existence ! Le pénitent ici est le 0, le 1 et son double, ainsi que la somme qu’ils incarnent, double elle aussi : l’humanité et leur (ou son) humanité. Immanence de l’être et de l’avoir.

0 ne donnera jamais à l’observateur qu’une seule et double preuve de son existence ! Trop longtemps aveuglés nous avons cherché un Graal que nous ne méritions pas, en violant et en massacrant tout sur notre passage !

Observons un instant éternel de silence pour ce malheureux indien, Ramanujan, porteur innocent du fardeau 0 et du complexe Zêta, qui par une invitation « intéressée » et une pulsion « orgueilleuse », a trouvé la mort loin de l’amour des siens, dans la froideur de la prison gravitationnelle de livides mangeurs de viande !

« Froids sont les mains et le cœur du voyageur inconscient loin de sa demeure, qui ne sait pas quels mensonges sont cachés entre la nuit et la journée ! » - JRR Tolkien à propos de la repentance de Gollum/Smeagol.   

Salut « A » tous !      

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Subprime - Prime au paradis des morts

5 Octobre 2019, 02:07am

Publié par Persone

Subprime - Déf : prime sous terre, bonus des plus riches du cimetière.

A propos de nombreuses réactions à l’injection d’argent massive par le FED, dont celle « prophétique » d’un Pierre Jovanovic, le groupe de discussion « Déconstruire et réparer » (hébergé par Facebook)  a publié deux vidéos et plusieurs commentaires pertinents que je conseille aux lecteurs de ce blog. Ci-dessous un commentaire concernant le fragment de crise qui nous obsède depuis 11 ans et une des vidéos sélectionnées par des moteurs de discussion de ce groupe :

Le W 2008-20(..) modélisé par les économistes… Le w non fini et son asymptote!  

Au-delà double U ou V, pour éloigner un peu les caméras que nous sommes, les crises ne font que descendre et remonter par définition ! Elles sont comme les révolutions qui tirent leur nom du fait qu'elles nous reviennent sans cesse dans la figure. Ces révolutions sinusoïdales d'époque, nous les voyons comme des périodes de LA révolution permanente depuis que les philosophes matérialistes ont répandu leur aura sur ce que nous nommons l'EDUCATION: Adam Smith pour un exemple à droite, Marx pour celui de gauche contrariée.

Mais les nouveaux économistes ont grand peine à décrire les phénomènes de la vie en dehors du domaine qu'ils maîtrisent et du temps qu'ils traversent! Que cela soit la main invisible ou la révolution sociale idéalisée par la gauche, le processus de révolution permanente est défini comme naturel et ne s’arrêtant pas tant que toutes les conséquences du système ne se sont pas produites. A noter, la définition réduite des philosophes ne dit pas conséquences mais  "objectifs"... Autrement dit, les révolutions définies ici comme les conséquences des causes, ne relèvent que de nos choix collectifs et des "objectifs" temporels que nous nous obstinons à réduire au temps et aux espaces de nos derniers paradigmes en date! Et plus le temps s’écoule, plus les économistes et les financiers cogitent à court terme !

Pourtant au sens large « tant que toutes les conséquences ne se seront pas produites », signifie aussi « tant que toute l'énergie du système considéré n'aura pas été transformé ». Parle-t-on de physique, d’eschatologie ou d’économie ? Les trois à la fois, une réconciliation impensable pour nos maîtres à penser, plus déterminés que la détermination elle-même !  Autrement dit, nous ne changerons jamais le fait que l'évolution ne soit pas une droite linéaire lorsqu’on la regarde de près! Rien de nouveau sous le soleil, n’en déplaise à nos grands économistes, fiers de leurs copyrights ! En revanche, nous pouvons définir la nature des vagues et des révolutions agitant le monde intérieur et extérieur ! Et nous pourrions aussi surfer avec ces forces, qui nous semblent malheureusement insignifiantes pour les unes et colossales, invincibles pour les autres. Les Léviathans du collectif nous semblent invincibles, pourtant leur invocation ne tient qu’à notre intimité contrariée !

Force forte et faible de la famille nucléaire !

Pourquoi ce billet ?

Pour rebondir sur l’analyse de plusieurs termes : ratio, travail, interaction et échange, valeur, et enfin, éducation. « Ces révolutions sinusoïdales d'époque, nous les voyons comme des périodes de LA révolution permanente depuis que les philosophes matérialistes ont répandu leur aura sur ce que nous nommons l'EDUCATION: Adam Smith pour un exemple à droite, Marx pour celui de gauche contrariée. »

Education ? Transmission avec embrayage et roue libre, ou non ! Emprise relative et différentielle si affinité. Interaction dotée d’Amour en option…  Interaction ? Alors pourquoi pas ratio, travail, échange, valeur et usure des choses… Abusive ou non. Question de conscience… 

Posons ici une question piège, à laquelle on ne peut répondre sans en redéfinir les termes… Une question dont la pertinence pédagogique relève du fait qu’elle est mal posée, pour faire de l’humour bachelier :

Peut-on éduquer sans philosopher et peut-il y avoir de philosophie sans l’écriture ?

Prendre conscience, réagir, obtenir, dénombrer, compter, retenir… Le langage parlé et l’écrit si affinité ! L'écriture est un pouvoir manifeste bien plus globalisant que la parole dont il représente une option évolutive, mais tout autant instrumentalisable, falsifiable et sujette à l’incomplétude de l'observateur. L’écriture est un outil arithmétique, sémantique et géométrique qui peut révéler les langages auxquels elle est pourtant postérieure, mais par le livre et l’imprimerie, elle est aussi un artéfact de pouvoir ! Elle est comme un véhicule plus performant et plus rapide pour un pilote qui ne maîtrise pas encore les raisons de son empirisme, la nature de son être et le sens de son voyage... L'écriture et le partage de la logique mathématique sont nés du langage oral et de l'expérience commune. Pourtant, cette écriture est capable d'expliquer nos langages, comme si c'est elle qui les avait faits! Programmés peut-être… Pourquoi? Immanence! Pas besoin d'écriture pour philosopher, pas besoin de philosopher pour écrire, pour faire un peu d’humour black and white. Et l'Homme n'invente ni le langage, ni la grammaire, ni même les mathématiques ou la physique, il ne fait que les découvrir peu à peu ! Autrement dit, il n'invente que le signifiant, exprimant ainsi la diversité. Mais l'écriture, les formules et l'illusion de la puissance font tourner toutes les têtes! Et le commun des mortels apprécie beaucoup les formes, l’ordre (verbe) et les ambiances… Les sciences compartimentées en Occident pour des raisons de productivisme ne font plus le lien entre arithmétique, géométrie et sémantique! Tout le monde s'en fout et personne n'a envie de revivre les préoccupations d'un Archimède ou pire de finir comme lui.

