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Le blog de Persone

Règle de 3

21 Mai 2020, 14:19pm

Publié par Persone

Règle de 3
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Dix années plus tôt, je déclinais mes premiers articles, animé par une quête de vérité et de réparation collective. Mais surtout par le sentiment profond que notre Orgueil, victime de son ministre "l'amour propre", déplaçait ses pions à son propre insu… Que cela soit parmi les gagnants ou parmi les perdants, vivant réciproquement, perpétuellement, dans l’angoisse du complot. Vérité de vainqueur VS terreur révolutionnaire : la sérendipité des dominants et des dominés qui les suivent, face à la zemblanité des "déviants" vaincus, dont les prophéties font mauvais hôte. 2 semblables privilégiés et 1 différent dont le manque de privilège semble une nécessité naturelle pour les deux premiers. "S’il n’y avait pas de pauvreté, il n’y aurait pas de richesse". Notons ici le rôle important de l’opportuniste, neutre : il peut changer de camp (signe) comme de chemise en fonction du sens du courant général (charge, masse, valeur, nombre) ! Un piètre et démagogique accord de trois, totalement dénaturé et auquel on sacrifie le lien nucléaire de la famille humaine. Un désaccord plus vieux qu’Hérode, n’attendant que prétextes pour perpétuer la tragédie d’Homère.

Le choix de Troie pour définir le lieu du drame "shakespearien" d’Homère est-il fortuit ? Y-a-t-il un rapport crypté entre TROIS(9) et TROIE(4) ? Un rapport conservé par la forme latine ? Brisons l’hermétisme…

Depuis l’Antiquité, il existe bel et bien un rapport arithmétique et sémantique entre les chiffres et les lettres. En grec ancien, trois (lié à gamma dans la numération, gamma étant aussi la troisième lettre de l’alphabet grec) s’écrivait Τρεῖς (treîs) et Troie (lié à Tros et Ilion dans la construction sémantique cosmogonique) s’écrivait Τροία (Troîa). Note : ς possède une variante notée σ.

On remarque les permutations suivantes :

  • La première entre ε (epsilon, 5ème lettre, dont la translittération latine correspond au e, également placé au 5ème rang) et ο (omicron, 15ème lettre, liée à 6 par la SOMMATION de 15 dont la translittération correspond au ô latin placé au même rang. Notons que le O latin non accentué est la translittération de omega dont le 24ème et dernier rang correspond encore à 6).

Epsilon symbolisait la médiation dans les ordres de grandeur sur la base 10 et la notion complexe d’énergie non mesurable, mais nous reviendrons sur la lettre et son expression sémantique dans le paragraphe suivant concernant la seconde permutation… Omicron symbolise quant à lui le petit et sa relation avec le 6 (concentrique) exprimait l’inverse du 9 (excentrique). Symbolisme : ratio entre l'Énergie en tant que tout (notion de globalité et d’ensemble entier mais infini) et sa manifestation physique en un point concentrique (convergence). Le plus grand contient le plus petit et vice versa.

  • Et la seconde entre ς (sigma, 18ème lettre, liée à 9, dont la translittération correspond à notre S latin) et α (alpha, 1ère lettre dont la translittération est notre A).