Il semble que nous ayons tous un devoir épistémologique ! Et ontologique aussi. A nul l’impossible n'est tenu - dit-on sans trop savoir ce que l'on dit... Pourtant nous nous évertuons à repousser sans cesse les limites du possible en incarnant les causes de notre perdition. 🙃 Complexe matière/conscience... ?

Mais revenons vers la première question en posant encore une question volontairement mal posée :

A quoi sert l’éducation, est-elle nécessaire, primordiale ?

Le mot éducation évoque une double signification souvent masquée par le sens commun. Le sens occulté : « éduquer un membre ou un organe du corps, le rééduquer aussi, après blessure et arrêt fonctionnel forcé ». La conscience du ratio, le travail, la mémorisation et l’apprentissage sont des phénomènes nécessaires à la vie de par sa propre nature. L’éducation est un principe et comme tous les termes évoquant un principe, il possède un double sens et plus si affinité. Concernant « éducation », il existe le principe fondamental inhérent à la vie et les principes que le vivant fait évoluer pour se maintenir dans la partie, majoritairement  par empirisme.

L’étymologie du mot est intéressante: guider hors, guider vers. Hors du dedans vers le dehors ou hors du dehors vers le dedans. L'être s'éduque, va du passée vers un futur, mais pour que le présent soit épanouissant, le mouvement d'apprentissage doit se faire dans les deux sens (épistémologie entre autres pour le passé et étude de la causalité pour prévoir les conséquences de nos actes... Ontologie si nécessaire).

Chez la cellule "qui n'est pas moins familiale que la nôtre", l'éducation semble impeccable, celle du règne végétal et animal aussi... Ça se gâte avec l'Homme! Avec ce dernier, encore jeune, amnésique et berné par ses facultés, la question "à quoi sert l'éducation" devient vite "à qui sert l'éducation"!!!

La différence (encore un principe), n'est que logique, par complémentarité au semblable. Elle manifeste très joliment la diversité, mais la dualité chez l'Homme est encore dualisme et altérité réciproque! Ce qui manque à notre éducation, concernant l'enseignement des enfants et du peuple en général et malgré nos performances, c'est l'unité des connaissances et la déconstruction de nos langages qui entre autres révèleraient à tous les mécanismes de notre être, les mécanismes de notre évolution, les mécanismes de notre souffrance et l'unité perdue de nos langages. L’unité de notre conscience immanente. Pire, nous tardons à l'admettre, mais bon nombre de nos écritures de référence sont falsifiées et les clés communes de nos langages sont couvertes d'un hermétisme absolu!!! Cette déconstruction pourtant possible doit s'aborder par la voie sémantique, mais réductionniste aussi puisque c'est le seul vocabulaire que les consuméristes en chefs comprennent aujourd'hui. La passerelle qui guide vers cette "déconstruction/réparation" est une "matière" peu connue: l'arithmancie... Celle dont on ne trouve aucune définition dans aucun dico.

Ce qui est unique doit s’éduquer pour intégrer son ratio avec l’autre et, si affinité avec la diversité. Tout comme la diversité, si elle devient une entité (morale par exemple), doit s’éduquer pour intégrer son rapport à l’unité. Le centre de toutes projections symétriques demeure 0. Et l’axe de symétrie est la droite formée par la dualité de ce dernier (8, boucle de l’infini ou double zéro). Principe rémanent, lumière « émanente » et trous noirs concentriques. LumièrE et TénèbreS…    

Aujourd'hui notre ingénierie extérieure, à dominance matérialiste, repousse les limites du possible au détriment de l'ingénierie intérieure. Les jardins sont malades des deux côtés.

Donner enfin un sens à nos expériences spirituelles et laïques commence par rééquilibrer cette balance; celles de la justice, de la morale et de la raison ne s'en porteront que mieux!

Réduire les fractures et la maladie commune qui nourrissent les flammes de notre consumérisme est encore possible, tout comme il était possible pour le capitaine du Titanic d'éviter le pire... Choix qu'il n'a pas fait.

Apprivoiser les titans se mérite! Vivre et partager enfin une "IA collective" au service de l'Homme, du vivant et de la terre du milieu, nécessite de déconstruire enfin nos langages, com/prendre et réparer ensemble.

Une fois encore je vous invite à découvrir l'arithmancie sous une forme toute particulière, encore couverte d'hermétisme. (D'autres articles du blog sont consacrés au sujet.)

Dans la vidéo ci-dessous, vous découvrirez un contre exemple très inintéressant dont l'opportunisme temporel non dissimulé ne fait que confirmer notre enquête!

Le bon endettement dont il est question ici s'appuie sur le système d'"argent dette" dédié à la production par spéculation et le narrateur prévient du caractère dangereux, risqué de cette expérience financière. Sans régulation par une autorité quelconque, ce jeu prend une bien mauvaise tournure... Chacun tente sa chance sans comprendre ceci: pour que certains puissent faire de l'argent avec de l'argent, il faut que d'autres demeurent des consommateurs non initiés! Autrement dit, pour s'enrichir sans effort physique ou métaphysique il faut maintenir la pauvreté de ceux que l'on destine au travail forcé, ceux qui indolemment, dans de profondes souffrances physiques et mentales, fabriquent les objets et les consomment. Et c'est malheureusement ce qu'il se passe! Partout, le citoyen moyen est invité à prendre du crédit pour investir dans un appartement à louer, dans un nouveau business, dans une startup, dans un "green project"... Mais où sont les business plans? Et a-t-on prévu qui consommera les services lorsque nous serons tous prestataires de services dont l'offre conditionne la demande au détriment des besoins communs? L'augmentation spéculée de notre rentabilité d'endettement suffira-t-elle réellement à payer la dette à terme? Les hordes de quidams lambda alléchés par la propriété lucrative peuvent-ils prédire l'avenir sur 20 ou 30 ans? Soyons honnêtes, la crise des subprimes a commencé par un coup de charme et un éloge intéressé à la propriété! Pourtant, depuis les années 80, de nombreux analystes avaient prévenu: 70% des petites et moyennes entreprises coulent ou s'endettent avant la sixième année sans avoir connu le fameux rythme de CROISIÈRE... 

La folie des grandeurs et les belles promesses des élites... La poule aux œufs d'or de l'innovation, de la technologie et de la libre entreprise pour tous... De la poudre aux yeux! Une stratégie des financiers et des pouvoirs politiques pour masquer un peu plus longtemps leur échec et mat.

Le système bancaire nous étrangle, il est possible en effet de l'utiliser au mieux pour s'en sortir, j'ai bien dit POUR S'EN SORTIR!!! Autrement dit, vous avez pris un crédit pour ne pas vous déposséder tout en ayant enfin une maison bien à vous ou un petit bout de terre, un commerce peut-être (...)? Ne vous culpabilisez pas, mais assurez-vous de la viabilité de votre projet et ne vous prenez pas au jeu parce que cela aura fonctionné. Laissez leur chance aux autres! Bref, remboursez à terme votre crédit et retrouvez la valeur de votre vie, de votre travail, fusse-t-il intellectuel ou manuel.

Que cette parenthèse sur la gestion éthique de votre patrimoine ne vous fasse pas oublier le cœur de cet article à propos du nerf de la guerre, à propos de nos langues, à propos du langage. Une meilleure gestion de l'argent, des nouvelles applications de l’électrolyse et des trains électromagnétiques supersoniques et non polluants (...), ne sont que des moyens, pas le remède à la maladie déniée qui nous ronge!

Le ratio entre autonomie et dépendance est la clé! La méritons nous ? La notion relève de la sémantique, de l'échange d'information, de l'immanence aussi! Par exemple celle des langages, des formes et des ambiances manifestés par les interactions définissant la substance de l'être. L'équilibre de ce ratio est une question de conscience propre, individuelle, qui se projettera ipso facto sur les entités collectives que nous incarnons.  

Déconstruire, comprendre ensemble et réparer.

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Complexe d'ordres et de désordres associés...

30 Septembre 2019, 17:23pm

Publié par Persone

L’empire des climato sceptiques contre-attaque J… Politisé ? Apparemment pas… Apparemment ! Alors pourquoi ? Parce que la pollution est bonne et parce que la malheureuse industrie lourde n’attendait plus qu’un nouveau canal de fosse s©eptique pour nous apporter de nouveau le bonheur partagé ? Ou parce que nous devons laisser une distinguée concurrence économique empoisonner le patrimoine terrestre encore relativement épargné dans  des pays à croissance plus faible ?

Est-ce un quelconque maléfice qui aurait plongé ces pays dans une misère sordide d’urbanisation contrariée ? La malchance peut-être ? Ou la pauvreté légendaire des sols africains ou sud-américains ? Soyons raisonnables ! Quel que soit notre degré d’évolution, la mauvaise  gestion de la croissance nous concerne tous depuis les accords tacites que nous avons réciproquement signés dans le domaine de la guerre des sexes et du feu. Elle nous affecte tous depuis l’expansion paradigmatique et le mode de colonisation qui s’en suit ! L’empirisme faussé et la folie des grandeurs qui nous caractérise ici en Occident, nous l’avons imposé partout, notre bureaucratie en prime. Tout a commencé lorsqu’on a fait fonctionner à fond la  pompe A-frique tout en vidant le continent américain de son peuple natif ! Et il nous a fallu l’Asie aussi… Jusqu’au passage à l’acte nucléaire.  De nos jours, laisser ces peuples massacrer leur environnement comme nous  l’avons fait pour le nôtre, revient à les rendre aussi dépendants que nous, d’un mode de vie auquel NOUS les avons rompus! Quel est ce mode de vie ? Une nécessité absolue de chaque instant, en l’absence d’autre choix possibles ? Durant plusieurs millénaires ? Non, bien évidemment. Disons plutôt un système malin permettant à l’origine de compenser empiriquement le fruit de nos bassesses les plus élémentaires… Aujourd’hui ce système globalisé est le Léviathan le plus colossal que nous ayons jamais invoqué ! Autrement dit,  une machine à penser qui crée d’autres machines, une intelligence artificielle sans nom que nous désignons « personnalité morale » et que nous devons alimenter sans cesse pour inhiber les souffrances dont nous sommes la cause. Nous n’avons rien à imposer à qui que ce soit ! Non par culpabilité, mais par un simple et pourtant ultime effort de notre cœur intelligent. Compte tenu de la situation actuelle, notre autorité illégitime et hypocrite n’est plus de mise. Il serait donc plus sage de déconstruire enfin nos langages, d’y retrouver la formule virale qui affole la machine et de nous réparer ensemble ! Cela revient à briser l’hermétisme et le socle de nos altérités réciproques, qui sont les premières causes de notre consumérisme, bien que camouflées par notre distinguée compétition économique.      

Alors pourquoi cette véhémence souvent démagogique des climato-sceptiques parmi les élites, les enseignants et les chercheurs ? Parce que l’instrumentalisation du réchauffement planétaire est une pêche au gros qui a noyé beaucoup de poissons ! Logique que cela alimente les moulins adverses, politiques ou non ! Lorsqu’une force est absolument déterminée, elle a nécessairement un inverse et un opposé. Plus elle est déterminée, plus le potentiel d’opposition augmente, plus sa détermination repose sur des erreurs ou des faiblesses inavouées, plus l’échiquier est vain, plus la partie est souffrance, plus l’issue est morbide. L’Homme nourrit encore un lourd complexe sémantique avec la notion de détermination. La causalité l’effraie encore, la mort aussi ! Mais surtout, il s’estime  victime de cette détermination des évènements et en déduit qu’il n’est aucunement responsable de ses actes dans cet « ordre dans le chaos » qui n’a pas le moindre sens que celui d’une triste et hasardeuse suite logique d’incidents. Les infinis et l’éternel ne se manifestent pas devant lui comme il le souhaiterait, qu’ils aillent au diable ! Malheureusement, la détermination bornée chez l’Homme n’est qu’un sentiment qui vieillit vite et mal, si pertinent fusse-t-il à l’origine !