Sigma symbolisait l’énergie primordiale fondée sur le principe de trois suivant : deux inverses ou opposés et un milieu. Elle était l’équivalent de la lettre C de l’alphabet cyrillique, qui deviendra la troisième lettre latine, différenciée du S. Sa lettre capitale Σ ainsi que sa forme minuscule σ sont toujours utilisées en sciences pour symboliser les notions de sommation (notion liée à la réduction additionnelle des nombres en chiffres), de conductivité électrique, de coordonnées sphériques (très utiles en matière de calcul de position, de vitesse ou de force en fonction de référentiels) ou d’écart type (notons que les grecs s’intéressaient particulièrement au mystère des écarts entre les nombres premiers, mystère dont relève la fameuse fonction Zêta). Sigma était lié au chiffre 9, le triple 3, autrement dit 3 au cube, cube indiquant le volume, la 3D. La calligraphie de Sigma est un 3 anguleux et inversé. Derrière ce détail, se cache la notion sémantique des 3 îles (deux antipodes et l’île centrale mystérieuse, qui deviendra le 0 dont les voies impénétrables nous seront intelligibles grâce aux indiens bien plus tardivement. 0 que l’on retrouve au cœur de l’énigme de la fonction Zêta. Cette calligraphie était volontairement proche de E (epsilon), liée à la notion de porte à claire-voie et de quintessence (sujet abordé aussi par les hébreux concernant la lettre He). E demeure le symbole de l’énergie totale. A savoir que les grecs étaient eux aussi en quête du 5ème élément et de la 5ème force (à ne pas confondre). Leurs intellectuels suivaient déjà quelques pistes concernant les forces d’interaction : force électrique, force gravitationnelle et son inverse (celle qui maintient en orbite), force de transformation (feu destructeur) et force de vie (feu créateur capable de souder la matière, feu dont témoigne la température du vivant et les manifestations physiologiques de l’ardeur de ses sentiments). Mais revenons vers notre permutation concernant Trois et Troie : la terminaison Sigma devient Alpha. 9 devient 1. Alpha quant à lui symbolisait le premier, le plus avant, le bœuf et l’unité, le plus petit, le plus petit dénominateur commun.  

Le grand, le petit et le rapport d’immanence… Troie le siège, Troie le théâtre de l’apocalypse programmée d’Homère, à défaut des révélations portées par la grâce d’un zéro encore inaccessible. Troie le petit qui contiendra le grand jusqu’à la chute de tous, Troie la petite cité du juste, face à la fureur du grand Empire, tous deux emportés dans la discorde par des forces si complexes qu’elles ne pouvaient être que l’œuvre des dieux et d’un Amour éternel, mais contrarié.  

Les premiers seront les derniers et les derniers les premiers : une énigme qui se serait bien passée du premier degré ! L’ère judéo-chrétienne bouleversera donc la donne, sans toutefois maîtriser ces notions, faisant de Dieu désarmé un Dieu des armées. Au prix que l’on connait. Le Léviathan matérialiste, après avoir décapité le père, renier son héritage et perdu la maîtrise de son langage, ne fera qu’accélérer le processus morbide ; un troisième acte dont les enjeux font ressurgir toute la pertinence des prophéties. Homo-falsus viral et le monde qu’il mérite. Une première vague, suivie d’un principe de précaution qui, dans une seconde phase de grandes mutations, fragilise la bête en mal de langage, puis un dernier acte, la seconde vague, ravageuse… Ainsi fonctionnent les virus, ainsi fonctionne la nature avec laquelle nous avons cessé de communiquer en mélangeant les volatiles et les cochons domestiques ou en les cloisonnant vainement dans le processus de la culture intensive. En deux temps l’humanité fait 3 mouvements, en 5 sec (ou set) plus un poil de sec, elle remet ses baskets ! Petit jeu sémantique : sec indique dans l’expression ce qui se fait en un coup, ce qui n’est pas divisible, il deviendra set en relation avec le tennis, dérivé du jeu de paume : un set est composé de 6 jeux de 3 points et d’un septième pour départager en cas d’égalité, d’où l’utilisation du terme set qui évoque à la fois le chiffre 7 et le set, en tant qu’élément entier quels que soient les éléments qui le composent. Pourquoi ce détail concernant 2 temps, 3 mouvements et 5/7 ? Reprenons nos termes : Τ(2)ρ(8)ε(5)ῖ(9)ς(9) dont la sommation ou addition réduite donne 5, le chiffre de la réalisation, de la médiation entre les ordres de grandeur et 3ème chiffre premier. Τ(2)ρ(8)ο(6)ί(9)α(1) dont la sommation donne 7, chiffre de la dissolution, mais aussi de la réunion des pairs et des impairs ; "7" lié à "3" comme "5" l’est à "2" par des voies qui nous semblent impénétrables, à tort. Seth "démembreur" d’Osiris qui arrachera son œil à Horus avant que Thot (9) ne le recompose en offrant au nouvel observateur une chance de retrouver l’unité. Seth troisième fils d’Adam et Eve, "7" dernier chiffre premier. Une table précieuse de compréhension qui nous aurait probablement évité le pire dans les tribulations des NOMBRES barbares que nous incarnons.   