Autrement dit, le climato-scepticisme et l’alarmisme des technocrates écolo-militants offrent à eux deux un délai à la bienpensance occidentale concernant l’examen de sa conscience. Entre autres, celle de nombreux scientifiques portant encore le lourd fardeau des « Lumières »…  Depuis l’antiquité, les ingénieurs ont fourni les armes de guerre aux pouvoirs représentatifs des nations, un premier poids sur la conscience. Des armes puis des technologies de domination diverses ayant séparé l’Homme de ses devoirs systémiques les plus simples pour l’enfermer dans le consumérisme empirique de la croissance exponentielle. La science sans conscience est un remède énergivore qui apaise les symptômes sans guérir les maux, ni prévenir la maladie. De nombreux esprits, à la fois ingénieux, philosophes, artistiques et parfois mystiques avaient  pertinemment posé le problème, de Lao Tseu à Diogène le cinique en passant par la confrontation Critias/Platon. Mais au moyen orient et en occident, la révolution de longue haleine du monothéisme a pris tous ces messieurs au mot en coupant le mal à la racine ! Le malheureux pommier de la connaissance. Les fantastiques fruits pourris furent conservés dans de sombres tours et brulés ou déplacés à la maison mère en cas de danger révolutionnaire. Les musulmans ont résisté longtemps aux frasques hypocrites des occidentaux et des hébreux, jusqu’à  l’arrivée du wahhabisme.  

Une parenthèse s’impose :

Après avoir été longuement persécutés par les empires et ébranlés par le scandale d’un réformateur venu de 2 endroits à la fois, les croyants monothéistes se hissèrent sur la scène du pouvoir représentatif en réussissant en premier lieu à convertir les romains aux paroles reprises d’un Jésus fils de Dieu sauveur « Ichthus ». Un Dieu pour tous, bien que « chacun le sien » se soit affirmé par la suite… Oups ! Persécutés, l’hermétisme et le cryptage de leurs connaissances, concernant les hébreux puis les chrétiens, était une sécurité légitime ! Mais après ? Une fois au pouvoir, concernant les chrétiens romanisés et les romano-germaniques christianisés?  Pourquoi tenir hermétiques des savoirs touchant à la fois à la physique et aux données métaphysiques, si l’on a rien à se reprocher ? Autrement dit, si notre système ne reposait pas sur quelques mensonges que le moteur même de la croissance rend inavouables !  On retrouve ici un complexe de conscience identique à celui de l’ingénieur poussé au pire de l’expérience par les tyrans du moment… De l’empirisme morbide nécessairement technologique. A la différence près que le paradigme religieux ne sera pas aussi inclusif que le soft power de la vieille Pax Romana, si hypocrite et autoritariste fusse-t- elle. Nul n’a oublié la persécution des « libres » penseurs, des réalistes et des rationalistes pendant l’obscurantisme !

L’hermétisme est donc devenu une institution pour toute les élites, pour tous les initiés, à chacun son école ! Des mages en conflit qui décident des affaires terrestres sur des plans au-delà  des illusions des moldus et … Des moldus ! Qui triment. Des écoles pour les uns et pour les autres, il y en a partout dans le monde et leur concurrence internationale se fait de plus en plus sentir.  Mais les faiseurs du et des langages ne sont plus et l’hermétisme nous a rendu amnésiques… Les « mages » invoquent de nouveau Cassandre, mais elle ne se montre plus ! Leur magie de pacotille, illusoire mais bel et bien matérielle, se retourne contre eux alors que les bougres n’ont plus la formule du sortilège qui annule les sortilèges ! Autrement dit, pour briser l’hermétisme, encore faut-il savoir ce qu’il cache de plus précieux, une information qui attend la constance et l’innocence du cœur intelligent d’un Perceval pour se montrer.

Hermétisme des hommes de science (encore tenace aujourd’hui), hermétisme des institutions religieuses (sans compter les schismes internes), auxquels s’ajoutent les synthèses démagogiques formulées par des pouvoirs représentatifs. Synthèses d’une complexité non moins hermétique qui fait fuir le citoyen moldu commun. Vient ensuite la grande entreprise globalisante, ce meilleur des mondes dans lequel on compartimente les sciences et des talents pour des intérêts de production, encore et toujours liés à la croissance.  Cette dissociation de la connaissance fut et demeure le moteur d’une fuite en avant inexorable. Dans ce contexte de conflit, d’opacité et de confusion sémantique, l’ensemble de ces institutions sont comparables à une médecine empirique dont les paradigmes, les camisoles chimiques et les bricolages par défaut, finissent par tuer le patient sans que les praticiens n’aient identifié les mécanismes d’un échec et mat, celui du patient et le leur.

Cette longue parenthèse me semblait nécessaire pour comprendre autant la bonne conscience partagée qui anime les alarmistes militants (dont ceux qui ont instrumentalisé les données sur le réchauffement planétaire), que celle des climato-sceptiques « Nous sommes sur la bonne voie, notre progrès est bon, mais les écolos ruinent nos efforts ».

Sans donner raison aux premiers, qui dénient totalement la nature chaotique des phénomènes climatiques et l’impossibilité de la prédire ou d’en trouver les causes précises à grande échelle, il s’agit néanmoins de remettre les choses à leur place : a-t-on besoin de prouver que la terre n’a pas besoin de notre industrie pour se réchauffer ou refroidir, pour comprendre que nos activités empoisonnent l’air, la terre, les eaux par la manipulation inconsciente du feu ? Une expérience empirique que personne ne semble plus remettre en question ! Le feu est nucléaire, comme toute chose… Le nucléaire, c’est la famille de la vie à bonne température. Sémantiquement : le lien nucléaire, la cellule familiale, l’arche d’alliance. Mais le feu possède une force particulière, une force plus faible qu’on ne l’imagine, mais qui peut tout ruiner, transformer comme un acteur de l’équilibre entre les trois autres éléments répertoriés. Bientôt quatre, ce qui fera 5 ! Tout transformer ou tout ruiner si on l’invoque sans le maîtriser. Je rappelle que la forge n’est pas simplement le berceau des armes ! Elle est aussi à l’origine de la culture intensive, à l’origine de l’instrumentalisation des feux de la passion et de l’appétit humain par la cuisson des aliments et l’appât du sucre. Au-delà encore, elle est le fer qui marque le signe ! Celui de l’homme bête, suicidaire et criminel bien qu’il refuse de vivre et/ou de mourir. Un paradoxe complexé sur deux pattes ! Autrement dit, elle est le moteur de l’imprimerie des langages conflictuels dont le vecteur dissociatif nous pousse au pire ! 

Fort heureusement, elle imprime aussi le langage que nous avons tous oublié. Il est là, sous nos yeux et nous ne le voyons pas !

La première étape à franchir pour apprendre à voir, à entendre, à  lire et à parler un langage moins commun que celui réservé aux masses ouvrières et aux intendants qui les dirigent, est de faire l’effort de pratiquer quelque temps l’art de conjuguer l’arithmétique, la géométrie et la sémantique. Mais percevoir ce langage quel que soit ce que l’on lit ou entend est un art dont les simples et intimes secrets se méritent et ne se partagent pas avec de simples mots ! Il existe bien un anneau de pouvoir unique dont d’autres anneaux dépendent, qui pourrait le nier aujourd’hui ? Mais il existe donc un non anneau et contrairement à ce que mes mots semblent indiquer, c’est le premier qui n’est que l’objet illusoire d’un malade imaginaire. Si concret, lourd, omniprésent et gravitationnel l’objet puisse-t-il être ! Et le second est la manifestation d’un langage commun à la vie s’épanouissant.  Une formule qui ne s’écrira jamais, mais aussi la possibilité d’un sortilège qui permet d’annuler tous les autres sortilèges !  Autre  formulation : la déconstruction réparatrice qui commencera par briser les hermétismes réciproques.

Arithmantiquement vôtre…     

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Papa, la magie ça existe?

21 Septembre 2019, 23:56pm

Publié par Persone

Papa, la magie ça existe?

Tom a des poils aux pattes. Et l’âge de découvrir le seigneur des anneaux, parce qu’on lui a dit qu’il ne s’agissait pas d’un vieux film de fantaisie, mais d’un œuvre cachant des codes et des secrets partagés par les puissants de ce monde. Néanmoins, Tom il vit dans ce monde absurde qu’est le nôtre, dans lequel ceux qui ne sont plus des enfants, les adultes, n’ont pas, plus, ou pas encore les moyens de comprendre ce genre d’histoire !

Tom a aussi l’âge de redécouvrir les énigmes cachées derrière Harry Potter ! Mais il est donc passé par l’âge où l’on ne croit plus qu’en la magie de Microsoft. La sorcellerie toute puissante de l’univers virtuel ! Harry, Bilbo ou Frodo en images et en jeux vidéo s’éloignent dangereusement de leur quête initiale et sont concurrencés par les caïds, les bimbos ou les supers héros du nouveau monde !

Heureusement, Tom a la chance d’avoir un papa magicien qui le familiarise avec la sémantique et avec certains mots qu’on n’apprend ni en classe, ni à la récré…

Papa, le prof de physique/chimie est un peu "pas comme les autres"… Il aurait pu être  prof de philo si tu vois ce que je veux dire. Dis-moi, en dehors de la poésie que tu me sors depuis le berceau, ça existe vraiment la magie ?

Oui !

T’es sérieux là ? Ok, alors un magicien peut lancer des boules de feu alors… (Sourire)

Oui !

Comment ?

Les premiers magiciens ont commencé par ressentir la chaleur lorsqu’ils tapaient des pierres les unes contre les autres ! Certaines, les silex, produisaient des étincelles ! Alors ils se sont dit qu’en apprenant comment les taper entre elles sur de la matière sèche, ils pourraient probablement faire apparaître le feu, que seule la grande colère du ciel, l’orage, pouvait jusqu’ici engendrer.

Là tu vas te dire que je me fous de toi, mais attend la suite ! La magie est éternelle, un de ses plus subtils principes se nomme l’immanence, et eux "les frères Pierre à Feu", ils avaient juste compris que l’Homme peut utiliser ce pouvoir qui ne lui appartient pas ! Bien plus tard, des bonshommes très intelligents qui avaient compris la magie des chiffres invisibles, de la science et de la mécanique, ont aidé leurs chefs à vaincre leurs ennemis en construisant des catapultes. Lancer des boules de feu ! A cette époque, les jongleurs utilisaient déjà la magie de cet élément avec de simples frondes pour épater la galerie ! Quand tu étais petit, tu adorais mes histoires et mes boules de feu ! Mais revenons à nos moutons et bergers : le problème, c’est qu’entre ces deux époques, les Hommes avaient bâti de telles entreprises que les contraintes liées à la croissance de leurs Empires leur avaient fait perdre leurs rêves et oublier d’où provenait la magie ! Ils estimaient dorénavant leurs talents de magiciens comme de simples choses raisonnables et les mirent au service de leurs intérêts, avec l’excuse de ce qu’on appelle l’empirisme… Tous gouvernés par une unique folie des grandeurs. La connaissance qui produit un objet de pouvoir à la fois unique et multiple. Un objet pourtant abstrait, qui stimule tous les désirs et les talents, mais qui ne révèle plus que par l’expérience de la destruction. La destruction c’est l’objet de pouvoir qui guide ce qu’on appelle les tribulations en vocabulaire religieux! Et l’apocalypse nous échappe !  « Un anneau pour les trouver tous… Et dans la culture du néant les lier », dans la métaphore de Tolkien, l’auteur du Seigneur des anneaux ! Le néant n’est pas le vide, il serait plutôt l’impossibilité du vide ou du plein absolu, le néant est le domaine indéterminable de l’impossibilité. D’un point de vue religieux, on pourrait dire que Dieu, qui est aussi indéterminable, lui est conjoint, opposé et inverse à la fois, chacun se définissant l’un par rapport à l’autre. L’Etat de ce qui est possible (logique) et impossible (néant).

Tout comme se définissent l’une l’autre la nature de ce qui se vide et celle de ce qui se remplit, les deux pouvant ne faire qu’un, en d’extraordinaires instants de plénitude !  Autrement dit, en réduisant leur magie à l’incarnation des objets nécessaires à leur croissance et à la compensation de leurs altérités réciproques, les magiciens et les magiciennes que nous sommes ont cultivé une impossible et dégradante réalité qui les contraint inexorablement à repousser les limites du possible dans les pires conditions.  

Mais c’est pas drôle ça ! Alors ça veut dire qu’un robot mixeur c’est de la magie ! Et que moi, je peux plus rien faire de vraiment magique, destiné à rester un bollos…

C’est exactement ce que les Hommes qui ont oublié d’où vient la magie enseignent à leurs enfants, dès que le Père Noël n’est plus pour eux que de l’histoire ancienne ! Une période de l’enfance qu’un type au cœur intelligent a nommé l’éteignoir ! Mais c’est faux ! Le mixeur, l’abattoir, le gratte-ciel, le frigidaire et l’armoire à cuillères (…) sont les incarnations de la sorcellerie, les diableries disent certains, d’un être qui a oublié ce qu’est la magie ! Nous pourrions parfaitement être capables de fabriquer des frigidaires, sans pour autant dépendre de ces derniers ! Parce que trop occupés à vivre le miracle de la vie et à développer la vraie magie. Nous sommes des gardiens du jardin terrestre et de ses animaux, comprenant nous-mêmes !

Mais qu’est-ce-que je peux faire alors avec la magie ?