Intéressons à la forme latine : 3 se dit tres/tria concernant la valeur cardinale et tertius/tertia/tertium concernant l’ordinale. Il existe aussi les formes distributives et les adverbes numéraux. Le mot utilisé pour désigner la cité de Troie s’écrivait Trŏĭa. Apparemment mû par les obligations de résultat d’un système dominant extrême et complexe, les romains n’ont pas conservé ce jeu sémantique subtile dont la Grèce avait hérité. Un héritage dont un Alexandre prit probablement conscience peu avant sa fin, lors de sa consultation d’un mystérieux oracle en Egypte ; un héritage qui manqua aussi à la dynastie des Ptolémée. Bien que l’incendie de la bibliothèque d’Alexandrie ne soit pas avéré, rappelons ici que les romains, lors de la prise de la ville, n’avaient pas pour prérogative d’épargner les trésors écrits.

La forme  française en revanche indique que nos linguistes ont cherché à reprendre le cours de cette énigme millénaire:  

Une seule permutation, le S de trois devenant le E de Troie. S(01) dans le nouvel Alphabet que nous devons à Pierre de La Ramée, la lettre étant dorénavant placée au 19ème rang. Le rang de E est inchangé, la lettre demeure liée à 5. La notion de suite (N+1) dépend du caractère ordinal et de la valeur cardinale des nombres croissants dont les 10 premiers chiffres sont l’archétype. Rappelons que 5 est le médiateur de la première décade. S quant à lui est lié au 1  l’unité relative de toute chose, son symbole est le serpent concernant la courbe ou la tranche d’une pièce à double face concernant le linéaire. S, serpent, sinus et sinusoïde… S le serpent qui avale et recrache le monde, S qui s’auto-dévore ou –féconde, S le tube qui transforme l’énergie, S le siège du langage, S le serpent qui par sa propre nature, au-delà du bien et du mal, offre l’arbre de la connaissance. Le SE qui tente le ME. E5 + S1 = O6, ou vav6 "réversibilité, inversion, articulation", selon les correspondances gématriques latines et hébraïques. Un exercice sémantique intéressant, mais qui ne vaut pas celui de la maison mère !

Intéressons-nous de nouveau au modèle grec : la 6ème lettre de cet alphabet est zêta, symbole d’énergie contrariée, de beauté, et d’hystérèse lié à la fécondation de la vie par l’utérus féminin. 6 exprime aussi, un rapport entre la mesure de l’espace par les radians et celle du temps (système décimal/système sexagésimal). La lettre est aujourd’hui utilisée pour noter la fonction Zêta. Dans la numération du grec ancien, 6 est digamma (double trois) ou stigma, ce signe ouvrant la voie à zêta ou Dzêta qui ici est le 7. Nous retrouvons la grande question des pairs, des impairs et des premiers ! Ce mystérieux rapport immanent entre la matière, les évènements et les nombres, est lié à l’"Energie" subtile et aux propriétés illimitées du 0 et des infinis soustraits de sa double nature. Le zéro était jadis assimilé au néant, on ne le comptait pas parmi les chiffres. En revanche, cinq étant le médiateur de la décade, 6 et 9 indiquaient la présence des boucles inverses. Bref, jadis nous ne comptions pas le 0, mais tout un chacun le cherche depuis toujours. Dépistons donc d’autres chiffres 6 dans l’alphabet grec : le suivant est 15 (1+5), il s’agit de la lettre Omicron, que l’on retrouve dans l’ancienne numération pour noter 70. Et le dernier est 24 (2+4), il s’agit de la lettre Omega (son signe est 800 et symbolise la double boucle infinie). Le fait que la lettre soit placée au 24ème rang est à conjuguer avec le découpage tardif du temps journalier en 24h afin de comprendre le choix d’Oméga pour caractériser la fin des temps, la mort de notre univers. Immanence du langage !   