Le monde de demain !

???

Je vois que cela t’intrigue ! C’est ce qu’ont oublié les Hommes qui ont corrompu leurs rêves et égaré l’enfant qu’ils étaient ainsi que le vieillard qu’ils seront un jour ! Leurs rêves ou leurs fantasmes les plus fous peuvent faire et défaire le monde, mais ils n’y croient plus, tous pliés sous l’EMPRISE de l’empirisme et le déni de l’entropie morbide de leurs premières fondations… On appelle cela un paradigme ! A un tel point, qu’ils imaginent que les dieux, un Dieu unique, ou encore des phénomènes scientifiquement déterminés pour les rationalistes, ne leur laissent pas de libre arbitre ! Autrement dit, comme de vilains garnements aujourd’hui en pleine crise d’adolescence, ils s’estiment tous non responsables de leurs actes ! Les plus réactionnaires d’entre eux renvoient la balle aux autres pour trouver un coupable idéal. Quant aux plus malins, les plus populaires, ils évoquent un certain Darwin ou un certain Hobbes pour convaincre la masse que la cause de notre consumérisme est la vie elle-même et le fatalisme qui en découle. La cause de la destruction est la création. Et ce n’est pas la mort qui les contredira ! Le gros problème, c’est que ces singes proclamés savants confondaient et confondent encore la création et LEUR création ! Ainsi nous font-ils voguer dans le cycle de la souffrance et de la destruction macabre, la nature des Alphas et des Omégas leur échappant sans cesse, comme une ombre ! Les rationalistes ne peuvent approcher la source et la finalité sans verser dans l’incertitude, mais apparemment cela les contrarie… Et ceux qu’on appelle les fanatiques espèrent encore  le jugement d’un dieu transcendant tout puissant ! Deux visions qui s’opposent encore sur la place publique. Ceux qui sont au milieu en tentant d’accorder les violons sont malheureusement évincés par les autres pour la simple et bonne raison que leur analyse révèle les mensonges et les crimes des deux camps. L’Homme assimile la mort à la destruction, l’apocalypse nous échappe encore ! L’apocalypse, tu comprendras par toi-même ce que cela signifie, en revanche, je peux t’assurer que je serais un de ces idiots si je t’affirmais que l’on sait ce qu’est la mort. Dans un monde matérialiste comme le nôtre, des parents persuadent leurs enfants qu’ils vont mourir et qu’il n’y a absolument rien derrière le rideau ! Une absurde et inconsciente cruauté qui justifie à elle toute seule l’augmentation infernale de prédateurs et de consommateurs qui ne pensent qu’à profiter de leur vie à belle dent et à tout prix. La mort arrive, certes, mais quand et comment ? Que savons-nous du temps en dehors du réveil matin et de la montre qui régule cette éternelle journée identique qui nous fuit entre les doigts ? Et cela durant toute une vie mécanisée par la grande entreprise humaine, jusqu’à la retraite ? Que savons-nous de la nature profonde de cette douleur qui hurle en nous, franchissant en silence les frontières du politiquement correct ? De quoi et par qui sommes-nous con/vaincus pour endurer un si pitoyable voyage, essayant vainement d’oublier l’image de la mort qu’on nous a vendue, entre le boulot et le dodo ?

Aujourd’hui, les personnes les plus prudentes estiment même qu’il faut ne pas aimer les enfants pour en faire ! La nature originelle produit-elle de tels monstres pour que les créatures qui y vivent aient de telles peurs raisonnables ? La torture et le machiavélisme ne sont pourtant pas le propre des animaux et nous ne verrons jamais un arbre comploter contre un autre ! Non ! Cette réalité à laquelle nous donnons corps n’est que le reflet de notre choix ! Un choix défini par les vainqueurs qui écrivent l’Histoire, un choix collectif qui s’apprête à devenir un choix global ! Le choix d’hermétiques et malins charlatans qui se prennent pour des génies. Mais aussi le choix des petits Hommes ordinaires qui les suivent. Ce choix incarne une chimère monstrueuse qui n’existait pas durant des milliards d’années et dont même un chien ne voudrait pas ! Elle est pourtant ici ! D’où vient-elle donc si ce n’est de l’esprit de ces magiciens qui ont oublié l’origine de leur magie ?

Je me rappelle ! Quand j’étais petit, les gens te disaient que tu n’avais pas à parler de tout cela avec un enfant, même avec des mots plus simples. Tu leur répondais « Vous avez raison, je devrais lui enseigner ses droits, ses devoirs, ses intérêts et la mort définitive qui l’attend au tournant »… En général, après cela ils se fâchaient tous, ça foutait un sacré bordèle !  Alors mes rêves peuvent refaire le monde ! C’est bien ce que tu confirmes ?

Oui ! Nos rêves et nos convictions peuvent faire et défaire le monde ! Notre magie est invasive et destructrice parce que nous avons trahi la nature de sa source et abusé inconsciemment de ses pouvoirs ! Les chiffres et les lettres à eux seuls sont des outils magiques qui peuvent tout révéler, mais nous les utilisons pour incarner notre folie des grandeurs et donner des ordres aux ouvriers qui construisent les remparts de notre asile collectif. Pourquoi comprendre l’orthographe pour ne plus faire de fautes ? Pourquoi s’intéresser aux mathématiques ? Pour révéler les signes et les symboles de la vraie magie et défendre la vie! L'importance du langage n'est pas une question de style, de prestige ou de convention sociale! Les grenouilles de l'éducation nationale qui vous enseignent ne savent même pas qu'il existe une relation d'une rare subtilité entre les chiffres, les signes et les lettres! Une substantifique moelle qui pourrait leur permettre de vous apprendre à reconnaître la nature même du langage sous toutes ses formes. Cela leur permettrait aussi de vous enseigner les bases de toutes les sciences, rien qu'avec la déconstruction ludique du vocabulaire et de la grammaire!!! Ces grenouilles sont des cobayes de laboratoire qui en forment d'autres, rien de plus. Intéresse-toi à la sémantique et à la mathématique grand-petit Tom, elles sont aussi ta thématique! La vie n'en peut plus de voir son langage instrumentalisé et ne servant qu’à fabriquer l'objet du crime et de la souffrance... Elle te révélera les signes et les symboles de la vraie magie, celle qui engendre la vie et peut la défendre aussi!

Apprendre ne sert pas à répondre machinalement aux lois des adultes sans savoir pourquoi, si ce n’est pour devenir un prétendant au petit trône individuel du conformisme ! Tu redécouvriras en grandissant que ton mental et ton physique sont intimement liés et qu’ensemble, ils peuvent développer des choses qui te surprendraient. Tu le savais déjà tout petit… Intéressant non ?

Pourquoi personne n’en parle, pourquoi l’école ne nous l’apprend pas ?

Pour eux la magie n’existe que dans les films. Les films sont pourtant des animations propres à manifester l’immanence, mais la magie pour eux se résume à  l’argent gagné par les actionnaires du spectacle, un puissant pouvoir, et par le résultat cathartique sur les consommateurs.

Temporels ?

Temporel, c’est ce qui dure, mais finit par disparaître, par opposition dit-on à l’Eternel. Mais je ne vois pas où est l’opposition, si ce n’est dans le fait que les Hommes voient la dualité comme un conflit ! Tu apprendras bientôt par toi-même, si tu souhaites continuer à apprendre sans te laisser convaincre, que les Hommes se font un complexe de leurs propres découvertes ! Au lycée et à la Fac, tu entendras parler de celle de la caverne, de celle de l’ensemble clos, de celle de la causalité et du déterminisme, de celle du zéro, de celle de l’infini, de celle de l’incomplétude, de celle de l’incertitude et tant d’autres… Mais personne ne te parlera du double sens du mot COMPLEXE, personne ne te dira ce que nous avons détruit avant de nous prouver tant de choses. Et personne ne t’avouera que de complexe en complexe, après tant de complexification, les Hommes de savoir ont bien du mal à réunir leurs connaissances ! Le principe de conservation et de transformation de l’énergie, la découverte de l’onde gravitationnelle ou encore la théorie de la mémoire gravitationnelle, sont d’autres découvertes ou hypothèses ontologiques qui pourraient nous aider à mieux comprendre le sens et la durabilité des choses et des êtres, face à l’éternel ! L’unification des théories classiques, relativistes et quantiques serait aussi un grand pas, mais les mesures résistent ! La tour de l’Orgueil des nations est en réflexion permanente, le complexe s’érige de lui-même au fur et à mesure que l’incertitude humaine grandit. C’est la tour de Sauron dans l’œuvre de Tolkien. Restent la sémantique et les mathématiques, comme je te le disais… L’arithmancie est un art oublié qui peut révéler toutes les magies, toutes les sorcelleries.

Mais nos illusions religieuses et matérialistes sont tenaces, elles entretiennent ce duel qui persiste en nous, entre le temporel et l’Eternel pourtant désarmé, que nous rendons responsable de tous nos malheurs !

Ontologique ?

C’est quand on arrive à comprendre le réel qui nous échappe en partant de l’impensable ! Ça ressemble beaucoup à l’imagination féconde des enfants et au travail des conteurs de légendes mystérieuses ou de contes énigmatiques.

Dieu c’est l’Eternel ?

Tu vois, c’est plus fort que nous, nous voyons la dualité comme un conflit ! Dieu reste indéterminable, inatteignable dit-on, mais il ne serait pas logique qu’il soit l’Eternel sans être aussi l’éphémère !

Et comment se rapproche-t-on de lui alors ?

Un joueur se contente d’être dans la partie et attend sa fin pour ressentir de nouveau le berceau et sa misériCORDE. En attendant il doit demeurer un cœur vaillant et intelligent, au service de la vie et de la mort. Cela vaut pour les moldus, les charlatans et les mauvais magiciens ! Croyances et certitudes alimentent leurs batailles sur un échiquier réduit à la question politique. Des dieux, un Dieu unique ou un rationalisme absolu qui servent d’excuse aux vaines gloires et aux invincibles échecs de nos empires concurrents ! Une prison d’espace et de temps !

Un maître comprend qu’il est à la fois la partie et dans la partie et que son imperfection humaine est le généreux cadeau qui lui permet de jouir de l’instant présent en tant qu’observateur !

Tu parles par énigmes !

Tu voulais que j’appelle Dieu avec l’IPhone 9 et que je te le passe ?

Les profs disent qu’il faut que j’arrête de rêver et lorsque je ne m’évade pas, ils me disent que je réfléchis trop ! Sérieux ! Je trouve ça normal, épanouissant et prudent de redémontrer la roue, mais ça les agace, alors leur argument suprême c’est la note ! A force de perdre du temps, tu seras le dernier disent-ils…

Ils ont raison de leur point de vue ! Le problème c’est que cette réalité n’est que la leur et que même le pire des chacals n’en voudrait pas ! Cette réalité est celle d’un Homme qui s’empresse par empirisme de rattraper les dérapages de son expérience. Parce qu’il a joué avec le feu sans comprendre la partie. La vie elle-même prend le temps nécessaire pour accomplir parfaitement sa nature, il n’y a guère que dans le feu et l’activité nucléaire permanente que les choses vont vite. C’est notre grand complexe le nucléaire ! Et le feu aussi n’est-il pas ? La grande académie forme par défaut de futurs imbéciles heureux, le problème c’est que les poulets ainsi cultivés sont voués à se grimper les uns sur les autres ou à gober des médocs pour conserver ce petit bonheur collectif sans névroses ! Les écrans que l’on fabrique aujourd’hui sont censés nous aider, mais ils nous lobotomisent ! L’imprimerie, en son temps, à fait la même chose. Un grand pouvoir, mais dans de mauvaises mains. Les clés des mystères les plus fondamentaux sont cachés dans les histoires alchimiques des conteurs, pas dans la bouche des harangueurs de foule et encore moins dans les images alléchantes qui nous fascinent en nous rongeant le ciboulot !   

 

Un ange passe… Tom a l’impression d’avoir grandi mais pour une fois, pas au profit de ce triste et épouvantable adulte qui s’éveillait en lui ! Peter et Clochette vont enfin pouvoir rassurer les enfants perdus !

 

Il y a des gens qui disent que l’Homme est trop différent de l’animal et qu’on ne vient pas du singe ! Tu croix que des extraterrestre ont pu nous fabriquer ?

Et qui aurait fabriqué ces extra-terrestres ? Ils n’avaient pas d’animaux eux sur leur planètes ? Pas de virus, pas de bactéries, pas de protozoaires ? Ils sont apparus comme ça d’un coup ? Il y a probablement d’autres vie que la nôtre dans un univers aussi insondable et peut-être aussi dans d’autres espace-temps, mais cela ne change rien à la question du principe de création, ni à l’évolution !