Y aurait-il un monde à l’endroit et un monde à l’envers ?  Une belle  énigme entre ombres et lumière.    

Si certains pensent qu’Homère, dans son œuvre ne faisait aucune relation entre l’arithmétique, la géométrie et la sémantique, je leur conseille vivement de relire les textes après quelques cours de philologie.  

Epilogue :

Après cette longue parenthèse, reprenons l’introduction de l’article :

Les vainqueurs donc et ceux qui consentent ou profitent de leur victoire : les déterminés qui déterminent, deux semblables bien que différents qui font la paire ! Et ceux qui s’adaptent, comme on dit. Les enfants par exemple, ces petits êtres indéterminés et indéterminables. Les enfants, du point de vue des parents, le peuple du point de vue des gouvernants : un facteur variable, imprévisible, qui contrarie l’expérience…

Mais nous pouvons voir les choses autrement sans contredire la règle : les deux semblables peuvent être les vainqueurs et les vaincus, semblables parce que déterminés (signes)! Les enfants peuvent eux-mêmes entrer dans ce dernier schéma dès qu’ils sont conditionnés par les parents ou la gouvernance suprême. Ici, le différent est le neutre qui change de signe comme de chemise : l’opportuniste. Je rappelle ici un principe de physique nucléaire : le neutron, en enterrant sa vie de jeune fille ou de jeune garçon, se désintègre et participe au grand changement par les lois de la transformation ! Il s’agit de l’activité de la force faible. Au cours de ce processus d’échange de niveau d’énergie, les protons tendent à devenir électrons et les électrons tendent à devenir proton. "Les premiers seront les derniers et les derniers seront les premiers" ou encore "le plus petit contient le plus grand et vice versa". Note : concernant les atomes, ceci n’a rien d’une fatalité darwiniste RELATIVE à la destruction et la souffrance inéluctable. Il n’y a là aucune guerre, aucun conflit, mais de simples lois régissant les interactions en faisant apparaître le ratio, la dualité multiforme. Dualité qui n’est pas dualisme ! Les atomes ne souffrent pas, les atomes ne torturent pas. Concernant l’Homme, la compréhension de ses lois universelles lui permettrait de fonctionner en roue libre en maîtrisant son libre arbitre responsable pour témoigner d’une empathie envers son prochain et d’une capacité à changer de signe, non pas pour trahir ou se trahir, mais pour rester neutre du point de vue du jugement, tout en prenant position pour la vie en embrassant la compréhension de chacun des signes déterminés.   

Dans ce drame shakespearien qu’est la comédie humaine, le principe de 3 est la magie qui permet au petit de contenir le grand, contre toute attente, lorsque chacun semble s’être résolu au pire, avec ou sans bonne conscience. Mais au-delà de ce macabre théâtre tragi-comique, l’accord de 3 est avant tout le principe d’immanence : de par sa propre nature, la partie est aussi dans la partie.

Comme nous l’avons déjà  évoqué dans un article précédent, le principe se manifeste dans des domaines bien plus "terre à terre" :

En géométrie : segments et milieux (angle plat), puis triangles. Notons aussi le triangle équilatéral formé par les trois tris(s)ectrices d’un triangle ordinaire, puis le principe de symétrie : deux éléments "images" et un axe ou centre de symétrie. Etc…

En physique nucléaire : les 3 quarks des baryons les  plus communs, quarks qui se déterminent aussi comme deux semblables et un différent)….

En électricité : plus, moins et neutre… Ou les trois bases utilitaires du courant alternatif dit monophasé, biphasé ou triphasé.

 

En biologie : principalement 3 éléments de base pour constituer la molécule d'ADN ou l'ARN messager (un sucre "ose ou désoxyribose" et deux paires de bases azotées qui s’accouplent pour former la base nucléique. On retrouve ici le schéma des deux natures semblables en relation et d’un composant différent qui les soutient). Lorsqu’on regarde de plus près ce miracle de vie qu’est l’ADN, on observe encore 3 type d’éléments : le sucre, la base nucléique et les groupements phosphate (de 1 à 3).