D’ailleurs la théorie de création par les extra-terrestres, à force de motiver tout et n’importe quoi, a fini par alarmer autant les théologiens que les astrophysiciens ! Voilà qui a rapproché tous les esprits les plus conflictuels pour trouver un accord raisonnable entre les différentes théories évolutionnistes et l’exégèse raisonnable de la genèse créationniste ! Une exégèse, c’est une forme de relecture de livre ou de document qu’on avait interprété incorrectement pour diverses raisons, pas toujours très « chrétiennes », très honnêtes si tu préfères, bien que la chrétienté repose sur un nid de falsification ! Bref, tu apprendras que la vie est probablement issue de la rencontre entre le terrain propice de planètes fécondes et un hôte intelligent semblable à un virus, pouvant circuler dans l’espace dans des conditions impensables pour toi !

La plus part des animaux, puisque tu en parlais, sont des acteurs parfaitement à leur place, mais inconscient du rôle qu’ils jouent à plus petite et grande échelle que celles correspondant à leur niveau de perception. Il en fallait bien un qui cherche encore sa place, mais capable de rationnaliser tout cela et de contempler l’ensemble ! Une lourde responsabilité pour ce gardien amnésique, mais créateur et doté d’un subtil dosage des facultés de tous les animaux avec lesquels il partage son origine… L’Homme ! Tout doit arriver et chaque chose existe en complémentarité d’une autre, on n’appelle cela la dualité ! Elle est subtile… Par exemple, on imagine qu’elle se résume aux opposés alors qu’elle manifeste aussi la notion d’inverse ! L’animal semble limité, mais l’exemplarité de sa vie et la plénitude qu’il embrasse, un inconnu pour nous, renvoient à l’infini ! Inversement l’Homme semble illimité dans ses créations, jusqu’à ce que celles-ci deviennent une prison et définissent les limites critiques de sa folie ! Eternelle et subtile dualité : le haut et le bas pour les nuls, devant et derrière pour les recrues, le + et le – pour les débutants, etc… Mais aussi l’équilibre au point 0 (énergie potentielle) et le déséquilibre (forces), l’énergie de ce qui tend vers le vide et vers le plein, l’inerte et le vivant, la complexité du simple et la simplicité du complexe, le libre arbitre et l’innocence…

La détermination de l’indéterminable n’appartient qu’à lui, lui pouvant être une cellule, un être vivant complexe, un univers ou autre divine singularité ! Mais la logique relie tout et rien, tout être et non être par exemple ou encore toute matière et antimatière ! On peut dire que le 0, l’unité et la dualité sont les trois piliers de la logique et que les mathématiques nous ouvrent la voie des sources et des infinis de façon abstraite et raisonnable… Ce n’est pas magique ça ? La logique agit sur et est inscrite dans les atomes, dans la mémoire, dans l’instinct, dans le cœur et dans la raison. Raison ou intelligence, qu’elle soit humaine ou non, virale, animal, cosmique... Sa source est éternelle, de par la nécessité de sa propre nature. Tes rêves et ta pensée n’ont peut-être pas plus besoin de ton corps pour s’évader, que tes cellules n’ont besoins des délires de ton esprit pour se multiplier. En revanche, tant que tu es locataire, les deux, corps et esprit sont interdépendants ! C’est comme cela que raisonne les sorciers et les mages dans de nombreux pays, on les appelle des animistes. Avec leurs pratiques, les initiés déplacent leur conscience de leur corps ou imposent à ce dernier d’accomplir des choses surprenantes par l’exercice de la méditation.

Aujourd’hui, des Hommes de religion et des scientifiques se réunissent avec des animistes pour tenter de réunir leurs connaissances, c’est une véritable chance pour votre avenir ! Mais le charlatanisme libéral entretient la confusion.  

Avant d’apprendre à voler, un magicien te conseillera toujours de devenir l’Homme que tu es. Dans ce processus, pour en revenir à ta question, on apprend à résoudre l’énigme de l’œuf qui fait la poule et de la poule qui fait l’œuf.

Un Homme est forcément balaise avec la magie !

Si ce qui lui résiste le porte au désespoir ou à la puissance, et s’il n’a pas encore appris à vaincre le sommet de sa montagne sans se pavaner en redescendant, il n’est pas encore un Homme ! Sa magie ne vaudra pas mieux qu’une boule de feu lancée sur l’ennemi par une catapulte ! Au lieu d’apprendre à déconstruire le langage sous toutes ses formes et d’en enseigner la maîtrise à ses semblables, il se servira de l’hermétisme pour faire de son propre langage une arme ! La gloire est cause de bien des malheurs, elle n’intéresse pas les bons magiciens. Dans un univers où l’objet gouverne l’utilisateur, autrement dit un monde d’intérêt où l’offre conditionne la demande, un Homme est forcément balaise avec la seule raison dès lors qu’elle lui donne des moyens ! L’instinct naturel, la profondeur des sentiments et la foi ne lui servent plus à grand-chose… Une triste histoire.

La raison triomphante est capable de tout ! Elle peut placer l’Homme au centre de l’univers (je pense donc je suis), l’en éjecter en le persuadant qu’il n’est qu’un singe amélioré, le séparer de la nature par empirisme avec l’excuse du déterminisme ou le séparer de lui-même en lui indiquant qu’il n’est que le résultat de multiples conditionnements, incapable d’agir en libre arbitre. Triomphants les uns sur les autres, les sentiments, la foi ou la raison sont aussi aveugles, muets et sourds que les trois singes en un seul.  

Le grand échec de notre temps, c’est le maintien de nos illusions malgré le désenchantement du monde accompli pour les dissiper.

 

Onirisme occidental et croix de Bretagne, un port témoin des chimères et des titans venues du nord, du sud et du grand est!

Chers lecteurs, je vous invite à suivre mes petits cailloux sur les réseaux sociaux, cette cour des miracles ingrate et surveillée, qui est néanmoins le seul "espace" où il est permis à un illustre inconnu de partager avec tous en toute gratuité. Je post sur twitter et linkedin, de simples bouteilles jetées à la mer, contenant cartes ou messages... Mais Facebook permet de partager, d'échanger et de développer de réelles polémiques ou modules d'apprentissage en direct ou non et en deux ou trois clics. Rien de plus pervers que cette plateforme qui n'est autre que l'instrumentalisation du laisser faire et du laisser dire, certes, mais c'est précisément ici, en cette cour des miracles continuellement épiée par les pouvoirs, que l'anneau doit être démystifié, autopsié.

Une page donc au nom de Persone et surtout un groupe de discussion: Déconstruire et réparer. Je vous invite tous à nous visiter!

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