 

En matière de sexualité : Roméo, Juliette et Mercutio… Ou, sans impliquer la métaphysique shakespearienne: les parents (les deux semblables déterminés qui s’accouplent) et l’enfant (l’indéterminable qui se détermine)…

 

En matière d’accord spectral : 3 couleurs de base

 

En matière de relation entre l’observable manifesté et son observateur : la 3D, première dimension sortant de l’informe (0) et du plan (1 et 2 pour droites et segments parallèles ou sécants en passant par la perpendicularité), pour manifester une singularité témoignant de la hauteur, de la largeur et de la profondeur de ce qui devrait faire le bonheur de l’observateur humain.  La troisième dimension impliquant transformation et déplacement des points et du milieu, il est normal que la suivante soit celle du temps, précédant elle-même celle de la quintessence d’énergie caractérisant tout le processus : gravité (incomprise), électromagnétisme, interaction forte, interaction faible et champs de Higgs.

 

En matière de jeu de la vie. Qu’est-ce que le jeu de la vie ? Une petite expérience informatique démontrant qu’aucune forme n’est possible et que rien ne peut se développer si un "point" n’est pas entouré par deux autres.

Les lois de l'attraction et de la séparation, de la fusion et de la transformation… Nucléaires, électromagnétiques, physiques ou sentimentales, le tout ne faisant qu’un ! Elles sont présentes dans l'arbre de vie, mais aussi dans la mécanique de la souffrance : l’accord tacite, la fracture consentie d’une unité à la fois toute puissante, fragile et désarmée, la culture inconsciente du néant ou encore, selon la Kabbale, l'arbre de la petite mort.

L’île inaccessible de 3 ! Un principe métaphysique enfantin mais subtil, une pierre de magie cachée par la nécessité de sa nature, faisant de l’indéterminable un lien éternel et osons le dire : un domaine de liberté relative de la raison, des sentiments et de la foi, soumis à conditions. Le destin des Hommes n’appartient pas aux "anges", si déterminées soient les lois et les constantes que ces derniers imposent ! Osons la métaphore : en tant que conseiller scientifique, "Dieu 3" maîtrise les causes et les conséquences… En tant que réalisateur, il sait qu’une autre fin est toujours possible et pour que la partie ait un sens, il ne peut être spectateur et acteur à la fois, dans un même état, dans un même espace-temps.

La pierre est cachée par la nécessité de sa propre nature, la trouver c’est la comprendre et la sentir en son cœur. La trouver c’est réparer l’Homme, le temps d’un sauvetage et d’un acte d’Amour. Réunir ce qui a été brisé, le temps d’un espace de valeur éternelle. Réunir cette créature incomplète, avec les dieux et les forces qu’il renie de toute son âme, ou au nom desquelles il imagine se délester du poids de ses crimes.

Nul vainqueur, nul perdant dans l'arbre de vie! Nul esclave, nul opportuniste! Mais des hommes, des femmes et des enfants. Deux semblables donc, Roméo et Juliette (les futurs maîtres de maison) et un différent, indéterminé, proche de la création, proche du 0. Mercutio l’androgyne, Mercutio l'enfant, l'élève aventurier, raisonnablement initié. Appliqué dans un collectif, l’État et la Foi (la reine du château) peuvent se contenter d’avoir le rôle des parents qui guident et départagent sans conditionner ! Mais les institutions politiques et religieuses ont semble-t-il choisi la voie de la souffrance et l’illusion de l’ordre, dans un chaos entretenu.

Comprendre : une relation saine est totalement désintéressée, l'un est l'égal et le reflet de l'autre, seul l'Amour (amours, passion et constante du détachement sans indifférence) définit les rapports et les échanges. Par-delà le bien et le mal disait Nietzsche.

Comprendre… Prendre ensemble. Bien malheureusement, dans la voie morbide règne l'hermétisme le plus absolu ! 

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